. Fête des Lumières à Lyon : « La police blesse et tue »

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#webtube : La préfète du Rhône a tenu à rappeler sur TF1 que près de 500 policiers protégeaient justement la fête des Lumières… À l’origine, la « fête des lumières » de Lyon consistait, pour les habitants de la capitale des Gaules, à mettre une bougie à leur fenêtre pour rendre grâce à la Vierge Marie, autour de la fête de l’Immaculée Conception, célébrée le 8 décembre. L’édition 2025, sous la houlette de la municipalité gauchiste, a décidé de détourner le concept. On sait que pour ces gens, le détournement « décalé » – l’une de leurs recettes préférées – n’est jamais loin du grand n’importe quoi. Cette année, donc, il y avait à la fois, des raviolis, un hommage au couscous. Si on ajoute à cela, des inscriptions anti-flics (le maire écolo Grégory Doucet a heureusement condamné), la fête était totale. Voyons cela.

Pour commencer, afin de rendre hommage à la réputation gastronomique de la ville, une grande fresque lumineuse avait été projetée sur les façades de la place des Terreaux. Son titre : « le lundi c’est raviolis » – hommage, pour ceux qui s’en souviennent, à La Vie est un long fleuve tranquille, cette comédie d’Etienne Chatilliez, rétrospectivement très cruelle et pas vraiment drôle. Les Lyonnais ont donc vu des boîtes de conserve, des pâtes, mais aussi des légumes, défiler sur les façades des immeubles, au son d’une musique rythmée. Magnifique. Le rapport avec la fête des Lumières ? Eh bien…la lumière…Ce n’était pas tout, bien sûr : parce que la France ne serait pas la France sans ses spécialités locales, l’animation a mis à l’honneur…le couscous. Certains internautes de droite, comme Damien Rieu, s’en sont émus. Ils en ont été quittes pour une volée de bois vert de la part des gauchistes, qui considèrent que le fait de ne pas considérer le couscous comme un plat traditionnel lyonnais est raciste. Très bien.

Et puis, parce qu’une fête de gauche n’est pas réussie si elle n’est pas interrompue par des intermittents ou des casseurs, des banderoles sauvages ont été déployées sur la façade des Beaux-Arts. On pouvait notamment y lire : « Non à l’État policier », « La violence policière est partout », « La police blesse et tue » ou encore « On dégage le RN ». La préfète du Rhône a tenu à rappeler sur TF1 que près de 500 policiers protégeaient justement la fête des Lumières, notamment afin de permettre aux courageux résistants de déployer leurs banderoles anti-flics sans heurts. Un tel niveau d’ingratitude et de bêtise laisserait pantois si l’on n’y était pas tristement habitué. Quant aux injonctions à « dégager » le premier parti de France, il va peut-être falloir rappeler aux militants de gauche lyonnais que le RN le poids du RN malgré le « front républicain ». Le dégager, ce serait refuser la volonté du peuple : c’est peut-être là qu’ils veulent en venir. Les « Soulèvements de la Terre », ce mouvement écolo ultra-violent, a revendiqué l’action. Quelle bravoure.

La fête des Lumières aurait pu être un moment familial, un moment de recueillement, même pour ceux qui ne croient pas au Ciel, un moment d’émerveillement pour les enfants, dont les yeux ont tellement besoin de choses belles, simples et grandes. Il va falloir attendre encore un peu : tant que les grandes villes seront dirigées par des maires de gauche, nous aurons les spectacles « d’hiver » au moment de Noël, les animations moches et idiotes faites par des cultureux subventionnés, la dissidence autorisée (ces « Soulèvements », on ne devait pas les dissoudre, déjà ?). Attendre encore un peu, ça veut dire attendre les municipales. Franchement, ce sera bien long…

Arnaud Florac, dans BV

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