. L’Europe couvre d’insultes Macron le tyran

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°° WEBTUBE : Après son annonce délirante en faveur d’une intervention de l’OTAN en Ukraine, Macron est abandonné par tous les états européens. Du moins, à ce stade.

Scholz assure ne pas savoir de quoi l’encocaïné veut parler.

Les Hongrois font savoir qu’ils ne participeront pas à l’extension du désastre sous leurs fenêtres.

Les Espagnols non plus.

Porte-parole du gouvernement espagnol : L’Espagne n’est pas d’accord avec l’envoi de troupes européennes en Ukraine – Reuters

Même les Britanniques ont été pris au dépourvu, à tout le moins, sur la forme.

BREAKING – Le Royaume-Uni n’envisage pas de déployer des troupes à grande échelle en Ukraine

Du côté russe, le gouvernement a rappelé une évidence : entrer en Ukraine signifie d’entrer en guerre contre la Russie. A fortiori, c’est ce qu’implique l’expédition de l’armée française là-bas.

Alors que Macron était lâché par tous les gens lucides en Europe, le juif Attal appelait férocement à la guerre pour sauver Zelensky en qualifiant les goyim manquant d’envie de mourir d’être des traîtres.

Macron a l’air de vouloir s’imposer comme l’incendiaire en chef du continent en débordant par la droite les bellicistes. Pour l’aider, il dispose d’une poignée d’états croupions, comme les pays baltes.

Ceci dit, cette déclaration n’est pas anodine et, pour peu que des provocations soient organisées et que les juifs derrière Biden s’en mêlent, l’affaire pourrait rapidement dégénérer.

Quoi qu’il en soit, ce type est cliniquement malade, psychiatriquement atteint.

D.P.

. Macron, le va-t-en-guerre

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°° WEBTUBE : La dernière fois que la France a été en guerre contre la Russie, c’était en Crimée, de 1853 à 1856. À une époque où la main-d’œuvre n’était pas chère, la France expédia dans cette lointaine contrée plus de 300.000 hommes aux côtés des Britanniques, des Turcs et des Sardes pour s’opposer à l’expansionnisme russe alors que l’Empire ottoman était en plein déclin. Près de 100.000 de nos soldats ne revinrent pas de cette guerre. À l’époque, la France, qui faisait encore jeu égal avec l’empire des Romanov, dépensa dans ce conflit plus de 145 millions de livres sterling quand la Russie, elle, y laissa 144,5 millions de livres et le Royaume-Uni plus de 164 millions de livres. Un rappel historique qui devrait permettre de remettre les choses en perspective, alors qu’Emmanuel Macron, lundi soir, lors de la conférence internationale de soutien à l’Ukraine qui réunissait 21 chefs d’État et de gouvernement à l’Élysée, a fait une déclaration on ne peut plus belliqueuse.

« En dynamique, rien ne doit être exclu. »

Envoi de troupes au sol occidentales en Ukraine ? « Il n’y a pas de consensus aujourd’hui pour envoyer de manière officielle, assumée et endossée [comprendre que l’Occident a déjà « du monde » là-bas ? Probablement] des troupes au sol. Mais en dynamique, rien ne doit être exclu. » « En dynamique » : qu’est-ce que veut dire ce charabia ? Que ce qui était exclu hier ne l’est plus aujourd’hui et encore moins demain. Et d’ailleurs, ajoute le Président : « Nous ferons tout ce qu’il faut pour que la Russie ne puisse pas gagner cette guerre. » Tout. C’est-à-dire ? Tout, sauf à ce que Macron bluffe ou soit fou (ce qu’on exclut par construction intellectuelle), cela veut bien dire jusqu’à envoyer des troupes au sol. « Tout », cela pourrait signifier de tenter le grand jeu diplomatique avec la Chine, les pays arabes, la Turquie (encore et toujours elle !), voire Israël, qui n’a peut-être pas trop envie que l’attention des Occidentaux se détourne de son sort pour regarder nach Osten. Mais, visiblement, dans ce grand « tout », l’option diplomatique semble écartée. Mais avons-nous encore une diplomatie française ? Avec un Séjourné au Quai d’Orsay, on peut en douter.

