++ RUTUBE :Violences, cambriolages, agressions, assassinats, les Français subissent et l’Etat détourne le regard. Depuis l’arrivée au pouvoir d’Emmanuel Macron, les fondamentaux régaliens ont été laissés à l’abandon. L’ordre n’est plus que vexatoire et porté à l’égard des braves gens, la répression, elle, est réservée aux opposants. Pendant que Darmanin se pavane en vantant sa dureté, les Français prennent chaque jour en pleine face les ravages de l’insécurité dont les causes sont systématiquement tues par l’Etat. Ils s’appellent Lola, Thomas, Philippe, Enzo et bien d’autres prénoms qui ont illustré par le sang le désintérêt total du pouvoir pour la base des libertés : vivre en sécurité.
++ WEBTUBE :Joyeux Noël à tous. Quelque soit votre religion ou vos croyances, la nuit de Noël appartient à tout le monde. C’est la nuit de la paix et de l’amour. Une nuit où les conflits et les peurs doivent disparaitre pour laisser place à l’amour de son prochain. Ci-dessous, de belles paroles sur Noël, ça fait du bien
L'extraordinaire conte de Noël raconté par #philippedevilliers. D'autant plus émouvant que c'est raconté sans note, sans prompteur et autres artifices ! Ça vient du cœur ! Bravo Monsieur 👏👏 https://t.co/1B2Eis5K7A
++ WEBTUBE : Nous sommes enchantés d’accueillir Loïk Le Floch-Prigent, figure emblématique du secteur énergétique, pour un épisode spécial sur notre chaîne « Transitions & Énergies ». Dans ce nouvel épisode, nous plongeons au cœur des défis majeurs de la crise énergétique actuelle et de l’avenir incertain du nucléaire. Comment cette crise affecte-t-elle l’industrie énergétique globale ? Quel est l’impact sur la désindustrialisation et le déclin industriel ? Quels sont les enjeux politiques et économiques en jeu ? Loïk Le Floch-Prigent, avec son expérience remarquable et ses connaissances approfondies, nous offre des perspectives uniques et des analyses pointues sur ces questions.
Notre but est de dépasser les discours conventionnels et de fournir une vision complète et pragmatique de ces sujets cruciaux. La transition énergétique, avec ses multiples facettes et implications, mérite une exploration détaillée et factuelle, loin des influences partiales et des idées préconçues. N’oubliez pas de vous abonner à notre chaîne pour ne manquer aucun de nos épisodes passionnants sur « Transitions & Énergies ». Activez la cloche de notifications pour rester à jour avec nos dernières publications. Vos opinions et questions sont précieuses, alors partagez-les dans les commentaires ci-dessous.
++ WEBTUBE : Rien n’est simple, tout se complique. Le titre de deux des plus remarquables ouvrages du dessinateur Sempé, parus respectivement en 1962 et 1963, résume parfaitement ce que j’appellerais « le paradoxe de la complexité », qui consiste en ce que la solution d’un problème, aussi heureuse et pertinente paraisse-t-elle, peut entraîner l’apparition d’un autre problème, auquel il faudra donner une solution qui risque d’entraîner un nouveau problème, et ainsi à l’infini.
C’est le cas pour ce qui concerne la lutte contre la pollution et contre le réchauffement climatique. Comme je l’ai déjà dit, aucun phénomène de la nature (dans la nature) n’est monovalent, c’est-à-dire tout blanc ou tout noir.
Je me souviens, à ce propos, d’une information amusante datant d’il y a quelques années. Les autorités publiques d’un pays (je crois que c’était la Suisse) avaient mené une campagne systématique pour épurer l’eau provenant d’égouts qui se déversaient dans un lac : noble préoccupation ! Mais quand ne se sont plus déversées dans ce lac que des eaux parfaitement saines, les spécialistes ont remarqué que la faune de ce lac commençait à régresser de façon préoccupante : tout simplement parce que les impuretés provenant des égouts nourrissaient le plancton, base de l’écosystème. En sorte que nos bons Suisses ont dû, si l’on peut dire, « remettre un peu de pollution » pour préserver les poissons.
