#webtube : Comment faire les bons choix dans un monde incertain ? Nous recevons Charles Gave, expert en finance, fondateur de l’Institut des Libertés et de l’Université de l’Épargne, pour décrypter les stratégies d’investissement gagnantes et éviter les erreurs coûteuses.
00:00 Définition et principes de l’investissement 05:31 L’État est un ennemi 10:28 Diversifier ses investissements 16:25 Equilibrer ses investissements 20:55 Eviter l’endettement et l’immobilier 22:27 Comprendre les pièges du marché 29:00 Eviter l’inflation grâce à l’or 32:20 Gérer son épargne en temp de crise 37:58 Comprendre les courbes du marché 42:50 Trouver des opportunités d’investissement
#webtube : Bilan Macron : un désastre historique en quelques chiffres sans appel. Quand il partira, la dette sera au bas mot à 3700 milliards. Tombé à 11 % d’opinions favorables, Emmanuel Macron trouve refuge à l’étranger, où il multiplie les déplacements pour oublier la défiance des Français, qui ne lui pardonnent pas son échec retentissant dans tous les domaines. On peut juger l’ampleur du désamour avec ce sondage Odoxa pour le Figaro.
– 89 % jugent que le projet politique de macron est un échec
Dans le détail, le pourcentage de ceux qui jugent son bilan mauvais est de :
– 66 % pour la santé et la gestion Covid
– 71 % pour la sécurité et la lutte contre le terrorisme
– 73 % pour le chômage
– 76 % pour l’environnement
– 83 % pour la fiscalité
– 83 % pour l’éducation
– 85% pour l’immigration
– 86 % pour les retraites
– 88 % pour le pouvoir d’achat
Le rejet est total, au point de souhaiter que Macron disparaisse totalement des écrans radar après 2027 :
– 62 % jugent que le macronisme ne représente pas un courant de pensée politique
– 86 % pensent que le macronisme ne survivra pas au départ de Macron
– 83 % souhaitent qu’il ne joue plus aucun rôle dans la vie politique de la France
Jugé responsable à 100 % de l’instabilité politique après la dissolution de l’Assemblée, son entourage et le gouvernement n’ont qu’un souhait : qu’il se taise et se fasse oublier.
Macron n’est plus qu’un pestiféré, y compris pour ceux qui lui doivent tout. Plus personne ne veut couler avec lui, tant il est tombé en disgrâce. De plus en plus isolé, il se réfugie dans l’international. Après le Brésil, on l’attend au Mexique. Puis ce sera le G20 en Afrique du Sud, l’île Maurice et le Gabon. Les bains de foule, il les prend à l’étranger.
Cela dit, son pouvoir de nuisance reste intact. Il s’attaque aux réseaux sociaux, voulant museler un peu plus la liberté d’expression. Il attise les braises du conflit ukrainien, distillant la peur dans l’opinion en faisant planer une menace russe totalement imaginaire.
Dans 18 mois, il nous laissera un champ de ruines. Mais d’ici là, bien des événements peuvent survenir, comme un dérapage avec la Russie et un emballement du conflit, qui lui permettrait de prétexter une menace sur nos intérêts vitaux pour s’accrocher au pouvoir.
En fait, ce sont les médias qui ont creusé le lit de la macronie, faisant de ce jeune président un génie paré de toutes les vertus, alors qu’il n’était qu’un personnage immature, éminemment perturbé, incohérent et instable, disant tout et son contraire et manquant cruellement de logique. Macron n’a pas de conviction. Il est tout le contraire d’un homme d’État.
Il affirmait il y a quelques années que la dissuasion nucléaire ne servait à rien puisque les Allemands n’en ont pas, sans même saisir qu’elle nous apportait un siège permanent au Conseil de sécurité de l’ONU avec droit de veto. Et aujourd’hui, il envisage de partager notre force nucléaire avec l’Europe, sans consulter qui que ce soit. Difficile de faire plus irresponsable quand on parle de l’arme suprême, celle de l’ultime recours. Comme si les intérêts vitaux de nos voisins étaient les nôtres.
Le sondage aurait pu concerner aussi notre diplomatie. Fiasco parmi les fiascos.
Nous sommes chassés de l’Afrique, notre positionnement anti-Israël à Gaza est une ignominie, notre ingérence au Liban en copinant avec le Hezbollah a été un désastre, notre russophobie nous conduit au pire et notre misérable soumission à Alger est la pire des humiliations pour notre pays.
Quand j’ai écrit « Macron le pire fossoyeur de la France » en 2021, je ne pensais pas que le pire était devant nous. C’est la ruine et la dislocation de la nation que Macron nous a apportées. Le refus d’engager une procédure de destitution est une faute impardonnable. En 18 mois, la France, livrée aux délires de l’Élysée, ne peut que sombrer davantage.
Il partira sous les tomates, mais le plutôt sera le mieux.
#webtube : À force de vouloir plaire à tout le monde, le Rassemblement national est devenu schizophrène et fait du en même temps macronien. Je suis contre les impôts supplémentaires, et en même temps je les augmente…
Tout le monde sait que Jordan Bardella est actuellement en tournée de promotion de son dernier livre Ce que veulent les Français.
Dans une interview, Bardella déclare que le livre est un réquisitoire contre la France d’Emmanuel Macron, accablée de taxes et d’impôts.Valeurs actuelles
Il souligne que la France silencieuse et travailleuse a le sentiment que l’effort repose toujours sur lesmêmes.Valeurs actuelles
Il présente l’impôt comme un élément de charge excessive pour les artisans, commerçants, petits chefs d’entreprise : La France du travail… a le sentiment de porter les efforts de tous, tout en étant accablée denormes et de taxes.Valeurs actuelles
Par ailleurs, on se souvient que le président du Rassemblement national Jordan Bardella avait vivement critiqué l’hypothèse émise par Michel Barnier ce mardi d’augmenter les impôts pour faire face à une situation budgétaire jugée très grave.
Un problème, une taxe : Michel Barnier est décidément un dirigeant français comme les autres, a-t-il déclaré sur ses réseaux sociaux.
Il affirmait « augmenter les impôts, c’est la facilité », ajoutant « je ne participerai pas à un gouvernement qui ne soit pas clair sur la question des impôts », défendant la position de sa famille politique sur le sujet.
Outre cette réprimande, Jordan Bardella a émis quelques propositions permettant selon lui de baisserles dépenses avant de penser à augmenter le moindre impôt. L’eurodéputé a ainsi cité le coût del’immigration de guichet social et le millefeuille territorial.
Bardella, comme Chirac en 1995, dit qu’il faut une autre politique : on n’a jamais su laquelle…
Dans le même temps, ce n’est pas du tout la même limonade à l’Assemblée nationale… puisque le RN avec la gauche a voté pour des rétablissements d’impôts et de nouveaux impôts désastreux, notamment la réintroduction du dispositif d’exit tax dans une version plus contraignante pour taxer la valeur des actions détenues par un contribuable quittant la France (renforcement du dispositif anti-évasion), amendement RN présenté par J.-Ph. Tanguy et avec LFI l’abaissement du seuil d’assiette à 750 M€ de chiffre d’affaires (vs 1 Md€) et rehaussement du taux de 8 % à 33 % pour les grandes entreprises — transformation de la taxe sur rachats d’actions en un dispositif beaucoup plus lourd. Estimations de rendement : plusieurs milliards (articles évoquent ~8–8,4 Md€ la première année selon l’exposé).
