Écoutez les paroles de Mahjoub Mahjoubi lors d’un prêche. Cet individu est l’imam de Bagnols-sur-Céze, président des mosquées du Gard Rhodanien et vice-président du conseil départemental du culte musulman. De nationalité tunisienne, que fait-il encore chez nous @GDarmanin ? pic.twitter.com/4AuRukdaHd
La réponse de Macron à Thomas Gibert, réduisant les agriculteurs à des gagnants ou des perdants, témoigne de son mépris total envers leur réalité.
°° WEBTUBE : Les agriculteurs ont décidé de remettre la pression sur le gouvernement en organisant de nouvelles actions, symbolisées par un rassemblement devant le château de Chambord. C’est dans ce contexte tendu que Gabriel Attal a tenté d’apporter soutien et compréhension aux agriculteurs, notamment à travers une rencontre avec une agricultrice au bord des larmes. Celle-ci, exprimant sa détresse financière et son désarroi face à l’absence de solutions, lance un appel poignant à l’aide. Les petites exploitations, fragilisées par les aléas du marché et les pressions économiques, se retrouvent dans une situation critique, nécessitant un soutien urgent des autorités.
🚜 "Nous, les petites exploitations, on craque": le Premier ministre Gabriel Attal est interpellé par une agricultrice en pleurs dès son arrivée dans une exploitation de la Marne, à dix jours du Salon de l'agriculture #AFPVertical ⤵️ pic.twitter.com/hPVg1NS6Cx
Cynisme gouvernemental Les espoirs des agriculteurs quant à une écoute bienveillante de leurs préoccupations se sont heurtés au cynisme gouvernemental, selon Thomas Gibert de la Confédération paysanne. La réponse de Macron, réduisant les agriculteurs à des « gagnants » ou des « perdants », témoigne d’un mépris total envers leur réalité quotidienne.
« Ce qu’on retient de ce rendez-vous avec Emmanuel Macron, c’est un mépris du président. Quand on lui parle du dogme du libre-échange qui nous étrangle, de par la concurrence sur le marché international, il nous a tout simplement répondu qu’il y avait des gagnants et des perdants. »
Thomas Gibert, secrétaire général de la Confédération paysanne: "Ce qu'on retient de notre rendez-vous avec Emmanuel Macron, c'est un immense mépris quand on lui parle du dogme du libre-échange" pic.twitter.com/9rndDKNkRm
Le perdant sera incontestablement nos agriculteurs, tandis que le grand gagnant, nous le connaissons tous : c’est Zelensky, puisque la France a miraculeusement trouvé « 3 milliards d’euros » d’aide militaire supplémentaire pour l’Ukraine.
3 milliards ! #Macron vient d’annoncer que la France va ajouter 3 milliards d’euros de versements à l’Ukraine de #Zelensky en 2024, en plus de ce qu’on paie déjà ! 🤦 (cf : https://t.co/41Ev264DI4)
°° WEBTUBE : Cette semaine dans le « I-Média » n°478, Jean-Yves Le Gallou et Lucas Chancerelle reviennent dans l’image de la semaine sur le traitement médiatique de la mort de “Saint” Robert Badinter, avec l’hommage obligatoire qui lui est consacré. Le dossier du jour sera un décryptage de la censure de CNews par le Conseil d’Etat qui avait été saisi par Reporters sans frontières. Enfin, les pastilles de l’info : -Décryptage : l’arrivée des migrants de Mayotte en métropole ! -Les ciseaux de la censure : dissolution de La Citadelle et arrestation arbitraire après un hommage à Brasillach -Ça décoiffe : Trump – Poutine, la guerre de l’influence et des médias -Carton rouge : Dati, ministre de l’inculture -Le bon point mainstream : annulation d’un « spectacle » de Drag-queens à des enfants Pour conclure, le portrait piquant du jour en partenariat avec l’OJIM sera consacré à Pascal Praud, pour rendre hommage au présentateur vedette de CNews, qui permet un peu de pluralisme sur les ondes.