Un article de la prestigieuse revue scientifique Nature de décembre 2022 fait connaître un de ces paradoxes de la complexité. Les chercheurs se sont intéressés au fait qu’en 2020, la concentration dans l’atmosphère du méthane (puissant gaz à effet de serre) avait atteint un niveau record. Ils en ont cherché les causes et ont commencé par démontrer que les sources anthropiques du méthane (l’agriculture, les ruminants et les énergies fossiles) n’avaient pas, cette année-là, fluctué dans des proportions significatives, que les feux de forêt avaient eu tendance à régresser, etc.
Finalement, les chercheurs ont identifié deux causes de cette augmentation du méthane ; or, ces deux causes sont « écologiques ».
La première concerne les zones humides (marais, tourbières), dont la préservation est un cheval de bataille des défenseurs de la nature (avec raison, d’ailleurs). En effet, les micro-organismes présents dans ces zones humides produisent 40 % des émissions annuelles de méthane et sont plus actives quand la température et l’humidité de l’air augmentent, ce qui fut le cas en 2020.
La seconde cause est encore plus paradoxale, puisque l’augmentation du méthane vient directement d’une baisse de la pollution atmosphérique. En effet, il existe dans l’atmosphère une molécule très oxydante, l’hydroxyde, qui décompose le méthane. La formation de cet hydroxyde est liée à la pollution de l’air par les oxydes d’azote, produits notamment par les moteurs à combustion et l’industrie. Or, en 2020, les confinements à travers le monde, dus à la pandémie, se sont traduits par une moindre production industrielle et une réduction des déplacements, ce qui a entraîné une baisse de la pollution de l’air. En conséquence, le méthane a été moins dégradé par l’hydroxyde, donc sa concentration dans l’atmosphère a augmenté. En sorte qu’on peut se dire qu’à force de faire baisser la pollution de l’air (ce qui est un bien), on risque d’augmenter dans des proportions importantes la concentration du méthane, gaz à effet de serre plus nocif que la pollution qu’on aura combattue.
Tel est le « paradoxe de la complexité » : aucun phénomène de la nature (dans la nature) n’est monovalent, c’est-à-dire n’a que des effets bénéfiques ou que des effets maléfiques. Pour reprendre les mots de Sempé : « Rien n’est simple, tout se complique. »
++ WEBTUBE : Depuis l’évacuation de la ZAD de Notre-Dame-des-Landes, en avril 2018, quelque 150 anciens zadistes continuent de vivre sur place, la majorité dans le cadre de baux signés avec le département de Loire-Atlantique, propriétaire des terrains. Mais pas tous. Des militants du mouvement Les Soulèvements de la Terre y ont implanté leur camp de base. Entre autres. En janvier, un riverain de la commune témoignait au Figaro que, sur l’un des lieux-dits concernés, les nouveaux habitants doivent cohabiter avec «un groupe d’une quinzaine de personnes errantes, qui refusent de couper la moindre branche. Des écorchés de la vie qui voudraient être cachés dans la jungle». Depuis, la jungle s’est repeuplée.
«Nantes ne doit pas devenir une ZAD»: les élus de droite et du centre critiquent la maire de la ville
++ WEBTUBE : Au lendemain de l’attentat d’Arras, Gérald Darmanin avait annoncé “l’expulsion systématique de tout étranger considéré comme dangereux par les services de renseignement”. C’était sans compter les éventuels obstacles judiciaires. Selon les informations d’Europe 1, un Algérien de 40 ans a été libéré par la justice française du centre de rétention administrative où il était retenu. Il a été relâché hier soir par la justice et raccompagné à son domicile par les policiers. Il est désormais assigné à résidence, alors même qu’il est sous le coup d’une obligation de quitter le territoire français (OQTF) depuis le mois de mai 2021, délivrée par la préfecture de police.
