. Bretagne : graves menaces, la Fête du Cochon du Parti de la France annulée


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#webtube : Suite à de graves menaces et pressions dont ont été l’objet les propriétaires des lieux qui accueillent chaque année la Fête du Cochon du PdF Bretagne à Treffendel, nous sommes dans l’obligation d’annuler cet événement.

Ces intimidations ont eu lieu immédiatement après la parution d’un article dans Ouest-France où la députée LFI de la circonscription, Mathilde Hignet, une sorte de sous-Mathilde Panot, a qualifié notre fête de « tribune de l’idéologie raciste ». L’élue d’extrême-gauche a réclamé l’interdiction de ce rassemblement alors qu’il avait lieu dans une propriété privée. Ce n’est évidemment que partie remise et la Fête du Cochon du Parti de la France reviendra très prochainement en Bretagne.

Thomas Joly, Riposte Laïque

. Défilé de Londres : le refus d’un peuple de disparaitre sous le tsunami migratoire


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#webtube : C’est une gigantesque démonstration de force qu’on a pu voir à Londres, lors du défilé contre une immigration de masse que le peuple britannique ne supporte plus. Un formidable désaveu de la politique de Starmer, mais aussi un message à tous les dirigeants européens qui imposent leur politique mondialiste dévastatrice à leurs peuples qui la rejettent. C’est un vent de liberté qui souffle dans une Europe toujours plus antidémocratique.

Combien étaient-ils ? Assurément bien davantage que les 150 000 participants annoncés dans les médias. Plus d’un million selon les organisateurs. Il suffit de regarder les prises de vues aériennes pour mesurer la densité des cortèges. C’est une marée de drapeaux anglais et britanniques qu’on a pu voir s’agiter à perte de vue, au milieu des slogans « Unir le royaume » ou « Remigration », « Stop the invasion » ou « Nous voulons reprendre notre pays ».

Toute cette foule de patriotes, que le pouvoir et les médias nomment honteusement militants d’extrême droite, s’était rassemblée à l’initiative de Tommy Robinson, le défenseur de la liberté d’expression, catalogué par la dictature mondialiste comme agitateur fasciste attisant la haine des musulmans.

Mais en réalité ce défilé, c’est l’image de la grande Angleterre qui refuse de mourir, c’est l’Angleterre de la reine Victoria, qui se souvient qu’elle a régné sur le monde comme aucun autre empire avant elle. Comment un tel peuple pourrait-il accepter de disparaître, sous les diktats de dirigeants qui ont oublié d’où ils viennent et qui crachent sur l’héritage légué par leurs aînés ? Tommy Robinson se rebelle contre un pouvoir qui trahit le peuple.

S’adressant à la foule, il est revenu sur l’attentat qui a frappé Charlie Kirk :

« Charlie  a payé de sa vie notre combat. Nous ne nous tairons plus. »

Pour nous Français, les Britanniques viennent de nous donner une magnifique leçon de courage et de patriotisme. Ce défilé, c’est l’amour et la fierté de tout un peuple pour ce qu’il est, pour son histoire millénaire, un patrimoine d’exception qui mérite une destinée autrement plus noble que de disparaître misérablement dans le tourbillon mondialiste.

Certes, depuis la guerre de Cent Ans nous avons partagé avec les Anglais une histoire commune plus que mouvementée, faite de guerres ou d’alliances de circonstance. Mais dans les moments les plus tragiques, nous avons combattu côte à côte contre l’ennemi commun : l’Allemagne.

C’est pour cela que Zemmour, invité par Tommy Robinson, a su trouver les mots justes. Longuement acclamé quand il est monté sur scène, il a rappelé :

« Vous et nous ne voulons pas disparaître. Lorsque le général de Gaulle, notre grand homme que vous avez accueilli ici, s’est adressé à la jeunesse allemande, quelques années seulement après la Guerre mondiale, il leur a dit : « Nous avions jadis le devoir de nous affronter, nous avons aujourd’hui le droit de nous aimer ». Je vous dirai la même chose : nous avons le devoir de nous battre ensemble. »

De son côté, Elon Musk, s’est adressé aux manifestants par liaison vidéo :

« C’est impossible ! On n’a pas quatre ans de plus. Il faut faire quelque chose. Il faut dissoudre le Parlement et organiser un nouveau vote. »

Ce défilé est bien davantage qu’une simple manifestation politique, bien plus qu’une marche pour la liberté. C’est une grand-messe pour la survie d’une nation millénaire, trahie par ses élites. Au niveau européen, c’est une marche pour le sauvetage de notre civilisation.

En face, 5000 militants de l’antiracisme ont tenté de perturber le défilé au cri de « Refugees are welcome ». Mais en vain. Taxer les patriotes de racisme et de xénophobie, cela ne fonctionne plus.

