. Essonne : après avoir lynché un Blanc, sursis et pas de mention au casier pour que le migrant camerounais puisse renouveler son titre de séjour

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°° WEBTUBE : Après une agression particulièrement sauvage et violente (la victime en reste défigurée), un homme de nationalité étrangère a été condamné ce mardi à 6 mois de prison avec sursis.Mais la justice a décidé de ne pas inscrire cette condamnation dans son casier… pour lui permettre de renouveler son titre de séjour. Plutôt étonnant, comme toute cette affaire d’ailleurs.

Voici précisément ce qui s’est passé:

Les faits remontent au 23 mars, dans l’Essonne (91). A cette époque, la victime et son agresseur sont inscrits dans le même club de basket.

Un entrainement a lieu ce jour là, au gymnase de Marolles en Hurepoix. Tout se passe bien, l’équipe s’entraine, sauf que l’agresseur, un certain Nevil B., âgé de 22 ans, de nationalité camerounaise, se montre particulièrement agressif et mauvais joueur.

A la fin de l’entrainement, il provoque à plusieurs reprises la victime, lui propose même de se battre ce que la victime, Mickaël, refuse en expliquant qu’il a plus de 40 ans, qu’il est père de deux enfants et donc qu’il n’a plus l’âge de se battre.

Après l’entrainement, ce dernier se rend dans les vestiaires pour prendre sa douche. Nevil l’y rejoint et l’agresse sauvement, par surprise, en lui portant plusieurs coups : au premier, la tête de Mickaël ricoche contre un casier. Il s’effondre et perd connaissance, mais l’agresseur continue de le frapper au sol.

Un co-équipier arrive rapidement sur place pour porter secours à Mickaël, allongé et en sang. Il hallucine : « Tu as vu ce que tu as fait ? Dit-il à Nevil. On est obligé d’appeler les pompiers et les gendarmes », ce à quoi l’agresseur lui répond, déterminé: « c’est quoi ton problème, tu veux que je m’occupe de toi, toi aussi ? ».

Le co-équipier se réfugie alors dans les toilettes pour appeler les secours. Interrogé plus tard par les gendarmes, il confiera avoir été déjà menacé par l’agresseur la saison précédente, après avoir réussi un dribble : « Ne fais plus jamais ça, tu ne me connais pas, tu ne sais pas qui je suis, je t’ai déjà vu avec tes enfants, la prochaine fois je te dévisse la tête » lui aurait dit Nevil. Ce co-équipier n’avait toutefois pas porté plainte…

Résultat, c’est Mickaël qui s’est fait « dévisser » la tête ce 23 mars. Gravement blessé au visage lors de cette agression dans les vestiaire, il devra subir plusieurs opérations chirurgicales dans les jours qui suivent pour reconstituer son visage, qui ne sera jamais tout à fait le même (la partie droite, qu’il ne ressent pas tout à fait, est restée enfoncée. Une ultime opération pourrait être tentée, mais risquerait de dégrader sa vue).

Les séquelles auraient pu être pires. Le co-équipuier qui a porté secours à Mickaël déclarera aux enquêteurs: « J’étais angoissé sur le moment et je suis content aujourd’hui que ça n’engage qu’une chirurgie faciale, parce que vu son état, j’avais très peur que son cerveaux soit attaqué, puisqu’il n’arrivait pas à répéter son âge deux fois de suite aux pompiers. »

Mickaël a été arrêté pendant 1 mois. Il s’est vu attribuer plus de 20 jours d’ITT, ce qui est beaucoup pour une agression physique. Un an après, il repense encore à cette agression qui a profondément ébranlé sa joie de vivre, son humeur, autrement dit sa personnalité. Il y repense chaque fois qu’il voit son visage dans le miroir, c’est à dire tous les jours.

Vu la simplicité des faits, et leur violence, Mickaël aurait pu espérer que la justice soit à la fois rapide et sévère. Or, celle-ci n’a été ni rapide, ni sévère, bien au contraire: il faudra d’abord attendre trois mois pour que Nevil soit interpellé et placé en garde à vue (durant six heures, seulement), alors même qu’il avait reconnu les faits en envoyant un message d’excuse (voir en commentaire). Le 27 novembre, la justice informe Mickaël que l’affaire a été classée… avant de faire savoir, trois semaines plus tard, que c’est une erreur et que son agresseur sera bien jugé le 13 février, c’est à dire 11 mois après les faits.

