. Budget de la Sécu : Faure continue de faire le malin. Jusqu’à quand ?

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#webtube : Samedi soir, la partie « recettes » du PLFSS a été adoptée, grâce au PS : la petite heure de gloire d’Olivier Faure… Olivier Faure, Premier secrétaire du PS (1,8 % en 2022…), semble devenu l’ultime régent d’une République au Président ultra-impopulaire et de députés (pas ceux du RN-UDR) uniquement mus par la peur de la dissolution. Ce parti a obtenu du Premier ministre Lecornu, en échange du vote du budget, que le 49.3 ne serait pas utilisé : la République est donc placée sous le chantage du PS, qui en use et en abuse, histoire de se refaire une santé médiatique.

La semaine dernière, Olivier Faure menaçait d’une dissolution si les exigences du PS n’étaient pas prises en compte. Nouvelle illustration de ce dévoiement des institutions, ce samedi 8 novembre, avec le vote du volet « recettes » du projet de loi de financement de la Sécurité sociale (PLFSS) par 176 voix contre 161. PS et macronistes, avec les députés LIOT, ont été les seuls à voter pour, écologistes et communistes se sont divisés entre pour, contre et abstention, LFI, RN et UDR votant contre, tandis que les députés LR et Horizons s’abstenaient.

Olivier Faure dans les vieux habits du parti de gouvernement

Après ce vote serré obtenu par le PS, Olivier Faure s’en est pris au RN : selon lui, en votant contre la partie « recettes », le RN et LFI ont fait « le jeu du pire ». Cocasse, de la part d’un PS qui n’avait pas l’impression de faire « le jeu du pire » quand il passait des accords électoraux avec LFI sous les beaux noms de NUPES ou de NFP – en attendant le prochain. Soucieux de revêtir à nouveau l’habit usé du respectable chef de « parti de gouvernement » qu’il croit être encore, le Premier secrétaire du PS a estimé que son groupe a fait son « devoir » et a montré « qu’il y a une gauche qui est utile aux Françaises et aux Français et qui continuera à l’être ». Le Premier ministre Sébastien Lecornu a salué, sur X, ce respect du contrat par le PS : « Ce vote est une étape, les discussions parlementaires continuent. Plus que jamais, le gouvernement se tient à disposition des députés et sénateurs pour la suite des débats. » La position d’Olivier Faure a été pilonnée par Mélenchon.

Ce théâtre d’ombres de la gauche ne peut masquer les postures politiciennes dénoncées par le RN. Jean-Philippe Tanguy a expliqué que le groupe RN avait voté contre l’adoption de la partie « recettes » du PLFSS parce qu’il « est hors de question que les classes moyennes, en particulier les épargnants, paient à hauteur de 3 milliards d’euros cette année et 5 milliards [d’euros] l’année prochaine les magouilles entre le Parti socialiste et les macronistes ». Pour le député RN, « le vote de ce soir n’a rien à voir avec l’intérêt des Françaises et des Français et va même contre l’intérêt général. Tout ça pour sauver le système, sauver leurs sièges et, une fois de plus, éviter la dissolution et, donc, d’aller rendre des comptes devant les Français et se présenter aux élections. »

Olivier Faure veut « continuer »

Sentant peut-être que les Français pourraient ne pas être dupes de ce jeu politicien et s’en lasser rapidement, Olivier Faure a immédiatement donné une interview au Parisien dans la soirée, toujours sur la ligne de la « responsabilité » et pour justifier son alliance avec la Macronie. Affirmant « Le combat va continuer », il prétend rechercher des accords avec le gouvernement, mesure par mesure, mais continue à brandir la menace de la dissolution ! « Personne dans la rue m’interpelle pour me dire qu’il souhaite une dissolution à tout prix, déclare-t-il. […] Si nous n’obtenons pas gain de cause dans le cadre du débat, nous n’aurons aucune hésitation. » En somme, il prépare sa sortie, son claquement de porte au nez du pauvre M. Lecornu. Quand ? Un baromètre IPSOS BVA, publié samedi soir, nous donne peut-être une indication : Olivier Faure, en baisse, n’y rassemble que 10 % de satisfaits.

En tout cas, la France ne peut plus demeurer très longtemps l’otage d’un deal entre un socle commun macroniste qui se délite et un PS aussi squelettique qu’arrogant qui, tous deux, communient dans une folie dépensière sans affronter le défi de l’immigration. Ce petit cirque PS-Macronie ne trompe personne et Olivier Faure verra d’ailleurs que dans ce même sondage, Bardella gagne 4 points et monte à… 37 %. De quoi faire réfléchir.


Frédéric Sirgant
, dans BV

. Le Canon Français triomphe à Goven (35) : encore merci à la gauche bretonne…

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#webtube : Malgré les appels à la censure et les pétitions indignées, les banquets du Canon Français ont rassemblé des centaines de convives dans une ambiance festive et apolitique — au grand dam des militants d’extrême gauche.

On les disait « infréquentables », « d’extrême droite », voire « dangereux pour la démocratie ». On les voulait interdits. Finalement, les banquets du Canon Français, organisés du 7 au 9 novembre au château de Blossac à Goven (Ille-et-Vilaine), ont bien eu lieu. Et le moins que l’on puisse dire, c’est qu’ils ont fait salle comble : près de 2000 participants se sont succédé tout au long du week-end, dans une ambiance conviviale, festive et bon enfant.

