++ WEBTUBE : Pendant que Gabriel Attal découvre la diagonale du vide, la France périphérique et improvise des pupitres en bottes de paille, pendant que tout le monde s’agite pour les européennes, Éric Zemmour voyage. Il n’a pas oublié la France, il n’a pas oublié l’urgence de la situation, mais il a laissé à Marion Maréchal le soin de conduire la liste de Reconquête et, en attendant, il veut s’inscrire dans le temps long. C’est, en tout cas, ce que l’on est tenté de se dire en voyant les images de son voyage à Londres, ces derniers jours.
Le combat est perdu d’avance
On ne saurait trop conseiller à nos lecteurs de voir ce que Zemmour a vu. Ceux qui (mais y en a-t-il encore) imaginent Londres comme dans les années 60 (avec mannequins osseuses en mini-jupe, officiers des gardes à chapeau melon, bus à impériale, chiens de race dans Hyde Park et Bentley roulant dans les allées silencieuses de Mayfair) vont avoir un réveil pénible. Londres, en 2024, n’a pas grand-chose à envier aux quartiers les plus cradingues de Bruxelles. Complètement remplacée dans certains quartiers, comme à Whitechapel, la population anglaise résiste encore, pour la forme, ici ou là, comme les « champagne socialists » de Hampstead ou les Sloane Rangers de Kensington, mais on voit bien, dans toutes les rues, que le combat est perdu d’avance.
Ici, dans le quartier londonien de Whitechapel, les minarets ont remplacé les clochers, les boutiques halal ont remplacé les pubs, le Coran a remplacé Shakespeare et enfin, un peuple étranger a fini par remplacer les Anglais. pic.twitter.com/kEIWEJfjnK
En suivant Éric Zemmour à Whitechapel, où les panneaux sont en caractères hindous, où les portiques du métro sont très officiellement ornés du nom de l’ONG Islamic Relief, où toutes les femmes sont voilées et où un grand nombre d’hommes portent le qamis, on se dit que c’est foutu. « Il n’y a aucune créolisation, assène l’homme politique. Il y a simplement un peuple qui en remplace un autre. » C’est vrai. C’est tristement vrai. On est soudain pris de tristesse pour nos frères ennemis anglais, qu’on n’aime pas plus que ça mais à qui on ne souhaiterait pas cette mort ignominieuse, à petit feu. Alors, comme ça, tout ce qu’il restera de la perfide Albion, dans une génération, c’est une cabine téléphonique hors d’usage entourée de mosquées et de barbus ? On aurait dû le prévoir. On l’avait prévu. Les djihadistes britanniques sont une menace depuis la fin des années 90. Ils sont en paix, là-bas. Le Bill of Rights sert de parapluie à la charia, dont les partisans n’ont même pas besoin d’avancer masqués.
Et maintenant, que faire ?
Et alors, maintenant, que faire ? Éric Zemmour a terminé sa courte vidéo par deux chiffres : la France représente 40 % des logements sociaux de l’Union européenne. Et 40 % des familles maghrébines de France vivent en logement social. Ce qui arrive au Royaume-Uni est en train de se produire chez nous. Alors, oui, il y a de nombreux autres sujets d’alarme. La détresse de nos agriculteurs en fait partie. Mais la mère de toutes les batailles est la survie de notre pays. Le fait que ce reportage salutaire ait lieu dans un quartier qui se nomme Whitechapel, et où il n’y a plus ni Blancs ni chapelles, est d’une déchirante, d’une tragique ironie.
++ WEBTUBE : La gauche dans son intégralité, comme elle l’a fait lors du mouvement des Gilets jaunes, après avoir boudé le mouvement des paysans au départ, cherche à le récupérer au nom de la convergence des luttes pour la CGT et les Insoumis.Quant aux écolos, ils essaient de nous convaincre qu’ils sont les meilleurs amis des agriculteurs, mais Sandrine et Marine n’ont pas encore été vues sur un barrage. Elles ne veulent sans doute pas qu’on leur dise vertement d’aller faire la soupe…
Aude : "Va faire la soupe salope !". Les députées EELV Sandrine Rousseau et Marine Tondelier ont été prises à partie par des agriculteurs à Ventenac-Cabardès.pic.twitter.com/pum8RBhGaG
Les paysans ne doivent pas oublier ceci : cette gauche, complice de Macron, cherche à leur imposer plein de migrants africains musulmans dans leurs campagnes, de force, puisqu’ils ont multiplié les contre-manifestations partout où les habitants des zones rurales s’organisaient pour conserver leur mode de vie à la française.