Emmanuel Macron, avec ses petits bras musclés…

À ce sujet — Séjourné au Quai d’Orsay : pourquoi cette nomination est consternante

Mais que nous fait donc là Macron ? Alors qu’effectivement, chez nos alliés, ça ne se bat pas spécialement au portillon pour aller mener une guerre fraîche et joyeuse dans les plaines d’Ukraine, qu’aux États-Unis, la Chambre des représentants à majorité républicaine bloque toujours un plan d’aide à l’Ukraine de 60 milliards de dollars, que Biden, à quelques mois de l’élection présidentielle, ne doit pas spécialement avoir envie de se lancer dans une guerre mondiale, que le chancelier allemand vient de rejeter la demande de l’Ukraine de lui livrer des missiles de longue portée Taurus, Emmanuel Macron, avec ses petits bras musclés, n’exclut aucune option. Son Premier ministre a du reste confirmé la chose, ce mardi matin, sur le plateau de RTL : Emmanuel Macron « a été clair sur le sujet », a déclaré Gabriel Attal.

On en sourirait s’il ne s’agissait de la France

Donc Macron, dans son petit treillis bien repassé, impérial, déclare qu’il veut maintenir une « ambiguïté stratégique ». C’est ce qu’on doit appeler le « brouillard de la guerre ». La réponse du Kremlin ne s’est pas fait attendre, laconique et sans ambiguïté : ce ne serait pas « dans l’intérêt des Occidentaux » que d’envoyer des troupes au sol en Ukraine. Encore moins ambiguë, la déclaration du chancelier allemand Olaf Scholz, ce mardi matin : « Il n’y aura aucune troupe au sol, aucun soldat envoyé ni par les États européens ni par les États de l’OTAN sur le sol ukrainien. » Et le gouvernement italien, à son tour, de s’aligner sur la position de Scholz. Lundi, c’était « Rantanplan, on va leur percer le flanc », comme chantaient les grognards de Napoléon, baïonnette au canon. Mardi, il nous reste Rantanplan tout court. On en sourirait s’il ne s’agissait de la France.

A-t-on les moyens ?

Car la question de fond, au-delà des déclarations va-t-en-guerre de plateau télé et de salles de conférences bien douillettes, est double. Primo, a-t-on les moyens de faire la guerre à la Russie qui a le temps, la profondeur stratégique et qui fonctionne en économie de guerre ? Juste deux chiffres. La France serait capable de tenir, avec ses forces terrestres dans le cadre d’un conflit de haute intensité, au mieux un front de 80 kilomètres, selon l’expert de défense Jean-Dominique Merchet. Le front russo-ukrainien s’étire sur près de 1.000 kilomètres… Secundo, et c’est sans doute la question essentielle : les Français sont-ils prêts à voir revenir des centaines, voire des milliers de tués et de blessés, estropiés à vie dont certains termineront en faisant la manche dans le métro ? Car, il faut voir la réalité en face, c’est bien ce qui se passerait si l’on participait à cette guerre qui est plus proche de celle de 14-18 que de celle des étoiles. Les Français sont-ils prêts à payer le prix d’une guerre dont ils ne sont peut-être pas convaincus que c’est la leur ?

Georges Michel, Boulevard Voltaire

. Jeunes éleveurs vs Union européenne [avec J. Bardella et F.-X. Bellamy]

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°° WEBTUBE : Ce samedi 24 février, le Salon de l’Agriculture a ouvert ses portes au public, dans une ambiance extrêmement tendue. Cordons de CRS, barrières franchies par les agriculteurs, président de la République hué et sifflé, la colère du monde rural s’est faite entendre et n’est pas prête de se calmer. Mais quid des problématiques des jeunes éleveurs que l’on entend moins ?

Si les jeunes agriculteurs, exploitants agricoles et autres paysans sont désireux de faire perdurer l’héritage familial, ils se heurtent toutefois à de lourdes démarches administratives comme ils l’expliquent au micro de Jordan Florentin sur place. Mais alors : la faute à l’Union européenne, accusée d’être à l’origine de tous les maux agricoles ? Que voteront-ils le 9 juin prochain lors des élections européennes ? Des élections très attendues donc et qui verront s’affronter, entre autres, Jordan Bardella et François-Xavier Bellamy que nous avons pu interroger.