1800 policiers ont encadré la manifestation, procédant à une poignée d’interpellations. Mais au vu de l’immensité de la foule et du déroulement pacifique du défilé, il est indéniable que Tommy Robinson a réussi sa démonstration de force vis-à-vis du gouvernement Starmer.

Plus personne n’interdira au peuple anglais de manifester sa colère.

À quand une grande marche à Paris pour dire non à Macron et aux fossoyeurs de la France, qui gouvernent obstinément contre le peuple, opposé à 80 % à toute immigration supplémentaire ?

Après le référendum sur ce thème initié par Philippe de Villiers, il est temps que le peuple français manifeste lui aussi son refus de disparaître. Dans toute l’Europe, les peuples grondent.

Que les dirigeants mondialistes qui détruisent aujourd’hui l’Europe ne se fassent aucune illusion. Ce sont les peuples qui finissent toujours par gagner, car non seulement ces derniers ont toujours raison, mais la mondialisation est une politique contre nature, niant les identités et les cultures millénaires. Une trahison des élites qui n’a aucune chance d’atteindre son funeste objectif d’anéantissement des nations. La marche de Londres, c’est le réveil des peuples d’Europe face à la dictature mondialiste.

Car dans cette Europe qui se veut le berceau des libertés et des droits de l’homme, on peut vous mettre en prison pour avoir dit la vérité, pour peu que celle-ci s’écarte du chemin bien balisé de la dictature bien-pensante. Tommy Robinson en a fait la cruelle expérience.

(inspiré du JDD)

Jacques Guillemain, Riposte Laïque

. Gigantesque marche de Tommy Robinson à Londres : 110.000 âmes pour la liberté


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#webtube : À Londres, marée humaine pour dire « oui » à la liberté d’expression et « non » à l’immigration. BV était sur place. Un tsunami de drapeaux britanniques a inondé les rues de Londres. Ce samedi 13 septembre 2025, à l’appel de Tommy Robinson, Londres s’est embrasée sous des slogans tels que « Unite Kingdom » (« Unis-toi, royaume », en français) ou « Make England Great Again » (« Rendre sa grandeur à l’Angleterre », dans la langue de Molière). Réunissant, selon les estimations policières, 110.000 personnes, la manifestation est l’une des plus imposantes de l’histoire récente du Royaume-Uni.

Pari réussi pour Tommy Robinson, de son vrai nom Stephen Yaxley-Lennon, figure emblématique de la droite nationale britannique et fondateur de l’English Defence League, qui a présenté l’événement comme « la plus grande marche pour la liberté d’expression ». Venus de tout le pays, les participants ont pacifiquement défilé de Russell Square vers Whitehall, le cœur du pouvoir londonien, brandissant des pancartes « Free Speech Now » et « Stop the Boats ».

« Nous voudrions retrouver notre pays ! »

Les préparatifs, visibles dès la veille, laissaient présager une mobilisation exceptionnelle. Dès vendredi soir, une veillée en l’honneur de Charlie Kirk a réuni des centaines de personnes devant les tribunes en cours d’installation. Des Anglaises, la voix tremblante d’émotion, confiaient : « Nous voudrions retrouver notre pays ! Nous croyons en une société chrétienne, que nous soyons religieux ou pas. »

Parmi la foule, des témoignages saisissants émergent, comme celui de Leslie, venue de Rotherham : « Tommy Robinson a fait un travail extraordinaire pour informer sur les grooming gangs ! » Elle évoque les 1.400 adolescentes violées par des bandes d’origine pakistanaise dans sa ville, un scandale que Robinson a été l’un des premiers à dénoncer, au prix de sa liberté.

Le cortège, parti à 11 heures de Russell Square, a submergé le pont de Westminster Bridge, formant une chaîne humaine interminable. Des drapeaux gallois et écossais côtoient les Union Jack, signe d’une union nationale face à un gouvernement perçu comme laxiste.

À ce sujet — Le Parlement européen refuse un hommage à Charlie Kirk

Demain la France ?

Éric Zemmour était le seul président de parti français sur place, mais pas le seul Français. Bruno, Franco-Britannique, résume : « L’immigration illégale apporte son flot de criminels. Nous sommes pour les migrants mais pas ceux qui importent leurs problèmes. »

Parallèlement au grand rassemblement de Robinson, une contre-manifestation, quoique bruyante avec ses slogans « Bienvenue aux réfugiés », a peiné à rivaliser en nombre – preuve que le vent tourne. À Whitehall, face au siège de Scotland Yard, les tensions ont été palpables : la police, accusée de partialité, est huée pour ses interventions musclées contre les patriotes ou dans sa gestion de l’affaire des grooming gangs. Définitivement, ce 13 septembre marque un tournant, pour la Grande-Bretagne.

Julien Tellier, dans BV

. Policier massacré par une horde sauvage : il est vital de réformer la Constitution


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#webtube : Sans révision constitutionnelle, les peines plancher sont non contraignantes pour les juges, donc non dissuasives pour les criminels.

