. La sexualité et l’homosexualité en islam

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#webtube : L’islam a codifié  les rapports sexuels entre les hommes et les femmes qui sont soumis à la charia (les lois islamiques). Certains actes sexuels sont permis et d’autres sont strictement interdits.

En effet, il est interdit aux femmes et aux hommes musulmans de discuter ouvertement des relations sexuelles. L’islam met l’accent sur les préliminaires. La masturbation est interdite, mais les hommes et les femmes mariés peuvent stimuler le pénis et le vagin de leur partenaire. Pourtant malgré ces interdictions, les rapports sexuels définis par le nikah (sexualité islamique) restent nécessaires dans la vie conjugale du couple.

Dans la culture musulmane, le refus d’une femme d’avoir des relations sexuelles sans raison valable est puni par Allah et ses anges, mais cela ne signifie pas que le mari est obligé d’avoir des relations sexuelles avec elle. Par contre, la femme ne doit pas se refuser à son mari, même sur le dos d’un chameau (hadith authentifié).

Allah a dit que les femmes sont des champs de labour pour leurs époux :

« Vos épouses sont pour vous un champ de labour ; allez à votre champ comme [et quand] vous le voulez et œuvrez pour vous-mêmes à l’avance. Craignez Allah et sachez que vous Le rencontrerez. Et faites gracieuse annonce aux croyants » (sourate 2, verset 223).

L’islam interdit l’homosexualité. Beaucoup de versets coraniques l’interdisent. En effet, il est écrit dans la sourate 27, versets 54 à 58 :

« [Et rappelle-leur] Lut (Loth), quand il dit à son peuple : « Vous livrez-vous à la turpitude [l’homosexualité] alors que vous voyez clair ? ».

Vous allez aux hommes au lieu de femmes pour assouvir vos désirs ? Vous êtes plutôt un peuple ignorant.

Puis son peuple n’eut que cette réponse : « Expulsez de votre cité la famille de Lut (Loth) ! Car ce sont des gens qui affectent la pureté.

Nous le sauvâmes ainsi que sa famille, sauf sa femme pour qui Nous avions déterminé qu’elle serait du nombre des exterminés.

Et Nous fîmes pleuvoir sur eux une pluie (de pierres). Et quelle mauvaise pluie que celle des gens prévenus ! ».

Voir aussi les versets 80 à 84 de la sourate 7, les 78 à 82 de la sourate 11, les versets 28 à 35 de la sourate 29.

À ce sujet, le prophète de l’islam a dit, rapporté par Abou Horeira ( Sunan Abi Dawud 8) : «  Le croyant qui utilise la voie anale dans son acte intime avec son épouse est maudit ».

Les exégètes islamiques ont interdit les actes homosexuels. Mais en réalité, entre ce qui est halal et haram, il y a  un fossé  que les musulmans refusent de voir. Le réel leur est étranger.

L’homosexualité et la sodomie demeurent omniprésentes  au sein de la oumma mais cachées des regards de la foule haineuse.

L’exemple de l’oasis de Siwa à l’ouest de l’Égypte est édifiant. Cette oasis cache une histoire étonnante longtemps oubliée (ou plutôt, volontairement effacée mais qui continue à se pratiquer en cachette) : les mariages homosexuels (entre les hommes uniquement).

Ces unions entre hommes étaient reconnues par la communauté et faisaient l’objet de véritables mariages officiels. La dot versée pour un mariage homosexuel était souvent plus élevée que celle d’un mariage hétérosexuel.

L’autre exemple de l’homosexualité est le bacha bazi (jouer avec les garçons imberbes comme au Paradis d’Allah). Cette pratique est un esclavage sexuel, sous forme de prostitution.

Le bacha bazi est encore pratiqué en Afghanistan, à l’ouest du Pakistan et dans certaines régions de l’Asie centrale (Turkménistan, Ouzbékistan, Tadjikistan…).

Constantin Constantinovitch von Palhlen (1833-1912, général et homme politique russe), dans ses notes sur l’Asie centrale, décrit le bacha bazi (mission en Turkestan, 1908 et 1909).

« Des coussins et des carpettes furent installés, sur lesquels nous nous allongeâmes avec reconnaissance. De grands tapis furent étendus dans la cour et les indigènes allumèrent leurs narguilés, nous les offrant poliment. C’est alors que Khivan, célèbre bachehs, fit son entrée. Derrière la scène, un orchestre principalement composé de flûtes de jumeau, de tambours de bouilloire et d’une demi-douzaine de trompettes d’argent à taille d’homme avait pris position. En face de nous, une porte laissée entrouverte conduisait au harem [espace réservé aux esclaves]. L’orchestre commença alors avec une curieuse mélodie plaintive, le rythme étant repris et souligné par les timbales et quatre bachehs prirent leurs positions sur le tapis. Les bachehs sont de jeunes garçons spécialement formés pour effectuer un ensemble particulier de danses. Pieds nus, vêtus comme des femmes, en longues blouses de soie aux couleurs vives qui atteignent le dessous de leurs genoux, les pantalons étroits bien serrés autour des chevilles, les bras et les mains brillant de bagues et de bracelets. Ils portent les cheveux longs, arrivant en dessous des épaules, bien que la partie avant de la tête soit rasée de près. Les ongles des mains et des pieds sont peints en rouge, les sourcils sont noir de jais. Les danses se composent de contorsions sensuelles du corps et de stimulations rythmiques de long en large, les mains et les bras levés dans un mouvement tremblant. Le nombre de danseurs augmenta ensuite, le cercle grandit en taille, la musique devint plus aiguë et perçante, tandis que les yeux des spectateurs indigènes brillaient d’admiration et que les bachehs entonnaient une mélodie perçante, dans le tempo sans cesse croissant de la musique. Le prince héritier expliqua qu’ils chantaient l’amour et la beauté des femmes. Ensuite les danseurs effectuèrent des mouvements plus rapides empreints d’une grande émotion, jusqu’à ce qu’ils se jettent à terre, comme épuisés et grisés par l’amour. Ils furent suivis par d’autres, qui dansèrent selon le même thème. »