Donc, des gens qui veulent grand-remplacer les paysans sont des traîtres et des ennemis, et absolument pas des alliés.
++ WEBTUBE: Sommaire: 5:43 Retour sur le portefeuille IDL 06:12 Premier graphique 09:55 Les indices non régulés par le gouvernement 12:04 Troisième graphique: Indice MSCI de tous les pays du monde et Portefeuillle IDL 13:33 Taxer la speculation sur les actions? Charles Gave vous répond. 18:06 Les deux indices anti fragiles 21:48 Les deux indices anti fragiles 30:12 Le secteur Bancaire aux USA 32:34 Les agriculteurs et le laitier. 34:05 Le rôle des SAFER
++ WEBTUBE : Emmanuel Macron est le Président de tous les records. Records de l’impopularité, de l’insécurité, de la dette publique, du déficit commercial, de la chute au classement PISA Ses contre-performances sont exceptionnelles. Mais c’est avant tout dans le domaine de l’immigration que le plus jeune président de la Ve République surpasse tous ses prédécesseurs. La France a ainsi délivré un nombre record de premiers titres de séjour l’an dernier : quelque 323.260 précieux sésames – soit deux fois plus qu’il y a 20 ans – dont les premiers bénéficiaires étaient, ô surprise, les ressortissants du Maroc, de l’Algérie et de la Tunisie. Le nombre de demandes d’asile a également continué d’augmenter en France, en 2023, pour atteindre le chiffre de 142.500, le plus haut jamais enregistré, selon l’Office français de protection des réfugiés et apatrides.
L’autre record d’Emmanuel Macron en matière migratoire porte sur les régularisations de clandestins. Toujours plus nombreux, ils étaient ainsi 34.000 « sans-papiers » à être régularisés, l’an dernier. On en arrive ainsi à un total de plus de 200.000 personnes depuis l’élection d’Emmanuel Macron. Record battu.
Stop ou encore ? Le gouvernement a tranché. Ce sera encore. Avec sa loi Immigration, il prévoit en effet la régularisation de 10.000 illégaux supplémentaires. Plus on est de fous, plus on rit. Inutile de préciser que cet article a allègrement été validé par les « sages » du Conseil constitutionnel. Le concept du « cavalier législatif » n’a d’utilité que pour retoquer les mesures vaguement restrictives… Ravi de sa loi, le Président a immédiatement demandé à Gérald Darmanin de « tout mettre en œuvre » pour que la loi « soit appliquée dans les meilleurs délais ».
Histoire de faire passer la pilule auprès d’une population française déjà passablement chauffée à blanc sur les questions migratoires, le gouvernement a étoffé son argumentaire. Les éléments de langage sont fin prêts pour faire croire que la France s’écroulerait sans ces travailleurs immigrés. « Nous avons besoin de cette main-d’œuvre », avait ainsi assuré Olivier Dussopt, selon lequel ces régularisations permettraient « d’apporter de la sécurité aux employeurs parce que, souvent, les employeurs concernés ne savent pas que leurs travailleurs sont en situation irrégulière ». C’est notamment le cas dans les fameux « métiers en tension », ces secteurs où la main-d’œuvre illégale serait devenue indispensable et dont on nous rebat les oreilles depuis quelques mois déjà.
Dans un premier temps, syndicats, presse et politiques ont joué la carte du misérabilisme. Il s’agissait alors de faire pleurer dans les chaumières en évoquant les tâches ingrates que le Français paresseux aurait déléguées aux sans-papiers courageux : ramassage des poubelles, livraison de sushis, plonge dans les restaurants… Enfin une main-d’œuvre corvéable à merci que le patronat pouvait payer au lance-pierre tout en se faisant passer pour l’abbé Pierre !
