Articles : Oct. 2025 – Sept 2025 – Aout 2025 – Juil. 2025 –
Facebook : https://www.facebook.com/profile.php?id=100069673161887 Twitter : https://twitter.com/OrtfNews Music 24/24 : http://DJMUSIC.fr

#webtube : Mensonges, mensonges, veulerie, lâcheté. Que ce soit le président Emmanuel Macron où son historien officiel sur l’Algérie, lisez ce qui suit
INFO LE FIGARO – À la demande de l’Élysée, l’ambassadeur de France en Algérie, Stéphane Romatet, a pris part ce jeudi à la commémoration du 17 octobre 1961. Un geste voulu par le président français pour raviver un dialogue gelé depuis des mois entre Paris et Alger.
À la demande de l’Élysée, l’ambassadeur de France en Algérie, Stéphane Romatet, a participé ce jeudi 16 octobre à une cérémonie d’hommage aux victimes des événements du 17 octobre 1961 organisé par la Ville sur le pont de Bezons à Paris.
La manifestation lancée à l’époque par le FLN pour protester pacifiquement contre un couvre-feu imposé aux Algériens – on est en pleine guerre d’Algérie – fut violemment réprimée par la police de Maurice Papon, faisant plus d’une centaine de victimes parmi les Algériens, dont beaucoup furent jetés dans la Seine.
« La France n’oublie pas ce jour sombre de son histoire »
Selon des sources diplomatiques, Emmanuel Macron souhaitait envoyer deux messages à Alger : rappeler que « la France n’oublie pas ce jour sombre de son histoire », et souligner qu’il est désormais nécessaire de « dépasser la crise » qui paralyse les relations franco-algériennes. Stéphane Romatet, rappelé à Paris depuis avril 2025 alors qu’Alger venait d’expulser douze agents de l’ambassade de France, n’a toujours pas regagné son poste.
L’historien français Benjamin Stora, spécialiste de la colonisation de l’Algérie, revient dans cet entretien à TSA sur le massacre du 17 octobre 1961 à Paris.
Benjamin Stora, qui a récemment publié une bande dessinée sur le drame du 17 octobre 1961, évoque aussi les raisons du refus de la France de reconnaître ce massacre comme crime d’État, les raisons de l’acharnement de l’extrême droite sur les Algériens, l’éventualité d’un dégel dans les relations franco-algériennes après le départ de Bruno Retailleau du ministère de l’Intérieur…
Ce ne sont que des mensonges, ils me font honte. Aussi bien l’un que l’autre ne peut apporter la preuve de ce qu’ils commémorent. Je ne vais pas revenir sur mes explications détaillées lors des mois d’octobre des précédentes années mais enfin 2 à 300 cadavres d’Algériens jetés dans la Seine et « ils ont tous disparus » et pas un seul retrouvé sur une berge entre Paris et Rouen par des enquêteurs d’État. La Seine les a dissous.
Bizarre non ? Il y a quelques jours, 4 ou 5 corps ont été vus flottant sur la Seine par le passager d’un métro. Eux non pas disparus, c’est étrange.
Pas une seule famille de ces 2 à 300 Algériens jetés dans la Seine n’a déposé ne serait-ce qu’une requête pour obtenir, par exemple, une compensation pour ce soi-disant massacre.
D’octobre 1961 jusqu’à la parution du livre La bataille de Paris, du communiste Jean-Luc Einaudi, paru en 1991, qui aurait révélé au grand public ce massacre après des recherches approfondies (il les a certainement découvert au fond du fleuve !), aucun gouvernement ou président n’a commémoré ce massacre qui n’existait pas : ils n’en avaient jamais eu connaissance… Oui, j’ai dit bizarre.
Que de mensonges, que de lâcheté.
Manuel Gomez, Riposte Laïque
INFO+
https://www.bvoltaire.fr/point-de-vue-macron-et-lalgerie-barrot-et-lafrique-les-delires-reprennent