Malgré les pétitions, les communiqués de maires et les cris d’orfraie de l’extrême gauche, le bon sens populaire a triomphé du sectarisme militant. Et, ironie du sort, les tentatives de censure ont offert au Canon Français une publicité inespérée, propulsant l’événement bien au-delà du cercle habituel de ses habitués.

Une polémique montée de toutes pièces

Tout avait commencé par une pétition anonyme, relayée par plusieurs élus de gauche d’Ille-et-Vilaine, réclamant l’interdiction pure et simple du banquet, accusé — sans preuve — d’être « une tribune d’extrême droite ».

Sous la pression, le Château des Pères à Piré-Chancé, premier lieu choisi, avait renoncé à accueillir la manifestation, évoquant des menaces reçues par ses employés. Les organisateurs se sont alors repliés sur le château de Blossac, à Goven.

Là encore, treize élus locaux (dont des députés socialistes et écologistes) ont adressé une lettre au préfet pour demander l’interdiction de l’événement. En vain : le bon sens administratif a prévalu, et le banquet a eu lieu, sans incident, sans débordement, sans politique.

Sous un grand chapiteau dressé dans le parc, 800 convives par soir se sont retrouvés autour d’un repas copieux et festif : charcuterie, cochon rôti, vin rouge, chansons françaises et musique bretonne.

Loin des fantasmes médiatiques, aucun discours, aucune revendication, aucun drapeau partisan. Seulement des rires, des chants et le plaisir simple d’être ensemble.

« On est là pour s’amuser, pas pour débattre », expliquait un participant venu du Morbihan.

« Il y a un fossé entre ce que racontent les médias et ce que l’on vit ici », ajoutait un autre. Beaucoup ont d’ailleurs souligné l’absurdité d’une polémique déconnectée du réel : un repas populaire et festif transformé, par quelques militants, en menace pour la République.

Même la presse locale, après avoir largement contribué à entretenir la fausse polémique, a dû se rendre à l’évidence : rien de politique, rien d’extrémiste, simplement une « soirée franchouillarde » où la convivialité l’a emporté sur les caricatures.

Quand la gauche offre la meilleure publicité

Car, paradoxalement, ce sont bien les élus et militants de gauche qui auront fait la promotion la plus efficace du Canon Français.

À force de crier au « danger fasciste », ils auront attisé la curiosité d’un public bien plus large, venu de toute la Bretagne et même des régions voisines pour découvrir par lui-même.

Les places se sont arrachées, les vidéos ont circulé sur les réseaux sociaux, et le Canon Français sort renforcé de cette polémique, plus visible et plus populaire que jamais.

Seul petit bémol relevé par certains observateurs bretons : le côté très “franchouillard” ou folkorique, et moins breton, de la soirée, au cœur même de la Bretagne.

Certes, la présence de musique bretonne et du Gwenn ha Du sur scène rappelait que l’événement se tenait sur une terre d’identité et de culture. Mais le ton général — bérets, marinières, Marseillaise reprise en chœur — sonnait parfois un peu parisien pour un public attaché à son ancrage régional.

Un décalage plus symbolique que grave, mais que beaucoup ont remarqué : la Bretagne n’est pas un simple décor folklorique de la France éternelle, elle est une nation culturelle vivante, avec sa langue et son âme.

Malgré la tempête politico-médiatique, le Canon Français a remporté son pari : rassembler, faire la fête et rappeler que l’amour du terroir n’est pas un crime.

En voulant interdire, la gauche bretonne a surtout montré son intolérance et son mépris des gens ordinaires.

Et à la fin, comme souvent, les cris des militants se sont perdus dans le bruit des chants et des verres qui s’entrechoquent.

Une belle leçon de liberté, et un beau pied de nez à ceux qui confondent culture populaire et meeting politique.

Yann Vallerie, Breizh Info

. France, le grand déclassement : industrie bradée, mise à mort des agriculteurs et fuite des cerveaux

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#webtube : Avec ses 1000 milliards de budget social, record mondial, la France est la championne de l’assistanat et l’Eldorado pour toute la misère du monde. Il va de soi que tout cela a un coût et que nos 3 500 milliards de dettes sont en grande partie la conséquence d’une immigration de masse sous qualifiée, donc peu productive, inadaptée à une économie moderne.

Non seulement Macron a bradé nos pépites industrielles aux prédateurs étrangers, non seulement il met à mort nos agriculteurs en acceptant l’inique traité du Mercosur qui va les livrer à une concurrence déloyale sans précédent, mais le déclassement économique de la France, la fiscalité confiscatoire et l’insécurité exponentielle poussent nos jeunes surdiplômés à fuir vers des cieux plus cléments. Des dizaines de milliers d’entreprises fuient également cet enfer fiscal que nous impose une démentielle politique de gauche qui ne dit pas son nom. Même au RN, c’est un esprit davantage socialo-communiste que libéral qui domine sur les sujets économiques. La France en faillite et de plus en plus soviétisée ne fait plus rêver.