Le sieur Bardella, qui fait le beau et dit à chacun ce qu’il veut entendre, ou les dispositions très concrètes du Rassemblement national à l’Assemblée nationale ?
Un des deux ment.
C’est probablement Bardella… puisque, comme on le sait, les paroles n’engagent que ceux qui y croient…
À force de vouloir plaire à tout le monde, le Rassemblement national est devenu schizophrène et fait du en même temps macronien. Je suis contre les impôts supplémentaires, et en même temps je les augmente…
Ça ne laisse rien augurer de bon pour l’avenir si le RN arrive au pouvoir.
Mieux vaut voter Reconquête, qui a déjà présenté un contre-budget avec 86 milliards d’économies, totalement indolores pour les Français !
Sarah Knafo évalue que le budget du gouvernement prévoit une hausse de +40 milliards d’euros de prélèvements obligatoires et +29 milliards d’euros de dépenses publiques. The Epoch Times+1
Elle propose, dans son contre-budget :
une baisse possible des prélèvements obligatoires d’environ -20 milliards d’euros. budget2026.fr+1
une réduction des dépenses publiques d’environ -80 milliards d’euros. Le JDD+1
S’il existe encore des patriotes assez stupides pour ne pas voir que le Rassemblement national, qui n’a rien su obtenir à l’Assemblée nationale en trois ans, est totalement muet sur l’islam, n’envisage aucune remigration et se fout littéralement de la gueule des Français sur économie et sur la fiscalité, c’est que les cocus sont en plus des masochistes… comme souvent.
Les patriotes ne pourront pas dire qu’ils ne savaient pas.
#webtube : La France de 2025 n’est plus que l’ombre de ce qu’elle était il y a trente ans. Sur les 10 villes les plus dangereuses d’Europe, 5 sont françaises : Marseille, Nantes, Montpellier, Grenoble et Paris !
Comment un pays aussi riche et prospère, maîtrisant toutes les technologies de pointe, a-t-il pu finir aussi bas, ruiné en deux décennies ?
Comment un pays paradisiaque, un havre de paix et de sécurité admiré de tous, a-t-il pu devenir un coupe-gorge, de loin le plus dangereux d’Europe ?
Tout simplement parce que nos élites, jamais responsables ni coupables, nous ont trahis, nous ont menti et nous ont trompés, en nous promettant le paradis sur Terre si on ouvrait nos portes à toute la planète. Pas un seul leader politique n’a compris que si les races peuvent se mélanger, les cultures ne se mêlent jamais, surtout quand il s’agit de l’islam conquérant qui ne comprend que la soumission de tout ce qui n’est pas musulman.
Pourtant, tout est écrit dans le Coran, mais quel politique s’y est intéressé avant de prêcher le multiculturalisme débridé, source de bonheur sans fin ? Pas un seul n’a lu le moindre verset. N’accusons donc pas les islamistes d’hypocrisie.Les maîtres à penser des Frères musulmans ont toujours annoncé que l’Europe serait le prochain califat.
Mais ceux qui sont censés protéger le pays ont préféré diaboliser le patriote parfaitement conscient de la menace, JMLP, qui a sonné le tocsin durant quarante ans. En vain.
Aujourd’hui, Macron a beau faire diversion en annonçant une agression russe totalement imaginaire, avec le soutien des médias et de quelques généraux complices, c’est en réalité sur notre sol que la guerre a commencé depuis des années, une guerre à bas bruit que le pouvoir met sous le tapis, totalement dépassé par la situation.
La France a peur, les élus molestés, les juges menacés, les policiers agressés, les pompiers caillassés, les soignants frappés, les enseignants agressés, les femmes violées, les enfants rackettés, tous ont peur car tous savent très bien qu’un coup de couteau peut mettre fin à leurs jours. Il suffit d’être au mauvais endroit au mauvais moment et de croiser un « déséquilibré » qui va vous égorger au cri de « Allahu akbar ». Le pouvoir n’y verra aucun caractère terroriste, ce sera un simple fait divers.
Avec 45 000 attaques au couteau par an et 3 000 agressions gratuites par jour, dont 1000 déclarées, on ne se sent plus en sécurité nulle part, même chez soi, pour certains.
2003 : 222 agressions graves pour 100 000 habitants
2023 : 628 agressions graves soit + 182 %
2003 : 42 agressions sexuelles pour 100 000 habitants
2023 : 135 agressions sexuelles soit + 221 %
Nous sommes davantage en sécurité au Maroc qu’en France, ce qui prouve que si les étrangers détiennent le pompon de la criminalité (7 % de la population mais 25 % des détenus), c’est parce que le pouvoir a démissionné et ne les traque pas. Pas d’argent pour construire des prisons mais l’argent coule à flot pour Zelensky, qui réclame 400 milliards à l’Occident d’aide militaire et financière pour les 4 ans qui viennent.
La France se désintègre dans tous les domaines. Chaque citoyen peut être attaqué partout, en plein jour, au café, dans la rue, au cours d’une fête, d’un match ou d’un rassemblement quelconque. Et comme le pouvoir, complice des agresseurs, a désarmé sciemment les citoyens, les chances de s’en sortir indemne sont minces. Les caves des cités regorgent d’armes de guerre et de drones, mais le citoyen lambda n’a pas le droit d’avoir un simple Opinel sur lui.
Nous sommes bien en guerre mais le pouvoir le cache car il n’a aucune solution. Lui aussi a peur. Peur d’une bavure policière, peur des émeutes, peur d’un embrasement des cités bien pire qu’en 2005. Mais cette lâcheté est synonyme de tragédies futures, à côté desquelles le 7 octobre 2023 n’est qu’un avant goût, si j’ose dire, de cette guerre civile qui couve et va transformer le pays en ruines fumantes.
Aucun gouvernement ne veut ouvrir les yeux et reconnaître que l’ennemi de l’intérieur se renforce d’année en année. L’intégration ne fonctionne plus et des millions de natifs sont complices de la mouvance islamiste qui attend son heure.
La France est en grand péril car le pouvoir, devenu l’otage d’une immigration de masse incontrôlée et tétanisé par une extrême gauche rebelle de la République, a peur. Comment pourrait-il sauver le pays des islamistes alors qu’il est incapable d’expulser un squatteur pour faire respecter le simple droit de propriété ?
Nos élus sont des lâches, bien plus nuisibles qu’utiles au pays.
#webtube : Pour la première fois, un contre-projet souverainiste propose une alternative à l’eurofédéralisme. Le 4 novembre dernier, une délégation hungaro-polonaise s’est réunie à Paris afin de présenter une alternative souverainiste aux projets des fédéralistes européens. En novembre 2023 en effet, le parlement européen a voté un texte eurofédéraliste contenant 267 amendements au traités européens qui, s’ils sont prochainement adoptés et ratifiés, feront disparaître totalement tout ce qui reste de souveraineté à ses États membres.