Darmanin nous ressert les « peines minimales », sachant très bien qu’elles sont inapplicables sans révision de la Constitution, laquelle consacre le pouvoir exorbitant des juges.

Mais il voit bien que les Français réclament de l’autorité et constate que Retailleau et son discours musclé plaisent au peuple. Par conséquent, il joue la carte de la fermeté alors que le bilan de la Justice depuis 40 ans est un véritable naufrage.

Assez de manifestations hypocrites de la part d’une classe politique aussi désemparée que lâche, qui n’agit qu’en paroles à chaque agression contre un policier ou autre représentant de l’État. Depuis les années 1960, la criminalité a été multipliée par 5 mais rien n’a bougé pour restaurer la sécurité, ce droit élémentaire des citoyens.

La réponse pénale se limite aux bla-bla sans lendemain, aux marches blanches, aux fleurs et aux bougies. C’est la débandade du système judiciaire d’une France à l’abandon, incapable de protéger ses forces de l’ordre, ses pompiers, ses soignants, ses enseignants, ainsi que toute sa population, livrée à la violence de rue.

Depuis Charles Pasqua, j’entends dire que « force est restée à la loi », mais c’est faux. Jamais les racailles n’ont été autant assurées de l’impunité. La plupart des délits sont sanctionnés par un simple rappel à la loi, tandis que nos magistrats nient le laxisme de la justice.

Le discours de Dupond-Moretti illustre à lui seul l’effondrement de l’autorité républicaine. La France est de loin le pays le plus dangereux d’Europe, mais la criminalité n’augmente pas selon l’ex-garde des Sceaux.

– Depuis 40 ans, aucun gouvernement ne veut réformer la justice pour mineurs

– Depuis 40 ans, aucun gouvernement ne veut construire des prisons en nombre suffisant

– Depuis 40 ans, plus aucun juge n’applique le Code pénal, qui pourtant répond parfaitement à l’insécurité

– Depuis 40 ans c’est  la compassion à l’égard des voyous qui prévaut, au détriment des victimes

– Depuis 40 ans, la réinsertion des malfrats prime sur le risque de récidive encouru par les citoyens

Les peines plancher, cela existe depuis 1789, selon le criminologue Alain Bauer. Mais elles n’ont jamais été appliquées par les juges, qui ont toujours abusé des « circonstances atténuantes » et du « sursis » pour s’en affranchir, supprimant ainsi le caractère dissuasif des peines minimales.

On se souvient que Nicolas Sarkozy avait réintroduit, à grand renfort de publicité, les peines plancher. Très peu appliquées, celles-ci furent supprimées par François Hollande ! Car ces peines plancher, réservées aux récidivistes, n’ont jamais eu de caractère automatique, les juges conservant leur pouvoir de décision pour s’en affranchir. Autant dire que Sarkozy, avec sa mesure emblématique mais non contraignante, avait fait un flop.

Et c’est exactement ce que nous revend Darmanin, sous le nom de « peines minimales ». Mais le ministre évacue un peu vite le Conseil constitutionnel, qui a consacré en 2005 « le principe de l’individualisation des peines ».

En clair, les juges conservent leur pouvoir de décision, car il n’est pas question de chausser tous les criminels avec la même pointure !

Conclusion : les peines plancher contraignantes ne peuvent s’envisager qu’après une réforme constitutionnelle.

Les seules instances qui parlent vrai depuis des années sont les syndicats de police :

« Ce n’est pas un dérapage, c’est un symptôme : la violence contre les forces de l’ordre prospère parce que l’impunité est désormais enracinée », a réagi dans un communiqué le syndicat de police Alliance.

Mais côté politique, on en reste aux postures incantatoires :

Ainsi le sénateur des Bouches-du-Rhône, Stéphane Le Rudulier a expliqué sur X : « Les peines minimales sont la seule manière d’assurer une réponse pénale ferme et dissuasive. Le message à envoyer aux délinquants est clair : agresser un policier, un pompier, un soignant, c’est avoir la certitude d’avoir une peine sévère. »

Le peuple en est largement convaincu. Y compris à gauche, où 66 % des sondés réclament de la fermeté. Mais il est probable que la loi annonçant la réforme du Code pénal sera retoquée par le Conseil constitutionnel.

L’urgence, c’est donc de convaincre les 2/3 du Congrès pour modifier la Constitution afin d’imposer les peines plancher automatiques aux juges.

Qui en aura le courage ?

Enfin, ajoutons que toute loi durcissant la justice des mineurs devra également passer par une révision constitutionnelle, afin de contourner les « sages », qui ont perdu toute notion de bien commun et qui ont oublié que leur devoir premier est de servir le peuple souverain et non pas d’asseoir toujours plus leur pouvoir face au Parlement.

Jacques Guillemain, Riposte Laïque