. Nicki Minaj et Christiano Ronaldo s’engagent avec Trump pour la paix

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#webtube : La reine du rap et le quintuple Ballon d’or affichent leur soutien à Donald Trump, au grand dam de leurs fans de gauche. Samedi 1er novembre, Donal Trump publiait, sur Truth Social, un message de soutien aux chrétiens nigérians, expliquant que « le christianisme est confronté à une menace existentielle au Nigeria, où des milliers et des milliers de chrétiens sont assassinés », que les « islamistes radicaux » sont « responsables de cette tuerie de masse » et que « les États-Unis ne peuvent pas rester les bras croisés alors que de telles atrocités se produisent ». Un message que la rappeuse Nicki Minaj a salué, s’attirant, évidemment, les foudres de la bien-pensance.

La reine du rap en « « croisade diplomatique »

« La rappeuse américaine a apporté son soutien à Donald Trump dans sa dernière croisade diplomatique », écrit Le Huffington Post. La formulation prête à rire quand on connaît le personnage ! Imaginer celle que l’on appelle la « reine du rap », chanteuse trinidadienne qualifiée de « meilleure rappeuse de tous les temps par le Billboard en avril 2025 », partir en « croisade diplomatique » avec Trump a un côté comique. Pourtant, sur X, on ne manque pas de relever que même la rappeuse à la réputation sulfureuse s’engage pour les chrétiens nigérians, plus courageusement que le pape !

En effet, accompagné de la capture d’écran du message posté par Donald Trump, Nicki Minaj s’est fendue d’un post pour le soutenir et le remercier : « La lecture de ce texte m’a inspiré une profonde gratitude. Nous vivons dans un pays où nous pouvons pratiquer librement notre religion. Aucun groupe ne devrait jamais être persécuté pour avoir pratiqué sa religion. Nous n’avons pas besoin de partager les mêmes croyances pour nous respecter les uns les autres. De nombreux pays à travers le monde sont touchés par cette horreur et il est dangereux de faire comme si nous ne la remarquions pas. Merci au président et à son équipe d’avoir pris cela au sérieux. Que Dieu bénisse tous les chrétiens persécutés. N’oublions pas de les porter dans nos prières. »

Vous pensez le message consensuel, apaisé et tout à fait politiquement correct ? Défendre la liberté de culte ne semple pas a priori répréhensible. Pourtant, depuis qu’elle a posté ce message, c’est bien à une véritable vague de haine que Nicki Minaj doit faire face. On lui reproche d’être devenue une « trumpie », autant dire de fricoter avec le diable. Peu importe le contenu du message, d’ailleurs, ce que l’on reproche à la chanteuse, c’est de trahir la cause LGBT en soutenant la bête immonde. La chanteuse a donc été sommée de s’expliquer, ce qu’elle a fait dans un autre tweet, sans renier pour autant son premier message : « Imaginez qu’on vous dise que des chrétiens sont assassinés et qu’on vous reproche votre homosexualité [… ] Je vous défendrai de la même manière que je défends les chrétiens assassinés au Nigeria, comme je l’ai toujours fait. Souvenez-vous-en. Avec diligence et compassion. N’oubliez pas ça non plus ! » La chanteuse aurait perdu quelque 600.000 followers, mais difficile de savoir si ce chiffre est réel ou bien s’il fait, lui aussi, partie de la campagne de détestation dont elle fait l’objet sur les réseaux sociaux.

À ce sujet — USA : Trump prêt à intervenir militairement au Nigeria pour sauver les chrétiens !