Mais cette rhétorique prenant rapidement des airs d’apologie de l’esclavage, il a fallu en trouver une autre. C’est désormais chose faite avec l’argument des « PADHUE », ces docteurs diplômés hors de l’Union européenne – venant essentiellement d’Afrique – qui seraient désormais 5.000 à exercer dans les hôpitaux publics français. Lors de sa grande conférence de presse du 16 janvier, Emmanuel Macron a affirmé sa volonté de « régulariser nombre de médecins étrangers qui tiennent parfois à bout de bras nos services de soins », assurant que ceci permettrait de « mettre fin au scandale des déserts médicaux ». Dès le lendemain, une tribune publiée dans Le Point reprenait exactement les mêmes termes. « Sans les médecins étrangers, le système de santé s’effondre », juraient les signataires. L’immigration est une chance, l’union fait la force, etc. En revanche, pas un mot sur les raisons de la pénurie de praticiens français, sur le scandale d’un numerus clausus qui n’a que trop duré, sur les façons de rendre sa souveraineté à notre système de santé. Le but de la tribune était simplement d’appeler à une régularisation urgente et massive des sans-papiers. Il se trouve, par ailleurs, que l’initiateur du texte n’est autre que Mathias Wargon, urgentiste, mais aussi mari de l’ex-ministre macroniste Emmanuelle Wargon. Un hasard, sans doute.
++ WEBTUBE : La collusion politique entre Conseil constitutionnel fabiusien et pouvoir macroniste, ne serait donc qu’une fable. Pourtant, une collusion flagrante dès la démarche du président de la République l’appelant à censurer la loi votée par sa propre majorité. Cette décision du Conseil constitutionnel fera date car, décision politique, elle a immédiatement des conséquences politiques. Laurent Fabius a réussi à amorcer ce que les intéressés ont peine à réaliser : l’union des droites, de LR jusqu’à Reconquête et au RN. En effet, jeudi soir, les trois partis de droite étaient sur la même ligne : Jordan Bardella dénonçant « un coup de force des juges avec le soutien du président de la République », Laurent Wauquiez « un coup d’État de droit ». S’ils avaient encore besoin d’une boussole pour savoir où est leur centre de gravité, Laurent Fabius vient de la leur donner : l’arrêt de l’immigration de masse fait consensus en France et l’unanimité à droite.
Pour l’opinion publique, malgré les postures et les subtilités, la leçon est claire : Fabius et Macron interdisent toute politique anti-immigration. Pour les parlementaires LR, c’est une humiliation : ils ont joué le jeu de la bonne volonté parlementaire et se retrouvent cocufiés. S’ils étaient logiques, ils devraient enfin assumer une opposition franche à Macron et amorcer un rapprochement avec RN et Reconquête. Non pas pour peser (le peuvent-ils encore ?) mais pour survivre !
Mais Laurent Fabius a fait mieux : non seulement il a démontré, en censurant tranquillement les 35 articles votés par le Parlement, que le référendum était la seule voie possible pour légiférer vraiment sur l’immigration, mais il a aussi convaincu ceux qui en doutaient encore à droite qu’une ou plusieurs modifications de la Constitution seront nécessaires, particulièrement pour clarifier les pouvoirs du Parlement et du Conseil constitutionnel, en s’inspirant des pistes préconisées, sur Boulevard Voltaire, par Guillaume Bernard.
Oui, il faut remercier Laurent Fabius. Il faut le remercier, aussi, pour le service après-vente très fébrile qu’il a rendu, vendredi soir, sur France 5 : devant le front commun de la droite, il a tenu à descendre dans l’arène… politique : « Attaquer le Conseil constitutionnel pour une décision qui est parfaitement régulière et dire » que « c’est un coup d’État, non seulement c’est faux, mais d’une certaine manière, c’est une remise en cause des institutions. Et donc je trouve ça très préoccupant », a-t-il réagi sur France 5. Plus tôt dans la journée, il avait déclaré, visiblement piqué par les déclarations des leaders de droite : « C’est très spécifique dans l’Histoire de considérer que ceux qui ont pour charge de dire le droit font un « coup d’État » contre le droit. En général, quand on développe ce genre de propos, ça fait réfléchir. »
Laurent Fabius a peur, et sa peur ne me paraît pas feinte. Que toute la droite parlementaire – et le RN en fait désormais partie – parle à l’unisson de coup d’État doit en effet le faire réfléchir. Et si, en plus, on se souvient que ce même Conseil constitutionnel, présidé par ce même Laurent Fabius, a, il y a deux ans, validé sans ergoter des restrictions de liberté jamais vues, oui, cela fait réfléchir sur l’étendue du pouvoir de cette institution et son (absence de) fondement démocratique. Ajoutées les unes aux autres, ces décisions du Conseil constitutionnel s’apparentent à un coup d’État… permanent. Laurent Fabius doit d’urgence relire Mitterrand.