Non seulement la justice n’a donc pas été rapide, mais on ne peut pas dire que la peine décidée soit particulièrement sévère…

L’agresseur, qui avait un casier vierge, a été jugé en CRPC: comparution en reconnaissance préalable de culpabilité.

Ce mode de jugement, réservé aux délits mineurs comme les délits routiers, nécessite que l’auteur ait reconnu les faits. En bref: le procureur convient d’une peine avec le mis en cause, puis, si le mis en cause accepte cette peine et se montre coopératif, cette peine est validée par un juge lors d’une brève audience. Faute avouée, à moitié pardonnée, telle est la logique de cette procédure. On peut s’étonner que l’auteur ait pu en bénéficier vu la graviter des faits…

Mais continuons: Nevil, l’agresseur, a donc été jugé via une CRPC ce mardi et condamné à 6 mois de prison avec sursis, soit bien moins que la peine prévue par le code pénal qui indique que « les violences ayant entraîné une incapacité totale de travail pendant plus de huit jours sont punies de trois ans d’emprisonnement et de 45 000 euros d’amende. »

Autre décision étonnante, la justice a fait une fleur à l’agresseur en acceptant de ne pas mentionner sa condamnation au casier judiciaire (B2)…. afin qu’il puisse renouveler son titre de séjour, parce qu’il est de nationalité camerounaise.

Mickaël de son côté, avait lui aussi formulé une demande: que son agresseur soit visé par une mesure d’éloignement de l’Essonne, pour ne pas le recroiser. Cette « fleur » lui a été refusée. On lui a simplement conseillé d’appeler la gendarmerie au cas où son agresseur s’approcherait de lui. Incompréhensible pour lui:

« Je savais que le justice était lente, qu’elle n’était pas toujours à la hauteur, mais je ne pensais pas qu’on était dans des cas aussi extrêmes. Pour moi, c’est incompréhensible » explique Mickaël, dont le témoignage a été diffusé hier dans #SoirInfo.

Lu dans R.P.

. Effondrement de la civilisation : l’Africaine Aya Nakamura aux « Victoires de la Musique »

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°° WEBTUBE : J’aurais mis moins de courtoisie dans la critique, mais en effet cette personne un peu « ronde », avec un nom d’emprunt japonais qui fait du bruit primitif, incarne bel et bien la déchéance des arts sous l’effet du remplacement démographique.

Il faut tout de même écouter un truc au hasard pour mesurer l’ampleur du naufrage. On se croirait dans un bar en palettes de Bamako.

La chanson est un art mineur et, en général, un truc de femmes. Les femmes ont besoin de s’identifier à une femme qui met des mots simples sur ce qu’elles ressentent à propos de leur quotidien.

Par exemple, l’autre « révélation » de ces Victoires de la Musique est une Zaho de Sagazan. Elle a fait une chanson sur les femmes qui essayent d’arrêter de fumer.

Quelques aspirations et la spirale commence Pour de l’inspiration madame caresse la démence Mais jamais ne s’arrête et jamais ne s’arrêtera Cette voix dans la tête qui toujours la ramènera À sa jolie cigarette Sa jolie cigarette C’est sa dernière cigarette De celles qui font tourner la tête Quelques aspirations et la spirale recommence Pour de l’inspiration je deviens bête tout devient dense Mais jamais ne s’arrête et jamais ne s’arrêtera Cette voix dans la tête qui toujours me ramènera À ma jolie cigarette Ma jolie cigarette C’est ma dernière cigarette De celles qui font tourner ma tête Tourner la tête, tourner la tête, Tourner la tête, tourner ma tête Dernière cigarette, dernière cigarette, dernière cigarette Ce sera ma dernière cigarette Je veux une dernière cigarette Dernière cigarette Dernière cigarette Ce sera ma dernière cigarette Je veux une dernière cigarette Dernière cigarette Dernière cigarette Ce sera ma dernière cigarette Je veux une dernière cigarette Dernière cigarette Dernière cigarette Ce sera ma dernière cigarette Je veux une dernière cigarette Dernière cigarette Dernière cigarette Ce sera ma dernière cigarette Je veux une dernière cigarette Dernière cigarette Dernière cigarette Ce sera ma dernière, dernière, dernière cigarette

Sur la forme, c’est à peu près tout ce qui ne va pas chez les Françaises de race blanche en 2024. Voix masculine et monocorde de tabagique, énergie vitale à zéro, dépressive narcissique. C’est justement ce qui remporte les suffrages des Françaises tabagiques, dépressives et égoïstes, forcément.

