. La chanson du jour, playlist de fin d’année

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++ WEBTUBE : C’est la fin de l’année, c’est le moment de vous proposer une sélection de morceaux que nous avons diffusé sur ce site en 2023 : Andre Crom – Tell Me – David August Remix ; Artifice – Sohn ; Boogie Belgique – Forever and Ever ; Cayetano – Got To Walk On ; Chicago – Boogie Belgique ; Copenema – Te Faz Bem ; Curtis Harding – Hopeful ; Danger Mouse and Black Thought – Belize ; Dark Thought – James Blunt ; Doombird -Sheer ; Feel it Still – Portugal The Man ; Gabin – Into My Soul ; Gary B – Bitter Sweet ; In Private – Dusty Springfield ; Jose James – Lovely Day ; Lego Boy & Beat Ride – Shadow Or Not ; Like I used to – Saron van Etten and Angel Olsen ; Little Lies – Fleetwood Mac ; More Than Ever People – Levitation ; Muse – Starlight ; Prayin – Plan B ; Röyksopp – Running To The Sea ; Röyksopp & Robyn – Every Little Thing ; Simply Red – Money’s Too Tight To Mention ; Summer in the City Quincy Jones ; The Ketchup Song – Aserejé ; The War on Drugs – Pain ; The way I feel – Adrian Gurvitz ; Travis – Closer ; Tunnel of love – Cannons ; Zucchero – Baila Morena

. « Métiers en tension » : la propagande d’Envoyé Spécial

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++ WEBTUBE : France 2 milite pour la régularisation des clandestins et ne s’en cache pas. Alors que le projet de loi Immigration est actuellement débattu à l’Assemblée nationale, la chaîne publique diffusait jeudi 7 décembre son Envoyé spécial sur les fameux « métiers en tension ». Le discours y était peu ou prou le même que celui défendu quelques jours plus tôt par une commissaire européenne : les migrants sont formidables et notre société s’écroulerait sans eux.

Au fait, il gagne combien ce sans-papiers ?

Pour en convaincre le Français encore un peu sceptique, l’inénarrable Élise Lucet s’est rendue dans un restaurant italien du 15e arrondissement de Paris où l’attendait Gianni, le patron des lieux. L’homme était prêt. Sa tirade en hommage à Bakari, son employé sans-papiers, a été parfaitement recrachée : « Il est super. Tous les jours, il est là, toujours en avance, jamais en retard, jamais absent. Trouvez-moi un seul Français qui fait ce que Bakari fait aujourd’hui ! Personne ne veut faire la plonge, personne ne veut faire du nettoyage avec des horaires pas possibles. Plus personne ne veut faire ça. » En face, la journaliste était à deux doigts d’applaudir.

Elle a encore redoublé d’admiration lorsque le restaurateur s’est mis à détailler les trésors de malice dont il a fait preuve pour que son protégé puisse se maintenir sur le territoire. Toute occupée à hocher de la tête, Élise Lucet a malencontreusement omis d’interroger le restaurateur sur le salaire auquel il paie le courageux Bakari. Il faut croire qu’on ne parle pas de ces choses bassement matérielles sur France TV… Le mystère restera également entier sur les conditions de vie du migrant. Quelles sont ses aides et allocations perçues ? Où et par qui est-il logé ? L’histoire ne le dit pas, mais l’essentiel était ailleurs : faire la promotion de l’esclavage moderne à une heure de grande écoute.

Salauds de Français !

L’émission de service public s’est poursuivie avec le témoignage émouvant d’autres clandestins « absolument indispensables ». « Il n’y a pas que dans la restauration que des travailleurs sans-papiers sont devenus essentiels », assène alors la présentatrice dont la voix se voile lorsqu’elle évoque ces forçats qui « se rendent tous les jours au travail avec la peur au ventre, la peur d’être arrêtés ».

Exemple dans les exploitations agricoles bretonnes où les illégaux originaires d’Afrique tiennent le haut du pavé. On y croise notamment ce Guinéen de 26 ans, employé illégalement dans le ramassage des cocos de Paimpol. « Je n’ai jamais vu un Français qui travaille dans les champs depuis que j’ai commencé. Les Africains, eux, ne connaissent pas de sous-métiers. Vous, les Français, vous avez peut-être honte de travailler dans les cocos. Nous, on ne choisit pas, on n’a pas honte de venir chercher de l’argent dignement, de nous salir pour gagner l’argent. » Imaginez un seul instant de tels propos tenus par un Blanc à l’encontre des Africains ! Le malheureux serait déjà en garde à vue pour incitation à la haine raciale.