À contrecœur, créateurs de richesses et surdiplômés l’abandonnent. Place à l’assistanat et aux « bac moins 10 ». « Le mérite et la réussite ne passeront pas », telle est la devise des mondialistes et des ayatollahs de la diversité heureuse.

https://ripostelaique.com/le-fossoyeur-de-la-nation-a-brade-1608-entreprises-francaises-en-une-decennie.html

La France a perdu l’essentiel de son outil industriel, alors que l’Allemagne et l’Italie l’ont préservé. L’industrie ne pèse plus que 10 % du PIB, condamnée par une perte de compétitivité aux causes multiples, dont une fiscalité écrasante qui tue l’investissement et l’emploi. Pour ce pouvoir prédateur insatiable, doubler les impôts serait encore insuffisant. Non seulement il nous écrase d’impôts, non seulement il emprunte à tout va, mais les caisses sont vides et plus rien ne fonctionne. Où va l’argent ?

Notre agriculture, longtemps référence mondiale, bascule dans le rouge

En se disant « plutôt positif » sur le traité du Mercosur, après l’avoir jugé « inacceptable » l’an dernier, Macron poignarde nos paysans dans le dos et les livre à la concurrence du Brésil, de l’Argentine, du Paraguay et de l’Uruguay, qui ne respectent aucune de nos normes sanitaires et environnementales imposées par Bruxelles, voire par Paris, qui adore faire du zèle et de la surenchère réglementaire sur le dos des producteurs.

La France a perdu 100 000 exploitations en 15 ans. Il en reste 400 000 qui peinent à survivre face à la concurrence mondiale et au déluge réglementaire incessant.

Après des années de balance commerciale excédentaire de 10 milliards, les exportations se sont effondrées et 2025 pourrait afficher un déficit pour la première fois en près de 50 ans. C’est donc un pilier de notre économie et de notre identité que Macron va achever avec le Mercosur.

L’exil des cerveaux et des entrepreneurs s’accélère.

20 % de nos polytechniciens quittent la France chaque année. La réputation de nos grandes écoles n’étant plus à faire, nos jeunes diplômés n’ont aucune peine à s’expatrier vers des pays dynamiques qui leur offrent des perspectives de carrière et une liberté d’entreprendre que la France leur interdit. Pour 15 000 diplômés de haut niveau, l’avenir se joue ailleurs qu’en France et l’exil est la seule solution. 

Notre pays, phare de l’Europe en 1975, a réussi l’exploit de devenir à la fois le champion de l’assistanat, le pays le plus fiscalisé des 38 membres de l’OCDE et l’ennemi de la réussite sociale.

Avec sa mentalité socialo-communiste gravée dans son ADN, la France n’aime ni les riches, ni les patrons, ni les propriétaires, ni les investisseurs, ni les actionnaires, ni les héritiers, tous bons à être saignés pour financer les milliards de l’assistanat sans limite.

Elle chasse ses cerveaux sans regret mais elle accueille 500 000 immigrés chaque année, issus pour l’essentiel des pays les plus analphabètes du monde, donc les plus pauvres.

“20 pays ont le triste honneur de compter plus de 50 % d’analphabètes dans leur population : l’Afghanistan, le Bénin, le Burkina Faso, la Centrafrique, le Tchad, les Comores, la Côte d’Ivoire, l’Ethiopie, la Gambie, la Guinée Bissau, Haïti, l’Irak, le Liberia, le Mali, la Mauritanie, le Niger, le Sénégal, la Sierra Leone et le Sud Soudan.”

Avec ses 1000 milliards de budget social, record mondial, la France est la championne de l’assistanat et l’Eldorado pour toute la misère du monde. Il va de soi que tout cela a un coût et que nos 3 500 milliards de dettes sont en grande partie la conséquence d’une immigration de masse sous qualifiée, donc peu productive, inadaptée à une économie moderne. Mais n’attendez pas des élus la vérité sur le coût de l’immigration, première cause de notre déclassement.

« Le moindre taux d’emploi des immigrés et descendants d’immigrés représente une perte de PIB de 3,4 % et une perte de recettes fiscales et sociales de 1,5 point de PIB ».

https://observatoire-immigration.fr/limpact-de-limmigration-sur-leconomie-francaise

La France est donc devenue une terre d’émigration pour ses éléments les plus dynamiques, les plus diplômés, les plus entreprenants, ceux qui veulent réussir et préfèrent fuir un pays qui ne reconnait plus le mérite, l’effort et la réussite.

Un tel pays ne peut que décliner, alors qu’il était un modèle du monde occidental il y a un demi-siècle. Et rares sont les politiciens conscients de l’ampleur du désastre, qui va s’amplifier si personne ne s’oppose à la dictature mondialiste et ne libéralise l’économie. N’attendons rien de Marine, dans le domaine économique et fiscal, elle vient de prouver qu’elle est sur la même longueur d’onde que Mélenchon.