Un contre-projet souverainiste européen
C’est pourquoi les laboratoires d’idées polonais Ordo Iuris et hongrois Mathias Corvinus Collegium (MCC) ont construit ensemble un rapport appelant à un contre-projet souverainiste, et qui permettrait aux nations européennes de retrouver la maîtrise de leur destin. L’objectif affiché de cette initiative est « d’aider les partis conservateurs et patriotes d’Europe à aborder avec leur propre contre-proposition les négociations autour de la réforme des traités européens voulues par Emmanuel Macron comme par les élites dirigeantes encore en place à Bruxelles et Berlin ». Sous l’intitulé « La grande réinitialisation », cette contribution a déjà reçu le soutien du gouvernement hongrois, du parti espagnol Vox, ainsi que de certains dirigeants de partis de droite en Pologne. Des contacts sont en cours avec des proches d’autres formations patriotes et souverainistes en Italie, au Portugal, en Roumanie, en Allemagne et en France notamment. Une tournée européenne a par ailleurs été entamée afin de présenter le projet, laquelle est entre autres étapes passée par Paris.
Constatant que l’Union européenne (UE) est confrontée à une crise existentielle, certains opèrent une fuite en avant, et « plaident pour une intégration plus poussée, accélérant ainsi la tendance à la fédéralisation », Olivier Bault, bien connu des lecteurs de BV, missionné par l’Institut Ordo Iuris, a évoqué les principales dérives européennes.
Un État quasi-fédéral, intrusif et omnipotent
Le rapport explique comment « l’UE se transforme progressivement en un État quasi-fédéral, limitant le pouvoir de décision national », monstre intrusif et omnipotent, où le pouvoir effectif est concentré entre les mains de personnes non-élues et sans mandat légitime. Dans le domaine judiciaire, « la Cour de justice de l’UE (CJUE) continue d’étendre sa juridiction, réduisant ainsi l’autonomie des États membres ». La dérive touche aussi les institutions de l’UE, dont le Parlement européen (PE) et la Commission européenne (CE), qui « ont étendu leur autorité au-delà de leur mandat initial, avec un empiètement croissant de la législation européenne sur les législations nationales, réduisant la capacité des États membres à se gouverner de manière indépendante ». Enfin, l’on constate dans bien des domaines une bureaucratisation de l’UE, et ses organes « imposent de plus en plus aux États membres des politiques motivées par l’idéologie, sans aucune légitimité pour cela ».
Partant de ce constat, comme l’a ensuite expliqué Rodrigo Ballester, représentant du MCC, quelle nouvelle vision de l’Europe promouvoir ? Faut-il la réformer, la refonder ? Le rapport propose deux scénarii de sortie de crise.
Retour aux fondamentaux
Le premier prône « un retour aux fondamentaux », et envisage « une UE réformée […] qui la rapprocheraient du modèle de 1957 ». Une sorte de maison commune européenne, lieu de dialogue permettant aux États souverains de discuter des sujets (dont ceux qui fâchent), et travail, pour mener à bien (ou pas) des projets communs. Dans ce premier scénario, le rapport formule 23 propositions de réforme organisationnelle de l’Union, permettant d’atteindre huit objectifs clés :
Accroître la flexibilité au sein de l’Union pour permettre à chaque État de s’y intégrer en fonction de ses moyens et objectifs ;
Réévaluer et faire respecter les compétences de l’Union telles qu’elles ont été définies ;
Renforcer et élargir l’application de la règle de l’unanimité ;
Garantir la primauté des constitutions nationales sur le droit européen ;
Redéfinir le rôle de la Commission européenne en le limitant à une fonction de soutien, sous le contrôle strict des États-membres ;
Accroître le rôle du Conseil européen et du Conseil des ministres ;
Redéfinir et limiter le rôle de la Cour de Justice de l’Union européenne au règlement des différends, en mettant fin à son rôle de législation par l’interprétation des Traités ;
Réduire le rôle du Parlement européen à une fonction consultative.
Nouveau départ
Le second scénario, intitulé « Nouveau départ », propose « un changement radical » par rapport aux structures actuelles de l’UE, « bureaucratiques, lourdes, inefficaces et coûteuses ». Il suppose la dissolution de l’UE actuelle et la mise en place d’un « nouveau cadre organisationnel pour la coopération européenne », qui respecterait « les principes fondamentaux de la coopération » entre États. Cette refondation garantirait « la liberté et la souveraineté des États », autour de cinq fondamentaux intangibles :
Souveraineté nationale ;
Primauté ferme des organes intergouvernementaux sur les organes bureaucratiques avec présomption de la règle de l’unanimité dans le processus décisionnel ;
Intégration basée sur un modèle de différenciation à la carte (projets d’intégration à plusieurs vitesses) et une clause d’opt-out ;
Garanties formelles solides pour l’exécution des principes d’attribution et de subsidiarité, avec une délimitation claire des compétences de l’organisation et des États membres ;
Affirmation de la primauté des constitutions nationales.
Voulue souple et à deux vitesses (deux scénarii), la contribution d’Ordo Iuris et MCC, espère concilier les intérêts et attentes en partie divergents des souverainistes et patriotes européens, et permettre à chaque État de se reconnaitre et de s’intégrer dans un ensemble européen repensé, en fonction de ses moyens propres.
Sauront-ils en tirer profit ? Quoi qu’il en soit, les souverainistes et patriotes ont désormais en main un contre-projet, donc des munitions.
#webtube : « Espions, agents d’influence, voyous » : le rapport de Gilles Platret dénonce le progrès de « la mécanique du chaos ». « L’infiltration en France de la République islamique d’Iran » : tel est le titre du rapport adressé, la semaine dernière, aux présidents des deux chambres ainsi qu’au ministre de l’Intérieur, par le mouvement d’idées France2050, présidé par le maire de Chalon-sur-Saône, Gilles Platret, bien connu pour ses positions droitières. Le sous-titre de ce rapport de 85 pages fait froid dans le dos : « Espions, agents d’influence, voyous : la mécanique du chaos ». Les rédacteurs de ce rapport – pas moins d’une douzaine – sont politologue, journaliste, historien ou ancien policier, iranologues, spécialistes des Gardiens de la révolution islamique et des opérations d’infiltration des services secrets iraniens en France.
« La grande faiblesse des gouvernements français successifs »
Laurent Nuñez s’est d’ailleurs quelque peu agacé de la publication de ce document dans un entretien au Parisien : « J’espère que personne ne va s’imaginer que ce sont des choses qu’on découvre. Ce sont les services de renseignement qui travaillent sur ces sujets qui sont couverts par le secret national, la défense nationale… » Sauf que ce rapport ne révèle aucun secret national mais « se contente » de mettre en lumière et en perspective des informations ouvertes. Gilles Platret a du reste, répondu au ministre dans un long message publié sur Facebook : « On est frappé de la forme particulièrement tendue qu’épouse cette réaction ministérielle ».