Ronaldo avoue apprécier Trump

Nicki Minaj n’est pas la seule personnalité à avoir soutenu Trump et à en avoir fait les frais. Le footballeur quintuple Ballon d’or Cristiano Ronaldo, dans une interview, mardi 4 novembre, avec le journaliste britannique Piers Morgan, n’a pas mâché ses mots : « Donald Trump est l’une des personnes qui peut aider à changer le monde », ajoutant qu’il voudrait « rencontrer Donald Trump [car] c’est une personne qu’[il] apprécie ». L’ancien joueur du Real Madrid s’explique ensuite : « Tout ce que je veux, c’est la paix le plus rapidement possible. Personne ne le sait, mais nous avons une chose en commun, avec Donald Trump. Je le lui dirai, si nous nous rencontrons un jour. Quelque chose de fascinant. » Selon CNews, ce n’est pas la première fois que la star portugaise, qui joue à présent et jusqu’en 2028 pour Al-Nassr en Arabie saoudite, a montré son soutien au président Trump, puisqu’il aurait envoyé un maillot dédicacé « jouer pour la paix » à la Maison-Blanche. Celui qui se dit son plus grand fan, à l’origine d’un compte rassemblant 270.000 admirateurs du footballeur selon Football.fr, s’est aussitôt indigné : « Tu vas trop loin. » Pour certains fans, il n’est pas concevable que leurs idoles pensent différemment d’eux et sortent des sentiers battus de la doxa dominante de gauche.

Défendre les opprimés, les persécutés, se battre pour la paix, oui… mais pas avec n’importe qui. Nicki Minaj et Cristiano Ronaldo ont prouvé, à leur dépens, que la paix a un prix et qu’on ne peut soutenir impunément ceux que les médias ont décidé de diaboliser.

Victoire Riquetti, dans BV

. Agressé à Paris, il raconte :« Il voulait me faire le sourire du Joker »

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#webtube : Killian, 20 ans, a été attaqué au couteau dimanche soir à Paris. Il livre à BV le récit de cette soirée. Ils avaient prévu un week-end d’anniversaire à Paris, quelques jours de pause pour profiter du pont du 11 Novembre et flâner dans la capitale. Lui a vingt ans, elle dix-neuf, ils viennent de Dinan, en Bretagne. Dimanche 9 novembre, vers 21h30, le séjour du jeune couple vire au cauchemar. Alors qu’ils se promènent aux alentours de l’avenue Montaigne, dans le VIIIe arrondissement, un individu les attaque, laissant sur le visage du jeune homme une plaie impressionnante qu’il dira inspirée du personnage de fiction Joker. La victime témoigne auprès de Boulevard Voltaire de cette agression qui a aurait pu lui coûter la vie.

Une soirée d’anniversaire qui vire au drame

« On venait de faire un tour en bateau-mouche pour l’anniversaire de ma copine », raconte Killian, au travers de messages échangés. Si un appel était initialement prévu, les saignements de sa bouche l’en empêchent finalement. Ayant un peu de temps avant leur réservation au restaurant pour terminer cette soirée d’anniversaire, le couple décide de se promener avenue Montaigne, où le jeune homme sait qu’il pourra admirer de belles voitures. C’est en traversant la rue François-Ier, puis le rond-point, que les jeunes gens croisent un individu « de type rasta » qui attire leur attention. « Il avait un comportement bizarre », se souvient Killian qui, après l’avoir dépassé, se retourne et remarque que l’homme les observe également.

« Je lui demande sans agressivité ce qu’il a », raconte-t-il. L’individu s’avance alors vers eux et s’en prend à sa compagne : « Pourquoi tu me regardes comme ça ? Pourquoi tu m’humilies ? » En quelques secondes, l’agresseur tire un couteau de sa poche et frappe. « Un seul coup », précise la victime. L’arme lui entaille profondément le visage. « Je n’ai pas compris ce qu’il s’était passé, j’étais perdu, j’ai juste compris qu’il m’avait porté un coup. » Le couple s’enfuit alors pour chercher de l’aide, tandis que l’agresseur prend la fuite de son côté.