Jacques Guillemain, Riposte Laïque

. Toutes les conditions sont réunies pour un nouveau Bataclan

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#webtube : Chaque jour, j’ai l’impression que la violence dans mon pays augmente. Dans la plupart des cas, c’est dû au trafic de drogue. Qui est responsable de ce trafic ? Les trois quarts, pour ne pas dire plus, de ce trafic sont l’œuvre d’Africains désœuvrés qui ont quitté l’école et n’ont aucune formation. D’ailleurs ils ne veulent pas bosser et gagnent beaucoup plus que vous et moi en se spécialisant dans la vente de shit, de cocaïne ou de toutes ces saloperies dont hélas de plus en plus de consommateurs deviennent friands.

Ces personnes ne réfléchissent même pas au fait qu’ils favorisent ce marché parallèle. Parfois, ces dealers consomment également une de ces saloperies qui leur fait perdre tout discernement et commettre des crimes (comme celui dont a été victime Mathis, à Lille), refusant d’obéir aux injonctions de la police, prenant tous les risques afin de ne pas être interpellés !

Malheureusement, en France, nous avons des pouvoirs politiques qui refusent d’intervenir par peur de ce qui pourrait arriver dans les banlieues, créant des scènes d’émeutes risquant de compromettre leurs carrières politiques. Car soyons sérieux, pour les politiques, c’est le seul sujet qui pourrait éventuellement les gêner. Pour le reste, ne vous inquiétez pas pour eux, ils vivent dans de beaux quartiers, à l’abri de tout conflit et ne se déplacent qu’avec leurs gardes du corps. Ils sont à cent lieues des problèmes que vivent les Français logeant dans des cités. Quant à la justice, elle n’a jamais été aussi laxiste. Le meilleur exemple, c’est ce qui vient d’arriver à un couple de Rennes qui possédait une brasserie qu’ils ont été contraints de fermer, après une chute vertigineuse de leur chiffre d’affaires due à la proximité de trois points de deal. Ils ont eu beau se plaindre auprès des élus locaux, rien n’y a fait.

https://www.fdesouche.com/2025/11/08/rennes-35-le-trafic-de-drogue-a-eu-raison-de-notre-brasserie-des-restaurateurs-abandonnes-par-les-pouvoirs-publics-ferment-apres-dix-ans-de-lutte

À 55 et 57 ans, ces restaurateurs ayant cédé aux insultes et aux menaces doivent repartir de zéro. Dans ce quartier livré au trafic et à la peur, La Bonne Adresse a fermé, symbole d’un commerce de proximité que l’État n’a pas su protéger. Et malheureusement, le cas de ces commerçants n’est pas isolé en France. Et pourtant, d’après la Constitution, l’État doit la sécurité à ses ressortissants !

Autre sujet d’inquiétude, ce sont les déclarations du procureur national antiterroriste (PNAT), Olivier Christen, qui évoque une menace qui s’accroît en France. Mais comment pourrait-il en être autrement ? Depuis Charlie, depuis le Bataclan, depuis Nice, qu’ont fait nos politiques pour éviter que cela recommence ? RIEN ! Nos services, et je les félicite, ont déjoué en 2025 nombre d’attentats sur notre territoire, jusqu’au jour où il y aura un trou dans la raquette. « La tendance générale est à une menace qui s’accroît », dit Christen, menace portée par des individus de plus en plus jeunes.

Pendant ce temps-là, la France s’apprête à commémorer les attentats du 13 Novembre 2015.  La menace djihadiste reste la plus importante, à la fois par son volume et par le niveau de préparation des passages à l’acteChristen ajoute : « En 2025, 6 attentats ont également été déjoués sur le territoire. La tendance générale est donc à une menace qui s’accroît. Nous observons depuis maintenant 3 ans une augmentation du nombre de procédures que nous ouvrons et, d’autre part, dans les projets qui sont construits, un aboutissement, un stade de préparation des projets beaucoup plus développé aujourd’hui qu’il y a quelques années. »

Elle se caractérise par des individus qui sont sur le territoire français, ne l’ont jamais quitté et n’ont pas nécessairement de rapports directs avec les organisations terroristes. Ce sont des individus qui vont s’auto-alimenter de propagande et qui, à partir de là, vont envisager un engagement djihadiste, notamment un passage à l’acte en France, conformément aux préconisations des principales organisations terroristes, que ce soit Daech ou Al-Qaïda. « Depuis 4 ou 5 ans, nous observons un très net rajeunissement des personnes qui sont mises en examen, avec plutôt des personnes qui ont moins de 20 ans. Depuis 2023, de façon assez subite, nous constatons un très net rajeunissement, avec désormais beaucoup de mineurs ». Aujourd’hui 42 mineurs sont mis en examen. Ce sont principalement des garçons, beaucoup de profils isolés, souvent en situation d’échec scolaire ou de relative distance par rapport à l’école. Ils vivent sur tout le territoire, et passent beaucoup de temps sur les réseaux.  TikTok ou Telegram ont des algorithmes qui les conduisent assez rapidement – dès lors qu’ils recherchent des contenus liés souvent à l’ultra-violence – vers des sites de nature djihadiste qui parviennent à les convaincre que leur mal-être est dû à la société. Et la réponse est donc d’attaquer la société.