Ces voix d’hommasse accroc à la clope sont une nouveauté du 21e siècle. Il y a 50 ans, les femmes françaises étaient encore féminines, réservées, et savaient se tenir.

Du coup, Aya Nakamura, contrairement à l’autre, a au moins pour elle de renvoyer de l’énergie positive, même si cette énergie provient de l’âge de pierre.

Et, dans le registre de la chansonnette, les Américains ont la princesse aryenne Taylor Swift sur le marché.

Les Sud-Coréens, eux, ont des traînées en bonne condition physique qui suivent un entraînement militaire et une sélection impitoyable pour ressembler à quelque chose sur scène.

Nous, nous avons des chanteuses qui font des textes.

C’est atroce.

Lu dans D.P.

. En 1995, quand je dénonçais les dangers liés à l’espace #Schengen (trafic de drogue, terrorisme islamique, #immigration clandestine…), on me répondait que je voulais « flatter certaines peurs » !

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°° WEBTUBE : Presque 30 ans plus tard, qu’en pensez-vous ?

. 1.300 euros la nuit d’hôtel : la vie de palace de Delphine Ernotte

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°° WEBTUBE : Rien n’est trop beau pour Delphine Ernotte. Ni trop luxueux. Quand elle est en déplacement professionnel, la patronne de France Télévisions ne transige pas avec le confort. Des couverts en argent et des draps de soie, cela va de soi. Du cinq étoiles, c’est un minimum. Madame veut du palace et pas du Novotel ou de l’hôtel Ibis. Ah non, sûrement pas ! Ça, c’est bon pour les sans-dents. Au mois de mai dernier, par exemple, la baronne du petit écran est allée passer une dizaine de jours à Cannes en compagnie de trois collaborateurs. Le petit groupe a posé ses valises griffées au Majestic, luxueux établissement de la Croisette. Montant : 112.123 euros. Une bagatelle pour des personnalités de ce standing, mais une petite fortune pour le commun des mortels. Avec des tarifs à plus de 1.300 euros la nuit, on est loin en effet de ce que s’offre d’ordinaire le service public. Selon nos confrères de Marianne, le forfait alloué aux salariés « normaux » ne dépasse pas… 74 euros.

Un goût du luxe qui passe mal

Évidemment, cette différence de traitement ne pouvait pas laisser les syndicats indifférents. Une plainte pour « détournement de fonds » et « abus de confiance » a ainsi été déposée, le 12 février dernier, contre Delphine Ernotte. Le syndicat CFE-CGC souligne des faits qui « soulèvent des préoccupations quant à la gestion financière de France Télévisions et à la légitimité des dépenses ».

Dans sa plainte, consultée par le quotidien La Lettre, l’avocat du syndicat évoque notamment deux suites, la « Prestige Mer » et la « Deluxe Ville », respectivement à 1.759 et 1.319 euros la nuit. Le petit déjeuner et le mini-bar étaient-ils compris dans le forfait ? L’histoire ne le dit pas…

Petit arrangement entre amis

Mais pour la direction de France Télévisions, tout ceci n’est que polémique stérile. Circulez, y a rien à voir. Tout a été fait dans les règles de l’art. « Pas un euro d’argent public n’a été utilisé pour ces frais », jure-t-on dans l’entourage de dame Ernotte. Et pour cause : c’est une société privée dénommée TEC qui a réglé la note. Pour arriver à ses fins, France Télévisions a eu recours à l’ingénieux système de « barter », permettant au groupe d’échanger un espace publicitaire invendu contre des services. En clair, le principe est le suivant : je te file un espace publicitaire et tu me paies mes nuits d’hôtel. Rien d’illégal à ce troc, certes, mais rien de très moral non plus. N’aurait il pas été possible de faire en sorte que ce « service » à 100.000 euros profite à l’ensemble du groupe – voire aux usagers – du service public, plutôt qu’il serve à financer le train de vie dispendieux de sa patronne ? L’idée n’a manifestement pas traversé l’esprit de Delphine Ernotte. Qu’elle ne saisisse pas, en plus, en quoi ce petit arrangement financier peut choquer en dit long sur la déconnexion et le sentiment de toute-puissance de la petite élite dont elle fait partie.