À ce sujet — Quand la commissaire européenne Ylva Johansson réclame plus de migrants

Un militantisme anti-national

Mais ce racisme-là passe crème sur les antennes de service public. Tout comme la promotion éhontée de l’immigration illégale. Le combat des gauchistes à carte de presse est clair comme de l’eau de roche : favoriser l’immigration, régulariser les sans-papiers et accorder ensuite les mêmes droits à tous, nationaux comme étrangers. Car, dans leur émission, les journalistes d’Envoyé spécial n’ont pas manqué de s’indigner du fait que les travailleurs africains n’ont droit ni à l’assurance maladie, ni au chômage, « contrairement aux salariés français ». On devine déjà leur prochain cheval de bataille : la fin de toute préférence nationale et l’octroi du droit de vote aux étrangers.

Jean Kast, Boulevard Voltaire

La chanson du jour, Summer in the City – Quincy Jones Productions

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++ WEBTUBE : Cet arrangement de Summer in The City » est fou merveilleux Son influence sur l’industrie musicale est énorme, notamment en produisant l’album le plus vendu de tous les temps « Off the Wall » de l’autre génie Michael Jackson. A écouter d’urgence.

++ WEBTUBE : This arrangement is crazy marvelous
His influence on the music industry is tremendous especially producing the biggest selling album of all time « Off the Wall  » by the another genius Michael Jackson

=> https://www.youtube.com/watch?v=jpbK4tLQH_s

Vidéo dispo ici

. 60% des gens qu’on arrête sont des étrangers reconnait enfin officiellement Darmanin

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++ WEBTUBE : Commencerait-on en France à regarder la réalité en France ? Des années (des dizaines d’années ?) pour reconnaitre que l’immigration incontrôlée entraine une hausse forte de la délinquance. Une fois cela dit, va-t-on enfin faire quelque chose ? Le projet de loi propsé par le gouvernement se veut ferme mais malheureusement prévoit une régularisation important de clandestins entrés sur notre sol. Ce projet n’est pas raisonable sur ce point.

. [Mieux vaut en rire] Sandrine Rousseau fait un twerk, pour notre 150e épisode

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++ WEBTUBE : Cette semaine, le chevalier Bayard défend sa maison contre les émeutiers, les « fachos » attaquent le box-office et les écolos twerkent pour les européennes !

. Diversité : le ministre de la Culture autorise la sélection ethnique, incroyable !

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++ WEBTUBE : Un pas de plus vers l’antiracisme au sein du gouvernement ? Ce lundi 4 décembre, lors d’une conférence de presse qui aurait pu passer inaperçue, Rima Abdul-Malak, ministre de la Culture, présentait le lancement du programme « La Relève » visant à favoriser la diversité à la tête des établissements culturels. L’objectif : sélectionner sur l’ensemble du territoire 101 candidats – soit un par département – entre 25 et 40 ans qui intégreront une formation délivrée en partenariat avec Sciences Po et leur confier, par la suite, un poste à responsabilité au sein des lieux culturels.

Sur le papier, le projet s’inscrit dans la démarche d’ouverture et de diversité, en vogue depuis des années. Mais cette fois-ci, Rima Abdul-Malak a décidé de préciser les critères selon lesquels les candidats seront sélectionnés. À l’origine géographique et sociale, censée apporter un peu plus de diversité, le ministre de la Culture propose d’ajouter le critère de… la « couleur de peau », comme le rapportent l’AFP et Le Bulletin quotidien. Autrement dit, au nom de la diversité, le ministre ouvre la voie à la discrimination positive sur la base d’un critère ethnique.

Si l’annonce est passée sous les radars pendant quelques jours, elle entraîne depuis ce 7 décembre un déferlement de réactions, notamment à droite de l’échiquier politique. Marion Maréchal, tête de liste aux élections européennes de Reconquête, dénonce un racisme anti-Blanc sur son compte X« Les Blancs sont désormais de trop dans la Culture », écrit-elle. Un sentiment partagé par le Rassemblement national. Thierry Mariani alerte ainsi sur le « racisme anti-Blanc qui contamine l’État ». Caroline Parmentier, députée RN du Pas-de-Calais, ajoute : « c’est de la pure discrimination. En France, seule la compétence justifie une nomination. » D’autres voix s’élèvent pour dénoncer le caractère « illégal » et « injuste » de cette sélection ethnique.

