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#webtube : Zohran Kwani Mamdani prendra officiellement ses fonctions à la mairie de New York le premier janvier 2026. Mais déjà, la ville a commencé à se vider de ses forces vives. Et l’hémorragie économique et financière ne fait que commencer.
D’après une étude de J.L. Partners repris par de nombreux médias américains, environ 10 % des huit millions et demi d’habitants de la Grosse Pomme, déclarent avoir décidé de déménager. Très vite et définitivement. Redoutant la valse des taxes et les effets économiques délétères du programme de Mamdani. Un islamo-socialiste, ça fait peur !
En outre, plus de deux millions de personnes songent sérieusement à quitter cette ville tombée entre les mains d’un ennemi de l’Amérique comme l’appelle Donald Trump. Cela pourrait devenir le plus grand exode de l’histoire américaine. Davantage de déplacés volontaires en quelques mois que lors de la ruée vers l’or en 1848 ou la Grande Crise de 1929.
Et ce ne sont pas les chauffeurs de taxi pakistanais, militants de choc de Mamdani, qui vont redresser la situation.
Par ignorance ou parti pris, nos médias menteurs parlent toujours des chauffeurs indiens des yellow cabs. Ces taxis jaunes devenus un emblème de la ville, comme les twin towers avant le 11 septembre 2001.
On compte 15.000 taxis officiels, 40.000 VTC, et autant de clandestins, soit 110.000 véhicules de transport de personnes. Avec au moins trois chauffeurs par véhicule. Soit à la louche dans les 330.000 personnes qui se relaient au volant selon la formules des 3×8, dimanches compris. Aux USA, on ne laisse pas dormir l’outil de travail.
Le profilage dans un pays où les statistiques ethniques sont licites a été réévalué pour le Patriot Act après le 11 septembre. Le FBI décompte 18 % d’Afro-Américains, 8 % de Latinos et 4 % d’Asiatiques, pour la plupart des Viets. Reste 70 % issus du sous-continent indien. 1/10 sont des Sikhs ou Hindous et 9/10 des Pakistanais ou des Indiens musulmans. Soit plus de 200.000 mahométans. Avec leurs familles nombreuses et tous les réfugiés qui ont fui la charia chez eux pour l’importer aux USA.
Certains taxis auraient servi de paravent pour masquer des dons déguisés au candidat, et véhiculé leurs coreligionnaires jusqu’aux bureaux de vote où, dit-on, ils leur auraient plus ou moins tenu la main. Des rumeurs qui le resteront car ces gens là répugnent à s’épancher auprès des koufars. En tout cas, en soutenant Mamdani avec ferveur, Barack Hussein Obama ne triche plus sur sa religion.
Le démagogue Mamdani a fédéré un vote identitaire forgé dans la haine d’Israël et le fanatisme religieux. La gestion de la mégalopole pourrait être un tremplin vers la Maison-Blanche si les Démocrates reviennent et favorisent à nouveau le tsunami coranique.
Pour ses coreligionnaires impécunieux, peu importe qu’il soit né en Ouganda et issu d’une famille riche. Pour ses supporters qui lui prêtent mille talents, peu importe qu’il ait abandonné ses études de sciences pour se rabattre sur l’histoire des Afro-Américains. Une discipline qui attire tous les branleurs gauchistes, comme la sociologie en France.
L’instinct grégaire soude l’oumma, qui se croit en guerre perpétuelle contre les infidèles. Leur conquête des grandes villes américaines et européennes n’est qu’un début. Favorisée par des politiques suicidaires menées par des élites corrompues et droguées jusqu’à la moelle des os. Préparant des avancées islamiques encore plus importantes dans les années à venir.
Les prédictions de Michel Houellebecq dans Soumission sont plus réalistes que les Centuries de Nostradamus. On y voit un islamiste d’apparence fréquentable prendre le pouvoir démocratiquement, en panachant la loi du nombre avec les sordides manœuvres politiciennes des partis qui jouent contre la France. Pour ensuite instaurer la charia. Offrant des avantages substantiels ou infligeant des brimades répétées selon qu’on accepte ou pas de se convertir.