Jean Kast, Boulevard Voltaire

. Marine atomise Olivier Véran en pleine assemblée !

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°° WEBTUBE : Quelques minutes plus tard, @MLP_officiel atomise @olivierveran qui quitte l’Assemblée nationale en longeant les murs.

. Eric Naulleau : sur CNEWS, une liberté totale face à la censure !

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°° WEBTUBE : Alors que le Conseil d’État censure CNEWS dans une décision inédite, nous avons reçu Éric Naulleau qui y est chroniqueur, pour revenir sur de nombreux sujets passionnants : la gauche et l’extrême gauche, la dérive de Mélenchon, l’attaque du 7 octobre et la vie quotidienne sur CNEWS !

. Réponse de Geoffroy Lejeune à Reporter Sans Frontières après l’attaque envers CNEWS

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°° WEBTUBE : « J’ai été quotidiennement insulté, lynché et traité de tous les noms durant tout l’été par la presse de gauche. Où était Reporters sans frontières ? » – @GeoffroyLejeune, directeur de la rédaction du JDD.

. Le coup de gueule salutaire de Robert Ménard à l’antenne de CNews

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°° WEBTUBE : En France, si vous êtes fiché journaliste de droite, vous êtes fichu : c’est ce que Reporters sans frontières veut nous faire comprendre. Il suffit de lire l’édito de Gabrielle Cluzel, ce mardi 13 février, pour saisir toute la problématique de la « fatwa » lancée par Christophe Deloire, directeur général de Reporters sans frontières, et le Conseil d’État contre CNews, en passe de devenir la première chaîne d’information de France et pour les Français.

Reporters sans frontières : une auto-trahison

« Quand on a créé Reporters sans frontières, c’était exactement pour pas avoir cette attitude-là », lance, « atterré », Robert Ménard, l’un des co-fondateurs de cette organisation non gouvernementale (qui a vu le jour en 1985), à l’actuel secrétaire général de RSF qui s’est invité sur le plateau de CNews. L’actuel maire de Béziers et, par ailleurs, l’un des fondateurs de BV, a voulu rappeler l’origine du projet de RSF : « Qu’un certain nombre de points de vue jamais entendus » le soient enfin, le « boulot » n’étant pas d’être « l’arbitre des élégances ou de dire ce qu’il convient de faire, ou de ne pas faire ». Et d’insister, enfin, sur la nécessaire publicité d’opinions parfois dérangeantes. Au cœur de la réflexion – et du coup de gueule ! – de Robert Ménard, cette même philosophie qui l’amena à la création de notre média en 2012, aujourd’hui vaillamment porté par Gabrielle Cluzel et toute l’équipe de rédaction. Philosophie illustrée par cette sentence, improprement prêtée à Voltaire : « Je défendrai mes opinions jusqu’à ma mort, mais je donnerai ma vie pour que vous puissiez défendre les vôtres »).

Mais cette trahison des valeurs mêmes qui étaient à l’origine du projet de Reporters sans frontières ne se limite pas à cette inquiétante et récente dérive (quoique certainement mijotée depuis un moment) : c’est une trahison du sens même du journalisme, comme l’ont rappelé à Christophe Deloire les invités de droite (et de gauche !) du plateau de Pascal Praud, ce mercredi matin. « À partir de quand considérez-vous que nous sommes dans le commentaire et non dans l’énoncé de faits ? » lui somme de répondre Charlotte d’Ornellas. « Vous dites « CNews teste la démocratie » mais vous n’êtes pas fichu de nous expliquer en quoi », assomme à son tour l’homme de gauche Éric Naulleau.