Ce que prônent les organisations terroristes, c’est le passage à l’acte en tout lieu, par tout moyen, sans qu’il soit nécessaire de rechercher à avoir des contacts avec elles. Tout ceci, mes chers amis, me conduit à affirmer que ce que j’ai eu le malheur de vivre avec le Bataclan, il y a de fortes chances que cela risque de recommencer parce que nos dirigeants feignent d’ignorer ce qui est en train de se passer. On peut me traiter de complotiste mais le rapport d’Olivier Christen est malheureusement très clair ! En seulement 48 heures, nous avons eu des femmes qui projetaient un attentat qui ont été incarcérées, et nous avons appris que le fumier d’Abdeslam, bien qu’incarcéré théoriquement à vie avec une peine théoriquement incompressible, avait fomenté un nouvel attentat avec une clé fournie par une pouffiasse qui a le droit de venir le voir en taule, et sans doute davantage !

Et quelle est la réaction des autorités ? Hidalgo la Dingo demande aux Parisiens de déposer des fleurs et des bougies (si je devais me reconvertir, je créerais une fabrique de bougies, il y a de l’avenir !) place de la République en commémoration du 13 Novembre 2015. La grosse lécheuse de babouches Mathilde Panot prône le pardon (ce sera sans moi, car ce qui a été commis est impardonnable), et le gouvernement a lancé une campagne de sensibilisation pour mieux préparer et protéger les citoyens face à la menace terroriste (en d’autres termes démerdez-vous !) en quatre instructions : s’échapper, se cacher, alerter et résister.

Ben voyons, comment résister après que Moussa Darmanin a tout fait pour désarmer les Français ? Ils nous prennent vraiment pour des cons !

Patrick Jardin, Riposte Laïque

. La chanson du jour, Paul McCartney – I Want To Come Home

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#webtube : “I Want To Come Home” est l’une des ballades les plus tendres et introspectives de Paul McCartney. Composée pour le film Everybody’s Fine, la chanson capture avec finesse ce moment de fragilité où le besoin de revenir vers ceux que l’on aime devient une évidence. La voix de McCartney, à la fois douce et chargée d’émotion, se mêle à un arrangement sobre qui laisse toute la place au sentiment de nostalgie et de retour aux sources. Une pièce lumineuse, délicate, et profondément humaine, qui rappelle la force tranquille de McCartney lorsqu’il s’agit d’écrire des mélodies qui touchent au cœur.

#webtube : “I Want To Come Home” is one of Paul McCartney’s most tender and introspective ballads. Written for the film Everybody’s Fine, the song beautifully captures that fragile moment when the need to return to the people we love becomes undeniable. McCartney’s voice, gentle yet full of emotion, blends with a subtle arrangement that leaves room for nostalgia and a longing for home. It is a luminous, delicate, and deeply human piece that showcases McCartney’s quiet strength as a songwriter capable of crafting melodies that go straight to the heart.

Source : Youtube – Madim67

. Stéphane Ravier : ATTENTAT d’Oléron, CENSURE du film « Sacré cœur », l’ALGÉRIE, le Louvre, Nuñez..

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#webtube : Une verve et un humour toujours appréciable alors que notre humeur est plutôt à pleurer…

Source : Youtube – Boulevard Voltaire

. Macron, le visage du chaos ? – Ghislain Benhessa dans Le Samedi Politique

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#webtube : La France s’enlise. Blocages institutionnels, libertés en recul, censure rampante : le pays semble à l’arrêt. Englué dans un budget impossible et une majorité introuvable, Emmanuel Macron s’enferme dans une gestion autoritaire du pouvoir. Manipulation, verrouillage médiatique, dérive européenne… Le chef de l’État dévoile peu à peu le vrai visage du chaos.

Dans ce nouveau « Samedi Politique », Élise Blaise reçoit Ghislain Benhessa, avocat, docteur en droit public et auteur de « On marche sur la tête ! La France, l’UE et les mensonges » (éditions de l’Artilleur, coécrit avec Guillaume Bigot). 📚 Le livre de Ghislain Benhessa et Guillaume Bigot est disponible ici ➡️ https://boutiquetvl.fr/tous-les-livre…. Ghislain Benhessa évoque le budget Frankenstein qui enchaîne les contradictions et témoigne des mensonges multiples des politiques à la population qui conduisent à une défiance grandissante. Il décrit aussi les mécanismes de manipulation du droit, faisant systématiquement avorter les avancées et mesures souhaitées par les populations. L’émission est aussi l’occasion d’évoquer le gouvernement par la peur : la peur des politiques à l’égard des peuples qu’ils méprisent et la peur des Français à qui l’on agite en permanence des dangers illusoires ou fabriqués pour détourner l’attention. Notre invité rappelle ainsi combien cette peur conduit à un raidissement, un durcissement du pouvoir post-démocratique pour ne pas dire pire et revient sur l’accusation parfois trop rapide et simpliste quant à la responsabilité de l’Union européenne. Un exposé éclairant d’une sombre situation.

Source : Youtube – TVL

. COP30 : Le monde s’en fiche mais l’Europe elle se SACRIFIE pour le climat !

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#webtube : Peut-être que le changement climatique existe…. mais nos gouvernants l’ont transformé en une immense escroquerie….

