++ WEBTUBE :Ce qui a été entendu lors de ces bloquages, « Soutenez le mouvement pour sensibiliser les gens à la cause. On invite aussi les gens qui n’ont pas bloqué aujourd’hui à s’organiser avec nous. Samedi on organise une AG à Montreuil. Politisez vous c’est un génocide qui se passe à Gaza ! »
🇵🇸 Blocus au lycée Lamartine à Paris en soutien a la #Palestine.
++ WEBTUBE :C’est une visite qui suscite un tollé dans une partie de la classe politique. Des conseillers du président Emmanuel Macron ont reçu l’humoriste Yassine Belattar, ancien membre du Conseil présidentiel des villes, à l’Élysée, quelques jours avant la marche républicaine contre l’antisémitisme de dimanche dernier. Une information, révélée par le magazine L’Express, qui fait germer la polémique. Car Yassine Belattar est une personnalité pour le moins controversée. Le chroniqueur a été condamné en septembre à quatre mois de prison avec sursis pour menaces de mort et menaces de crime envers des personnalités du spectacle. Très investi dans la lutte contre l’islamophobie, il s’était illustré par sa formule polémique “Je ne suis pas Charlie, je ne suis pas Nice”, après les attentats terroristes de 2015 et 2016. La suite ci-dessous…
Suite de l’article :
L’humoriste a été reçu la semaine dernière par deux conseillers d’Emmanuel Macron pour prendre la température des banlieues sur une éventuelle participation du chef de l’État à la marche contre l’antisémitisme. Yassine Belattar les aurait mis en garde, appelant le président à ne pas commettre l’erreur irréparable, qui donnera aux quartiers des raisons de s’enflammer.
Gilbert Collard : « Yassine Belattar a été condamné pour des menaces de mort et de crime. Dans les enregistrements que le tribunal avait pu écouter, il avait dit "Je vais te planter" et un témoin a rapporté qu'il avait dit "Je vais violer ta mère" » pic.twitter.com/NzbIpWsSVC
— Fdesouche.com est une revue de presse (@F_Desouche) November 15, 2023
Belattar a donc été reçu à l’Élysée. L’occasion pour moi de vous livrer un « détail » que j’avais tu dans mon blog @Mediapart par honte de ne pas avoir ouvert les yeux à ce moment là. Nous avions un monteur juif que Belattar appelait « le juif ». J’ai échangé avec lui ce matin : pic.twitter.com/xX7YYCkyl2
Vouloir prendre la température des quartiers en invitant à l’Élysée une racaille condamnée à quatre mois d'emprisonnement avec sursis pour menaces de mort et de crimes en dit long sur l’idée que se font des quartiers ceux qui sont à la tête du pays. pic.twitter.com/GGlBIFmib4
EXCLUSIF – Soucieux de posséder “1 000 capteurs”, dit-on dans son entourage, Emmanuel Macron veille à ce que l’ancien membre du Conseil présidentiel des villes, condamné en septembre pour menaces de mort, soit écouté par ses équipes.