Les progressistes applaudissent des deux mains, voyant dans la conquête de la Grosse Pomme par les mahométans une revanche contre Trump.
En Amérique, comme en France, les gens de gauche sont tellement nuls et détestent tellement leur pays qu’ils sont prêts à le trahir et se vendre à une culture étrangère destructrice pour venir à bout de leurs adversaires. Sans réaliser qu’en cas de succès de leur félonie, ces supplétifs seront balayés par les vainqueurs. À moins qu’ils ne se convertissent. Il y a toujours des places à prendre pour des janissaires et des eunuques.
Dans l’entourage de Mamdani, on taquine la taqîya en édulcorant sans les condamner les propos des terroristes du Hamas qu’il ne faudrait pas prendre au pied de la lettre : « Allah est notre maître, le Prophète notre modèle, le Coran notre constitution. Le jihad est notre chemin et la mort pour l’amour d’Allah est le plus élevé de nos souhaits. »
Des grandes entreprises ont commencé à quitter New York dès que des projections par quartiers, en fonction de leur composition religieuse, ont anticipé la victoire de Zohran.
L’histoire de l’Inde depuis 1400 ans est une illustration tragique de ce qui est arrivé, chaque fois au cours de l’histoire, lorsque les soldats d’Allah se sont emparés, par la force ou par la ruse, d’une ville ou d’une contrée. Le territoire occupé est devenu une zone stérile et désolée.
Soit ils pillaient les vaincus, comme Mamdani a prévu de le faire avec une hausse faramineuse des impôts et des taxes sur les plus riches, au nom d’une justice sociale dont il y a fort à parier que les pauvres ne verront jamais la couleur. Soit ils s’emparaient de leurs terres, ateliers et commerces, faisant des paysans, des artisans, des architectes, des savants et des artistes leurs larbins, sinon leurs esclaves.
Anticipant ces mauvaises manières, des entrepreneurs, des investisseurs et des inventeurs qui n’ont pas envie d’être dépouillés filent ailleurs, le plus loin possible. De grandes entreprises financières ont commencé à déplacer leurs activités au Texas et particulièrement à Dallas qui compte déjà plus d’emplois dans la finance que New York.
Ainsi Goldman Sachs y a construit un complexe de 80.000 m2 pour 500 millions de dollars, tandis que JPMorgan Chase emploie désormais 31.000 personnes au Texas, contre 24.000 à New York. D’autres sociétés en pointe dans les nouvelles technologies ont commencé un transfert en Floride. Pas en Californie gangrenée par des hurluberlus gauchistes milliardaires.
Selon James Johnson, un analyste cité par le New York Post, si les intentions des personnes interrogées se concrétisent, l’impact économique produira un véritable séisme.
En effet, les New-Yorkais âgés de 50 à 64 ans occupant des positions importantes dans le management sont les plus enclins à préparer leur départ. Parmi eux, les habitants patriotes et trumpistes de Staten Island, où les foyers déclarant plus de 250.000 dollars par an sont majoritaires.
Toledano, le PDG du groupe immobilier BH à Miami, affirme qu’il a signé plus de 100 millions de dollars de contrats avec des acheteurs venus de New York au cours de ces derniers mois, soit le double de l’année précédente. Selon lui, « l’élection a accéléré les décisions d’achat. Les acquéreurs new-yorkais sont prêts à investir rapidement pour sécuriser une résidence dans un État plus stable. »
150.000 New-Yorkais ont déjà quitté une ville qui ne leur appartient plus pour la Floride, emportant avec eux 14 milliards de dollars de revenus selon la Citizens Budget Commission. Miami et West Palm Beach ont surpassé New York en matière de croissance et de nombre de millionnaires. Et ce n’est qu’un début. Les mahométans ont gagné une belle boîte. Mais quand ils l’ouvriront, elle sera vide.
Christian Navis, Riposte Laïque