00:00 – 01:05 Sommaire I-Média 478 01:05 – 01:50 La météo de l’info 01:50 – 08:54 L’image de la semaine : la mort de “Saint” Robert Badinter, avec l’hommage obligatoire qui lui est consacré. 08:54 – 21:01 Le dossier du jour : décryptage de la censure de CNews par le Conseil d’Etat qui avait été saisi par Reporters sans frontières. Les pastilles de l’info : 21:01 – 26:46 Décryptage : l’arrivée des migrants de Mayotte en métropole ! 26:46 – 29:22 Les ciseaux de la censure : dissolution de La Citadelle et arrestation arbitraire après un hommage à Brasillach 29:22 – 33:07 Ça décoiffe : Trump – Poutine, la guerre de l’influence et des médias 33:07 – 35:18 Carton rouge : Dati, ministre de l’inculture 35:18 – 36:40 Le bon point mainstream : annulation d’un « spectacle » de Drag-queens à des enfants ‐-‐———– 36:40 – 40:39 Conclusion et Portrait piquant : Pascal Praud, pour rendre hommage au présentateur vedette de CNews, qui permet un peu de pluralisme sur les ondes.
°° WEBTUBE : Le samedi 3 février 2024, un Malien de 32 ans attaquait des voyageurs au sein de la gare de Lyon à Paris faisant plusieurs blessés. Il avait publié préalablement des vidéos où il disait son désamour de la France et des Français. Reportage de Vincent Lapierre
°° WEBTUBE : C’est le gros coup du RN. Placé en troisième position sur la liste, cet ancien haut fonctionnaire est un atout de plus pour la crédibilité du mouvement sur l’immigration. Dans le JDD, Fabrice Leggeri dénonce l’Europe d’Ursula von der Leyen et justifie son ralliement à Jordan Bardella.
Certains ralliements pèsent lourd dans une campagne électorale. À l’approche de son premier meeting à Marseille le 3 mars, Jordan Bardella dévoile le nom de son troisième de liste aux européennes : l’ancien directeur de Frontex, l’agence de l’Union européenne chargée du contrôle des frontières. Les deux hommes se rendront d’ailleurs dès lundi à la frontière franco-italienne, à Menton.
Fabrice Leggeri, énarque et normalien, inconnu du grand public, constitue une véritable prise de guerre pour le RN. Nommé en 2015 sur proposition de Bernard Cazeneuve, alors ministre de l’Intérieur, il a transformé Frontex en profondeur, d’une petite structure humanitaire à une police des frontières européennes. Ciblé par les ONG et la gauche pour sa gestion jugée trop ferme de l’immigration, il est poussé à la démission en 2022.
(…)
Quand avez-vous réalisé les limites de votre poste de fonctionnaire et décidé de vous lancer en politique ?
Cela fait deux ans que cette idée a germé en moi. En avril 2022, j’ai quitté ma fonction de directeur de Frontex, réalisant que je n’avais plus les moyens politiques nécessaires pour mener à bien la mission qui m’était confiée. Cette mission consistait depuis 2015 à établir le corps européen de gardes-frontières et de gardes-côtes pour protéger la France et l’Europe du déferlement migratoire. Toutefois, dès octobre 2019, lors de mes premiers échanges avec la nouvelle commissaire européenne, Madame Johansson, j’ai perçu un changement dans les directives. Ce changement est devenu évident pour moi lorsque la commissaire m’a indiqué la chose suivante : « Votre job, c’est de faire rentrer les migrants et de les accueillir parce qu’ils viennent par amour. Et que ça vous plaise ou non, nous sommes un continent vieillissant et donc vous devez les laisser rentrer. » Face à cette nouvelle orientation, aux attaques et intimidations subies, j’ai réalisé que pour défendre mes convictions et le continent de la submersion migratoire, je devais m’engager moi-même en politique.
Dans une enquête de l’Office européen de lutte antifraude, vous avez fait face à des accusations graves liées au refoulement des migrants. Que répondez-vous ?