Jordan Florentin, Boulevard Voltaire

. Aux Etats-Unis, une municipalité musulmane interdit le drapeau LGBT : « Un sentiment de trahison ».

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°° WEBTUBE : En 2015, la presse progressiste chantait les louanges de la petite ville de Hamtramck (Michigan), qui venait de se doter du tout premier conseil municipal américain à majorité musulmane. Dans cette municipalité voisine de Détroit, rassemblant immigrés d’Europe de l’Est, Bangladais, Yéménites ou Afro-Américains, un magasin de saucisses polonaises pouvait côtoyer paisiblement une grande boutique yéménite et une autre de vêtements bengali, et les cloches des églises résonner en même temps que l’appel à la prière islamique. La preuve, pour une partie de la gauche américaine, que le multiculturalisme n’était pas qu’une utopie progressiste, alors que Donald Trump amorçait une campagne ouvertement hostile à l’immigration musulmane.

En 2023, la fable semble avoir pris du plomb dans l’aile. Le 13 juin, le conseil municipal de la ville de 28 000 habitants, désormais exclusivement musulman et socialement conservateur, a adopté une loi interdisant l’affichage de drapeaux ethniques, religieux, raciaux et politiques, à commencer par le drapeau LGBTQ + sur les propriétés publiques de la ville.

En 2015, la presse progressiste chantait les louanges de la petite ville de Hamtramck (Michigan), qui venait de se doter du tout premier conseil municipal américain à majorité musulmane. Dans cette municipalité voisine de Détroit, rassemblant immigrés d’Europe de l’Est, Bangladais, Yéménites ou Afro-Américains, un magasin de saucisses polonaises pouvait côtoyer paisiblement une grande boutique yéménite et une autre de vêtements bengali, et les cloches des églises résonner en même temps que l’appel à la prière islamique. La preuve, pour une partie de la gauche américaine, que le multiculturalisme n’était pas qu’une utopie progressiste, alors que Donald Trump amorçait une campagne ouvertement hostile à l’immigration musulmane.

En 2023, la fable semble avoir pris du plomb dans l’aile. Le 13 juin, le conseil municipal de la ville de 28 000 habitants, désormais exclusivement musulman et socialement conservateur, a adopté une loi interdisant l’affichage de drapeaux ethniques, religieux, raciaux et politiques, à commencer par le drapeau LGBTQ + sur les propriétés publiques de la ville.

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LIRE AUSSI : Thomas Chatterton Williams : « Comment peut-on remettre en question l’idéal républicain ? »

Selon le Guardian, le conseiller municipal chargé de cette résolution, Mohammed Hassan, aurait assuré à des soutiens de la cause LGBTQ + « travaille [r] pour le peuple, pour ce que la majorité du peuple veut ». Le conseil municipal soulignant que cette décision n’avait rien de discriminatoire, mais visait au contraire à refléter le « caractère international de la ville ». Après le vote du 13 juin, certains internautes sont allés jusqu’à saluer sur les réseaux sociaux une « ville sans pédés (sic) »…

Cet épisode intervient en plein mois des fiertés, alors que la Human Rights Campaign a récemment déclaré l’état d’urgence pour les personnes LGBTQ + aux États-Unis, une première en plus de quarante ans d’existence, citant « un pic sans précédent et dangereux d’agressions législatives anti-LGBTQ + dans les Chambres des Etats fédérés cette année ».

Sans surprise, la décision a suscité l’ire d’une partie des résidents de Hamtramck, et au-delà – certains Américains tançant sur les réseaux sociaux une « décision stupide et à côté de la plaque ». « Il y a un sentiment de trahison », a déclaré l’ancienne maire polonaise-américaine de la ville, Karen Majewski. « Nous vous avons soutenu lorsque vous avez été menacés, et maintenant nos droits sont menacés, et c’est vous qui nous menacez. »

Illusion de « majorité »

Il semble loin le temps où la BBC encensait, dans un article publié en 2021, « l’harmonieuse ville des Etats-Unis dirigée par des Américains musulmans », alors que son nouveau maire, Amer Ghalib (le premier maire yéménite américain du pays) venait d’être élu. Comment cette petite ville qui, en 2005 – alors que le conseil municipal était majoritairement chrétien – avait adopté une ordonnance autorisant la diffusion de l’appel à la prière musulman depuis les mosquées de la ville cinq fois par jour, en est-elle arrivée là ?