Source : Youtube – Aldo Sterone

. « Populicide », de Philippe de Villiers : un livre testament qui fait du bien

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#webtube : Philippe de Villiers a qualifié « Populicide » de « livre-testament ». Il a trempé sa plume dans du vitriol. Son livre est un coup de gueule salutaire ; il fait souffrir le lecteur mais, au final, il lui fait du bien. C’est un régal ! Si vous êtes patriote, conservateur, souverainiste, nationaliste… bref si vous appartenez à une droite « patriote et sociale », achetez ce livre, vous ne serez pas déçu.

« Nous autres, civilisations, nous savons maintenant que nous sommes mortelles » (Paul Valéry)

Il n’est pas dans mes habitudes de recommander un livre à mes lecteurs habituels. D’ailleurs, quelle compétence, quelle légitimité, aurais-je pour le faire ? Je critique régulièrement les cuistres qui, lors d’ennuyeux dîners mondains, savent si bien nous parler des derniers prix littéraires dont ils n’ont lu que la critique dans leur journal. Les livres sont comme les bons vins ; ils dépendent des goûts de chacun. On peut, en revanche, regretter que l’écrit, notre belle langue, ait tendance à disparaître au profit du « franglais », du dialecte des banlieues ou de la langue de bois des technocrates. Certains auteurs « s’écoutent écrire » comme Macron s’écoute parler (de lui de préférence). Leurs livres me tombent généralement des mains avant la quarantième page et je les abandonne ; c’est un critère de choix qui en vaut un autre. Un bon livre, qu’il soit historique, technique ou politique, doit se lire comme un roman ; il doit couler tout seul et accrocher son lecteur jusqu’à la dernière page. Quand je lis un beau texte, je me dis que j’aimerais être capable d’écrire la même chose. J’écris comme je parle, c’est-à-dire mal, mais je me délecte avec un bon livre.

Aujourd’hui, si notre langue souffre, elle le doit à nos dirigeants. Quand Macron ouvre un sommet de la Francophonie en faisant un discours… en anglais, c’est une façon d’afficher son mépris pour la France et pour les cours inculqués par sa « maîtresse » quand il était jeune potache à Amiens.

Je crains que le Smartphone ne soit une arme de destruction massive de notre langue, mais son sabordage a commencé il y a bien longtemps, avec la télévision, puis avec le délitement scolaire d’après mai 1968. On dit que les Français lisent, en moyenne, un bouquin par an. Si c’est vrai, c’est catastrophique. Pour ma part, je dévore une centaine de bouquins par an. Ceci ne fait pas de moi quelqu’un de cultivé. Disons que j’essaie simplement de ne pas mourir trop idiot. Certains de mes concitoyens vont chercher leur sous-culture en quelques clics sur « Wikipédia », l’encyclopédie pour les nuls. Ensuite, comme « la culture c’est comme la confiture ; moins on en a, plus on l’étale », ils inondent les réseaux « asociaux » de leurs idées prémâchées. Ils sont culturellement narcissiques et n’éprouvent aucune gêne, aucune pudeur, à se théâtraliser devant leur Smartphone pour enfiler des perles, des lieux communs ou carrément des inepties. C’est assez affligeant !

Si notre pays n’était pas décadent ; si notre Éducation – dite « nationale » on se demande pourquoi ? – n’était pas gangrenée par des syndicats de gauche ; si nos dirigeants politiques avaient encore un minimum de patriotisme ; si nous n’étions pas totalement soumis, inféodés, aux diktats et aux oukases de Bruxelles ; si nous avions encore une légitime fierté nationale, certains livres feraient partie des programmes scolaires, pour que les jeunes générations comprennent d’où nous venons et pourquoi, sans un sursaut salutaire, notre civilisation peut disparaître (ou va disparaître ?). Je pense, en premier lieu,  à « L’histoire de France » de Jacques Bainville et à « Mes idées politiques » de Charles Maurras. Mais également à des ouvrages contemporains comme « La cause du Peuple » de Patrick Buisson, « Le suicide français » et « Destin français » d’Éric Zemmour, « L’âme française » de Denis Tilliniac, « Le choc des civilisations » de Samuel Huntington, « Comment les démocraties finissent » de Jean-François Revel, etc. Ma liste n’est, bien sûr, pas exhaustive. Les programmes scolaires devraient aussi étudier les travaux philosophiques de Gustave Thibon et de Simone Weil. Au plan purement littéraire, on devrait étudier Hélie de Saint-Marc, Jean Raspail, Georges Simenon – car les romans de Simenon sont des études de mœurs qui valent bien celles de Balzac ou de Zola – ou encore Frédéric Dard, car le père du fameux commissaire San-Antonio a commis quelques romans fort bien écrits. Là encore, rien d’exhaustif, ce ne sont que des exemples.

Et il serait assez logique qu’on inscrive au programme des classes terminales quelques livres de Philippe de Villiers, qui est une belle intelligence doublée d’une immense culture générale. J’ai lu presque tous ses livres avec le même plaisir, les romans historiques comme les ouvrages politiques.