Et Laurent Fabius sait mieux que personne que, lorsqu’une majorité à bout de souffle ne répond plus aux attentes populaires et utilise des prétextes juridiques ou constitutionnels pour entraver cette même volonté, tôt ou tard survient une grande alternance, comme en 1981, et que la Ve République est tellement bien faite qu’elle permet des modifications substantielles de la Constitution (combien de modifications, depuis 1958 ?) sans révolution, sans coup d’État. De quoi rassurer Laurent Fabius.
++ WEBTUBE : Leur démarche est de moins en moins rare, mais toujours courageuse. En dépit des menaces et des critiques, un nombre croissant de musulmans quittent l’islam et n’ont plus peur de le dire. Ils se montrent à visage découvert, prennent la parole dans les médias, se structurent en associations. La semaine dernière, une nouvelle étape a été franchie dans la visibilisation de ces « ex-musulmans » avec l’annonce de l’organisation d’une première « marche des apostats ». « 2024 sera l’année de la marche des apostats en France ! , a annoncé un twittos relayé par le Conseil des Ex Musulmans de France (CEMF). Il y aura une marche des apostats en France pour que les gens entendent et comprennent la parole des ex-musulmans sur l’islam. » Selon l’activiste, il s’agirait de « montrer au monde entier à quel point l’islam sunnite est une religion intolérante, criminogène, sectaire, mauvaise pour tous les êtres humains et surtout pour les femmes et les petites filles. A quel point cette religion endosse la pratique de l’esclavage, la torture. » On ne saurait mieux dire.
Mais si l’islam perd chaque jour des croyants, il ne faut pas croire que le sort des apostats s’améliore pour autant. Intimidations, insultes, harcèlement, tabassages… Le sort réservé aux ex-musulmans en France est un scandale trop peu dénoncé. Quand ils choisissent, en plus, de se convertir au catholicisme, leur quotidien prend des airs de véritable chemin de croix.
Le calvaire des musulmans convertis
L’European Centre for Law and Justice (ECLJ) avait publié en 2021 un reportage faisant état de la persécution que subissent les personnes issues de milieu musulman suite à une conversion au christianisme. On y retrouvait notamment l’humoriste Mehdi Djaadi, qui fait de son trajet spirituel atypique le sujet de son spectacle Coming Out. « Majoritairement, en islam, l’apostasie est rejetée, et dans certains pays musulmans, elle est punie de mort, expliquait-il. Pour les personnes qui se convertissent, il y a déjà une grande incompréhension dans la famille. […] Elles doivent être discrètes, elles ne doivent absolument rien dire sur leur conversion, elles peuvent recevoir des menaces psychologiques, mais aussi parfois physiques parce qu’il y a une forme de déshonneur pour la famille. Il y a tout cet environnement qui fait que la personne convertie doit vivre cachée. Si on l’apprend, il y a un rejet qui peut être très violent…»
Fondateur de l’Union des Nord-Africains chrétiens de France (UNACF), Saïd Oujibou témoignait également des dangers encourus par les musulmans convertis. Beaucoup des jeunes qu’il a accompagnés au cours de sa vie ont ainsi été agressés par leur entourage, certains même tués. « On attente à leur vie morale et physique. Il faut tout de suite les protéger. »
L’évangélisation s’organise
C’est justement pour mieux accueillir et prendre en charge ces nouveaux chrétiens qu’a été créé le Forum Jésus le Messie. Depuis 2013, ce projet missionnaire réunit à travers toute la France des convertis qui « ont soif du Christ et attendent que les chrétiens les jugent dignes de recevoir une annonce explicite ». « Longtemps pour annoncer l’Évangile aux musulmans, les missionnaires devaient traverser les mers et entreprendre de longs périples, comme saint François d’Assise allant à la rencontre du Sultan, explique le Forum. Aujourd’hui, les chrétiens qui souhaitent partager la Bonne Nouvelle n’ont souvent qu’à traverser la rue : la présence de musulmans nombreux en France rend possible une évangélisation de proximité. » Comme quoi, l’immigration peut aussi avoir du bon !