Trois centimètres de profondeur, vingt-trois points de suture. L’unique coup a suffi à lacérer le visage de Killian, des joues jusqu’à la bouche. « J’ai compris qu’il m’avait touché en mettant la main sur mon visage », raconte-t-il. Le sang coulait abondamment, mais l’adrénaline lui a épargné une trop vive douleur. « Normalement, ça devrait bien cicatriser et se recouvrir », espère-t-il.

Course-poursuite au cœur de Paris

L’agresseur de « type africain », identifié comme Haku H., 31 ans, né à Pointe-à-Pitre en Guadeloupe, a été interpellé après une course-poursuite dans le même quartier, selon Le Parisien. Peu après avoir attaqué Killian, il s’en est pris à une seconde victime, avant de tenter de poignarder un policier. La BAC est alors intervenue pour le neutraliser. Placé en garde à vue pendant quarante-huit heures, il a ensuite été placé en détention provisoire. Une enquête pour « tentative de meurtre » et « tentative de meurtre sur personne dépositaire de l’autorité publique » a été ouverte par le parquet de Paris et confiée au 1er district de police judiciaire. Selon Actu17, l’homme aurait déclaré aux forces de l’ordre qu’il était le personnage du Joker, le célèbre criminel au « sourire de l’ange ».

« Il faut que ça s’arrête »

Au lendemain des faits, Killian ne réalise toujours pas vraiment ce qu’il s’est passé. Il pense que « ça va redescendre » plus tard. Pour l’heure, il dit surtout ressentir « de la haine, parce qu’il a pourri le week-end d’anniversaire » de sa compagne. Sa petite amie, elle, « a beaucoup de mal » à tenir le coup : elle n’a pas dormi, lui « très peu ». Le couple, qui devait rester à Paris jusqu’au mardi du pont, est finalement reparti dès le lendemain. « Son but, c’était bien de me faire le sourire du Joker », glisse-t-il, encore incrédule.

Autour d’eux, les proches, « choqués », étaient d’ailleurs incrédules lorsqu’ils ont appris l’agression. « Ce n’est pas normal de se faire agresser au couteau en plein Paris, en n’ayant rien demandé », répète Killian. « Les choses comme ça, il faut que ça s’arrête », conclut-il.

. Charles Gave: nos députés envoient la France à la ruine!

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#webtube : Charles Gave passe en revue le pire du projet de loi de finances 2026, et il n’y a pas que des bonnes nouvelles. Accrochez vos ceintures… ET ça ne fait que commencer !

Source : Youtube – IDL

. La chanson du jour, Daniel Balavoine – Tous les cris les SOS

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#webtube : Pas besoin de vous présenter dans le détail ce morceau qui demeure l’une des chansons les plus poignantes de Daniel Balavoine. Avec son écriture profondément humaine et sa sensibilité à fleur de peau, Balavoine y exprime le besoin universel d’être entendu, même dans les moments les plus sombres.

#webtube : There’s no need to go into detail about this song, which remains one of Daniel Balavoine’s most poignant works. With its profoundly human lyrics and raw emotion, Balavoine expresses the universal need to be heard, even in the darkest moments.

Source : Youtube – Melody

. #MontronsLeReel. Jean-Eudes Gannat : Une garde à vue et des poursuites pour un cri du réel, une vague de solidarité qui ébranle l’Inquisition judiciaire

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#webtube : Dans une France où dénoncer l’invasion migratoire semble désormais relever du crime d’État, l’affaire Jean-Eudes Gannat incarne la dérive d’un pouvoir judiciaire de plus en plus politisé. Il aura suffi d’une courte vidéo publiée sur les réseaux sociaux pour que Jean-Eudes Gannat, militant identitaire et chroniqueur à Radio Courtoisie, soit arrêté et placé 48 heures en garde à vue.