(…) Ainsi, deux conseillers d’Emmanuel Macron, le préfet Frédéric Rose, conseiller intérieur et sécurité, et Bruno Roger-Petit, le conseiller mémoire, ont-ils reçu l’ancien membre du Conseil présidentiel des villes, l’humoriste et animateur radio Yassine Belattar, condamné en septembre dernier à quatre mois de prison avec sursis pour menaces de mort et de crime visant plusieurs personnalités du monde du spectacle en 2018 et 2019. “Il est un thermomètre, une personne-ressource, explicite l’un des participants à cet échange. Il fait partie de ces sociologues opportunistes qui peuvent alerter sur l’état d’esprit de certaines parties de la société.” (…)
Très attentif à la façon dont le conflit déclenché par le Pogrom du 7 octobre dernier perpétré par les terroristes du Hamas et la riposte dévastatrice de l’armée israélienne peuvent s’exporter dans les banlieues françaises et renforcer les communautarismes, hanté par la conscience d’être à l’Elysée enfermé et éloigné, Emmanuel Macron veille à diversifier ses sources et à prêter attention à ceux qui se revendiquent fins connaisseurs des quartiers. Belattar compte, à ses yeux, parmi ceux-là.(…)
(…) si sa voix compte aujourd’hui et s’il est reçu à l’Elysée, c’est, à en croire un conseiller du président, parce qu’il est “irréprochable”. (…)
Aux conseillers du président, il a formulé une mise en garde. Attention, leur a-t-il dit en substance, à ne pas commettre l’erreur irréparable qui donnera aux quartiers des raisons de s’enflammer. Puis, il a repris la plume sur Instagram peu avant la marche de dimanche. “Je comprends et je soutiens la communauté juive dans son émotion la plus totale face aux événements du 7 octobre comme je soutiens ce peuple palestinien depuis les bombardements du 8, du 9, du 10, du 11, du 12…”
++ WEBTUBE : Si la France est la lanterne rouge de l’Europe en termes de dette publique et de chômage, nos amis Russes saluent le 12e train de sanctions en affichant une croissance de 5% en septembre et de 2,8% sur l’année 2023. Le FMI avait annoncé 2,5%. En 2022, quand notre lumière de Bercy annonçait qu’on allait détruire l’économie russe, les experts occidentaux, aussi doués que nos experts militaires des plateaux TV, prévoyaient une très grave récession économique en Russie pour 2023. En fait, la Russie fait trois fois mieux que la France, laquelle n’atteindra pas 1% de croissance.
Le FMI, en pleine hystérie collective, annonçait une récession russe de 6% qui allait mettre fin à la guerre ! Mais 20 mois plus tard, c’est l’UE qui flirte avec la récession et c’est l’armée ukro-otanienne qui est anéantie.
Le bilan est sans appel. Des chiffres à faire pâlir Bruno Le Maire, notre ministre imperméable à l’Économie. Je n’ai rien contre les littéraires, mais pour tenir la caisse, rien ne vaut un matheux. En tant que ministre de l’Agriculture, Le Maire ne connaissait même pas la surface d’un hectare. Fâché avec les maths, il continue de jongler avec nos milliards, sans en mesurer la valeur. Sidérant.
Le chômage russe est à 3%, un plus bas historique, celui de la France remonte à 7,3%
La dette publique ne cesse de baisser, tombée à 13% du PIB alors que celle de la France augmente à 110% du PIB. Rappelons que l’Occident veut voler 300 milliards de dollars d’avoirs de la Banque de Russie.
L’excédent commercial russe en 2022 est de 232 milliards de dollars. La France quant à elle affiche un déficit catastrophique de 163 milliards, le double de 2021.
Les pays du G7 voulaient limiter le prix du baril de pétrole à 60 dollars, espérant plomber les revenus pétroliers de Moscou. En fait, la Russie vend son baril à 74 dollars, après avoir diversifié son réseau d’acheteurs. La Chine et l’Inde compensent largement la perte de l’Europe.
La Russie a résisté aux sanctions en développant son commerce avec la Chine, la Turquie, l’Inde et les pays du Golfe. Son expansion en Afrique est fulgurante et son influence dans le Sud global est impressionnante, comme le prouve l’extension des BRICS, passés de 5 à 11 membres. Une trentaine de pays sont sur liste d’attente !
Plus l’Occident recule, plus la Russie se pose en leader du monde multipolaire. Même l’Amérique latine, chasse gardée des États-Unis, n’est pas insensible aux sirènes de Moscou.
Le budget Défense a augmenté de 68% et les groupes militaro-industriels de l’Oural affichent des taux de croissance de 10 à 15%. Mais comme dans tout pays en guerre, c’est la main-d’œuvre qui se fait rare.