À ce sujet — [EDITO] Dans la série « Qui veut la peau de CNews », voici… le Conseil d’État !

Boycottés contre notre gré

Au-delà des considérations techniques et du débat (certainement intéressant) sur ce qu’est et ce que doit être le journalisme, la véritable question au cœur de cette polémique est posée par l’homme fort de CNews, Pascal Praud : « Quand Sophie Binet voit un micro de CNews et refuse de parler, comment je fais ? Quand j’invite Sandrine Rousseau et qu’elle ne veut pas venir, comment je fais ? C’est eux qui ne veulent pas venir ! » À qui la faute ? À qui la responsabilité sur ce « manque de pluralisme » imputé à la chaîne ? À ceux qui remuent ciel et terre pour avoir Mathilde Panot ou Danièle Obono en plateau, où à ceux qui refusent prestement ces invitations ? À La France insoumise qui va, toute honte bue, là où on ne veut pas d’elle mais refuse les lieux où on ne cesse de la quémander ? La réponse est dans la question.

Pourquoi CNews et BV dérangent

Christophe Deloire est venu sûr de lui et confiant (et de sa propre initiative) pour s’expliquer ce mercredi matin chez CNews. Il n’a commis qu’une erreur : celle d’avoir sous-estimé les journalistes et chroniqueurs de l’antenne, qui ont précisément fait leur travail en lui posant les questions qu’il fallait. Résultat : tout le monde a compris. Chaque spectateur aura bien compris ce qui dérangeait, au fond, Reporters sans frontières, le Conseil d’État et l’Arcom : que des médias, enfin, permettent aux Français d’accéder à une information vérifiée, authentique, fiable, mais surtout représentative du réel. Et avec un certain succès.

Jordan Florentin, Boulevard Voltaire

. Estelle Youssoufa s’emporte contre les “âneries” d’un député LFI : «Vous êtes d’une mauvaise foi inouïe quand vous parlez de Mayotte»

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°° WEBTUBE : « Je vous ai laissé débiter des âneries, j’ai rien dit. Donc vous allez supporter d’entendre des faits vérifiés » Échange tendu entre la députée de Mayotte Estelle Youssouffa et le député LFI François Piquemal

. Paniqué, Stéphane Séjourné lance la chasse aux sites pro-russes

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°° WEBTUBE : La guerre informationnelle va s’amplifier. L’Occident paniqué ose tout Décidément, l’interview vérité de Poutine par Tucker Carlson n’arrête pas d’agiter la sphère russophobe et d’inquiéter les otaniens intégristes, qui proposent de contre-attaquer en inondant les réseaux de fake-news antirusses. Comme si ce n’était pas déjà le cas ! En matière de propagande et de mensonges d’État, je crois que Washington détient la palme d’or et peut compter sur ses supplétifs européens pour relayer aveuglément les pires machinations. Mais tout cela n’a rien de bien nouveau. Je ne connais aucune guerre qui échappe à la propagande des deux camps. Diaboliser l’ennemi et démoraliser ses soutiens, cela fait partie des défis à relever lors de chaque conflit. C’est ainsi que les ministères français de la Défense et des Affaires étrangères, ainsi que l’agence Viginum qui scrute les ingérences numériques étrangères, révèlent un réseau russe de désinformation et de manipulation visant entres autres l’Ukraine, l’Allemagne, la Pologne et la France. (source Figaro)

Ce réseau nommé “Portal Kombat”, diffuserait des contenus prorusses trompeurs, censés affaiblir le soutien occidental à l’Ukraine. Faut-il s’en étonner ?

Quand on voit combien les peuples occidentaux sont maintenus dans l’ignorance sur la réalité du conflit par les médias mainstream, ou bien sont carrément trompés par des soi-disant experts qui affirmaient que la Russie serait à genoux en trois mois, il n’y a pas de quoi jouer les vierges outragées face aux manipulations russes.

“Portal Kombat” repose sur un réseau de 193 portails d’information chargés de diffuser la bonne parole prorusse. Le site “Pravda”, entre autres, est présent dans tous les pays occidentaux.

Que le Kremlin pilote cette guerre informationnelle n’a rien de surprenant.