Racialisme américain 

Avec ce nouveau programme, Rima Abdul-Malak va donc encore plus loin dans la discrimination positive, concept controversé installé depuis la fin des années 1990. Après la parité obligatoire sur les listes politiques ou la sélection universitaire avantageuse selon l’origine sociale, le ministre de la Culture souhaite que les futurs dirigeants ou responsables d’établissements culturels soient sélectionnés, non plus sur la seule base de leurs compétences, mais également en raison de leur couleur de peau.

Jusqu’à présent, la France, au nom de l’article 6 de la Déclaration des droits de l’homme qui dispose que « tous les citoyens sont également admissibles à toutes dignités, places et emplois publics, selon leur capacité et sans autre distinction que celles de leurs vertus et de leurs talents », s’était refusée à suivre la voie du racialisme américain. Avec le programme « La Relève », l’Hexagone met désormais le deux pieds dedans. Et ce, alors même que les États-Unis, après de nombreuses années d’expérimentation de la discrimination ethnique, « en réparation » des siècles d’esclavage et des années de ségrégation, commencent à faire marche arrière. Une affaire a marqué ce recul. Un jeune conservateur accusait la discrimination ethnique de défavoriser les étudiants asiatiques : malgré leurs excellents résultats académiques, ils n’étaient pas assez présents sur les campus des plus prestigieuses universités du pays. Il a porté plainte et, au mois de juillet dernier, la Cour suprême des États-Unis a mis fin à la possibilité d’utiliser les critères ethniques pour favoriser l’admission de certains étudiants au sein des universités. Cette décision de justice rejoint l’opinion de la société américaine qui approuve de moins en moins l’affirmative action (discrimination positive).

La France a du retard. Depuis la mise à l’écart de Pap Ndiaye, on pensait le gouvernement débarrassé des lubies antiracistes. C’était mal connaître les autres membres de l’exécutif, notamment Rima Abdul-Malak.

Clémence de Longraye, Bouelvard Voltaire

. Immigration : le désastreux accord franco-algérien demeure, à qui la faute ?

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++ WEBTUBE : 151 contre, 114 pour. C’est le résultat du vote, ce jeudi, à l’Assemblée nationale, sur la proposition de résolution des Républicains. Cette résolution visait à dénoncer l’accord franco-algérien de 1968 qui permet des dérogations massives pour l’accueil des Algériens en France. Appuyée par les LR et le Rassemblement national, la proposition aura au moins permis de mettre en avant les nombreux avantages dont profite la première communauté d’étrangers en France, même en cas de vote favorable de la loi Immigration voulue par Emmanuel Macron. Toutefois, ce vote reste un échec qui, selon certains hommes politiques de droite, aurait pu être évité si les députés du RN s’étaient plus largement mobilisés. Qu’en est-il vraiment ?

Les députés jouent à un « jeu dangereux »

Sur les réseaux sociaux, les critiques fusent. L’incompréhension de certains internautes est largement relayée par Reconquête et Florian Philippot, tête de liste des Patriotes pour les européennes. Interrogé par BV, l’intéressé reproche aux députés RN de « jouer à un jeu dangereux ». Pour l’ex-numéro deux du Front national  : « L’absence de 40 députés RN traduit un manque d’implication du RN, puisqu’on constate de plus en plus souvent, ces derniers mois, une absence ou une abstention lors de votes importants ou symboliques, insiste M. Philippot. J’ai remarqué, par exemple, aussi, que depuis trois motions de censure, le RN ne les votait plus et n’en déposait plus ». Et de conclure : « Ils veulent jouer les sages, les responsables, les gentils. Passer entre les gouttes médiatiques, être même bien vus de la Macronie qui réservera ses flèches à LFI. »

Dans la même veine, Laurence Trochu, présidente du Mouvement conservateur, proche de Reconquête, dénonce sur X l’absence de Marine Le Pen lors du vote. Selon elle, la patronne du groupe RN à l’Assemblée « déserte le terrain de l’immigration et torpille les propositions de la droite ».

À ce sujet — Immigration : Dénonciation de l’accord France-Algérie, aux calendes grecques !