++ WEBTUBE : Personne n’en parle mais la situation se tend au Texas, où le gouverneur refuse de se plier à l’ultimatum de Biden qui exige la réouverture de la frontière avec le Mexique sous peine d’envoyer l’armée contre la Garde nationale texane. Excédé par le laxisme de l’administration démocrate qui laisse la déferlante des clandestins mexicains envahir les États-Unis, Greg Abbott, le gouverneur du Texas, a décidé de fermer la frontière et d’expulser tous les migrants illégaux pénétrant sur le sol américain. Un État faisant sécession, voilà qui ne s’était pas vu depuis longtemps. Biden menace d’envoyer l’armée restaurer la loi fédérale et ouvrir la frontière. Mais 25 États ont décidé d’envoyer leur Garde nationale en renfort pour soutenir le Texas.
L’effectif militaire de la nouvelle confédération est de 138 000 personnes sur 209 800, soit plus de la moitié de l’effectif de la Garde nationale américaine.
Donald Trump a exhorté tous les États hostiles à cette immigration sauvage à faire de même.
On le voit, ce sont les États républicains qui s’opposent à la politique immigrationniste de Biden. En pleine campagne électorale, voilà qui n’arrange pas les affaires du camp démocrate.
Greg Abbott soutient qu’il est dans son droit :
« Le Texas a l’autorité constitutionnelle pour faire exactement ce que nous faisons parce que les auteurs de la Constitution savaient qu’il y aurait des moments où le gouvernement fédéral ne ferait pas son travail et où les États auraient le droit de se défendre »
En attendant, les États soutenant le Texas envoient troupes et matériels pour protéger la frontière mexicaine et résister à une éventuelle intervention des troupes fédérales. Blindés Bradley, chars Abrams et armes lourdes arrivent sur place.
C’est quasiment une nouvelle Confédération américaine de 25 États réunis autour du Texas qui se met en place, en opposition frontale avec le gouvernement fédéral.
Le peuple texan ne reculera pas. Si Biden veut l’épreuve de force, il va tomber sur un bec.
Mais il y a fort à parier qu’il se contentera de représailles économiques contre le Texas, beaucoup moins risquées qu’un affrontement militaire qui aurait tout d’une guerre civile.
++ WEBTUBE : Rien de nouveau sous le soleil hexagonal : le système scolaire français se porte mal. Au mois de décembre 2023, le dernier classement PISA, publié par l’OCDE, révèlait une baisse significative du niveau scolaire en France, notamment en mathématiques et compréhension de l’écrit. L’occasion pour certains de s’affranchir du politiquement correct en abordant le tabou de l’immigration et son impact sur les résultats des élèves. En ce début d’année 2024, c’est cette fois un rapport parlementaire présenté mercredi 24 janvier par la mission d’information sur l’apprentissage de la lecture à la commission des affaires culturelles qui dresse un état des lieux plus que préoccupant.
Le document met ainsi en exergue les difficultés rencontrées par les enfants dans l’apprentissage de la lecture à l’école primaire. Lecture qui est présentée par le rapport comme étant un « savoir fondamental », dont la transmission est contrariée par des « difficultés structurelles que rencontre l’école » en France.
Les élèves en voie d’illettrisme ?
Lors de la présentation du rapport qu’elle portait en compagnie du député Fabrice Le Vigoureux (Renaissance), la députée Annie Genevard (LR) a notamment indiqué qu’en 2022, « 28% des élèves en début de CE1 n’étaient pas en mesure de lire de manière satisfaisante des mots à voix haute ».
Un constat presque aussi alarmant que les « 45% des élèves entrant en 6e cette année-là qui n’atteignaient pas la vitesse de lecture attendue des élèves en fin de CM2 ».
Mais l’inquiétant tableau dépeint par le rapport parlementaire ne se limite pas exclusivement aux très jeunes enfants. Le document met également en évidence des problèmes de lecture chez les adolescents et les jeunes adultes. Et s’appuie sur des évaluations de lecture qui ont été effectuées lors des Journées Défense et Citoyenneté (JDC), une journée d’appel obligatoire pour le recensement des jeunes de 16 à 24 ans.
À ce titre, il s’avère qu’en 2022, 11,2% des participants à la JDC ont présenté « de grandes difficultés dans le domaine de la lecture ». Tandis que près de 5% « pouvaient même être considérés comme se trouvant dans une situation d’illettrisme ».
Le niveau de formation des enseignants en question
Pour les rapporteurs parlementaires, cet échec manifeste de l’Éducation nationale dans l’une de ses missions fondamentales représente « un scandale d’État ». Les auteurs du document confiant par ailleurs que seulement 65 % de ces jeunes Français âgés de 16 à 24 ans présentaient des acquis jugés suffisants.
