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#webtube : La faute impardonnable des Européens a été de rejeter la Russie en 1991, alors que les Russes ne demandaient qu’à se rapprocher de l’UE en enterrant la guerre froide.
Nous aurons peut-être un jour une troisième guerre mondiale, donc la dernière par le feu nucléaire, parce qu’une bande de crétins à la botte des États-Unis, se sont couchés devant les faucons russophobes du Pentagone qui rêvent toujours d’en découdre, sans même soupçonner la puissance militaire de la Russie ni la force mentale de son peuple. L’histoire jugera ces criminels. Les Russes de 2025 sont les mêmes qu’à Stalingrad. Ils ne se plaignent ni ne renoncent jamais. L’Otan ne peut donc que perdre cette guerre, même si Poutine refuse de mobiliser et d’engager toutes ses forces.
Faire la guerre à un peuple blanc et chrétien, alors qu’une guerre interne a toutes les chances d’éclater en Europe et d’embraser le continent, relève d’un délabrement mental de nos élites totalement irrécupérable.
C’est avec la Russes qu’il fallait prôner le « vivre-ensemble », au lieu de nous imposer une société multiculturelle contre-nature qui disloque les nations européennes.
Imaginez combien l’Europe serait puissante si elle avait arrimé la Russie au continent. Matières premières à profusion, cerveaux de premier plan et immensité territoriale, auraient constitué la première puissance mondiale sur tous les plans. Nous serions en paix.
Au lieu de quoi nous nous ruinons dans une guerre perdue d’avance et qui n’est pas la nôtre ! Sommes nous gouvernés par des fous ? Impossible de comprendre ce suicide collectif.
Quand il s’agit de dénigrer les Russes, l’Occident se surpasse dans le grotesque et les niaiseries en tous genres. On se souvient d’Ursula von der Leyen qui relayait sans rougir la fable des puces de machines à laver que les Russes désossaient en masse pour alimenter leur industrie d’armement. Comment peut-on diffuser de telles âneries à la face du monde ?
Pour ceux qui l’ignorent, selon le professeur Petit, le père de l’hyper-vélocité, la maîtrise des missiles hypersoniques volant à plus de mach 5 sur des trajectoires aléatoires donne une avance technologique de 20 ans au pays qui possède une telle arme.
Tous les essais américains dans ce domaines éminemment pointu se sont soldés par des fiascos jusqu’à ce jour.
Pendant que certaines lumières occidentales ironisent sur la lenteur des opérations, voici un résumé du discours de Poutine. Rappelons que les Russes ne rasent pas des villes entières, méthode de prédilection des Américains. Les combats sont longs parce que la guerre urbaine est la plus difficile et coûteuse en vies humaines. On combat village par village, rue par rue, maison par maison. Il serait facile de tout raser et d’enterrer militaires et civils sous les décombres. Mais il y a déjà suffisamment de victimes collatérales sans sacrifier délibérément les populations civiles. Le tapis de bombes à l’américaine, ce n’est pas la doctrine russe.
Extrait tiré du blog Telegram de Boris Karpov « Brèves de Russie »
Un rapport séparé a été présenté au Président concernant les directions de Koupiansk et Krasnoarmiïsk
– Sur la direction de Koupiansk, jusqu’à 5 000 militaires des forces armées ukrainiennes sont encerclés, et sur celle de Krasnoarmiïsk, 5 500 ;
– Le groupement de troupes « Centre » a achevé l’encerclement de l’ennemi dans la région de Krasnoarmiïsk et Dimitrov ;
– Au total, 31 bataillons des forces armées ukrainiennes sont encerclés dans la région de Krasnoarmiïsk et Dimitrov ;
– Plus de 70 % de Volchansk ont été libérés ;
– Les forces armées russes ont encerclé Koupiansk, ont pris le contrôle du passage sur la rivière Oskol et ont bloqué le groupement des forces armées ukrainiennes ;
– L’essai du missile « Bourévèstnik » a eu lieu le 21 octobre. Le missile a parcouru 14 000 km, ce qui n’est pas une limite, et a également démontré la capacité de contourner les systèmes de défense antimissile.
Déclarations de Poutine :
– Le Président a félicité les forces armées russes pour leurs succès dans l’encerclement de Koupiansk ainsi que pour les résultats de l’exécution des missions de combat sur d’autres directions ;
– La Russie a effectué des essais d’échantillons prometteurs d’armements lors d’un entraînement des forces nucléaires cette semaine ;
– Les forces armées russes ont réalisé des tirs d’entraînement-combat des trois composantes des forces nucléaires stratégiques lors de l’entraînement de la semaine passée ;
– Le bouclier nucléaire de la Russie a confirmé sa fiabilité, les forces nucléaires russes sont au plus haut niveau mondial ;
– Les essais du missile « Burevestnik » sont terminés, les tâches clés de ses essais ont été atteintes ;
– Ces missiles de croisière à propulsion nucléaire sont un produit unique, que personne d’autre dans le monde ne possède ;
– Un travail encore plus important est à venir pour le mettre en service opérationnel ;
– Il est nécessaire de prendre des mesures pour assurer la reddition des militaires ukrainiens et minimiser les pertes humaines ;
– L’armée russe a toujours traité l’ennemi avec miséricorde. Il faut continuer à agir ainsi, a-t-il souligné ;
– Lors du nettoyage des territoires des forces armées ukrainiennes, il faut tout faire pour assurer la sécurité des habitants locaux.