« Cela n’aurait rien changé »

De ces accusations, le Rassemblement national se défend. Vice-présidente du RN, Edwige Diaz nous dit regretter les propos de Florian Philippot qui « semble habitué aux thèses complotistes, ces temps-ci ». Et d’ajouter : « Il tente de monter de fausses accusations et raconte n’importe quoi. C’est dommage. Je l’ai peu connu lorsqu’il était le numéro deux du FN, mais j’étais habituée à des prises de parole plus sérieuses venant de lui. Il faut croire que les choses ont bien changé. »

Sur le fond, la présence ou non des députés RN n’aurait, en définitive, pas changé grand-chose. « Ce vote était une niche LR, développe la députée de Gironde. D’ailleurs, je ferai remarquer à nos détracteurs que douze députés LR n’étaient pas présents. » « Au total, seuls deux groupes, le nôtre et les Républicains, étaient favorables à cette proposition de loi, le rapport de force ne jouait clairement pas en notre faveur. Si nous avions mobilisé l’ensemble de nos députés sur ce texte, Renaissance et la NUPES auraient suivi », explique-t-elle, avant de rappeler : « Ce texte était purement symbolique. Le Parlement ne peut constitutionnellement pas imposer au chef de l’État sa politique étrangère. » Mais pour certains, sur X, les symboles aussi sont importants.

Dans cette affaire, LR se satisfera d’avoir écorné l’image d’élèves parfaits des députés RN et relancé le sujet des accords de 1968 privatisé jusqu’ici par la droite nationale.  Pas de quoi déstabiliser le parti de Bardella et Le Pen, selon Edwige Diaz : « Dès que LR reprend nos propositions, nous sommes ravis et allons dans leur sens ».

Julien Tellier, Boulevard Voltaire

. Sondage IFOP : les Français musulmans, un peuple dans le peuple

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++ WEBTUBE : Ne dites pas « les » musulmans mais « des » musulmans ! Cette assignation répétée mille fois, assortie à tous les « padamalgam » qui poussent comme des algues invasives dans la sphère du débat, et à une omerta d’acier sur l’islam et l’immigration, a tenté et en partie réussi à étouffer le débat. Manque de chiffres, d’informations précises, chape de plomb, tout aura été utilisé pour maintenir l’aveuglement confortable de l’autruche, la tête profondément enfoncée dans le sable médiatique.

C’est le mérite de cette « Enquête auprès des Français musulmans sur les questions de religion et de laïcité » réalisée par l’IFOP auprès de 1.000 personnes et publiée le 9 décembre : elle perce (un peu) le mystère. Et ce n’est pas le moindre des paradoxes : on doit cet accès de vérité à une chaîne de télévision inconnue (pour l’instant) des Français, Elmaniya.tv« la nouvelle chaîne laïque franco-arabe ». Cette plongée dans la communauté musulmane confirme en réalité bien des constats et bien des craintes. Après quarante ans d’assimilation, de tolérance, de Touche pas à mon pote, de vivre ensemble et de subventions par milliards pour désenclaver les quartiers, la France abrite dans ses frontières un bloc musulman incroyablement homogène. Un défi majeur pour l’unité de la nation.

Le lien à la religion est massif et structurant

Ce bloc est soudé par un attachement massif à sa religion : deux Français musulmans sur trois (66 %) se disent croyants et religieux, contre un Français sur dix (12 %) en moyenne, musulmans compris, donc… On retrouve chez les musulmans de France le ciment religieux qui fit la force des Français jusqu’aux années 1960. Quand la France était encore la France. Les immigrationnistes répètent depuis quarante ans que cette religiosité se dissoudra comme le sucre dans le café au contact de la civilisation française. Des visionnaires ! Il se passe précisément l’inverse !

Les plus religieux sont les jeunes de 25 à 34 ans : trois sur quatre (75 %) se disent croyants et religieux, suivis des… « moins de 25 ans », qui sont 72 % à se définir de la même manière. En clair, plus on est jeune, plus on est religieux : les musulmans de 35 à 49 ans (60 % de croyants et religieux) et de plus de 50 ans (58 %) sont bien plus religieux que les Français de leur âge mais le sont nettement moins que les générations de musulmans plus jeunes. De la même manière, chez les musulmans de France, plus on est diplômé ou en responsabilité, plus on est religieux. Les diplômés des 2e et 3e cycles sont bien plus pratiquants que les niveaux inférieurs au bac (77 % contre 53 %), les cadres et professions intellectuelles supérieures pratiquent plus que les ouvriers (74 % contre 65 %), les dirigeants d’entreprise musulmans plus que les chômeurs (77 % contre 60 %). Le lien à la religion est massif, structurant : chez les musulmans non pratiquants, 42 % se disent croyants et religieux !