Hamtramck est l’exemple même des dérives provenant de la confusion entre « majorité religieuse » et « majorité politique ». Statistiquement, les immigrants en grande partie musulmans bangladais et yéménites sont effectivement devenus majoritaires par rapport à ceux d’Europe de l’Est à partir de 2013. Mais, en considérant la « communauté musulmane » sous un prisme identitaire, comme étant tout entière prompte à faire de sa religion une priorité politique, la ville a servi de terreau au communautarisme, avec l’assentiment passif d’une partie de la gauche. La municipalité s’est ainsi accommodée de la faible représentation féminine dans les instances municipales. Le soir de l’élection, le nouveau maire Amer Ghalib a été encensé par un rassemblement yéménite-américain de plus de 100 partisans lors d’une fête post-électorale exclusivement masculine (aucune des six femmes yéménites qui composaient alors son conseil n’était présente). Aujourd’hui, le conseil municipal n’est plus composé que d’hommes.

C’est dans ce contexte de grande confusion entre inclusion, diversité, identitarisme et essentialisation des citoyens que le conseil municipal a par exemple approuvé, l’année dernière, une ordonnance permettant le sacrifice d’animaux dans les arrière-cours, malgré le fait que certains habitants de la ville s’en sont émus. Et tandis que la gauche confondait multiculturalisme et communautarisme, de surprenantes alliances se sont nouées. D’autres villes américaines ont adopté des interdictions similaires pour les drapeaux arc-en-ciel, mais celles-ci sont en grande majorité politiquement conservatrices. Le conseil municipal d’Hamtramck a d’ailleurs reçu le soutien de républicains de la ville proche de Dearborn, qui l’année dernière avaient tenté d’interdire des livres avec des thématiques LGBTQ +. A Dearborn, de nombreux musulmans conservateurs s’étaient alors joints à la droite chrétienne lors d’une manifestation durant laquelle des orateurs avaient qualifié les gays de « pauvres types et pédophiles », assimilant leur sexualité à de la… zoophilie. La preuve qu’en sacrifiant ses idéaux sur l’autel du communautarisme, la gauche devient la meilleure alliée des réactionnaires.

Source L’Express

. Après sa victoire en Caroline du Sud, Trump exulte : Joe, tu es viré !

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°° WEBTUBE : Après sa victoire en Caroline du Sud Trump exulte : “Joe, tu es viré !” Les primaires républicaines se poursuivent et une fois de plus le rouleau compresseur Trump écrase tout sur son passage. En Caroline du Sud, le fief de Nikki Haley qui y fut gouverneure durant six ans, le flamboyant milliardaire a littéralement pulvérisé sa dernière rivale.  Mais celle-ci refuse de jeter l’éponge, espérant sans doute un miracle venu d’une décision de justice, voire de la Cour suprême, qui barrerait la route au candidat républicain suite à ses nombreux procès en cours.

https://www.lepoint.fr/monde/primaires-republicaines-trump-ecrase-sa-derniere-rivale-nikki-haley-en-caroline-du-sud-25-02-2024-2553355_24.php

Âgée de 52 ans, Nikki Haley s’accroche, misant sur sa jeunesse face aux deux octogénaires ou pas loin de l’être.

Mais entre Biden qui n’a plus que quelques heures de lucidité par jour et la forme olympique de Donald Trump, y a pas photo !

« Je n’abandonne pas ce combat », a-t-elle déclaré à ses partisans, lors d’un meeting à Charleston, promettant de continuer à « se battre pour l’Amérique ». Le plaidoyer de cette femme, la seule en lice chez les républicains, est simple : « Nous ne survivrons pas à quatre ans de plus du chaos de Trump. »

La Caroline du Sud était la cinquième étape électorale des primaires républicaines. Vont suivre le Michigan, l’Idaho, le Missouri, et le Dakota du Nord. Mais le super rendez-vous de la compétition, c’est celui du 5 mars où une quinzaine d’États voteront simultanément.