Quant aux causes potentielles invoquées par les députés ayant pris part à la mission d’information pour tenter d’expliquer un tel déclin du niveau de lecture, ils ont mis en avant plusieurs facteurs, du manque de moyens à l’école en passant par les problèmes de méthode et le manque de formation des enseignants.
La forte exposition aux écrans et la place du numérique sont aussi questionnées. L’utilisation des écrans dans les salles de classe mais aussi à la maison pourrait avoir pour conséquence, selon le rapport, de perturber l’apprentissage de la lecture.
« Si certains outils numériques présentent incontestablement un intérêt, notamment pour les enfants ayant des difficultés particulières (troubles dys, déficits auditifs, etc.) l’utilisation de tablettes ou d’ordinateurs à l’école n’entraîne, globalement, aucune amélioration des performances en écriture et en lecture. Au-delà d’un certain seuil d’utilisation, c’est même l’inverse qui se produit », peut-on lire dans le document rédigé par les parlementaires.
Autre chiffre alarmant relevé par la mission d’information sur l’apprentissage de la lecture, seuls 34 % des professeurs des écoles français pensent être prêts à enseigner à l’issue de leur formation, contre 65 % à 85 % dans les autres pays…
++ WEBTUBE : Est-ce le début de la fin de l’islam comme l’avait prévu le prophète Mahomet ? Seul Allah et son protégé et ami Mahomet le savent. Selon la tradition islamique, Mohammed Ibn Abdellah, le sacré propagateur de la religion de paix et d’amour, a prévenu ses adeptes que : « L’islam a débuté étranger, et il redeviendra étranger comme il a commencé, que les étrangers soient donc récompensés ». Ce hadith est rapporté dans sahih Muslim. Ces paroles sont citées dans de nombreuses compilations des hadiths authentiques, par Muslim , selon Abû Hurayra, Ibn Mas’ûd et Anas Ibn Malik,(le fondateur de l’une des quatre écoles du sunnisme).
Il y a aussi le hadith d’Ibn ‘Umar rapporté par Muslim avec l’ajout suivant : « … et la religion va se réfugier entre les deux Mosquées sacrées (de La Mecque et de Médine) comme le serpent qui retourne dans sa tanière. » ( sahih Muslim N° 146).
Il y a des indices qui ne trompent pas. En effet, l’islam commence à refluer en ce début du XXI siècle. Déjà, à Dar-Al-Islam où la montée en puissance de l’apostasie sonne comme une annonce de la mort du cygne, malgré des lois répressives qui peuvent aller jusqu’à la décapitation des apostats ( mourtaddines). Ajouter à ce phénomène souterrain de grande ampleur qui s’affiche surtout sur les réseaux sociaux ( notamment sur Tik Tok) où des anciens ‘savants islamiques’ devenus des imams de l’apostasie détruisent l’islam en étalant sa vraie nature totalitaire et criminelle, surtout contre les femmes et les mécréants, que les ‘sachants de la dissimulation ’ diluent dans des discours moralisateurs et trompeurs. Avec des versets coraniques et des hadiths à l’appui, ces courageux apostats démontrent aux musulmans qu’ils suivent une religion de violence et de mensonge qui s’appuie sur des légendes et des mythes dont ils sont les premières victimes depuis 1400 ans.
Comme l’endoctrinement est la base de l’islam, avec pédagogie et maîtrise du coran et de la sunna, les exégètes de l’apostasie démontrent qu’Allah et Mahomet agissent comme de véritables gourous en vue de soumettre les musulmans afin d’en faire des soldats maniables, prêts à se sacrifier pour des causes injustes d’un dieu misogyne et barbare, sans aucun signe de tolérance, ni d’amour, envers les non musulmans et surtout les femmes qu’il assimile à des bêtes dépourvues de neurones.
Allah, n’est-il pas, selon le coran, un raciste sans grande envergure, obligé d’utiliser ses adeptes pour le protéger des railleries ?
Un dieu qui sème la terreur et la désolation, incapable d’apporter une brindille de fraternité sur terre, mérite-t-il qu’il soit adoré?
C’est un régal que d’écouter ces apostats apporter la contradiction aux ‘chouyoukhs’ qui désertent le combat en raz campagne faute d’arguments crédibles. Tenez-vous bien, au bout d’une minute, pas plus, ils quittent la confrontation en insultant et en menaçant leurs contradicteurs.