Ils ne connaissent pas le doute

La religion est chez eux bien plus qu’une culture, une certitude : trois Français musulmans sur quatre (75 %) estiment qu’il n’y a qu’une seule vraie religion, contre 17 %, en moyenne, pour l’ensemble des Français, musulmans compris. Cette religion a une influence dans les choix alimentaires pour 85 % d’entre eux (contre 19 % pour les adeptes des autres religions, parmi lesquelles le christianisme ou le judaïsme), dans leur vie intime et personnelle (79 %) et leur façon de s’habiller (63 %), comme dans les activités culturelles ou les choix politiques (51 %).

Là encore, l’intégration, l’assimilation à la française et autres modèle français servis jusqu’à la nausée débouchent sur une faillite qui touche au désastre : 43 % des musulmans français ont déjà porté des tenues traditionnelles type abayas, 31 % ont des amis qui en ont porté. Surtout, 64 % des moins de 25 ans ont porté ces tenues, contre 27 % des 50 ans et plus : plus on est jeune, plus on pratique et moins on s’intègre dans la culture vestimentaire française. Dernier baromètre, et pas des moindres, la réaction des musulmans français face à l’assassinat (atroce) de l’enseignant Dominique Bernard. 16 % parmi les musulmans ne condamnent… pas totalement le geste de l’assassin. Plus inquiétant, encore, chez les jeunes musulmans encore scolarisés, cette proportion monte à 31 %, près d’un sur trois.

Ce n’est pas un État dans l’État, c’est pire. Une communauté de plus en plus radicale au fur et à mesure qu’on descend en âge enfonce un coin d’acier dans la population française. Ce sondage aux allures de tocsin sonné à toute volée devrait dresser toute la classe politique unanime face au danger. Mais la Macronie étant ce qu’elle est, soit un parti européen, mondialiste et passionnément immigrationniste, le rythme des arrivées (500.000 par an) n’est pas près de faiblir. Restent les scrutins européen et présidentiel, l’amour de la France et le goût de l’unité, toujours possibles à un pas du naufrage.

Marc Baudriller, Boulevard Voltaire

. Vous avez réélu Macron ? Il jubile et va déposséder les Français de leur pays.

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++ WEBTUBE : Vous aurez bientôt des migrants dans chaque recoin de France, que vous le vouliez ou non. Seul Éric Zemmour nous aurait évité la descente aux enfers, mais les Français n’ont toujours pas compris que Macron est là pour détruire la nation, sa culture, son histoire et son peuple. C’est un mondialiste ennemi juré des patriotes, qui n’a d’autre ambition que de déposséder les Français de leur pays.

Ce mépris du peuple est digne d’une dictature. Macron agit avec la complicité des élites qui rasent les murs et le craignent, avec la bienveillance des médias subventionnés et surtout avec la bénédiction des juges qui bénissent cette politique de gauche inespérée de la part d’un ex-banquier. Même Mélenchon ne peut rêver mieux. Macron n’a pas de majorité mais il fait ce qu’il veut puisqu’il n’y a aucune opposition à sa politique de destruction. Le parlement est inexistant.

https://programme.ericzemmour.fr/

La colère des territoires ne cesse de monter et les maires des petites communes sont pris entre la marteau et l’enclume. Ils sont menacés quelle que soit leur position.

Soit ce sont des élus de gauche favorables au programme de répartition voulu par Macron, qui sont la cible des citoyens refusant l’accueil des migrants compte tenu du naufrage du vivre-ensemble. Soit ce sont des maires hostiles à l’accueil de migrants et ce sont alors les associations qui leur tombent dessus, les taxant de racisme quand ce n’est pas de nazisme.

Le problème est simple. La France est submergée d’année en année car Macron se refuse à fermer les frontières. Sa loi immigration, la 30e depuis 1980, vise tout simplement à régulariser des centaines de milliers de clandestins et à ouvrir les frontières encore davantage, pour plaire au patronat.

Or, nous sommes le pays qui travaille le moins en Europe avec nos 35 heures et la retraite plus tôt que chez nos voisins. La France n’a pas besoin d’immigrés, elle a besoin de travailler davantage. Il faut aussi mettre au travail les immigrés assistés.