Concernant ces accusations, il est important de noter que ni le Parlement européen ni le conseil d’administration de Frontex n’ont trouvé de preuves concrètes les étayant. En réalité, pour avoir voulu contrôler l’immigration, j’ai subi des pressions et j’ai ressenti un abandon général. Le gouvernement français m’a pressé de démissionner. L’Allemagne n’était pas encline à me soutenir. La Commission européenne, manifestement hostile à mon égard, souhaitait mon départ. En outre, j’ai été confronté aux attaques de divers lobbies et ONG, qui agissent contre la souveraineté des États et vont à l’encontre de la volonté des peuples français et européens. Mais cette expérience de sept ans à la tête de Frontex m’a convaincu de la nécessité de s’opposer à l’Europe de von der Leyen, qui est en réalité l’Europe de Macron. Un changement de cap s’est opéré en 2019, il est temps d’y mettre fin. Désormais, nous devons lutter contre cette Commission européenne qui encourage et tolère cette submersion migratoire.
« Encourage » ? Le mot est fort.
Oui ! Avec le Pacte sur la migration et l’asile, la Commission européenne va favoriser l’afflux migratoire. Ce pacte vise à répartir les migrants à travers l’Union européenne tout en sanctionnant financièrement les États membres qui refuseraient. Ce qui me frappe dans ce Pacte des migrations, c’est le mépris pour la souveraineté des États et l’absence de mesures concrètes pour mettre fin au trafic d’êtres humains qui transporte physiquement des centaines de milliers de migrants sur le sol européen à nos frontières. Nous devons prendre conscience de l’ampleur de ce phénomène et des enjeux humanitaires qu’il implique.
°° WEBTUBE : Macron nous entraîne encore un peu plus dans la guerre contre la Russie. Ce genre d’accord est toujours accompagné de clauses secrètes. Nous n’avons aucune idée de ce que à quoi Macron s’est véritablement engagé au plan militaire, mais il faut envisager le pire. Macron a ajouté 3 milliards d’euros sur la table, amenant le total à près de 8 milliards d’euros en moins 3 ans.
🔴 Volodymyr Zelensky et Emmanuel Macron ont signé l’accord bilatéral de sécurité entre l’Ukraine et la France
🔴🇨🇵|🇺🇦FLASH – Après 1,7 milliard en 2022 et 2,1 milliards en 2023, Emmanuel Macron annonce "jusqu'à 3 milliards d'€" d'aide militaire pour l'Ukraine en 2024. (déclaration)
Un «changement de posture» de la Russie qui «exige un sursaut collectif» de l’Europe comme de la communauté internationale. Tels sont les mots prononcés par Emmanuel Macron ce vendredi, lors de la signature d’un accord bilatéral de sécurité entre l’Ukraine et la France, qui prévoit notamment que cette dernière verse «jusqu’à trois milliards d’euros» supplémentaires d’aide militaire à Kiev.
Sans l’Amérique du Sud, le monde musulman, l’Inde, la Chine, l’Asie du Sud-Est ou l’Amérique du Sud, de quelle « communauté internationale » peut-il s’agir ?
Il n’y a pas de « communauté internationale ». Tout au plus une « communauté occidentale » contrôlée par Washington.
Lors de son discours, donné à l’occasion d’une conférence de presse avec son homologue ukrainien Volodymyr Zelensky, le président de la République a tout d’abord rappelé : «Le régime du Kremlin a agressé, il y a deux ans, l’Ukraine, pays européen».
Celui-ci a également affirmé, l’air grave, que Moscou avait «franchi plusieurs seuils» dans ses cyberattaques, y voyant «une volonté d’agression», et que «le régime du Kremlin [avait] intensifié et durci ses agressions contre notre pays sur le plan de la désinformation et sur le plan cyber».
«Ce sont des formes de conflictualité», a jugé le chef de l’État. Depuis le début du conflit, le nombre d’intrusions et d’attaques cybercriminelles en provenance de la Russie à l’encontre de la France a en effet fortement augmenté.
Ce type sort des choses de son chapeau sans rien démontrer. Comme c’est ce qu’il fait tout le temps, sur tous les sujets, il faut a priori considérer que ça n’a aucune espèce de réalité.
Faisant référence aux «inquiétudes exprimées ces derniers jours sur le possible déploiement par la Russie d’armes nucléaires dans l’espace», évoquées par Michael Turner, président républicain de la commission du renseignement de la Chambre des représentants, Emmanuel Macron a estimé que «la Russie [devait] sans tarder donner des explications».