Une lame de fond de l’apostasie est en train de grossir en terre d’islam…
Ce tsunami, va-t-il emporter l’islam, cette religion de la pédophilie et du crime organisé ?
Le développement fulgurant des réseaux sociaux est une aubaine pour la propagation de l’apostasie en terre d’islam, qui, jusqu’à là, était protégée par la censure et la dictature des gouvernants qui ont fait alliance avec l’autorité religieuse islamique afin de maintenir les masses musulmanes et de surcroit incultes dans l’ignorance sacralisée.
Avec la liberté trouvée sur le net, les langues commencent à se délier et l’islam est en train de subir les premières convulsions provoquées par ceux qui sont censés montrer le chemin d’Allah. Quel retournement de l’histoire ! Et quel bonheur !
Ces apostats de l’islam, dont une grande partie ont baigné dans une atmosphère islamique et qui ont fréquenté des universités comme Al-Azhar, sont les porteurs d’espoir du monde islamique de demain. Ils sont les lumières tant attendues de l’émancipation des musulmans dont certains s’aperçoivent qu’ils ont été bernés depuis des siècles et notamment les femmes, car elles sont les premières victimes de la religion de paix et d’amour.
Les apostats appuient là où ça fait mal à l’islam.
En racontant et en répétant sans arrêt, l’histoire du mariage d’Aïcha, à peine âgée de six ans avec Mahomet avec la bénédiction d’Allah, les apostats déstabilisent les tenants de l’orthodoxie islamique. En effet, selon la tradition islamique, Mahomet s’était marié d’Aïcha à peine âgée de six ans à la Mecque, et dont le père n’était autre qu’Abou Baker Siddiq, son ami et son compagnon de la première heure. Puis, il avait consommé le mariage à Médine, quand elle avait atteint l’âge de neuf ans. Et le sacré beau modèle de Médine en avait cinquante-quatre !
Par ce mariage avec Aïcha, devenue la mère des croyants, Mahomet a légalisé religieusement la pédophilie ( le verset 49 de la sourate 33, le verset 4 de la sourate 65 et les vingt-un hadiths confirment cette horreur).
Mais ce mariage pré-pubère passe difficilement auprès de nombreux musulmans, seuls les pervers le revendiquent encore, car d’après eux, c’est Allah qui l’autorise, donc il est valable jusqu’à la fin des temps. Le remettre en cause, c’est quitter l’islam. C’est apostasier.
D’ailleurs, tous les ‘savants de l’islam, sunnites comme chiites admettent que le mariage des fillettes fait partie de la charia, et le remettre en cause, c’est porter atteinte au symbole de la sagesse du ‘bien aimé’ Mahomet.
Le comble, c’est que beaucoup de musulmanes, tombées sous le charme diabolique de Mahomet, acceptent encore que leurs filles deviennent des objets sexuels au service du plaisir bestial ( immoral) des hommes pour plaire à Allah et à son prophète Mohamed Ibn Abdellah, de peur de finir en Enfer, le jour du jugement dernier.
Ces pauvres femmes, ne sont-elles pas endoctrinées jusqu’à la moelle épinière ?
L’islam n’a -t-il pas carrément détruit leur instinct maternel ?
Allah, n’est-il pas, avec son apôtre, l’unique responsable de leur faillite morale ?
Ne sont-elles pas devenues des perverses par la faute d’un dieu narcissique et vengeur ?
Grâce au travail pédagogique des apostats, le monde entier découvre peu à peu la perversité de l’islam, son immoralité, sa pédocriminalité et sa dangerosité.
Par des arguments tirés du coran et de la sunna tels que l’esclavage, la polygamie, la misogynie, la haine, le racisme, les conquêtes, le djihad, le viol, le vol et le butin de guerre, les apostats mettent à nu la prétendue religion de paix. En un mot, ils sont en train de la déshabiller. Et, il était temps.
Une des conséquences des enseignements barbares de l’islam, c’est l’explosion des agressions sexuelles contre les femmes et les filles en terre impie, notamment en Occident où les cavaliers d’Allah imposent déjà leur idéologie avec la complicité de l’oligarchie.
Pendant ce temps, la gauchiste collabo et les mondialistes crient : ‘pas d’amalgame’ pour les dédouaner.
Contre vents et marées, les apostats détricotent avec rigueur la sacralité de Mahomet et du coran, même en Occident, malgré le déni de l’oligarchie politico-médiatique qui continue à cacher les atrocités islamiques.