. Alarmisme climatique : les 8 étapes de l’hystérie expliquées

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#webtube : Connaissez-vous les étapes du changement selon John Kotter ? Cette théorie managériale s’applique parfaitement à toutes les manœuvres politiques liées au changement climatique. En appliquant son modèle aux décisions de la caste au pouvoir liées à cet alarmisme climatique, vous allez tout comprendre sur ce qu’il se passe actuellement. Ne vous laissez pas berner.  

Que vous soyez climatosceptique ou fervent croyant du changement climatique, venez le 15 novembre au Forum de la dissidence, où nous discuterons de la question environnementale afin d’éviter un totalitarisme qui menacerait nos libertés individuelles : https://my.weezevent.com/forum-alarmisme-climatique.

Première étape : créer un sentiment d’urgence

Les acteurs de l’alarmisme ont construit, dès les années 1980, une narration de crise existentielle :
« L’humanité est en danger », « la planète brûle », « il ne reste que dix ans ».

En stratégie du changement, cette étape vise à provoquer une réaction émotionnelle collective (peur, panique, culpabilité) pour forcer la mobilisation.

  • Diffusion d’images de catastrophes naturelles ;
  • Répétition des échéances (« 2020 », « 2030 », « 2050 ») ;
  • Assimilation du scepticisme à une irresponsabilité morale.

Résultat : un état d’urgence permanent qui justifie l’action politique radicale et empêche le débat contradictoire.

Deuxième étape : former une coalition dirigeante

Les institutions internationales, grandes ONG et leaders politiques se sont unis autour de la cause climatique :
ONU, GIEC, Union européenne, grandes multinationales, médias, influenceurs « verts »…

Cette coalition a unifié le discours et marginalisé les voix dissidentes.
Elle donne au récit climatique une légitimité institutionnelle et morale, s’appuyant sur la science officielle et la vertu politique.

C’est une coalition d’influence, non une coalition démocratique.
Le pouvoir symbolique et économique s’enracine dans la « bonne cause ».

Troisième étape : développer une vision et une stratégie

Une fois l’urgence et la coalition installées, on formalise une vision du futur :

  • Une planète « neutre en carbone » ;
  • Une économie « verte » et « durable » ;
  • Une humanité « responsable » (souvent au prix de restrictions).

Cette vision s’accompagne d’une stratégie prescriptive :

  • Taxation, surveillance énergétique, limitation des libertés, contrôle des comportements individuels.

Sous couvert de sauver la planète, on structure un projet de transformation sociale et politique global dont la finalité réelle peut être le contrôle plutôt que la protection.

Quatrième étape : communiquer la vision du changement

La « vision verte » est relayée massivement :
médias, réseaux sociaux, cinéma, école, publicité, institutions publiques.

L’image du « sauveur de la planète » devient une norme sociale et morale.
Les messages sont simples, répétitifs, émotionnels :
« Chaque geste compte », « Sauvez la Terre », « Il n’y a pas de planète B ».

Les figures médiatiques (Greta Thunberg, Leonardo DiCaprio, etc.) incarnent le récit.
La répétition constante transforme l’opinion publique en consensus apparent : le doute devient marginalisé, voire interdit.
L’objectif n’est plus la compréhension, mais la conversion.

Cinquième étape : lever les obstacles

Une fois la vision imposée, il faut neutraliser les voix dissidentes :

  • Marginalisation des climatosceptiques, assimilés à des complotistes ou ennemis de la science ;
  • Pression académique et médiatique ;
  • Censure indirecte via les plateformes ou les financements.

L’obstacle principal n’est plus technique mais idéologique : ceux qui doutent.
Le débat scientifique est remplacé par une morale obligatoire.
La peur devient une arme de contrôle social, la bonne conscience écologique un filtre de légitimité.

Sixième étape : générer des victoires à court terme

Les gouvernements et ONG mettent en avant des succès symboliques :

  • Fermeture de centrales à charbon ;
  • Interdiction des pailles en plastique ;
  • Accords internationaux (COP, Accords de Paris) ;
  • Campagnes de reboisement médiatisées.

Ces victoires, souvent médiatiques, entretiennent la narration du progrès :
« Nous avançons », « Le monde se mobilise ».

Elles maintiennent la mobilisation émotionnelle et font taire la fatigue ou le doute.

Septième étape : consolider les gains et produire plus de changement

Une fois la population sensibilisée et les victoires célébrées, le système se renforce :

  • Création d’organismes institutionnels permanents (Haut Conseil pour le Climat, ministères, agences, programmes).
  • Intégration du narratif climatique dans toutes les politiques publiques : urbanisme, énergie, agriculture, éducation, santé.
  • Multiplication des contraintes légales : taxes carbone, normes, restrictions de mobilité.

Chaque été est « le plus chaud jamais enregistré », chaque tempête une « preuve du dérèglement ».
L’objectif : ne jamais laisser retomber la peur ni la mobilisation.

Le processus devient auto-entretenu : plus la société change, plus elle se convainc qu’elle doit encore changer davantage.

Huitième étape : ancrer les nouvelles approches dans la culture

Le climat devient une religion séculière, un dogme moral et culturel.

  • À l’école, les enfants apprennent à « sauver la planète » ;
  • Dans les médias, toute catastrophe est reliée au changement climatique ;
  • Dans les entreprises, la « responsabilité environnementale » devient un critère d’image et d’embauche ;
  • En politique, les programmes verts deviennent transpartisans.

Celui qui doute n’est plus simplement en désaccord : il est fautif, dangereux, voire haïssable.

Le discours climatique cesse d’être scientifique pour devenir idéologique et totalitaire, au sens où il prétend régir tous les aspects de la vie : alimentation, transport, énergie, logement, natalité.

Polémia
28/10/2025

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