Cela dit, le fait que Paris mette en garde les Français contre la désinformation russe n’abuse personne. Ce n’est pas cette mise en garde qui accordera un label de virginité aux Occidentaux, virtuoses du mensonge d’État et des manipulations criminelles pour obtenir l’adhésion des peuples à leurs entreprises machiavéliques.

Rappel à nos donneurs de leçons détenteurs de la vérité !

– Personne n’a oublié la fable des charniers de Timisoara, sur laquelle se sont jetés les médias sans la moindre preuve. Un dérapage médiatique retentissant.

– Personne n’a oublié Colin Powel agitant sa petite fiole d’eau bénite, en nous disant que c’était une arme de destruction massive détenue par Saddam Hussein, pour justifier l’invasion de l’Irak.

– Personne n’a oublié la fable otanienne affirmant que les Serbes jouaient au foot avec les têtes de Albanais du Kosovo, pour mieux lancer une armada de 1 000 avions contre Belgrade.

– Personne n’a oublié que Poutine est mourant depuis février 2022, atteint de multiples cancers tous incurables.

– Personne n’a oublié que le Tsar devait être renversé en 2022, alors qu’il va être réélu en avril 2024 avec un score de roi nègre.

– Personne n’a oublié le massacre de Boucha, mis sur le dos des Russes, alors qu’ils avaient quitté les lieux depuis trois jours quand ce “crime de guerre” a curieusement et soudainement été découvert dans les rues.

– Personne n’a oublié que les Russes n’avaient plus de munitions depuis mars 2022.

– Personne n’a oublié que les Russes prennent les puces des machines à laver pour construire leurs missiles. Pour information (et ce n’est pas une fake), les Américains n’ont toujours rien compris au domaine hypersonique et en sont à leur énième échec.

– Personne n’a oublié que selon nos médias, les jeunes soldats russes en pleine débandade téléphonaient à leur mère en pleurant.

– Personne n’a oublié que Bruno Le Maire allait terrasser l’économie russe en trois mois. En fait la croissance russe en 2023 est supérieure à celle de l’Europe et même à la moyenne mondiale.

– Personne n’a oublié que l’Otan nie farouchement la présence de néo-nazis en Ukraine, alors que Kiev vénère régulièrement le sinistre boucher Stephan Bandera, coupable des pires atrocités.

– Personne n’a oublié que l’Occident met la destruction de NordStream2 sur le dos des Russes, alors que Biden lui même a avoué que les Américains allaient le faire sauter.

– Personne n’a oublié que l’Otan arme Kiev depuis 2014 contre les populations russes du Donbass, tout en clamant que c’est Poutine l’agresseur.

– Personne n’a oublié que Paris et Berlin ont enterré les accords de Minsk pour mieux tromper Poutine.

– Personne n’a oublié que les promesses de non élargissement de l’Otan à l’Est, faites aux Russes en 1991, ont été trahies par l’Otan.

– Personne n’a oublié que par trois fois les Anglo-Saxons ont saboté les négociations de paix depuis mars 2022. Qui est l’agresseur ? Qui veut la guerre ? L’Ukraine est détruite, l’Europe est ruinée, mais l’Amérique s’enrichit avec les secteurs de l’armement et de l’énergie, en pleine euphorie.

En conclusion, l’Histoire regorge de mensonges et de manipulations machiavéliques pour atteindre le but fixé. Mais avant de donner des leçons de morale au monde entier, l’Occident, responsable de quasi toutes les guerres et les coups d’État depuis 1945, ferait mieux de balayer devant sa porte.

On notera que ce sont les médias mainstream qui sont les plus menteurs et les plus gros propagateurs de fake news. En France, il n’y a pas de censure nous dit le ministre Séjourné, mais ce sont les sites de réinformation comme RL que Darmanin rêve de fermer.

Qui peut encore croire que la France est une démocratie modèle et reste le pays de la liberté ?

Macron ment et n’a rien d’un démocrate, dès lors qu’il gouverne contre le peuple en lui refusant la voie référendaire sur les sujets majeurs comme l’immigration. La 30e loi sur ce sujet existentiel est une farce grotesque.

Jacques Guillemain, Riposte Laïque