Pour Trump, Nikki Haley n’est plus une menace. Il est donné favori dans tous les États. Pressé d’en découdre avec Joe Biden et évacuant ses ennuis judiciaires, le pourfendeur du mondialisme et la bête noire de la gauche américaine qui veut stopper l’aide à l’Ukraine a lancé hier, sous les vivats de ses partisans : “Joe tu es viré !”. Jamais avare de formules choc, Trump explose les compteurs.

Côté Biden, c’est la soupe à la grimace face à l’ultra favori de la droite.

« Chaque jour nous confronte à la menace que Donald Trump fait peser sur notre avenir »

Mais la diabolisation du candidat anti-système n’a visiblement aucun effet. Car on cherche vainement un côté positif dans le bilan calamiteux du mandat de Biden, qui cumule les débâcles militaires et qui laisse le pays plonger dans l’immigration incontrôlée, la drogue et l’insécurité.

L’électorat de Trump reste imperméable à toutes les attaques contre son champion qui peut tout dire, tout se permettre, sans que cela ne l’éclabousse.

Pour des millions d’Américains le milliardaire reste avant tout la victime d’une machination démocrate qui lui a volé sa victoire en 2020 et Biden n’est qu’un misérable tricheur et un usurpateur  indigne de la Maison-Blanche. De plus, Trump se pose en défenseur des classes populaires qui ont fait l’Amérique.

Le premier procès pénal pour le champion républicain se déroulera le 25 mars. 

À suivre…

Jacques Guillemain, Riposte Laïque

. Macron ose mettre la crise agricole sur le dos des smicards

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°° WEBTUBE : Il est pire que Marie-Antoinette, à laquelle on attribue cette phrase cruelle : “Le peuple n’a plus de pain ? Qu’il mange de la brioche !” Et aussi une habitude de l’Elysée. Hollande ironisait quant à lui sur les “sans dents” Selon notre Président, toujours plus arrogant et méprisant envers le peuple, la crise agricole c’est la faute des 3 millions de smicards. “Les smicards préfèrent téléphones et abonnements VOD plutôt qu’une alimentation plus saine”.

https://www.tf1info.fr/politique/propos-polemiques-attribues-a-emmanuel-macron-sur-les-smicards-et-les-abonnements-vod-l-elysee-dement-2287216.html

Bien entendu, l’Élysée dément  ces propos aussi humiliants que scandaleux, tout comme Macron nie avoir invité “Les Soulèvements de la Terre” à son grand débat avec les agriculteurs. 

Il est clair que notre Président n’a plus toute sa tête et que sa politique, aussi bien intérieure qu’internationale, se résume en trois mots :

“Ordre, contre-ordre, désordre”, comme le dit Yves Thréard dans le Figaro.

Il est clair également que Macron a perdu le contrôle de la situation dans tous les domaines, semant le chaos partout dans le pays, en voulant faire des coups médiatiques qui se transforment systématiquement en fiascos.

Chaos racial, chaos sécuritaire, chaos scolaire, chaos industriel, chaos agricole, chaos sanitaire, chaos social, etc. Sans parler de la dette publique insoutenable et de la faillite qui se profile. Quant à notre politique internationale, elle n’est qu’un chapelet de ratés, Liban, Afrique, Russie, Gaza…

“Tout ce que touche Macron devient de la merde”, disait Donald Trump dans son langage fleuri habituel. C’est dire combien notre Président fait honneur à la France à l’étranger !

Pour en revenir à la crise agricole, comment Macron a-t-il pu inviter Les Soulèvements de la Terre, mouvement ultra-violent ennemi juré des agriculteurs et qualifié “d’écoterroriste” par Gérald Darmanin ?

À cause de Macron, adepte du n’importe quoi, le grand débat a viré à la débâcle. 

Quant à la phrase assassine culpabilisant les smicards qui préfèrent leur smartphone et leur abonnement VOD à la nourriture saine, sous-entendu en consommant français, ce n’est pas une fake news. Mais Macron nie toujours quand ses initiatives farfelues ou ses propos indécents tournent au vinaigre.

Rappelons qu’un tiers de nos paysans vit avec 350 euros par mois et que le salaire moyen d’un agriculteur est inférieur de 300 euros au smic. Ce n’est pas en économisant 10 euros sur un abonnement Netflix que nos smicards vont pouvoir s’offrir du caviar d’Aquitaine et du foie gras.