«la Russie doit sans tarder donner des explications»
Emmanuel Macron a par la suite exhorté la communauté internationale à prendre la mesure de la gravité des agissements du Kremlin. «Très clairement, il y a besoin d’un sursaut européen, mais plus largement de nos alliés, de nos partenaires et de la communauté internationale», a insisté le président français, avant d’ajouter que «La Russie de Vladimir Poutine [était] devenue un acteur méthodique de la déstabilisation du monde».
Mais de quoi parle ce type ?
La Russie déstabilise l’Inde, le Brésil ? Ou seulement le Kenya ?
Ça n’a aucun sens.
Et d’avertir : «Si on voit les choses advenir, si on voit une nouvelle phase s’ouvrir, nous devons avoir la lucidité d’ouvrir une phase de réflexion stratégique et opérationnelle nouvelle. C’est ce que souhaite la France», a encore appelé Emmanuel Macron.
Revenant sur la mort dans sa prison en Arctique de l’opposant le plus célèbre à Vladimir Poutine, Alexeï Navalny, annoncée ce vendredi par les agences russes, Emmanuel Macron y a vu un signe de «la faiblesse du Kremlin» et de «la peur de tout opposant», à un mois des élections présidentielles en Russie qui devraient sans surprise acter la réélection du chef du Kremlin, notamment après l’invalidation par la commission électorale de la candidature du seul opposant à son offensive en Ukraine, Boris Nadejdine.
«Une forme d’impunité s’est installée. Tuer un opposant, ils le font, interdire les autres candidats, ils le font. Je vois cela comme un révélateur», a taclé Emmanuel Macron, dans un discours définitivement ferme à l’encontre de Vladimir Poutine, peut-être le plus ferme depuis le début de la guerre en Ukraine.
Quelle torture que de devoir subir les articles de la presse française faisant mine de donner quelque pouvoir d’intimidation que ce soit à Macron.
Le héros des boomers est incapable de juguler une insurrection raciale quand un maghrébin se fait tuer par les flics.
Ces gens se préparent à nous entraîner dans une guerre élargie et c’est ce que dit exactement Macron.
Le format de ce conflit reste encore inconnu, mais la défaite ukrainienne à Avdiivka fait paniquer les vassaux de l’ Europe.
[ 🇷🇺 RUSSIE | 🇺🇦 UKRAINE ]
🔸 L’armée ukrainienne s’est officiellement retirée de la ville d’Avdiivka, au profit des forces armées russes. Il s’agit d’une victoire importante pour la Russie, après des mois de combats. pic.twitter.com/9VTt7LIL0V
°° WEBTUBE : Quel est le point commun entre les Pays-Bas et la France ? Émeutes à #LaHaye. Les violences ont lieu devant le théâtre de La Haye, entre deux groupes d’Erythréens. La police a décrété l’état d’urgence !
🇳🇱 | Ausschreitungen in #DenHaag. Die Ausschreitungen finden vor dem Den Haager Theater statt, zwischen zwei Eritreischen Gruppen. Die Polizei hat den Ausnahmezustand ausgerufen! 🎥 1/8 pic.twitter.com/ViV1kvC1Lw
Les choses tournent mal à #DenHaag. Émeutes près du lieu de l’#Opera. L’unité mobile est attaquée par des émeutiers.
Het gaat helemaal mis in #DenHaag. Rellen ter hoogte van zalencentrum #Opera. De mobiele eenheid wordt aangevallen door relschoppers. pic.twitter.com/Rsso6UBNR3
Des émeutiers forcent l’entrée de l’Opéra. Les fenêtres s’ouvrent et des tentatives sont faites pour entrer. Les pompiers ont également quitté les lieux et ne parviennent pas à éteindre les flammes. #riot #DenHaag.
Relschoppers dringen een ingang binnen bij de #Opera. Ramen gaan eruit en er wordt geprobeerd binnen te komen. Brandweer is ook weer vertrokken en kan niet blussen. #rellen#DenHaag. pic.twitter.com/q2U0BOUfIb
Deuxième voiture de police en feu. Des pierres fusent de toutes parts. La police continue d’utiliser des gaz lacrymogènes, mais les émeutiers reviennent à la charge. #riot #DenHaag.