Parmi ses histoires romancées, mes préférées sont « Le roman de Charette », qui raconte la vie du chef chouan François Athanase Charette de la Contrie, et « La valse de l’adieu ». Jusqu’alors, il m’était difficile de hiérarchiser ses livres politiques mais aujourd’hui, je pense que « Populicide » qui vient de sortir, est le meilleur.  C’est l’aboutissement des combats d’une vie bien remplie.                                                                                                                                                          

Le mot « populicide » n’a pas été inventé par Philippe de Villiers. Il date de la Révolution. Le mot apparaît en décembre 1792 lors du procès du Roi Louis XVI, prononcé par Alexandre Deleyre, député de la Gironde : « Louis est coupable ; et de quel crime ? D’un populicide ». Le mot est à nouveau employé en 1794 sous la plume du révolutionnaire Gracchus Babeuf qui l’utilise dans son pamphlet « Du système de dépopulation ou la vie et les crimes de Carrier ». Par ce terme, Babeuf qualifie les exterminations commises par Jean-Baptiste Carrier, envoyé de la Convention à Nantes, ainsi que par les « colonnes infernales » du général Turreau pendant la guerre de Vendée, qui ont massacré les populations de l’Ouest de la France. Puis le mot tombe dans l’oubli. Il réapparait à la fin du XXe siècle, l’année du bicentenaire de la Révolution, lors de débats autour du génocide vendéen. Il est ensuite repris par Reynald Secher pour décrire les pages tragiques de notre histoire qu’ont été la Révolution, la Terreur et les massacres de Vendée et de Bretagne.

Philippe de Villiers a bien choisi son titre : Étymologiquement, un « homicide » désigne la mort d’un homme ; un « populicide », désigne la mort d’un peuple et c’est bien de cela qu’il s’agit.

En 380 pages, fort bien écrites et très documentées, Philippe de Villiers nous relate les différentes étapes – qu’il a vécues – de la  descente aux enfers de la France livrée aux technocrates européistes et mondialistes. C’est une analyse sévère, sans concession, et un plaidoyer magistral !

Philippe de Villiers a qualifié « Populicide » de « livre-testament ». Il a trempé sa plume dans du vitriol. Son livre est un coup de gueule salutaire ; il fait souffrir le lecteur mais, au final, il lui fait du bien. C’est un régal ! Si vous êtes patriote, conservateur, souverainiste, nationaliste… bref si vous appartenez à une droite « patriote et sociale », achetez ce livre, vous ne serez pas déçu.

Eric de Verdelhan, Riposte Laïque

. À New York, l’exode des Américains a commencé

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#webtube : Zohran Kwani Mamdani prendra officiellement ses fonctions à la mairie de New York le premier janvier 2026. Mais déjà, la ville a commencé à se vider de ses forces vives. Et l’hémorragie économique et financière ne fait que commencer.

D’après une étude de J.L. Partners repris par de nombreux médias américains, environ 10 % des huit millions et demi d’habitants de la Grosse Pomme, déclarent avoir décidé de déménager. Très vite et définitivement. Redoutant la valse des taxes et les effets économiques délétères du programme de Mamdani. Un islamo-socialiste, ça fait peur !

En outre, plus de deux millions de personnes songent sérieusement à quitter cette ville tombée entre les mains d’un ennemi de l’Amérique comme l’appelle Donald Trump. Cela pourrait devenir le plus grand exode de l’histoire américaine. Davantage de déplacés volontaires en quelques mois que lors de la ruée vers l’or en 1848 ou la Grande Crise de 1929.

Et ce ne sont pas les chauffeurs de taxi pakistanais, militants de choc de Mamdani, qui vont redresser la situation.

Par ignorance ou parti pris, nos médias menteurs parlent toujours des chauffeurs indiens des yellow cabs. Ces taxis jaunes devenus un emblème de la ville, comme les twin towers avant le 11 septembre 2001.

On compte 15.000 taxis officiels, 40.000 VTC, et autant de clandestins, soit 110.000 véhicules de transport de personnes. Avec au moins trois chauffeurs par véhicule. Soit à la louche dans les 330.000 personnes qui se relaient au volant selon la formules des 3×8, dimanches compris. Aux USA, on ne laisse pas dormir l’outil de travail.

Le profilage dans un pays où les statistiques ethniques sont licites a été réévalué pour le Patriot Act après le 11 septembre. Le FBI décompte 18 % d’Afro-Américains, 8 % de Latinos et 4 % d’Asiatiques, pour la plupart des Viets. Reste 70 % issus du sous-continent indien. 1/10 sont des Sikhs ou Hindous et 9/10 des Pakistanais ou des Indiens musulmans. Soit plus de 200.000 mahométans. Avec leurs familles nombreuses et tous les réfugiés qui ont fui la charia chez eux pour l’importer aux USA.

Certains taxis auraient servi de paravent pour masquer des dons déguisés au candidat, et véhiculé leurs coreligionnaires jusqu’aux bureaux de vote où, dit-on, ils leur auraient plus ou moins tenu la main. Des rumeurs qui le resteront car ces gens là répugnent à s’épancher auprès des koufars. En tout cas, en soutenant Mamdani avec ferveur, Barack Hussein Obama ne triche plus sur sa religion.