Le forum Russia Expo a ouvert ses portes le 4 novembre à Moscou, exposition qui met en vitrine la Russie moderne, performante, fière de son avance technologique et de son identité. Tout le contraire de l’Occident décadent. Un attachement aux valeurs conservatrices qui plaît au Sud global, totalement réfractaire aux délires LGBT.
89 régions de la Fédération de Russie, dont les quatre territoires ukrainiens annexés en 2022, ont leur stand futuriste, montrant que la guerre en Ukraine n’a aucun effet sur la marche en avant de la Russie vers le monde de très haute technologie de demain.
Rappelons aussi que la Russie possède 10% des terres agricoles mondiales et 20% des matières premières de la planète. Son industrie qu’on dit fragilisée représente 33% du PIB ( 10% pour la France )
Ce n’est donc pas demain que Le Maire va couler ce géant planétaire.
Pour conclure :
Sanctions ou pas, livraisons de F-16 ou pas, la Russie avance vers la victoire à son rythme et pourrait tenir trois ans en totale autarcie, en continuant sa guerre contre l’Ukraine. Je ne connais aucun pays capable de tenir tête à une coalition de 50 nations, les plus riches du monde.
L’Ukraine est exsangue, incapable de tenir plus de huit jours sans les milliards de l’Occident, alors que Moscou n’a engagé qu’une infime partie de son potentiel militaire, gardant en réserve l’essentiel de ses forces et des ses armes futuristes pour un possible choc frontal avec l’Otan.
Selon Medvedev, les capacités de l’industrie de défense russe ont atteint un niveau sans précédent, et ce bien plus rapidement que prévu. La production de munitions pulvérise tous les records.
Il faut vraiment être un crétin pour prétendre vaincre l’ours russe. Et en Occident, les crétins sont légion. Quand ils se trompent, ils persistent et signent.
Depuis le 4 juin, nous en sommes à 103 000 soldats ukrainiens tués. Au rythme de 20 000 soldats tués chaque mois, les pertes totales depuis le 24 février 2022 sont sans doute de 400 000 tués et 600 000 blessés, dont 50 000 amputés. Mais à Kiev, on prolonge le massacre.
Un grand merci à Biden et à ses sbires européens, qui alimentent à coups de milliards les comptes off-shore de Zelensky et de ses oligarques. Jamais guerre ne fut plus enrichissante pour un régime vaincu.
Avec sa côte de popularité au beau fixe et des résultats époustouflants en 23 ans de règne, Poutine a 100% de chances d’être réélu en mars 2024 pour son 5e mandat.
Pour l’immense majorité des Russes, Poutine est le sauveur de la Russie après le naufrage de l’URSS.
Quel contraste avec Macron, qui a littéralement coulé le bateau France avec ses délires mondialistes. C’est toute la différence entre un grand homme d’État patriote et un petit politicien ivre de multiculturalisme et haïssant les nations.
++ WEBTUBE : Sur Europe 1, ce lundi matin 13 novembre, Yaël Braun-Pivet était l’invitée de Sonia Mabrouk. Puisque la présidente de l’Assemblée était à l’initiative de la manifestation contre l’antisémitisme de la veille, Sonia Mabrouk lui pose naturellement la question : « Quel est le carburant principal de l’antisémitisme aujourd’hui ? » La réponse est stupéfiante : « Je ne sais pas. » À quoi sert de manifester contre un ennemi que l’on n’a pas identifié ? C’était donc une protestation dans le vide, contre une idée mauvaise, comme ces marches blanches cathartiques, une rose à la main, qui s’élèvent contre les meurtres des petits enfants dont on ne connaît pas l’assassin ? L’article ci-dessous.