Depuis qu’il a remplacé Bruno Retailleau, l’ancien préfet de police de Paris semble en effet quelque peu « tendu » et peut-être même susceptible : tout le contraire d’un « mou du genou », a-t-il d’ailleurs répliqué la semaine dernière aux critiques d’un député RN sur l’immigration ! « Alors, pourquoi une telle réaction » de la part de Nuñez, demande Gilles Platret ? Réponse du même Platret : « Peut-être parce que nous avons mis le doigt sur la grande faiblesse des gouvernements français successifs qui, connaissant exactement les ressorts de l’entrisme en France de la République islamique d’Iran, ont tant peiné jusqu’à présent à lui opposer une politique cohérente. Et ceci, depuis tant d’années. »
LFI : « un nouveau levier » pour Téhéran
Le rapport démonte avec précision les ressorts de cette mécanique d’entrisme dans notre pays. Un entrisme qui ne date pas d’hier, puisqu’il remonte à l’époque de la prise de pouvoir par les mollahs en Iran et s’est développé jusqu’à nos jours, en adaptant en permanence ses cibles au contexte politique français (nous en resterons dans cet article à l’aspect « influence » de cet entrisme, en mettant de côté les volets espionnage et criminalité évoqués dans le sous-titre du rapport). Ainsi, explique ce document, « dès les années 80, les services iraniens organisent des conférences dans les cercles universitaires proches du Parti communiste, glorifiant la révolution iranienne… Parallèlement, ils cherchent à cibler le Parti socialiste et Mitterrand ». Ça, c’était autrefois.
Aujourd’hui ? « Avec la création de La France insoumise, Téhéran trouve un nouveau levier qui s’inscrit dans le même schéma. Via des agents du Front populaire de libération de la Palestine (FPLP), envoyés auprès de l’extrême gauche française, les services secrets iraniens tentent d’instrumentaliser la cause palestinienne pour ‘‘Semer le chaos sans faire la guerre’’. » Rappelons que le FPLP est qualifié d’organisation terroriste par l’Union européenne. Au passage, parmi les personnalités de ce mouvement, citons Mariam Abbou Daqqa. À l’automne 2023, elle avait été conviée à une série de conférences en France pour, affirmait-elle, « parler des droits des femmes et des Palestiniens», mais avait finalement été expulsée de France. La députée LFI de Seine-et-Marne, Ersilia Soudais, à l’origine de l’invitation et qui l’avait conviée au Palais Bourbon, avait réagi à cette expulsion en déclarant : « Je pensais en effet convier Abou Daqqa pour son militantisme féministe. Non pour son appartenance supposée au FPLP. » Sans commentaire.
Ce rapport qualifie les députés Insoumis de « relais et de proxys de la propagande de la République islamique d’Iran ». Sont cités, sans surprise, Rima Hassan, mais aussi les députés Delogu, Portes et Panot qui « ont participé depuis près de trois ans, avec un ou des membres du FPLP aux ordres des mollahs iraniens, affichant clairement leur soutien à des individus condamnés par le passé pour terrorisme ».
L’axe Iran/Frères musulmans/extrême gauche française
Par ailleurs, le rapport met en lumière la proximité entre l’Iran chiite et les Frères musulmans sunnites. « L’une des forces de la République islamique d’Iran est d’avoir su transcender la fracture sunnite-chiite en construisant des alliances idéologiques et pragmatiques avec des mouvements sunnites comme les Frères musulmans ou le Hamas. » Plus intéressant encore, il dévoile un axe Iran/Frères musulmans/extrême gauche française : ainsi, « toujours via leurs agents palestiniens, les services secrets iraniens activent des réseaux liés à l’extrême gauche et aux Frères musulmans sur le territoire français ».
Un axe qui se retrouve d’ailleurs dans les éléments de langage communs à la République islamique d’Iran, aux Frères musulmans et à cette même extrême gauche française, notamment auprès des milieux universitaires et groupes propalestiniens. Et ce, à travers cinq points : la condamnation d’Israël, qualifié d’État colonialiste vivant sous régime d’apartheid, la dénonciation de l’impérialisme occidental, la critique des interventions occidentales au Moyen-Orient, la présentation des Palestiniens comme des victimes de l’oppression occidentale et, enfin, l’emploi en permanence des termes « Justice », « Libération », « Résistance » et « Décolonisation ».
« Un venin instillé dans la société française »
Plus largement encore, le rapport affirme qu’« après le pogrom du 7 octobre 2023, l’objectif est de pousser Paris à faire pression sur Israël pour un désengagement de Tsahal à Gaza et au Liban et d’adopter une position moins contraignante sur le nucléaire iranien ». Derrière tout cela, une « stratégie patiemment tissée » qui « révèle l’ampleur des ambitions de Téhéran : peser sur les décisions politiques occidentales, sans jamais apparaître au grand jour ». À la lumière de ces quelques lignes, on comprend mieux toute l’agitation gauchiste pro-palestienne de ces derniers mois sur notre territoire.
Pour conclure, on pourrait, de prime abord, s’étonner qu’un élu local se soit attelé à un rapport sur cet entrisme de la République islamique, véritable « venin instillé dans la société française depuis près de cinquante ans », selon les mots de Gilles Platret. Comme il l’explique lui-même, il est préoccupé, entant que maire élu depuis dix ans, de « voir se développer l’islamisme sur le terrain local », ce qui l’a conduit à cette démarche. Là où de (faux ?) naïfs ne voient dans les émeutes, qui enflamment régulièrement nos banlieues et désormais nos centres-villes, qu’une simple révolte sociale liée à la pauvreté ou l’oisiveté (on se souvient des propos de Macron lors des émeutes consécutives à la mort de Nahel !), Gilles Platret, lui-même confronté dans sa ville à ce phénomène, y voit, pour les événements les plus récents, la « manipulation de la cause palestinienne et de son drapeau à des fins de déstabilisation ». Bref, « la mécanique du chaos ».
#webtube :Le Soudan sombre à nouveau dans la sauvagerie sans limite. Observez le visage hilare des tueurs, entourés des victimes récemment massacrées. Mission accomplie ! Ceux qui ne cessent de dénoncer la colonisation, comme Macron qui en a fait un crime contre l’humanité en évacuant totalement l’œuvre civilisatrice des Européens en Afrique, devraient faire le bilan de plus de six décennies d’indépendance.
Macron ne fait que distiller la haine entre communautés, mais ce n’est pas l’éternel procès de l’homme blanc qui sauvera l’Afrique de ses démons ancestraux. Repentance et mea-culpa ne changeront pas les cruelles réalités ethniques, qui rythment la vie africaine depuis la nuit des temps.
Je l’ai écrit maintes fois. Nous somme sans doute un peuple d’immondes salauds de Blancs, mais je rappelle qu’en arrivant en Afrique, nous y avons trouvé les guerres tribales, les famines, l’esclavage, les épidémies dévastatrices, le cannibalisme et les sacrifices humains dans certaines contrées. Tous ces fléaux, nous les avions éradiqués.
Mais depuis 1950, l’Afrique totalise 220 tentatives de coups d’Etat dont 111 réussies. Soit 45% des coups d’Etat dans le monde.
Depuis son accession à l’indépendance, l’Afrique a connu plus de 100 conflits armés. Selon l’ONG Oxfam, ces guerres coûtent 20 milliards de dollars par an au continent. Ce qui, rapporté au PIB africain, inférieur à celui de la France, plombe toute perspective de progrès, y compris pour les pays assis sur un trésor géologique comme la RDC.