En lisant ce texte, on se croit transporter au Paradis d’Allah et ses éphèbes qui tournent au milieu des ‘bienheureux’.

La sodomie des femmes est une pratique sexuelle assez répandue en terre d’islam. En effet, les jeunes filles musulmanes célibataires s’adonnent à la sodomie pour préserver leur virginité. Une fille qui n’est pas vierge, son avenir d’épouse n’est pas assuré. Elle est de facto frappée par la malédiction d’Allah.

Certaines femmes mariées mais infidèles pratiquent aussi la sodomie pour éviter de tomber enceintes et d’engendrer ‘des enfants illégitimes’. La peur du lendemain les pousse parfois, malgré elles, à cette pratique sexuelle qu’elles considèrent pourtant comme honteuse. Parfois, il faut le souligner, elles préfèrent être prises par derrière pour goûter au plaisir de la sodomie.

Je ne parle pas aussi des relations intimes entre femmes qui sont connues et qui se déroulent en général dans les hammams. Il est de notoriété publique aussi que l’homosexualité masculine se passe dans les alcôves  de ces hammams, après le départ des femmes.

Ces choses ne se discutent pas, elles font partie de l’intime.

Cet article n’est pas une critique de l’homosexualité mais il est là uniquement pour dénoncer la malhonnêteté de certains musulmans qui lavent plus blanc que blanc.

La sexualité dans la société arabo-musulmane est considérée comme haram. Elle est frappée par le sceau de la honte et de l’infamie en apparence. Et en plus, comme l’honneur (le nif) de la oumma se trouve entre les cuisses de la femme, la sexualité devient une obsession et un tabou fantasmé.

L’arabo-musulman cultive et entretient, depuis son enfance, un esprit plein de contradictions et de clichés dégradants sur la sexualité qui brouille sa vision et son rapport à la femme qu’il considère comme un objet sexuel difficilement atteignable pendant sa jeunesse. En tout cas, avant son mariage.

La sexualité demeure un complexe psychosocial refoulé et chronique chez le musulman en général, de la naissance jusqu’à la mort.

La sexualité est une obscurité qui le trouble !

La société arabo-musulmane, dans son intégralité, intellectuels comme simples citoyens, voit en la sexualité la “honte”.

La sexualité est aussi  synonyme  “d’honneur” ou “ de déshonneur” !

Ainsi, le crime d’honneur est légalisé par la société arabo-musulmane. Ces “crimes d’honneur” sont légion en terre d’islam et même en Occident à cause de l’invasion islamique que les médias officieux passent sous silence.

Le musulman est allergique à l’amour. Pour lui, l’amour est souvent lié à la sexualité maudite. Et la société arabo-musulmane l’encourage à refuser de reconnaître que la sexualité fait partie de la vie, en continuant à lui enseigner la haine et la violence comme les sédiments de sa culture.

Elle condamne aussi l’amour entre un homme et une femme. En un mot : la vie !

La sexualité crée une sorte de peur de la femme chez les arabo-musulmans qui deviennent des frustrés sexuels, au point que la violence misogyne devient la seule arme qui leur reste. L’invisibilisation de la femme de l’espace public est leur sujet de discussion à la mosquée. Pour beaucoup d’entre eux, la mixité est le chemin ouvert vers une sexualité hors charia. Par conséquent, la mixité est haram !

Dans une société obsessionnelle comme la oumma, la femme devient alors une proie harcelée dans la rue et parfois dans son propre domicile. Et les agressions sexuelles qui se passent dans les transports publics en France sont les parfaites illustrations de cette obsession sexuelle.

D’ailleurs, pour réprimer la sexualité, les oulémas s’appuient sur le verset coranique 187 de la sourate 2 : « Et ceux qui ne trouvent pas à se marier, qu’ils jeûnent, car le jeûne sera pour eux un bouclier ».

Pour Allah, jeûner est le meilleur moyen d’oublier sa sexualité.

Cette religion ‘de paix et d’amour’ est l’idéologie par excellence pour créer la frustration, la violence et le viol surtout contre les femmes non voilées et de préférence mécréantes.

Alors, d’une pierre, deux coups !

Hamdane Ammar, Riposte Laïque

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