Yaël Braun-Pivet ne sait pas quel est le carburant de l’antisémitisme en France, comme, en août dernier, le ministre des Transports Clément Beaune se déclarait ignorant, toujours au même micro et répondant à la même journaliste, quant à la question de savoir qui agresse sexuellement dans le métro et s’il faisait un lien entre ces agressions et l’immigration : « Je ne sais pas qui fait quoi. »
Disons-le : ce n’est pas rassurant, une telle équipe d’ignorants, parmi ceux qui nous gouvernent. S’ils ne savent pas, il faudrait peut-être se renseigner, se mettre au parfum ? Les médecins, les juristes, les enseignants, les journalistes… s’efforcent de rester à jour en permanence pour demeurer opérants dans leur spécialité. Mais au plus haut de l’État, on assume d’être des poètes procrastinateurs peu au fait de l’actualité ?
Élisabeth Borne, elle, croit savoir : elle poste, sur X, au sujet de la manifestation : « L’absence de La France insoumise parle d’elle-même. La présence du RN ne trompe personne. » L’interprétation qu’en fait Aymeric Caron n’est pas fausse : « Donc ainsi, en dénonçant la présence du FN-RN (sic), à la manifestation cet après-midi, Élisabeth Borne reconnaît ce que beaucoup de macronistes (dont elle même) remettent en cause depuis trop longtemps : LFI appartient évidemment à l’arc républicain et n’a absolument rien d’antisémite. Il était temps de revenir à la raison. »
En effet, en déplorant la présence du RN et en regrettant l’absence de LFI, le Premier ministre sous-entend que le parti de Jean-Luc Mélenchon, d’Ersilia Soudais, de Danièle Obono et de David Guiraud aurait toute sa place et aurait été accueilli à bras ouverts dans la manifestation, tandis que celui de Marine Le Pen, persona non grata, a été relégué au dernier rang.
Donc ainsi, en dénonçant la présence du FN-RN à la manifestation de cet après-midi tout en déplorant l’absence de la FI, Elisabeth Borne reconnaît ce que beaucoup de macronistes (dont elle-même) remettent en cause depuis trop longtemps : la FI appartient évidemment à l’arc… https://t.co/HV609UhEiZ
À la vérité, ce sont le RN et Reconquête qui auraient pu tordre le nez et refuser de défiler en compagnie des partis de gouvernement qui ont tous leur part de responsabilité. Eux n’ont jamais été aux affaires et ont toujours tiré la sonnette d’alarme : l’immigration massive en provenance de pays cultivant ouvertement un antisémitisme d’atmosphère ne pouvait avoir que des conséquences délétères. En rang d’oignons derrière la banderole, on croyait voir la SEITA défilant contre le cancer du poumon. Ou bien une sorte de procession pénitentielle, la silice et les pieds nus en moins. Sauf qu’aucun d’entre eux n’a fait son mea culpa.
Dans le cortège, les autres manifestants étaient, eux, éminemment respectables et respectueux : pas une dégradation ni une seule vitrine brisée, pas un écart, physique ni même verbal, et même des applaudissements pour les forces de l’ordre : « Tout le monde adore les policiers », scandaient certains d’entre eux.
Il y a des manifestations civilisées et des manifestations décivilisées. Celle-ci faisait partie de la première catégorie. Une France bien élevée. D’ailleurs, les commerçants sur le trajet n’avaient pas pris la peine de baisser le rideau. C’est un signe. Il y a une sociologie des manifestants : pour celle-ci, les médias s’accordent à décrire un public plutôt âgé, et point du tout issu de la diversité. Faut-il s’en inquiéter pour la suite ? Ne demandez pas à Yaël Braun Pivet, elle ne sait (sans doute) pas. Elle ne veut retenir que le nombre important de manifestants – il y avait, de fait, 105.000 manifestants à Paris et 180.000 au total pour toute la France.
Elle sait cependant – du moins l’espère-t-on – que ce même lundi 13 novembre est le jour anniversaire de l’attentat du Bataclan, qui a fait au total, en prenant les fusillades concomitantes dans Paris, 130 morts. Les Français dans la rue, ce dimanche, sont venus manifester contre l’antisémitisme mais aussi pour leur propre survie, qu’ils soient juifs ou non. Rappelons que la première victime française du terrorisme islamiste, après le 7 octobre, est un professeur de lettres catholique, qui a été enterré à la cathédrale d’Arras. Dominique Bernard : son nom est à lui seul un morceau de l’Histoire de l’Église. Ces Français méritent des gouvernants qui savent. Et qui font.