Mais revenons au conflit du Soudan, tragédie oubliée d’une rare complexité
Ce vaste pays à cheval sur le monde arabo-musulman et le monde africain animiste, en partie christianisé, a acquis son indépendance en 1956, après avoir été administré conjointement par le Royaume-Uni et l’Egypte.
Le Soudan en est à sa 4e guerre civile. Depuis 1956, il totalise 20 tentatives de coups d’Etat dont 7 réussies, juste derrière la Bolivie qui en totalise 23 ! Rien d’étonnant donc à ce qu’il soit l’un des pays les plus pauvres du monde, classé au 172e rang de l’Indice de développement humain. Depuis des décennies, on assiste à de sanglants nettoyages ethniques, un véritable retour aux guerres tribales ancestrales qui ravagent encore l’Afrique indépendante.
C’est à mon avis l’hebdomadaire Marianne qui nous éclaire le mieux sur ce chaudron soudanais en ébullition constante.
Oublié des médias, le Soudan revient au devant de la scène internationale parce que les effroyables massacres d’El-Fasher ont ému le monde, jusqu’à la Maison-Blanche qui entend mettre fin au carnage. Essayons d’y voir clair.
« En 1989, le général Omar el-Béchir, appuyé par les islamistes, prend le pouvoir. Il mène deux guerres meurtrières. La première a lieu au Darfour, où la population noire (pourtant aussi musulmane) est massacrée par le régime arabe d’el-Béchir. Le bilan s’élève à 300 000 morts et trois millions de déplacés. La deuxième est menée contre les séparatistes noirs (chrétiens et animistes, eux) du sud du pays. »
Cette seconde guerre aboutit à l’indépendance du Soudan du Sud en 2011, où se trouve l’essentiel des ressources pétrolières. Mais en 2019 l’indéboulonnable Omar el-Béchir est renversé , cédant la place à un gouvernement de transition mi-civil, mi-militaire. Un court répit puisque dès 2021 l’armée reprend les rênes après un coup d’Etat.
Deux généraux se partagent le pouvoir : Le commandant de l’armée régulière, Abdel Fattah al-Burhan, qui devient le chef de l’Etat et Mohamed Hamdan Dogolo, surnommé « Hemetti », chef des milices paramilitaires janjawid. Ce sont ces milices islamistes qui se sont régulièrement distinguées en massacrant les populations du Darfour.
Comme toujours en Afrique, le rôle de second convient rarement à un général. Refusant d’intégrer ses milices janjawid à l’armée régulière, Hemetti prend les armes en 2023 contre son rival. Les guerriers islamistes n’ont aucun mal à prendre le dessus sur l’armée régulière et à s’emparer de la capitale Khartoum, poussant le gouvernement à se réfugier à Port Soudan, sur la mer Rouge.
Mais depuis 2025, l’armée régulière se ressaisit avec l’aide militaire turque.
Depuis 2023, on compte près de 200 000 morts. Bombardements, massacres, viols de masse, tortures, sont le lot des populations. Dans cet océan de barbarie, il semblerait que les milices islamistes détiennent le pompon des atrocités.
Ingérences étrangères
La Turquie, l’Egypte, l’Iran, l’Arabie, soutiennent le gouvernement contre les rebelles, malgré leurs lourds différends sur d’autres dossiers. Erdogan est très actif dans la région, livrant ses drones aux régimes africains luttant contre l’emprise islamiste.
« Au contraire, les Émirats arabes unis et le régime du général Haftar, qui tient l’est de la Libye, ont pris le parti d’Hemetti. »
Tout cela ne fait que complexifier le conflit.
Quant aux Russes, ils jouent sur les deux tableaux, souhaitant un Soudan stable pour y installer un point d’appui en mer Rouge.
La chute d’El-Fasher
Hemetti, à la tête des Forces de soutien rapide, les FSR, descendantes des Janjawid, s’est emparé de la dernière ville du Darfour qui échappait encore à son contrôle. Les milices islamistes n’ont pas failli à leur réputation. Elles ont massacré les populations avec une sauvagerie sans pareille, exerçant leurs talents en pratiquant un nettoyage ethnique maison par maison, alors que selon l’OIM, seulement 70 000 habitants sur 260 000 ont pu quitter la ville. On imagine les scènes d’épouvante vécues par les malheureuses victimes.
Des dizaines de vidéos filmées par les barbares eux-mêmes ont inondé la toile. Des faits niés par la milice FSR. Mais sous la pression internationale, Hemetti a annoncé la création d’une commission d’enquête…qui noiera le poisson comme toujours.
Abu Lulu, un commandant FSR, se vante d’avoir exterminé « au moins 2000 personnes en deux jours ». (Figaro) Ce boucher a été soi-disant arrêté pour calmer l’opinion internationale.
Les drones et les véhicules blindés fournis par les EAU ont remplacé les chevaux et les chameaux chez les islamistes, mais la haine et les nettoyages ethniques sont les mêmes depuis la nuit des temps. Les populations noires, musulmanes ou non, doivent être exterminées.
Ce nouvel embrasement, avec son lot d’atrocités innommables, a poussé Donald Trump à œuvrer à un cessez-le-feu. Egypte, Arabie et Emirats arabes unis devraient être associés à cette initiative.
Une accalmie bienvenue, mais qui ne règlera aucunement le fond du problème : une haine ancestrale entre les Arabes et les ethnies africaines qu’ils jugent inférieures. La fin du génocide des populations noires, musulmanes ou chrétiennes, n’est pas pour demain.
Mais à part Trump, toute l’Europe s’en fiche. Le Darfour, ce n’est pas Gaza…
#webtube : Jusqu’où ira-t-elle ? Si Zemmour est littéralement bluffé par l’ascension fulgurante de Sarah Knafo, il n’est pas le seul. Totalement inconnue du public il y a 18 mois, l’élue Reconquête du Parlement européen, propulsée à la dernière minute sur la liste Marion en 2024, ne cesse d’occuper les écrans et les radios avec un dynamisme et une maîtrise impressionnants, qui ont fini par conquérir les médias et le peuple français. Elle ratisse large chez les jeunes.
Elle est déjà sondée à 6,5 % pour la présidentielle de 2027, devant Zemmour !
Elle est sur le pont tous les jours, aussi infatigable que brillante sur tous les sujets, qualité rarissime au sein de la sphère politique actuelle, véritable ramassis d’incultes et de bons à rien, parachutés à des postes de responsabilité qu’ils sont absolument incapables d’assumer.
Chacun sait qu’en politique, on peut se retrouver ministre de l’Agriculture sans connaitre la surface d’un hectare ou bien ministre de la Défense sans avoir jamais vu un fusil de sa vie, voire en étant antimilitariste. On est loin des barons du gaullisme, ces grands serviteurs de l’État qui ont propulsé la France vers les Trente Glorieuses.
On voit des députés ignares qui confondent déficit et dette publique. Sur nos 577 lumières qui passent leur temps à brailler sur les bancs de l’Assemblée, combien apportent leur pierre au redressement du pays ? La plupart discutent du budget sans même connaitre le PIB de la France, ignorant l’ampleur des intérêts de la dette ou ce que rapportent la TVA et l’impôt sur le revenu. Ce sont des légions de crétins qui vivent sur le dos du contribuable, totalement inutiles au pays. Pas un seul secteur ne s’est redressé depuis 20 ans.