Tweede politiewagen in de brand. Stenen komen van alle kanten door de lucht. Politie blijft traangas gebruiken, maar de relschoppers blijven terugkeren. #rellen#DenHaag. pic.twitter.com/tkgGKJuqlH
Voiture de police en feu. Les gaz lacrymogènes sont très présents. La respiration est parfois difficile et les yeux sont également blessés. #riot #DenHaag.
°° WEBTUBE : C’est une interview fleuve que Valérie Bérenger a menée pour RusReinfo.ru auprès de François Asselineau, l’un des derniers hommes politiques lucides de notre France en perdition.
Un entretien de vérité et de bon sens comme on en voit peu sous cette sinistre dictature de la pensée qui s’est abattue sur notre pays et entend régner sans partage. La France perd peu à peu toutes ses libertés.
Le parti que dirige François Asselineau, l’Union Populaire Républicaine, veut « rendre à la France son indépendance et aux Français leur démocratie, en faisant sortir unilatéralement la France de l’Union européenne, de l’euro et de l’OTAN ».
Autant dire que ce grand sage n’est pas le chouchou du Système. Les médias l’ignorent.
Cette interview nous confirme que l’UE est bien devenue une colonie des États-Unis. Les pères fondateurs de l’Europe, Jean Monnet et Robert Schumann, sous emprise de l’Oncle Sam, ont en fait été les artisans d’un projet de longue date de mainmise de l’Amérique sur l’Europe.
Largement divisés, sans langue unique, les 27 sont ingouvernables et s’en remettent à Bruxelles, qui s’en remet à Washington. L’UE n’a plus aucune autonomie, se soumettant à toutes les décisions de la Maison-Blanche, y compris l’escalade militaire et les sanctions économiques contre Moscou qui ruinent l’Union et menacent la paix mondiale.
L’UE est au service de la géopolitique américaine. Tout autre discours n’est que boniment.
C’est ainsi que la France a abandonné sa souveraineté dans tous les domaines, nos hommes politiques n’ayant plus la stature d’hommes d’État, comme ceux qui ont œuvré à la grandeur de la France dans le passé. Tout l’héritage gaullien a été dilapidé. Nos élus sont tous européens avant de se sentir français.
“La prétendue « construction européenne » n’est pas seulement une « colonisation américaine » mais aussi une « destruction » de la France et des États-nations européens.” Et tout élargissement de l’UE ne fait qu’aggraver la situation.
La reconstruction de l’Ukraine est évaluée à 156 milliards d’euros sur dix ans. La part française sera de 28 milliards. Alors que nous sommes ruinés avec 3 000 milliards de dettes et que nos paysans sont dans la détresse absolue, allons-nous consacrer 28 milliards à la reconstruction d’un pays mafieux et corrompu qui refuse de négocier ? L’Ukraine, c’est notre ruine.
Pour François Asselineau, l’UE, l’euro et l’Otan sont des entités dangereuses qui nous volent notre souveraineté, nous placent sous tutelle étrangère et tuent la démocratie. Cela mène à une société totalitaire et tyrannique.
Pour ce qui est de l’euro, c’est une monnaie largement surévaluée, qui ruine tous les pays qui n’ont pas la compétitivité de l’Allemagne.
Quant à l’Otan, c’est un passeport pour la guerre qui enrichit le lobby de l’armement américain. Que l’Ukraine intègre l’UE ou l’Otan et ce pays mafieux et corrompu à la fibre néo-nazie fort développée sera protégé par l’Union ou l’Otan.
“D’où l’urgence de nous sortir de l’OTAN, cette espèce de police mondiale à la solde des États-Unis, qui n’est ni plus ni moins qu’une force d’intervention néocoloniale, principalement au service d’intérêts privés.”
UE. Il est totalement illusoire de vouloir “changer l’Europe” comme le clament tous les partis. C’est impossible car tout changement réel nécessite l’accord des 27 gouvernements et des 27 parlements des États membres. Assez de duperies. On ne peut à la fois se dire souverainiste et rester dans l’Europe.