Le 20 octobre dernier, cet homme, fiché “S ” et inscrit au fichier des signalements pour la prévention de la radicalisation à caractère terroriste (FSPRT) était interpellé et admis au centre de rétention administrative (CRA) de Plaisir (Yvelines). À deux reprises, sa rétention a été prolongée. Mais à la troisième demande de prolongation, un juge des libertés et de la détention de Versailles a pris une ordonnance refusant d’autoriser la poursuite de la rétention.
Le parquet de Versailles et la préfecture des Yvelines ont alors interjeté appel. Et l’affaire s’est retrouvée, selon une source judiciaire, devant le conseiller délégué par le premier président de la cour d’appel. Lequel a prononcé hier soir la libération de cet étranger radicalisé en situation irrégulière, assortie d’une assignation à résidence.
++ WEBTUBE : Les utilisateurs des réseaux sociaux partagent en masse ce témoignage d’un homme d’origine africaine, qui dit habiter Paris et qui explique d’une manière très claire comment fonctionnent les aides sociales. Barbu et vêtu d’un bonnet blanc traditionnel (chez lui), cet homme plein de bon sens, avec une sincérité admirable, commence même par les conclusions : « Les Français travaillent pour moi ».
De fait, le détail de son train de vie est explicite : il perçoit 600 euros de RSA sans rien faire, les factures sont payées par les assistantes sociales, les APL font descendre le montant de son loyer à 150 euros, son pass navigo est gratuit… Bref, notre ami économe arrive à mettre 600€ de côté chaque mois. Ceci, alors même qu’il a fermement « décidé de ne rien faire ».
Tout cela, mesdames et messieurs, c’est avec vos impôts et les miens. On voudrait nous faire croire que ces clandestins, qu’on appelait hier des migrants et que l’on semble appeler aujourd’hui « des exilés », viennent nous aider à faire tourner le pays. On nous dit même (Benoît Hamon, pas plus tard qu’aujourd’hui) que l’immigration est en moyenne plus diplômée que les Français de souche… qui sont des beaufs incultes et paresseux, comme chacun sait. Le problème, c’est que les témoignages comme celui-ci se multiplient. Nos hôtes nous haïssent et nous méprisent, mais en plus, ils nous expliquent, face caméra, que nous nous levons tous les matins à six heures pour payer leurs allocations.
C’est un bon plan, ça, les aides de l’État. Ce n’est pas près de s’arrêter. Une sorte de justice décoloniale, en quelque sorte. Quel monde merveilleux.
🔴 Étonnant que les présidents de département qui veulent violer la loi immigration ne se révoltent pas plutôt contre ce genre d’individus qui se vantent d’enfler les français qui travaillent en se levant à six heures…pic.twitter.com/KQgwwrRqIW
Le magistrat Charles Prats, qui dénonce depuis longtemps la gabegie financière de notre État nounou, met l’affaire en perspective sur X : « Étonnant que les présidents de département qui veulent violer la loi immigration ne se révoltent pas plutôt contre ce genre d’individus qui se vantent d’enfler les Français qui travaillent en se levant à six heures… » Oui, dans un monde normal, ce genre de situation choquerait. Dans un monde où les élus du peuple ont le souci de leurs concitoyens, ce serait même une levée de boucliers. Mais là, pas du tout. 32 départements d’élus « Jean Moulin » en carton, préfèrent se dresser contre la bête immonde en refusant d’appliquer une loi pourtant bien timide.
Au risque de passer pour un oiseau de mauvais augure, la victoire idéologique du RN, proclamée par une Marine Le Pen décidément en pleine forme, peut encore attendre. Le système « républicain » aime la démocratie quand elle va dans son sens. Et même des millions de tweets ne suffiront pas à dessiller les yeux de ces idiots utiles qui ne veulent pas voir.
Mais au fait, n’y a-t-il pas une réciprocité entre consentement à la loi (de la part des élus) et consentement à l’impôt (de la part des contribuables) ? Comment un pouvoir qui refuse la loi du peuple peut-il espérer que le peuple obéisse à la loi du fisc ? Les gens sont vraiment trop gentils. Cons de Français, comme disent ceux qui ne le sont pas.