Ils ne connaissent aucun chiffre mais braillent tous en chœur qu’il faut « faire payer les riches », sans comprendre que les riches ont les moyens de s’exiler et que ce ne sont pas les 500 000 déshérités arrivés chaque année, majoritairement illettrés, qui les remplaceront pour « payer nos retraites ».
20 pays ont le triste honneur de compter plus de 50% d’analphabètes dans leur population : l’Afghanistan, le Bénin, le Burkina Faso, la Centrafrique, le Tchad, les Comores, la Côte d’Ivoire, l’Ethiopie, la Gambie, la Guinée Bissau, Haïti, l’Irak, le Liberia, le Mali, la Mauritanie, le Niger, le Sénégal, la Sierra Leone et le Sud Soudan. L’essentiel de notre immigration vient de ces pépinières de cerveaux. Tandis que 10% de nos surdiplômés fuient la France en perdition.
Ne vous étonnez donc pas si toutes les coutures de la nation sont en train de craquer. LaFrance n’est plus gouvernée depuis longtemps et plus personne ne tient la caisse. Tout part en Ukraine, dans le gouffre sans fond de l’Union et dans l’immigration incontrôlée.
On revend des centaines d’entreprises aux étrangers. Même les fleurons de l’État sont bradés pour boucher quelques trous, tant les finances publiques sont catastrophiques. Et tout cela dans le dos du peuple français.
La France est livrée à une bande de prédateurs qui se partagent le gâteau sans ressentir le moindre besoin de redresser ce qui s’effondre, c’est-à-dire la totalité de la nation. C’est unique dans l’histoire de la Ve République. Nous sommes le pays le plus fiscalisé de l’OCDE (38e place sur 38 membres) alors que nos services publics sont chaque jour plus délabrés, que notre dette de 3500 milliards devient incontrôlable et que la France est le pays le plus dangereux d’Europe.
Mais dans cet océan de misère politique où tout s’aggrave après chaque élection, après chaque nouveau gouvernement, il y a quelques figures qui sortent du lot et redonnent espoir.
Je pense aux jeunes pousses de la vraie droite qui n’ont jamais gouverné et qui ne peuvent être taxées d’incompétence ou de trahison pour avoir dilapidé l’héritage des Trente Glorieuses et livré notre France millénaire aux fossoyeurs des nations, que sont les ayatollahs du mondialisme débridé.
Je pense à Marion, à Jordan Bardella, à Sarah Knafo, qui un jour se retrouveront dans une indispensable union des droites, sans laquelle il est est illusoire d’espérer un redressement de la France. Pour l’instant, ni LR ni Marine ne veulent en entendre parler, mais il faudra bien que les états-majors politiques suivent les choix de leurs militants qui souhaitent l’union à 80 %. Fort de ses 35 % le RN ne gagnera jamais tout seul.
La descente aux enfers de la France n’a que trop duré. Elle n’est plus que l’ombre de la France gaullienne. On peut espérer que partis politiques et personnalités enterreront la hache de guerre devant l’urgence du sauvetage du pays.
Sarah prêche la souveraineté nationale et l’union des droites, inlassablement, consciente de la puissance que représenterait cette force patriote face à une gauche qui a lâché le peuple français pour tout miser sur la diversité, à n’importe quel prix.
Elle a 32 ans, diplômée de Sciences Po et de l’ENA. Elle était magistrate à la Cour des comptes et sait de quoi elle parle. En 18 mois, elle est devenue incontestablement l’élue la plus motivée, la plus déterminée et la plus compétente, à chacune de ses interventions face aux journalistes ou opposants. Animée d’une énergie inépuisable, elle est active dans les médias, au Parlement européen et sur les réseaux sociaux. On ne peut qu’espérer qu’elle intégrera le Parlement national à la prochaine échéance pour relever le niveau de ce ramassis d’incapables qui laissent tout couler.
Sarah est davantage matheuse que littéraire. Elle aime les démonstrations chiffrées et sait ce que signifie un pourcentage contrairement à certains ministres ou députés. Avec elle, c’est limpide, précis, concis. Pas de considérations philosophiques superflues ni de palabres alambiquées pour noyer le poisson. Derrière son sourire se cache une détermination sans faille, comme on a pu le voir avec l’épisode algérien au Parlement européen. Mettez Sarah à l’Élysée et ce n’est pas Tebboune qui va faire danser la France.
Sarah pulvérise les audiences dès qu’elle apparaît. Chez Sonia Mabrouk, elle a fait un tabac.
C’est un véritable phénomène. « Le magazine Valeurs actuelles lui consacre même un hors-série inédit de 68 pages intitulé “Sarah Knafo de A à Z”, épuisé dès sa sortie et rapidement réimprimé. »
« Sur l’ensemble des réseaux sociaux, elle collecte plus de 120 millions de vues, uniquement sur le mois de septembre. Entre ses passages dans l’audiovisuel, des commentaires sur la gestion du pays ou des vidéos où elle dégomme les propositions de ses adversaires, Sarah Knafo a l’art et la manière de faire réagir et de fédérer les populations plus jeunes. »
Évaluée à 6,5 % dans un sondage Elabe pour 2027, devant Éric Zemmour, Sarah sera-t-elle candidate ? Nul ne sait. Mais si l’écart se creuse entre elle et Zemmour, on voit mal celui-ci s’accrocher, d’autant plus qu’il a toujours dit qu’il ne briguait pas spécialement le pouvoir mais qu’il souhaitait avant tout la mise en oeuvre de son programme. Une référence de travail et de sérieux, comparée à la misérable feuille volante présentée par Macron en 2017. Ce qui en disait déjà long sur le mépris de Macron envers l’électeur.
Qui d’autre pourrait accomplir cette tâche mieux que Sarah ?
En tout cas, remercions Éric Zemmour pour nous avoir révélé cette jeune pépite qui devrait très vite dominer l’arène politique. Tout pourrait aller très vite.
Intelligente et rusée comme elle est, la politique est visiblement son élément. Et à mon avis, si Éric se faisait régulièrement piéger comme un perdreau de l’année durant la campagne de 2022, celui qui piégera Sarah lors d’une interview ou d’un débat n’est pas encore né.
Souhaitons-lui une belle et longue carrière au service de la France.
#webtube : Depuis quelques années, les U disparaissent du centre-ville de Pau, de quoi susciter la curiosité de nos enquêteurs… Depuis Roman fleuve, paru en 2022, dans sa belle couverture cartonnée bleue aux Éditions des Équateurs, on se régale d’avance à guetter la sortie d’un nouveau livre de Philibert Humm, jeune auteur à la plume alerte et aux aventures picaresques. Le suivant arrive en 2024, avec Roman de gare et sa couverture rouge, lançant désormais une collection dont on réclame impatiemment la suite. Roman-photo ? Roman de jeunesse ? Roman d’amour ? Autant d’idées qui doivent fourmiller dans la tête échevelée de cet amoureux des mots et des aventures pas trop loin de chez soi. Au milieu de ces pistes, notre auteur un peu loufoque a fait son choix : ce sera Roman policier, dans sa couverture noire, paru ces derniers jours.