La seule solution est d’en sortir. La sortie de l’UE est régie par l’article 50 du Traité de l’Union européenne.
“Pour la sortie de l’Otan, c’est encore plus simple. Elle est régie par l’article 13 du Traité de l’Atlantique Nord du 4 avril 1949. Il suffit d’en informer le gouvernement des États-Unis d’Amérique et la sortie effective intervient un an après jour pour jour.”
Ukraine
“Contrairement à ce qu’assène la propagande occidentale, je pense que les Français et les peuples d’Europe devraient plutôt se féliciter d’avoir Vladimir Poutine comme interlocuteur. Car il y a de nombreuses personnalités politiques russes qui seraient moins réfléchies et qui auraient pu se lancer dans une escalade bien plus dangereuse encore contre l’OTAN.”
Nous sommes de cobelligérants aux ordres des États-Unis. Toute aide militaire ou financière à l’Ukraine doit cesser.
Contrairement à la propagande otanienne totalement débile et grotesque, Poutine n’a jamais voulu annexer l’Europe. C’est l’Occident qui menace la Russie et Poutine protège son pays et son peuple, notamment les populations russes du Donbass et de Crimée. Ces mensonges deviennent insupportables.
“Poutine ne veut pas de bases Otan à sa frontière, tout comme les Américains ne veulent pas de bases russes le long du Rio Grande.”
L’avenir avec la Russie ?
“Laissez-moi trois mois, et je vous garantis que je changerai complètement l’image et l’audience de la France dans le monde, en m’inspirant de la politique de redressement politique et militaire, de souveraineté et d’indépendance nationale menée par Charles de Gaulle de 1962 à 1969.” Toutes les relations avec la Russie seraient normalisées sur les plans diplomatiques et économiques. Je reconstruirais ce que la guerre a détruit.
L’Afrique ?
“Le mieux serait de s’entendre déjà avec la Russie sur le partage de nos présences respectives en Afrique. Surtout il faudrait un peu d’humilité vis-à-vis des pays africains.”
“Macron est considéré dans le monde entier comme un zouave, une espèce de “danseur mondain”.
“Le manque de dignité de Macron que l’on retrouve ivre en boîte de nuit au Nigeria est extrêmement négatif pour l’image de la France, notamment en Afrique et au Moyen-Orient.”
D’abord, je ne nommerais pas comme ministre des Affaires étrangères quelqu’un qui ne sait pas parler français.
Ce que j’ai à dire aux Russes et aux Français pour conclure ?
Aux Français, je dis “Votezaux élections européennes du 9 juin, pour la liste Asselineau-UPR-Frexit que je conduis.”
Aux Russes, je dis “Nos députés utiliseront au mieux leur mandat, notamment pour voter contre les décisions scandaleuses, par exemple les sanctions contre la Russie ou les versements de milliards à l’Ukraine.”
Conclusion
Tout ce que dit François Asselineau n’est que bon sens et sagesse. Nul doute qu’une majorité de citoyens partage son analyse. Mais la France, comme tous les pays européens, s’est laissée enfermer dans une Europe fédérale qui ne rêve que mondialisme et multiculturalisme pour en finir avec les nations. Tout cela sous tutelle américaine.
Le Système tout puissant ne se laissera pas faire et combattra toutes les velléités souverainistes d’où qu’elles viennent.
Aucun homme politique ne changera cela. Seul le peuple a le pouvoir de renverser la table et de dire stop aux délires mondialistes qui détruisent notre héritage culturel et nous mènent au chaos. Mais tant que le peuple a du pain et des jeux, il ne voit rien venir.
°° WEBTUBE : 00:00 une atmosphère irréelle, le dernier article de Charles Gave 30:20 DEBUNK: Trump et l’Otan 41:45 le mythe de la soumission de Trump à Poutine 47:45 la mort de Robert Badinter, et l’abolition de la peine de mort
°° WEBTUBE :« Pas de dealers en bas de chez moi ! » Le nom du reportage diffusé jeudi 15 février dans Envoyé spécial avait tout d’un triste vœu pieux. À chaque instant de l’émission, une autre réalité s’imposait aux yeux de tous : les dealers sont déjà en bas de chez nous. Une séquence en particulier illustrait cette défaite. On y faisait la rencontre de Sylvie, professeur de français, la cinquantaine bien tassée, habitante du Tonkin, une cité malfamée de la banlieue lyonnaise. Attristée de voir son lieu de vie devenir un supermarché de la drogue, l’enseignante a monté un collectif de citoyens. Sa mission : ramasser les déchets laissés par les dealers. Une opération propreté qui permet aussi de dialoguer avec eux… dans la mesure du possible.