Le démagogue Mamdani a fédéré un vote identitaire forgé dans la haine d’Israël et le fanatisme religieux. La gestion de la mégalopole pourrait être un tremplin vers la Maison-Blanche si les Démocrates reviennent et favorisent à nouveau le tsunami coranique.

Pour ses coreligionnaires impécunieux, peu importe qu’il soit né en Ouganda et issu d’une famille riche. Pour ses supporters qui lui prêtent mille talents, peu importe qu’il ait abandonné ses études de sciences pour se rabattre sur l’histoire des Afro-Américains. Une discipline qui attire tous les branleurs gauchistes, comme la sociologie en France.

L’instinct grégaire soude l’oumma, qui se croit en guerre perpétuelle contre les infidèles. Leur conquête des grandes villes américaines et européennes n’est qu’un début. Favorisée par des politiques suicidaires menées par des élites corrompues et droguées jusqu’à la moelle des os. Préparant des avancées islamiques encore plus importantes dans les années à venir.

Les prédictions de Michel Houellebecq dans Soumission sont plus réalistes que les Centuries de Nostradamus. On y voit un islamiste d’apparence fréquentable prendre le pouvoir démocratiquement, en panachant la loi du nombre avec les sordides manœuvres politiciennes des partis qui jouent contre la France. Pour ensuite instaurer la charia. Offrant des avantages substantiels ou infligeant des brimades répétées selon qu’on accepte ou pas de se convertir.

Les progressistes applaudissent des deux mains, voyant dans la conquête de la Grosse Pomme par les mahométans une revanche contre Trump.

En Amérique, comme en France, les gens de gauche sont tellement nuls et détestent tellement leur pays qu’ils sont prêts à le trahir et se vendre à une culture étrangère destructrice pour venir à bout de leurs adversaires. Sans réaliser qu’en cas de succès de leur félonie, ces supplétifs seront balayés par les vainqueurs. À moins qu’ils ne se convertissent. Il y a toujours des places à prendre pour des janissaires et des eunuques.

Dans l’entourage de Mamdani, on taquine la taqîya en édulcorant sans les condamner les propos des terroristes du Hamas qu’il ne faudrait pas prendre au pied de la lettre : « Allah est notre maître, le Prophète notre modèle, le Coran notre constitution. Le jihad est notre chemin et la mort pour l’amour d’Allah est le plus élevé de nos souhaits. »

Des grandes entreprises ont commencé à quitter New York dès que des projections par quartiers, en fonction de leur composition religieuse, ont anticipé la victoire de Zohran.

L’histoire de l’Inde depuis 1400 ans est une illustration tragique de ce qui est arrivé, chaque fois au cours de l’histoire, lorsque les soldats d’Allah se sont emparés, par la force ou par la ruse, d’une ville ou d’une contrée. Le territoire occupé est devenu une zone stérile et désolée.

Soit ils pillaient les vaincus, comme Mamdani a prévu de le faire avec une hausse faramineuse des impôts et des taxes sur les plus riches, au nom d’une justice sociale dont il y a fort à parier que les pauvres ne verront jamais la couleur. Soit ils s’emparaient de leurs terres, ateliers et commerces, faisant des paysans, des artisans, des architectes, des savants et des artistes leurs larbins, sinon leurs esclaves.

Anticipant ces mauvaises manières, des entrepreneurs, des investisseurs et des inventeurs qui n’ont pas envie d’être dépouillés filent ailleurs, le plus loin possible. De grandes entreprises financières ont commencé à déplacer leurs activités au Texas et particulièrement à Dallas qui compte déjà plus d’emplois dans la finance que New York.

Ainsi Goldman Sachs y a construit un complexe de 80.000 m2 pour 500 millions de dollars, tandis que JPMorgan Chase emploie désormais 31.000 personnes au Texas, contre 24.000 à New York. D’autres sociétés en pointe dans les nouvelles technologies ont commencé un transfert en Floride. Pas en Californie gangrenée par des hurluberlus gauchistes milliardaires.

Selon James Johnson, un analyste cité par le New York Post, si les intentions des personnes interrogées se concrétisent, l’impact économique produira un véritable séisme.

En effet, les New-Yorkais âgés de 50 à 64 ans occupant des positions importantes dans le management sont les plus enclins à préparer leur départ. Parmi eux, les habitants patriotes et trumpistes de Staten Island, où les foyers déclarant plus de 250.000 dollars par an sont majoritaires.

Toledano, le PDG du groupe immobilier BH à Miami, affirme qu’il a signé plus de 100 millions de dollars de contrats avec des acheteurs venus de New York au cours de ces derniers mois, soit le double de l’année précédente. Selon lui, « l’élection a accéléré les décisions d’achat. Les acquéreurs new-yorkais sont prêts à investir rapidement pour sécuriser une résidence dans un État plus stable. »

150.000 New-Yorkais ont déjà quitté une ville qui ne leur appartient plus pour la Floride, emportant avec eux 14 milliards de dollars de revenus selon la Citizens Budget Commission. Miami et West Palm Beach ont surpassé New York en matière de croissance et de nombre de millionnaires. Et ce n’est qu’un début. Les mahométans ont gagné une belle boîte. Mais quand ils l’ouvriront, elle sera vide.

Christian Navis, Riposte Laïque