Articles : Nov. 2025 – Oct. 2025 – Sept 2025 – Aout 2025 –
Facebook : https://www.facebook.com/profile.php?id=100069673161887 Twitter : https://twitter.com/OrtfNews Music 24/24 : http://DJMUSIC.fr

#webtube : Je songe souvent à nos enfants et petits-enfants de patriotes qui sont nés dans les années 1950 à 1970 et qui ont vécu ces années 1980 à 1995. Aucun n’aurait pu imaginer dans ces périodes, en toute capacité de réflexion, en toute indépendance, ce que ces années 2000 allaient contenir de folies politiques, d’aberrations intellectuelles, de chute de culture générale, d’invasion migratoire et d’instruction publique.
Aujourd’hui, un Français des années 1950 certifié « fin d’études primaires » serait capable de passer un BAC haut la main et sur toutes les facettes de l’instruction nationale. On peut lire des lettres magnifiques d’hommes du terroir, à l’écriture déliée, impeccable et quasi sans fautes.

Ces Français certifiés du primaire étaient projetés dans la vie active à 12 ou 14 ans chez un patron d’apprentissage, à l’usine où travaillaient papa et maman, dans l’atelier du coin ou carrément à des kilomètres de leur famille parce qu’ils savaient lire, écrire et compter et qu’ils mettaient leur misérable salaire en fin de mois dans l’escarcelle familiale.

Les autres, les plus chanceux ou plus brillants, allaient en sixième parce qu’ils étaient les meilleurs de la classe. Avec du travail et de la chance, ils allaient devenir bacheliers, former une élite respectée.
Plus vieux, tous se retrouvaient dans des vies où les moins instruits n’étaient pas, loin de là, les moins riches ou les moins à l’aise pécuniairement car ils avaient créé leur entreprise, monté des ateliers, ouvert des commerces, etc.
Rien n’était impossible pour ces générations de Français. Ce qui n’est plus le cas semble-t-il aujourd’hui
Peu à peu, les édiles politiques issus de l’après-guerre ont abandonné les raisons qui faisaient que la France était une chance pour tous. Ils ont été remplacés par des Français plus motivés par la carrière, enclins à trahir les citoyens, les Français de France et même leur famille.
Nous avons des politiciens incultes, ignorant leur histoire nationale, obsédés par des éléments de langage comme « toutes zé tous » « ceux zé celles » « citoyennes zé citoyens« , et autres fadaises linguistiques macronistes qui permettent de faire oublier aux « électeurs zé électrices » qu’ils se fichent pas mal de votre sexe et de votre désir de sécurité.
La peur de l’avenir que nos enfants et petit-enfants découvrent est la volonté morbide des « puissants » du jour de faire peur et ce, depuis plusieurs années.
Depuis François Mitterrand, de Jacques Chirac à Emmanuel Macron, en passant par Sarkozy et Hollande, tout est fait pour démoraliser les citoyens de France et les rendre fragiles et incapables de se révolter.
Nous sommes face à une invasion migratoire islamique qui tue et nos pseudo-dirigeants vous font regarder le doigt russe au lieu de regarder la main islamique
Nous avons des dirigeants politiques qui ont suicidé la France industrielle, rurale, paysanne et culturelle.
Avec la complicité d’autres demeurés issus d’autres pays de l’Union européenne, ils ont inventé des mécanismes juridiques qui font de nos sociétés des proies économiques faciles, des cibles, du gibier à détrousser et des citoyens lobotomisés bons à violer, à tuer après les avoir intoxiqués à la cocaïne.
Quelques tableaux sociétaux pour comprendre les dégâts d’une invasion qui cache son nom grâce à des Daladier plus fourbes que le vrai.



Je remercie tous ces jeunes militants issus des partis de la droite nationale et toutes ces militantes issues du Collectif Némésis d’Alice Cordier, merci aussi à Mila, merci à Casus-Lady pour son travail sur l’islam. Tous sont conscients et tentent de secouer cette France endormie par quarante-cinq ans de confortable léthargie.
Vous êtes mon réconfort, mon espérance, même si je sais que je suis assez vieux pour comprendre que je ne verrai pas votre victoire. Cela fait plus de trente ans que je lutte en interne dans des partis politiques, mon syndicat d’entreprise, mon association et que j’écris, que je manifeste, et vous êtes là pour continuer le combat. La France ne peut pas perdre avec des militants comme vous.
Gérard Brazon, Riposte Laïque