@r.levelup

« Les smicards préfèrent des abonnements VOD à une alimentation plus saine », a déclaré Emmanuel #Macron face au syndicat agricole Modef le 15 février. (La Marseillaise) #crise #smicard

♬ son original – R.LevelUp 🐻

Rappelons que pendant que le monde agricole crève de faim, nos sénateurs se sont augmentés de 800 euros par mois, alors que cette institution ne sert strictement à rien comme on le voit avec la loi immigration. Quant aux députés dont l’absentéisme n’est plus à démontrer, ils se sont contentés de 300 euros mensuels d’augmentation.

Et que dire des 3 milliards accordés à l’Ukraine, alors que Zelensky et ses oligarques ont détourné plusieurs centaines de millions de l’aide occidentale  ?

Je termine en rappelant que nos paysans désespérés sont de plus en plus souvent poussés au suicide. Les plus touchés étant les éleveurs et les producteurs laitiers.

https://www.francetvinfo.fr/economie/emploi/metiers/agriculture/suicides-chez-les-agricultures-des-chiffres-qui-font-froid-dans-le-dos_3612595.html

Des cols blancs de Bruxelles qui n’ont jamais vu une vache de leur vie leur imposent des normes environnementales et une concurrence étrangère déloyale littéralement suicidaires. Et ne comptons pas sur Macron, Européen et mondialiste avant d’être Français, pour les aider.

Mais le plus révoltant, ce n’est pas la politique irresponsable et dévastatrice menée par Macron, le plus révoltant est qu’il n’y a plus d’opposition. Toutes les élites se couchent et se soumettent, protégeant leur gamelle.

À quand une procédure de destitution initiée par ceux qui se disent dans l’opposition ?

À quand la démission de nos généraux opposés à la mutualisation de notre dissuasion nucléaire ?

Macron n’a plus de majorité, mais peu lui importe. C’est un autocrate qui a le champ libre et se passe totalement du Parlement. Non seulement ses délires mondialistes nous mènent à la désintégration du pays, mais sa russophobie aggravée peut nous conduire au pire.

Tout cela va mal finir.

Jacques Guillemain, R.L.

. [La semaine média] Contrôle de l’Arcom : ça tangue à France Inter

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°° WEBTUBE : C’est le gag indémodable de l’arroseur arrosé. Lorsqu’ils ont eu vent de la décision du Conseil d’Etat de contraindre l’Arcom à mieux contrôler CNews, les médias de service public ont sabré le champagne. « C’est une excellente chose, entendait-on mercredi dernier sur France Info. Ce que le Conseil d’État vient rappeler à l’Arcom, c’est qu’elle ne joue pas son rôle au nom du respect de la liberté d’expression ». Mais dès le lendemain, les verres à mousseux étaient déjà rangés et les mines victorieuses avaient laissé place à des moues inquiètes. La nuit portant conseil, les moins lents de nos confrères avaient fini par comprendre ce que nous annoncions sur BV dès le mois de janvier : ce qui s’appliquera à CNews s’appliquera à tous.

Stupeur et tremblements à Radio France

Le 15 février, France Inter monta au créneau à deux reprises pour dénoncer cette intolérable égalité de traitement entre tous les médias. Une exigence de pluralisme sur CNews, c’est indispensable, mais sur l’audiovisuel public, c’est parfaitement inadmissible ! « Ce n’est pas parce que CNews tousse, que la chasse aux dérives doit devenir virale », s’indigna l’éditorialiste en chef de la maison ronde, Yaël Goosz« Cette quête d’un pluralisme total, au-delà du personnel politique, vaudra pour toutes les chaînes ! », ajouta-t-il, confirmant en creux que les chroniqueurs, journalistes et « experts » invités sur France Inter sont de gauche.

Sur la même antenne, Cyril Lacarrière émit lui aussi de sérieuses réserves quant à cette décision du Conseil d’Etat qui pourrait in fine se traduire par l’ouverture des studios de Radio France à des personnalités de droite. « Plus qu’une décision… c’est une révolution ! s’inquiète-t-il. Et franchement… je ne sais pas si c’est une bonne chose. […] cette décision du Conseil d’État finira par se retourner contre tous les médias. »

À ce sujet — [EDITO] Dans la série « Qui veut la peau de CNews », voici… le Conseil d’État !