Le missile Burevestnik (Blog B. Karpov)
Le « Burevestnik » est l’objet le plus mystérieux de la « septième arme de Poutine ». C’est ainsi que l’on désigne les systèmes d’armes les plus récents dont Vladimir Poutine a parlé lors de son discours au Parlement fédéral en 2018-2019. Cette liste comprend le missile balistique « Sarmat », l’appareil sous-marin sans pilote « Poséidon », le bloc de combat hypersonique « Avangard », le laser de combat « Peresvet », etc.
Mais avant même la présentation officielle de ces systèmes, la plupart d’entre eux étaient déjà plus ou moins connus. En revanche, le « Burevestnik » a été une surprise totale. De plus, aucune information officielle sur l’avancement des travaux concernant cet engin n’a été publiée. Tout ce que l’on sait actuellement est basé sur des sources d’espionnage et d’analystes occidentaux, ou sur des sources d’information douteuses.
Ainsi, le missile de croisière russe à propulsion nucléaire a immédiatement été entouré de nombreux mythes :
1️⃣ Le « Burevestnik » est une « Hiroshima volante » qui laisse derrière elle une traînée radioactive.
C’est un non-sens complet. Le principe de fonctionnement du moteur du missile est très simple. Le réacteur produit de l’électricité qui est envoyée aux résistances chauffantes. Celles-ci chauffent l’air à plusieurs milliers de degrés, qui passe ensuite par la prise d’air. C’est ainsi que le missile vole. Le réacteur n’interagit en aucun cas avec l’air et est très probablement complètement isolé grâce à une protection spéciale.
2️⃣ Le vrai nom du « Burevestnik » est 9M730. Ce n’est pas vrai non plus. Le nom officiel du missile de croisière n’a jamais été divulgué ni apparu dans des contrats d’État. Le nom « Burevestnik » a été choisi lors d’un vote public, tout comme « Poséidon » et « Peresvet ». L’indice 9M730 est apparu dans une publication d’un média fédéral et est erroné. Pourtant, il a été immédiatement repris par diverses sources.
En Russie, il y a deux principaux fabricants de missiles de croisière : le GosMKB « Raduga » et le NPO « Novator ». Le premier produit la famille des missiles Kh-55 et Kh-101. Le second fabrique les « Kalibr » marins et les R-500 terrestres.
En apparence, le « Burevestnik » ressemble beaucoup à la famille Kh-101. Il y avait même une version selon laquelle le missile à propulsion nucléaire porterait l’indice Kh-102. Mais cette hypothèse est également erronée.
Par ailleurs, le 9M730 est un produit de la famille des missiles R-500 pour les complexes « Iskander ». Il n’a aucun lien avec le « Burevestnik ». Même visuellement, tous les missiles « R-500 » ne ressemblent en rien à un missile de croisière à propulsion nucléaire.
3️⃣ Le « Burevestnik » a explosé sur le polygone de Nenoksa. Ce n’est pas vrai non plus. En 2019, un incident s’est produit avec un autre engin. Le « Burevestnik » a été testé en version non nucléaire à Kapustin Yar, et avec propulsion nucléaire au-dessus de la Nouvelle-Zemble.
Outre le réacteur nucléaire, le nouveau missile de croisière recèle une autre énigme : comment va-t-il suivre ses coordonnées en vol ? Pour des raisons objectives, la navigation par satellite n’est pas adaptée. La correction par points extrêmes, où le missile bondit au-dessus du sol à un point donné et compare l’image mémorisée avec le terrain réel pour déterminer son écart, ne fonctionne pas non plus.
Il est probable que le « Burevestnik » utilise un nouveau principe de navigation permettant des vols sur de longues distances globales. Mais ses caractéristiques techniques restent inconnues pour l’instant.
Ce que l’on sait, c’est que ce missile de croisière à charge nucléaire vole à très basse altitude et suit une trajectoire aléatoire vers son objectif, avec une vitesse autour de mach 1. Sa propulsion nucléaire lui permet de parcourir des distances considérables pour un missile basse altitude.
Intercepter un missile de croisière qui vole à 30 mètres du sol et à mach 1 n’est pas facile, mais si sa trajectoire change, c’est mission impossible.
Tout cela nous prouve une fois de plus que les farfelus qui braillaient en 2022 que les Russes n’avaient plus de munitions et désossaient les machines à laver, sont malheureusement légion en Europe.
Les sages prêchant la paix en tenant compte des impératifs russes n’existent pas. Même Trump refuse de prendre en compte les arguments du Kremlin. Dans ces conditions, la guerre ne peut que se poursuivre, avec son lot de souffrances.
Face à l’hystérique russophobie occidentale, ce sont les cerveaux russes qui sont l’assurance-vie du peuple. Sans l’écrasante supériorité technologique de l’Ours russe, il y a longtemps que le Kremlin serait sous les bombes.
Jacques Guillemain, Riposte Laïque