Un document sociologiquement fascinant
La scène est surréaliste. On voit la souriante boomer, épaulée par d’autres mamies, partir à la chasse aux détritus, se baisser et les ramasser au pied de dealers en pleine transaction. Histoire de ne pas se prendre un coup de couteau de la part de ces « jeunes désœuvrés », elles ont pris soin de se coller des affiches dans le dos qui expliquent, en grosses lettres multicolores, la nature pacifique de leur entreprise. « On fait le tour des points de deal, explique Sylvie, face caméra. On est extrêmement bienveillants, on est souriants. On reste toujours archi-polis, même si on se fait insulter, ça peut arriver… »
La cohabitation peut vite tourner en eau de boudin, mais jusqu’ici, tout va bien. Ou, du moins, c’est la version d’Envoyé spécial. « Grâce à leur mobilisation contre les dealers, les voisins du collectif du Tonkin essaient de maintenir ici un peu de vivre ensemble », affirme la voix off pleine d’espoir.
Sylvie a créé une association pour venir en aide des dealers et nettoyer leurs déchetspic.twitter.com/towgX8FBdU
L’aspect tragi-comique de la situation culmine dans cette scène où la brave Sylvie tente de communiquer avec un des « jeunes » en train de faire le guet en bas de son immeuble. « Je rêve pour vous, comme pour tous les autres, de mieux. » Pour toute réponse, elle ne recevra qu’un rapide « merci », que le guetteur finit par lâcher, les dents serrées.
Tout est dans ce simulacre de conversation. D’un côté, une bienveillance naïve, teintée d’idéalisme post-soixante-huitard et d’un vieux fond de charité chrétienne. De l’autre, un matérialisme brut, un aplomb vertical, quasi militaire, galvanisé par la conscience d’être souverain sur ce territoire fraîchement conquis. Deux mondes qui n’ont rien en commun. Deux mondes appelés à s’affronter un jour ou l’autre ?
La France soumise
Hélas, Sylvie et les siens ont déjà abdiqué. L’enseignante affirme vouloir garder le contact avec les dealers « sinon, ce serait la guerre ». Mais c’est déjà la guerre, chère Sylvie. Et ils l’ont gagnée. Ils contrôlent votre cité.
Alors, face à cette réalité qu’ils disent combattre mais qu’ils ont en réalité déjà admise, les membres du collectif se comportent en bons dhimmis. Ils rasent les murs et font le ménage gratuitement pour leurs oppresseurs. « En tous les cas, merci pour la propreté qui est là ! », dira même Sylvie, tout occupée à ramasser les déchets aux pieds d’un dealer.
Trop de Français sont moralement désarmés face aux voyous qui pourrissent leur quotidien. C’est tout juste s’ils se permettent encore de leur faire des remarques sur leur manque d’hygiène. « Là, pour le coup, on est complètement légitime », veut croire Sylvie. Pourtant, la propreté ne devrait pas être son seul combat. Elle devrait plutôt être le cadet de ses soucis. En tant qu’autochtone, habitante de ce territoire depuis toujours, la Française est bien davantage « légitime » à demander l’interpellation, la condamnation et l’incarcération des délinquants, leur expulsion du pays, s’ils ne sont pas français, le respect de la loi, la possibilité de se promener tranquillement dans son quartier. Mais ces combats sont manifestement illégitimes aux yeux de Sylvie. Peut-être même d’extrême droite ? D’ailleurs, pour qui vote la sympathique enseignante ? Le reportage ne le dit pas, mais il est hautement probable qu’elle soutienne avec fidélité les politiques responsables de son malheur. Si tel est le cas, espérons que Sylvie apprenne un jour de ses erreurs…