Le deux poids, deux mesures revendiqué

Le « flicage » – comme le dit l’éditorialiste – c’est bon pour les autres. Jamais pour soi. Au delà de la médiocrité de RSF et de l’inclinaison gauchiste du Conseil d’Etat, cette affaire aura aussi révélé l’arrogance d’un service public qui s’estime au-dessus du lot, au-dessus des lois. La bien-pensance médiatique ne se cache plus et revendique ouvertement le deux poids, deux mesures. Pendant qu’elle fustige la présence sur CNews de Philippe de Villiers, non décompté par l’Arcom comme une personnalité politique alors qu’il a été « en politique toute sa vie », elle ne trouve rien à redire aux chroniques de l’ancienne ministre Roselyne Bachelot sur LCI, BFM ou France Musique. Alors qu’elle dénonce à cor et à cri le « mélange opinion/information » de la chaîne dite « ultra-conservatrice », elle applaudit l’engagement de Radio France dans son militantisme écologiste d’extrême gauche. Tout lui est permis. Tel est le privilège du camp du Bien qui exige d’autrui ce qu’il refuse de s’imposer à soi-même.

Jean Kast, Boulevard Voltaire

. [Sexualité] Quand Onfray cite une éclairante tribune de « Libération », ça ne passe pas

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°° WEBTUBE : Michel Onfray commence à avoir son rond de serviette sur CNews et Europe 1. C’est finalement bien sympathique. Il tient un rôle bien connu dans le paysage médiatique français, celui du philosophe que l’on aime retrouver. Alain Finkielkraut, Luc Ferry et même Jean d’Ormesson (qui était agrégé de philo) ont tenu ce rôle avant lui. Il pourrait même, si c’était encore utile ou intéressant, venir commenter les sujets du bac de philosophie. C’est une évolution amusante mais loin d’être désagréable, pour celui qui fut jadis un athée jouisseur en habit de janséniste, et qui est aujourd’hui –mais peut-être le récuserait-il- à deux doigts de devenir un catholique vociférant, un Léon Bloy auquel il ne manquerait que la découverte de l’amour de Dieu. On peut voir, à ce sujet, son excellent entretien vidéo avec le père Michel, de l’abbaye de Lagrasse, sous la houlette d’Eugénie Bastié.

Bref, une nouvelle fois, Michel Onfray était donc invité, cette fois par Sonia Mabrouk. Il a cité à nouveau, comme il l’avait fait par le passé, une tribune que publia Libération en 2014. Signée de « Paul B. Preciado », né (ou née) Beatriz Preciado, cette envolée lyrique de toute beauté s’attaquait à la politique nataliste voulue, à l’époque, par le gouvernement espagnol de centre droit, celui de Mariano Rajoy.

Il est question pour les femmes, en peu de mots, de faire front contre le « sperme national catholique », par un certain nombre de pratiques sexuelles, certaines plutôt marginales pour le dire ainsi, afin de s’affirmer stérile contre ce que l’on appelait pas encore le réarmement démographique. Zoophilie, coprophagie ou fétichisme sont ainsi présentés, entre autres, comme des alternatives désirables à l’exploitation du corps féminin (ici réduit, par métonymie, à l’utérus), corps évidemment exploité par ces salauds de patriarches blancs.

Tout est permis dans une tribune?

Devant une telle franchise, les lecteurs de Libé s’élèvent, pour certains, contre un amalgame que ferait Michel Onfray : laisser la parole à quelqu’un pour une tribune, ce ne serait pas forcément cautionner ses propos. On connaît cette excuse, qui a déjà servi à Libé pour tenter de se dédouaner d’autres « tribunes » tout aussi répugnantes (« Apprenons l’amour à nos enfants » est la plus célèbre). Par parenthèse, c’est curieux, chez des gens « libérés », cette fascination névrotique pour la perversion sexuelle. Peu importe, dans le cas présent : l’argument consiste donc à dire qu’on peut laisser la parole à quelqu’un avec qui on n’est pas forcément d’accord. Bon.