Dans Roman fleuve, on suivait les aventures autobiographiques de notre Sylvain Tesson de poche, accompagné de deux compères, embarquant sur la Seine sur leur canoë de fortune, entre Paris et la mer, au gré de rencontres et d’aléas improbables, de descriptions illustrées sur le contenu de leur sac prenant l’eau toutes les deux pages. Les pieds nickelés en bateau, en somme. On rit, on s’émeut et on goûte les leçons de vie de ce récit faussement léger, bourré de vérités sur notre nature humaine de perdants magnifiques.
Dans Roman de gare, notre écrivain voyageur décide de traverser cette France intérieure qu’il aime et qu’il chante dans tous ses précédents livres. Avec un nouveau compagnon aimant le saucisson. Laurel et Hardy ? Astérix et Obélix ? Don Quichotte et Sancho Panza ? On hésite sur l’image qui nous vient, à la lecture d’un récit qu’on dévore sans s’arrêter. C’est dans le train qu’il est le plus agréable de lire ce livre, réprimant un éclat de rire au milieu du Club Quatre, tant le récit de ces voyages nocturnes dans les convois de fret tranche avec l’atmosphère feutrée de nos TGV et nous ramène au temps des premiers trains ou de la conquête de l’Ouest. Désopilant.
Et voici le dernier-né. Même recette : notre héros, jouant la panne d’inspiration et que l’éditeur force à écrire. Un compagnon de voyage « d’une élégance rare, d’un raffinement extrême et d’une hygiène irréprochable » : « Physiquement, il ressemble assez au comédien Vincent Dedienne pour la bonne raison que c’est lui. » Un voyage dans la France d’aujourd’hui : cette fois-ci, direction Pau. Et un prétexte à prendre son baluchon, pour ces ratés de l’aventure : ce sera un fait divers bien réel et non élucidé, qui défraie la chronique locale sans trop intéresser Paris : le vol en série de la lettre U des enseignes de magasins du centre-ville ! Avec ce solide mobile pour un nouveau livre, nous voici embarqués dans une enquête intrépide derrière nos héros, hésitant entre Blake et Mortimer et les Dupont et Dupond et penchant le plus souvent vers ces derniers ! Les portraits tirés, les zéros pointés, les comiques de situation, les bons mots… tout est bon, dans le feuilleton !
Et derrière la farce, l’humour 100 % français, se révèle une leçon que nous laisse Philibert Humm avec son style soigneusement débrayé et son air de ne pas y toucher : « C’est d’autant plus nécessaire que c’est inutile : voilà qui deviendrait ma devise. » Une morale qui conclut l’enquête et qui pourrait être le mot de la fin. Mais une fin provisoire, attendant avec impatience la parution du quatrième de ces trois mousquetaires !
#webtube : Alors que la COP30 s’apprête à déferler sur les écrans du monde entier depuis Belém, au Brésil, le Forum de la Dissidence organisé par Polémia entend offrir une bouffée d’air frais — et de libre pensée. Le 15 novembre à Paris, essayistes, philosophes, scientifiques et journalistes s’y retrouveront pour questionner l’alarmisme climatique devenu dogme médiatique et politique.
Derrière les slogans écologiques et les promesses de transition verte, une question centrale : peut-on encore débattre du climat sans risquer l’excommunication ? Alors que la température mondiale s’élèverait de 1,5 °C depuis la fin du Petit Âge glaciaire, les voix discordantes sont marginalisées, exclues des financements et des plateaux. Ce forum, placé sous le signe de la « désintoxication », vise à rendre la parole à la science, à la raison et à laliberté intellectuelle.
Pendant que les jets privés convergeront vers Belém, c’est en métro ou en taxi que les esprits libres se donneront rendez-vous à la salle Athènes Services, à Paris, pour redonner sens au débat public.
Jean-Yves Le Gallou, fondateur de Polémia, invite à une véritable désintoxication intellectuelle face à ce qu’il qualifie de « propagande climatique » : un système d’endoctrinement permanent, orchestré par les élites politiques, médiatiques et économiques.
Dans cet entretien accordé à Breizh-info.com, il dénonce la fin du débat scientifique, l’instrumentalisation de la peur et la dérive quasi-religieuse d’une écologie devenue outil de contrôle social.
Breizh-info.com : Pourquoi avoir choisi cette année de consacrer le Forum de la Dissidence à l’alarmisme climatique ?
Jean-Yves Le Gallou : Parce que si nous ne le faisons pas, personne ne le fera ! Et que le rôle de Polémia est de déplacer les limites et d’ouvrir la fenêtre d’Overton.
Breizh-info.com : Le mot « désintoxication » revient dans votre présentation. En quoi estimez-vous que le discours dominant sur le climat relève d’un lavage de cerveau collectif ?
Jean-Yves Le Gallou : Réfléchissez : en une seule journée, vous recevez au moins une trentaine de messages alarmistes climatiques. Répétition, orchestration, simplification — ces messages émanent de partout : de l’Éducation nationale, des actualités, des chartes d’entreprise, des publicités, des films et des séries. Nous sommes face à une propagande aussi méthodique que massive.
Breizh-info.com : À la veille de la COP30 à Belém, la question climatique occupe tout l’espace médiatique. Pensez-vous que le débat scientifique est devenu impossible ?
Jean-Yves Le Gallou : La science n’existe pas sans le libre débat. Or, dans les universités, le libre débat a été remplacé par l’anathème. Le monde universitaire est en rupture complète par rapport aux valeurs académiques (esprit critique, libre examen) qui devraient le fonder. Le climato-réaliste François Gervais, professeur honoraire, a pu dire qu’il déconseillerait à un jeune chercheur de reprendre les thèses qu’il défendait, car il ruinerait sa carrière.
Breizh-info.com : Peut-on encore, selon vous, contester les dogmes écologiques sans être immédiatement marginalisé ?
Jean-Yves Le Gallou : Non. Dans les médias, quiconque s’écarte de la doxa se voit rappeler à l’ordre d’un sévère : « Vous n’avez pas le droit de dire cela. » Un député d’extrême centre veut même faire voter une loi de « vérité climatique » qui sanctionnerait les « fausses informations ». On pense à Staline, qui avait imposé les thèses environnementalistes de Lyssenko aux généticiens soviétiques.
Breizh-info.com : Le Forum réunira des scientifiques, philosophes et essayistes. Quelle place donnez-vous à la science véritable dans un débat aujourd’hui saturé d’idéologie ? Et comment faites-vous pour ne pas tomber non plus dans le complot ou dans la pseudo-science — car la sphère Internet et dissidente regorge aussi de faux prophètes sur l’écologie ?
Jean-Yves Le Gallou : Le philosophe Olivier Battistini, spécialiste de la pensée grecque, posera la question clé : peut-il y avoir une vérité scientifique sans libre débat ? Il rappellera les règles de la disputatio, constitutives de la pensée occidentale, qui sont piétinées aujourd’hui. Sans prendre parti sur le fond, Yohann Hardoy, auteur Polémia, présentera les thèses dissidentes de prix Nobel, d’anciens du GIEC, de physiciens, de géologues, de glaciologues, de spécialistes du système solaire qui s’écartent de la doxa. Ont-ils tort ? Ont-ils raison ? Nous ne trancherons pas, mais leurs déclarations et leurs travaux suffisent à montrer qu’il n’y a pas de consensus scientifique sur l’origine anthropique du réchauffement. Ou, plus exactement, il n’y a apparence de consensus scientifique que parce qu’on écarte du débat ceux qui pensent autrement : plus de médias, plus d’invitations aux congrès, plus de crédits de recherche pour les mal-pensants !
