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#webtube : Panique totale des Européens. Leur bellicisme incontrôlable a fini par exaspérer Trump qui les lâche en rase campagne. Sans armée et sans argent, à eux d’assumer seuls leur russophobie.
Les fous furieux qui ne cessent d’accuser Poutine d’être l’agresseur qui refuse de négocier oublient que c’est Boris Johnson qui s’est précipité à Kiev en 2022 pour dissuader Zelensky de signer les accords d’Istanbul, acceptés par la partie russe.
En promettant la victoire aux Ukrainiens, sans la moindre idée de la puissance de feu de l’armée russe, Johnson a tout simplement condamné l’Ukraine à sa perte. Cet épisode est mis sous le tapis depuis quatre ans, afin de mieux culpabiliser Poutine qui refuserait prétendument la paix. Comme si le Tsar vainqueur sur le terrain allait accepter une paix aux conditions du vaincu ! Macron délire.
Les Européens ne se sont toujours pas remis du discours de Trump sur la Sécurité nationale des États-Unis. S’ils n’ont pas compris que le Président américain a le culte des vainqueurs et n’a que mépris pour les vaincus, il vaut mieux qu’ils jettent l’éponge.
Trump déteste Zelensky qu’il prend pour un petit saltimbanque qui ne cesse de mendier armes et argent pour en détourner une partie avec ses complices. Si le Président ukrainien a fait illusion en Europe, au point que l’UE en a fait le Churchill ukrainien, ce n’est pas le cas de Trump. L’Ukraine, ce n’est pas sa guerre, c’est celle de Biden et de ces crétins de démocrates.
Quant à l’UE, il la méprise pour sa faiblesse militaire, son déclin économique provoqué par des normes suicidaires qui tuent sa compétitivité, son idéologie mondialiste qui détruit les nations par une immigration de masse, ses atteintes aux libertés et surtout pour son abandon des valeurs conservatrices et de la famille traditionnelle, les piliers de nos sociétés occidentales.
Sur tous ces sujets, Trump est en phase avec Poutine. Une évidence qui semble pourtant échapper à nos lumières européennes, aveuglées par leur russophobie maladive.
Amie de la Russie, la France avait pourtant un rôle à jouer en se plaçant du côté de la paix. Mais Macron, en bon petit soldat de Washington, est devenu le plus teigneux et agressif de la bande. Veut-il s’accrocher au pouvoir par la guerre ?
Les Européens se sont trompés lourdement en se lançant dans une guerre qui n’est pas la nôtre mais celle voulue par Washington et préparée depuis la chute du Mur en 1989.
Sur le plan économique c’est une catastrophe
L’Europe a englouti 200 milliards d’euros dans une guerre ingagnable. Elle s’est privée du pétrole et du gaz russes pour faire plier Poutine, qui s’est tourné vers la Chine et l’Inde pour écouler son pétrole. Les sanctions ont stimulé l’économie russe qui s’est reconvertie et a gagné en autonomie. En revanche, les vingt trains de sanctions ont ruiné encore plus l’Europe, qui a sabordé sa compétitivité.
Le résultat ? L’Europe est ruinée et en est arrivée à essayer de voler les 210 milliards d’avoirs russes qui dorment en Belgique pour continuer sa guerre, tant la perspective d’une défaite ukrainienne, donc européenne, les panique.
Mais sur le plan politique c’est bien pire. Trump ne voit plus d’intérêt à l’Otan
Ce sont l’Otan et l’UE qui vont se désintégrer à terme.
Hormis le trio Macron, Merz et Starmer, tous trois dans les bas-fonds dans les sondages, l’Europe ne se précipite pas pour se lancer dans une escalade militaire qu’elle est incapable d’assurer. Hongrie et Slovaquie sont farouchement opposées à la guerre et font, comme Trump, le choix du business avec Moscou.
Le colonel Douglas McGregor, que nos lecteurs connaissent bien, résume parfaitement la situation :
« L’Ukraine – son armée et l’État lui-même – sont en train de se désintégrer. Très bientôt, il sera impossible de cacher la catastrophe.
Mais l’échec de l’Ukraine et de tout le projet ukrainien, cette guerre par procuration contre la Russie, conduit à un autre phénomène – la désintégration de l’OTAN et de l’Union européenne.
Le président des États-Unis ne compte pas assister au sommet de l’OTAN la semaine prochaine – parce qu’il n’en a pas besoin. Il n’y a rien à discuter. Les pays de l’OTAN se sont marginalisés eux-mêmes à tel point que, en réalité, tout ce qu’ils pensent ou essaient de faire n’a plus d’importance. L’OTAN est un bluff. Un bluff vide.
Et personne de sain d’esprit, comme vous l’avez souligné dans votre introduction, ni au Royaume-Uni, ni en France, ni en Allemagne, ni ailleurs, autant que je puisse en juger, ne veut monter à bord d’un navire qui coule appelé Ukraine et avancer vers l’est pour arrêter la progression des Russes. Personne n’est intéressé. »
Le colonel McGregor a bien évidemment raison. Mais il oublie qu’il n’y a pas que des sains d’esprit parmi les élites dirigeantes européennes.
Ces fous furieux, qui espèrent toujours le retour de Trump dans le camp de la guerre, n’accepteront la défaite que le jour de la capitulation sans conditions de l’Ukraine.
Jacques Guillemain, Riposte Laïque