On n’est pas sûr que Libé aurait laissé la parole avec autant de facilité à d’autres opinions. On n’est même pas certain que Libé ait l’habitude de laisser s’exprimer d’autres opinions que les siennes. Le problème, en réalité, c’est que les temps ont rapidement changé, et que ce qui apparaissait hier comme d’intéressantes digressions, apparaît aujourd’hui pour ce que c’est : de la propagande, fabriquée par des gens qui ont de graves problèmes, à destination d’âmes, hier malléables ou indifférentes, aujourd’hui exaspérées par ce matraquage sordide. C’est, au fond, sa mémoire que l’on reproche à Michel Onfray, dans un siècle qui a perdu jusqu’à l’idée du temps long. C’est plutôt encourageant.

Arnaud Florac, Boulevard Voltaire

. Alliance Russie-Europe : le cauchemar des Américains – Politique & Eco n°424 avec Marc Rousset – TVL

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°° WEBTUBE : Les Anglo-saxons ne sont pas les amis de l’Europe. Et l’empire transatlantique apparaît chaque jour de plus en plus impossible. Voilà le constat que dresse l’économiste Marc Rousset dans son ouvrage « Notre Faux-Ami l’Amérique – Pour une Alliance avec la Russie ». Embourbé dans un déclin intérieur comme à l’extérieur, les Etats-Unis sont prêts à tout pour conserver leur hégémonie : de la destruction de Nord Stream à l’extraterritorialité de leur droit en passant par l’extension de l’OTAN leur bras armé. Marc Rousset constate que l’Europe ne va pas de Washington à Bruxelles, mais de Brest à Vladivostok. L’océan Atlantique sépare l’Amérique de l’Europe, alors que l’Union européenne et la Russie, le plus grand pays de l’Europe, sont deux grands voisins complémentaires. La seule vraie question pour les Européens, c’est de faire le choix suivant : rester Européen en se rapprochant de la Russie ou devenir Américain en acceptant le protectorat de l’OTAN et en perdant leur identité européenne. Le préfacier de l’ouvrage, Piotr Tolstoï, vice-président de la Douma, l’exprime ainsi : « La Russie et l’Europe ont des intérêts communs et un Avenir commun sur ce grand continent paneuropéen qui va de l’océan Atlantique à l’océan Pacifique ».

. L’ Inde, le prochain Titan Economique par Charles et Emmanuelle Gave.

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°° WEBTUBE : Dans un monde qui cherche désespérément de bons exemples de croissance, l’Inde se démarque comme l’économie majeure à la croissance la plus rapide au monde, avec une démographie favorable et des vents géopolitiques favorables. Le PIB, qui montre une croissance fulgurante de 7,6 % en glissement annuel, ne fera que renforcer l’enthousiasme des investisseurs (malgré les accusations selon lesquelles des agents des services de renseignement indiens seraient à l’origine de récents complots d’assassinat au Canada et aux États-Unis). Les contraintes budgétaires et les rigidités du marché du travail limiteront la croissance, qui n’atteindra jamais les niveaux observés dans les économies miracles d’Asie de l’Est. Mais tant que la hausse actuelle du cycle d’investissement se maintient, l’Inde peut générer des gains pour les investisseurs cherchant à se diversifier loin de la Chine

L’Inde est souvent comparée à un éléphant : grand et costaud. Mais aujourd’hui, c’est la grande économie qui connaît la croissance la plus rapide au monde, avec un PIB d’une valeur de près de 4 000 milliards de dollars. • Des fondamentaux macroéconomiques solides et des mesures politiques visant à stimuler les investissements dans les infrastructures laissent présager des taux de croissance réels soutenus de 6 à 7 %. C’est plus rapide que la plupart des pairs de l’Inde sur les marchés émergents, même si les rigidités du marché du travail signifient que le taux de croissance potentiel de l’Inde est encore inférieur à 8 à 9 %.

03:54 Rappel géographique sur l’Inde 04:00 Système politique 06:38 Pondichéry, Karikal, Yanaon sur la côte est, Mahé sur la côte ouest, une seule dans le nord, Chandernagor proche de Calcutta. 12:00 La redéfinition dans l’Indo Pacifique. 16:48 Le développement Economique de l’Inde. 20:22 Le déficit d’Epargne 25:00 Les investissement publics en Inde. 35:00 La prochaine force de travail sera dans l’Ocean Indien. 56:00 Le Paris de l’Ile Maurice.