Breizh-info.com : Certains vous reprocheront de « nier » le réchauffement climatique. Quelle est votre position réelle : contestation des faits ou critique de leur interprétation ?
Jean-Yves Le Gallou : La traversée de la Meije, dans l’Oisans, est ma plus belle course d’alpinisme et était l’une des plus belles courses des Alpes. Elle n’est plus réalisable aujourd’hui, car le glacier Carré s’est effondré et, depuis, cela « parpine » sur la voie d’accès. En cinquante ans d’alpinisme, j’ai vu les glaciers reculer, les Alpes et les Pyrénées changer. Cela me peine. Mais est-ce pour autant une catastrophe ? Je ne le crois pas : depuis la sortie du Petit Âge glaciaire, la température en Europe a augmenté de 1,5 degré. Néanmoins, il fait moins chaud aujourd’hui que lors de l’optimum climatique médiéval (Xe siècle) ou au siècle d’Auguste. Ceci étant, un peu plus de soleil et de chaleur ne sont pas forcément un mal : le vin est plus tannique et on va même pouvoir faire du champagne dans le Kent…
Breizh-info.com : Ce réchauffement est-il anthropique ?
Jean-Yves Le Gallou : C’est la doxa. Mais d’autres causes sont possibles : géologiques ou astronomiques. Ce sont celles-là qui expliquent les variations du climat à l’âge historique et préhistorique comme aux temps géologiques. L’activité solaire joue évidemment un rôle.
Breizh-info.com : Vous insistez sur la liberté de recherche et d’expression. Le climat est-il devenu un tabou comparable à d’autres sujets interdits dans le débat public ?
Jean-Yves Le Gallou : Oui. On parle de « négationnistes du climat » ! C’est dire. Il faut, me semble-t-il, distinguer trois choses, qui sont confondues délibérément par les propagandistes :
La mesure objective du réchauffement. C’est plutôt factuel (même si la notion de température mondiale moyenne n’a pas grand sens).
L’origine du réchauffement : c’est là qu’il doit y avoir libre débat scientifique, d’autant plus que le climat est un système infiniment complexe et que réduire l’explication du réchauffement au seul monothéisme du carbone paraît bien simpliste.
Les mesures à prendre pour éviter (mais est-ce possible ?) ou s’adapter au réchauffement climatique : cela relève du débat politique, mais il faut rester vigilant et ne pas accepter de brader nos libertés pour des chimères.
Breizh-info.com : Plusieurs intervenants, comme Fabien Bouglé, évoquent le business vert. L’écologie est-elle devenue, selon vous, une industrie de la peur ?
Jean-Yves Le Gallou : La peur est un moyen de contrôle des populations : peur de l’épidémie (le Covid), peur de la guerre (l’affrontement russo-ukrainien), peur des catastrophes naturelles (le dérèglement climatique). Ce sont les trois cavaliers de l’Apocalypse, représentés dans les médias par les médecins de plateau, les généraux de plateau, les climatologues de plateau. Et tout cela peut rapporter gros : aux investisseurs dans l’éolien ou le solaire, comme aux chasseurs de primes « Rénov’ ».
Breizh-info.com : La transition énergétique est souvent présentée comme un impératif moral. Comment analysez-vous ce mélange de morale, de culpabilité et d’argent ?
Jean-Yves Le Gallou : Morale, culpabilité et argent, ça ne vous rappelle rien ? C’est une secte. La secte climatique qui a ses clercs (les médias), ses inquisiteurs (les associations) et ses escrocs (les marchands de moulins à vent et les chasseurs de primes). Le plus grave, sans doute, est que l’alarmisme climatique rajoute une couche de culpabilité aux jeunes Européens : après la Shoah, l’esclavage et la colonisation, ils devraient aussi se repentir du réchauffement climatique. C’est le nouveau fardeau de l’homme blanc.
Breizh-info.com : Derrière l’idéologie climatique, y voyez-vous une forme de contrôle social comparable à ce que fut hier la peur du virus ? Et y voyez-vous également une forme de maintien permanent de la jeunesse sous angoisse extrême ?
Jean-Yves Le Gallou : Bien sûr. Quand on voit un jeune homme ou une jeune femme qui disent ne pas vouloir d’enfant par peur de l’avenir ou pour « sauver la planète », on mesure les effets pervers de l’alarmisme climatique. Une technique de manipulation qui permet aussi de justifier l’accueil de « réfugiés climatiques ». La doxa climatique, c’est du carburant pour l’idéologie dominante.
Breizh-info.com : Comment reconnecter les jeunes à une écologie enracinée, loin du catastrophisme ?
Jean-Yves Le Gallou : Le souci de l’écologie est louable : au sens étymologique, c’est la science de la maison, le souci de la proximité. Il est légitime de vouloir protéger son coin de terroir, d’en respecter les équilibres. Or, l’écologie abstraite et les affairistes de l’alarmisme climatique bousculent tout cela : les éoliennes et les « fermes solaires » saccagent les paysages, les DPE et les pratiques d’isolation thermique saccagent le patrimoine immobilier rural. Quel gâchis !
Breizh-info.com : Et pour les jeunes ?
Jean-Yves Le Gallou : Reconnecter les jeunes à une écologie enracinée est un beau programme, surtout quand on sait que 80 % d’entre eux n’ont jamais dormi — ne serait-ce qu’une seule nuit — à la belle étoile, ce qui leur aurait permis de découvrir la beauté du monde mais aussi la dure réalité du froid et de l’humidité. Mais cela, c’est le travail du scoutisme, des camps de jeunes, des universités d’été, la pratique de la marche en forêt, de la randonnée, de la chasse ou de la cueillette. En attendant de « sauver la planète », qu’ils découvrent donc la nature !
Breizh-info.com : Le Forum de la Dissidence existe depuis dix ans. En quoi cet événement est-il devenu un lieu incontournable de la contre-culture française ? Quelle continuité voyez-vous entre les précédents thèmes (censure, dette, gouvernement des juges…) et celui de cette année ?
Jean-Yves Le Gallou : Il faut toujours avoir un coup d’avance. C’est la vocation de Polémia : être en première ligne, être des éclaireurs, taper dans la butte. Vous allez voir, d’autres nous suivront. Les beaux jours de l’alarmisme climatique sont derrière lui.
Breizh-info.com : Enfin, quel message souhaitez-vous adresser aux Bretons — et aux Français — qui s’interrogent ou doutent de ce discours climatique dominant, mais n’osent plus le dire publiquement ?
Jean-Yves Le Gallou : Sortez de la tranchée !
Propos recueillis par YV
Infos pratiques
XIe Forum de la Dissidence Salle Athènes Services 8 rue d’Athènes, 75009 Paris Début à 9h30 – Fin à 18h30 Billetterie : weezevent.com/forum-alarmisme-climatique