Chaque année, ce sont plus de 500 000 immigrés légaux qui débarquent, auxquels il faut ajouter les clandestins qui se savent inexpulsables. Les expulsions ont été divisées par deux en quelques années et sont devenues anecdotiques, malgré les déclarations d’autosatisfaction de Darmanin. Il ment, puisque les pays n’accordent pas les laissez-passer consulaires indispensables au retour des clandestins.

Darmanin reconnait qu’il y a entre 600 000 et 700 000 clandestins sur le territoire. Où les mettre puisqu’ils sont inexpulsables compte tenu des lois européennes et du refus de coopérer des pays d’émigration ?

50 % des demandeurs d’asile se retrouvent en Île-de-France. Macron a donc décidé d’en envoyer 2 000 par mois en province, selon la répartition de la carte ci-dessus. Car avec les JO de 2024, ce sont 15 millions de touristes qui pourront mesurer le succès du multiculturalisme, en observant les campements sauvages et les bidonvilles qui fleurissent en masse en Île-de-France. Paris est devenue le Calcutta des années cinquante, le déversoir de toute la misère du monde. Mais Macron va répartir le fléau.

Toutes les régions sont concernées, sauf la Corse qui ne possède pas de CADA et n’en veut pas. La Corse aux Corses, c’est bien connu et je leur donne raison, compte tenu du naufrage de l’intégration. D’ailleurs le Figmag écrit : “La Corse n’a pas de CADA pour des raisons qu’il n’est pas utile de préciser”. Voilà qui est joliment dit.

En attendant, les riverains de ces centres d’hébergement pour migrants sont ravis.

Tout se passe bien selon le gouvernement et les associations.

Mais tout va plutôt mal selon les habitants du quartier, vite lassés du bruit, des insultes, des violences, avec parfois le trafic de drogue pour faire bonne mesure. Dans un quartier de Nice, 40 % des interpellés pour trafic de drogue sont des MNA.

Certains riverains découvrent que la campagne tranquille est finalement invivable. Le choc des cultures est dévastateur. Les migrants perturbateurs sont chez eux et le disent. Les plaintes et les pétitions ne changent rien. Macron, qui a délégué la gestion des migrants aux associations, continue son travail de démolition de la nation.

Il peut se réjouir de son bilan. Jamais la France n’a été aussi délabrée de façon irréversible.

Mais à part Zemmour, qui s’en soucie ? Il n’y a plus d’opposition depuis que le RN et LR se sont recentrés et proposent des programmes euro-compatibles et islamo-compatibles.

Le seul opposant qui propose un programme efficace et crédible pour sauver la France du naufrage identitaire, c’est Zemmour. Il n’a aucune ambition personnelle et veut seulement qu’un candidat applique son programme pour éviter à la France de nos ancêtres de disparaître à jamais.

Les Français ne l’ont pas compris et ils risquent de pleurer jusqu’à la fin des temps, car en politique comme dans la vie, on paie toujours le prix de ses erreurs.

Jacques Guillemain, Riposte Laïque

. Immigration: comment l’État diffuse le problème dans toute la France

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++ WEBTUBE : Alors que le projet de loi de Gérald Darmanin est débattu à l’Assemblée, le «schéma national d’accueil des demandeurs d’asile et d’intégration des réfugiés» organise leur dispersion sur tout le territoire. Les dispositifs ont beau être saturés, des centres pour migrants sont implantés jusque dans les villages, au mépris de l’avis des populations locales.

(…) Ludivine Fassiaux préside l’Union bélâbraise, l’association créée pour empêcher l’installation du Cada. Ses parents tiennent la supérette de Bélâbre depuis 2010 mais avant de s’établir dans la région, la famille a beaucoup bourlingué. À 26 ans, cette mère de deux enfants a vécu l’arrivée massive d’étrangers non européens dans les quartiers populaires où elle a successivement habité. À Carcassonne, petite fille, elle a vu un garçon de son âge prendre un coup de marteau sur la tête. Il avait «manqué de respect» à un Maghrébin. À Montpellier, les dealers rackettaient son père quand il rentrait chez lui. La famille habitait la Paillade, quartier «sensible» rebaptisé depuis la Mosson. Aujourd’hui, Ludivine Fassiaux est à Châteauroux, à cinquante minutes de voiture de Bélâbre.

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