. Viols commis par des clandestins en Grande-Bretagne : la carte qui dénonce

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#webtube : Loin d’être « un fantasme d’extrême droite », la carte s’appuie sur les dossiers des tribunaux de la Couronne. Le 18 décembre, on fête la Journée internationale des migrants. Enfin, les immigrationnistes de tout poil la fêtent. Les victimes de viols et d’agressions, elles, s’abstiennent. Une enquête publiée par le Daily Mail n’incite d’ailleurs pas aux festivités. Les journalistes Jacob Dirnhuber et Nick Craven ont dressé « la carte choquante de la Grande-Bretagne qui révèle l’ampleur réelle des crimes sexuels commis par des migrants illégaux ».

Ils ont recensé 59 cas de viols sur les trois dernières années. Première leçon : la dissémination des demandeurs d’asile (des personnes entrées clandestinement, la plupart depuis la France) a fonctionné : des viols se commettent partout sur le territoire de la Grande-Bretagne. Deuxième leçon, corrélative : une partie des clandestins s’avère une menace réelle pour les filles et femmes britanniques.

Des données encore partielles

Loin d’être une « fake news » ou un « fantasme d’extrême droite », chacun des crimes signalés par la carte s’appuie sur les archives des tribunaux de la Couronne et des tribunaux d’instance du Royaume-Uni. Birmingham, septembre 2024 : Mohammed Wahid Mohammed, Syrien de 22 ans, viole une fillette de 12 ans. Bournemouth, juin 2025 : Chret Callender, Trinidadien de 28 ans, viole une femme. Maidstone, juillet 2025 : Shafiullah Rasooli, Afghan de 29 ans, livreur, agresse sexuellement deux femmes qui avaient commandé des repas à domicile. Et cetera. Ici, c’est un Irakien ; là, un Congolais ; plus loin, deux Soudanais…

Des féministes pas trop regardantes relativiseront : 59 agressions en trois ans ? Une paille. Sauf que, sur cette période, d’autres affaires ne sont pas encore jugées et que « le statut migratoire des accusés n’est révélé qu’après leur condamnation ». Et si l’on prenait en compte le total des viols depuis trente ans, en incluant les « grooming gangs » — 1.200 arrestations en 2024 et 1.400 enfants victimes d’exploitation sexuelle rien qu’à Rotherham, de 1997 à 2013 —, le chiffre final mènerait, si l’on avait encore de la dignité et de la compassion pour les victimes, à abolir à jamais la fameuse Journée internationale des migrants.

À ce sujet — Afflux de clandestins au Royaume-Uni : les casernes du Grand Remplacement

Une misogynie importée

La carte des agressions sexuelles ne manque pas de faire réagir. Elon Musk commente sobrement : « Le viol de la Grande-Bretagne ». Richard Tice, vice-président de Reform UK (le parti de Nigel Farage), incrimine les responsables politiques qui laissent entrer les clandestins, les envoient partout sur le territoire (logés dans des hôtels ou d’anciennes bases militaires) et ont une nette tendance à dissimuler les faits lorsqu’ils se produisent.

Au-delà du fait qu’attendre de personnes qui entrent illégalement dans un pays autre chose qu’un comportement illégal est une gageure, « nombre de ces migrants, commente Richard Tice, viennent de pays où les femmes et les filles sont traitées comme des citoyennes de seconde zone et où la misogynie est profondément ancrée. Cela fait partie intégrante de leur culture. » D’autant que, selon un précédent article du Daily Mail, les passeurs montreraient des vidéos de jeunes femmes occidentales aux candidats à la migration pour les inciter à venir au Royaume-Uni. À la pompe aspirante des aides sociales s’ajouterait un appât des plus attractifs : des proies sexuelles à disposition.

Keir Starmer a la solution

Le Premier ministre, Keir Starmer, a-t-il vu la carte du Daily Mail ? Il a posté un tweet, ce 17 décembre au matin, où il écrit que « la violence à l’égard des femmes et des filles constitue une urgence nationale ». Bien, se dit-on. Il a pris la mesure du problème. Il va promulguer l’immigration zéro. Renvoyer dans leurs pays d’origines les agresseurs. Las, outre qu’il ne désigne aucune menace liée à l’immigration, ce qu’il va mettre en place permettra « de garantir que les victimes et les survivantes reçoivent le soutien fiable et les soins spécialisés dont elles ont besoin ». Les victimes ont, par avance, tout le soutien de Keir Starmer. Lunaire.

Samuel Martin, dans BV

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