++ WEBTUBE : La patronne des divertissements de France Télévisions, Alexandra Redde-Amiel, le martèle : choisir Slimane comme représentant de la France à l’Eurovision 2024 était une « évidence ». La décision prise unilatéralement et annoncée en grande pompe, mercredi 8 novembre, sur France Inter, ne devait faire aucun pli. D’ailleurs, Alexandra Redde-Amiel n’avait pas oublié de se munir de sa petite fiche pour justifier son choix et convaincre les auditeurs encore sceptiques : « Parce qu’il a plus de deux millions d’albums vendus à son actif, parce qu’il a plus de deux milliards de streams dans le monde, parce qu’il a eu cinq prix aux NRJ Music Awards et parce qu’il a une Victoire d’honneur », récita-t-elle à l’antenne de la radio publique.L’article complet ci-dessous :
La patronne des divertissements de France Télévisions, Alexandra Redde-Amiel, le martèle : choisir Slimane comme représentant de la France à l’Eurovision 2024 était une « évidence ». La décision prise unilatéralement et annoncée en grande pompe, mercredi 8 novembre, sur France Inter, ne devait faire aucun pli. D’ailleurs, Alexandra Redde-Amiel n’avait pas oublié de se munir de sa petite fiche pour justifier son choix et convaincre les auditeurs encore sceptiques : « Parce qu’il a plus de deux millions d’albums vendus à son actif, parce qu’il a plus de deux milliards de streams dans le monde, parce qu’il a eu cinq prix aux NRJ Music Awards et parce qu’il a une Victoire d’honneur », récita-t-elle à l’antenne de la radio publique. « Ce qui est important, c’est que c’est un artiste avec une carrière. » Rien à voir avec un choix idéologique, donc. « Je vais être très claire sur cette question : l’Eurovision est non politique. C’est très important. La réglementation de l’Eurovision, c’est des valeurs de fraternité, des valeurs de rassemblement des cultures autour de la musique. Et je crois que c’est essentiel, dans ces temps un peu sombres, que la musique soit là. »
Chapeau bas à Léa Salamé, qui réussit à écouter ce jargon mensonger sans éclater de rire. C’est à croire que le chef de la délégation française à l’Eurovision n’a pas regardé sa propre émission depuis quelques décennies. A-t-elle oublié l’exclusion de la Russie et la victoire parfaitement imméritée de l’Ukraine en 2022 ? Les drapeaux palestiniens en Israël lors du concours 2019 ? Les votes truqués de l’Azerbaïdjan en défaveur de l’Arménie en 2009 ? Les sempiternelles alliances géopolitiques entre pays d’ex-Yougoslavie ou d’ex-URSS ?
Un candidat consensuel… à première vue
Du côté du premier intéressé aussi, on la joue apolitique et rassembleur. Il faut même reconnaître que Slimane tient, depuis sa nomination, un discours d’amour de la France aux accents de sincérité. « Je ne fais pas l’Eurovision pour être plus connu. Je le fais pour représenter mon pays », déclare-t-il. Même s’il ne peut s’empêcher d’évoquer à tout bout de champ ses origines immigrées, le chanteur prend soin de souligner aussi son attachement à son pays. « Mon grand-père est venu d’Algérie en France pour travailler dans une mine à charbon. […] Me dire que son petit-fils va représenter la France avec une chanson qu’il a composée et qui parle de romantisme, d’amour à la française, je trouve ça beau. »
Mais ce discours équilibré est-il vraiment spontané ? L’adoption d’une parole consensuelle ne serait-elle pas plutôt une condition imposée par France Télévisions ? Au vu d’anciennes prises de position tranchées du chanteur, la question n’est pas farfelue. Il n’y a pas si longtemps, en effet, Slimane avait suscité la polémique sur les réseaux sociaux. C’était lors de l’affaire Nahel. « Être horrifié par les images du meurtre de Nahel, ce n’est pas être contre la police, c’est être horrifié par le symbole d’une République qui tue nos frères, nos enfants », avait-il réagi, sur sa page Instagram. Au-delà de l’accusation de « meurtre », qui relève de la pure diffamation, c’est l’adjectif possessif « nos » qui interroge. Quels sont ces « frères » et ces « enfants » qui seraient tués par la République française ? Quelle est cette famille à laquelle appartiendrait Slimane ? Un esprit chagrin pourrait y voir la marque d’un communautarisme ethno-religieux qui n’est pas vraiment dans l’esprit de l’Eurovision et de ses sacro-saintes valeurs de fraternité et de rassemblement…
L’idéologie avant tout
France Télévisions est-elle passée à côté de cette polémique ? N’a-t-elle pas entendu parler, non plus, des autres prises de position de Slimane, comme son soutien aux migrants dans la chanson « Petit Pays » ou le lancement de Cousin.e.s, sa marque de soins capillaires non genrés destinée à mettre en lumière « la beauté de la diversité » ? Bien sûr que si.
On peut même suspecter que c’est précisément en raison de ces engagements politiques qu’il a été choisi. Entre ses origines, sa notoriété, sa dénonciation des « violences policières » et sa défense des migrants, l’artiste coche toutes les cases du candidat Eurovision parfait. Twelve points go to… Slimane!
++ WEBTUBE : Comme d’habitude, on décrypte l’actualité du jour. Aujourd’hui on s’attaque à l’intervention de Jordan Bardella. Si vous êtes nouveau : ici on vous explique les concepts, on vous apporte des connaissances personnelles, et on vous donne un avis subjectif sur les différents extraits présentés. Bon visionnage !
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++ WEBTUBE : En voilà une chanson qu’elle est bonne ! C’est beau et sentimental. Près du coeur et nostalgique. En répétition. Une chanson que je ne peux pas arrêter d’écouter. Une mélodie que je ne peux pas effacer de mon esprit… Il n’en faut pas plus pour que je vous la recommande. C’est chouette « La chanson du jour » !
++ WEBTUBE : This is a good song! It’s beautiful and sentimental. Close to the heart and nostalgic. In rehearsal. A song that I can’t stop listening to. A melody that I cannot erase from my mind… That’s all it takes for me to recommend it to you. “The song of the day” is great!
Une femme de 37 ans a été agressée à l’arme blanche dans la nuit de samedi à dimanche à Nice (Alpes-Maritimes) alors qu’elle sortait du tramway, a appris Le Figaro auprès de la Direction départementale de la sécurité publique, confirmant les informations de Nice-Matin. Celle-ci a été gravement blessée par plusieurs coups de «cutter» au niveau de la gorge, indique la police. Elle a été prise en charge par les pompiers et transportée à l’hôpital Pasteur. Son pronostic vital n’est cependant pas engagé.
Les faits se sont produits vers 1h30 du matin au niveau de l’arrêt «Le Ray», sur la ligne 1 du tramway, au nord de la ville. Les policiers ont réussi à interpeller deux individus à la suite de cette violente agression. Il s’agit de deux hommes de 40 et 48 ans de nationalité tunisienne, sans domicile fixe et en situation irrégulière, précise encore une source policière. En revanche, ils ne faisaient pas l’objet – au moment des faits – d’une obligation de quitter le territoire français (OQTF).
Les deux suspects, dont l’un serait bien l’auteur des coups selon la police, étaient fortement alcoolisés et ne connaissaient pas la victime. On ne connaît pour l’instant pas les raisons pour lesquelles ils l’ont prise à partie. Une enquête a été ouverte et les deux individus font l’objet d’une prolongation de garde à vue.
Décidément, Nice et les tunisiens c’est une longue histoire d’amour réciproque.