Le parquet d’Angers, dirigé par le procureur Éric Bouillard – déjà connu pour ses poursuites répétées contre des figures de la droite nationale, lui qui a déjà empêché par le passé, du fait de poursuites, que J-E Gannat assiste à la naissance de son troisième enfant– a ouvert une enquête en flagrance pour « provocation à la haine raciale » après la diffusion d’une séquence montrant quatre Afghans installés à Segré, dans le Maine-et-Loire. Ces individus auraient porté plainte moins d’une heure après la mise en ligne de la vidéo. Une célérité judiciaire que même les praticiens du droit trouvent inhabituelle, tant elle contraste avec la lenteur des enquêtes quand les victimes sont françaises.

Gannat a été interrogé sur ses activités, sa vie privée et ses opinions politiques avant d’être placé en cellule pour la nuit : six mètres carrés, toilettes à la turque, murs souillés. « Je n’ai pas été maltraité, mais tout cela reste ahurissant pour une simple vidéo », a-t-il confié.

Une réaction populaire et politique sans précédent

Très vite, la nouvelle de son interpellation a déclenché une onde de choc sur les réseaux. Sous le mot-d’ordre #MontronsLeRéel, initié par Radio Courtoisie et la journaliste Liselotte Dutreuil, des milliers de Français ont publié et relayé leurs propres témoignages, photos et vidéos de ce qu’ils vivent dans leur quotidien : insécurité, cohabitation difficile, sentiment d’abandon.

Le mouvement a dépassé les cercles militants habituels : des personnalités politiques comme Marion MaréchalFlorian PhilippotNicolas Dupont-Aignan ou Éric Zemmour à demi mot ont exprimé leur soutien, tout comme des figures médiatiques de droite et des influenceurs jusque-là éloignés du militantisme. Même Cnews a fini, grâce à Mathieu Bock Côté, par évoquer le cas Jean-Eudes Gannat. Seul le RN, hormis quelques députés moins médiatiques, s’est tu, comme trop souvent, ce qui interroge sur ce qu’il fera, demain, s’il arrive au pouvoir.

Le Britannique Tommy Robinson, figure emblématique de la lutte contre l’islamisation, dénonce un « copier-coller de la censure britannique ». Des influenceurs allemands et américains reprennent la cause de Gannat, symbole d’une répression désormais transnationale des droites européennes.

Une affaire symbole : deux poids, deux mesures

Pour beaucoup, le cas Gannat illustre la dérive d’une justice de plus en plus politique.

Le procureur Bouillard avait déjà ciblé d’autres figures de droite, comme le professeur Frédéric Mortier, relaxé après des mois de procédures. Dans le même temps, les plaintes pour menaces, dégradations ou agressions visant les militants patriotes restent sans suite.

L’essayiste Jean-Yves Le Gallou a parlé d’« anarcho-tyrannie » : un régime où la délinquance prospère tandis que ceux qui la dénoncent sont punis. « On laisse filer l’immigration illégale et la criminalité, mais on réprime ceux qui montrent la réalité », résume-t-il.

La contre-attaque : refuser la peur et organiser la riposte

Jean-Eudes Gannat ne compte pas s’en tenir là : il envisage une procédure contre le procureur d’Angers, estimant que « la meilleure défense, c’est l’attaque ». Une cagnotte ouverte par ses proches doit financer ses frais de justice, deux dossiers étant déjà en cassation.

Mais au-delà de son cas personnel, Gannat appelle à transformer l’indignation en mouvement collectif. « Quand quelqu’un est arrêté pour avoir simplement décrit ce qu’il voit, il faut le soutenir, même si l’on n’est pas d’accord sur tout. Si ce n’est pas lui, demain ce sera vous », a-t-il martelé dans un direct de plus d’une heure et demie sur Radio Courtoisie.

Le mot d’ordre Montrons le réel s’est imposé comme un cri de ralliement : publier, témoigner, filmer, sans haine mais sans peur, pour rompre le silence imposé par la censure et les lois mémorielles.

Le soutien ne s’est pas limité à la droite française. Des Britanniques, des Allemands, des Américains ont relayé l’affaire, voyant dans ce traitement judiciaire le signe d’une répression désormais transnationale contre le courant conservateur européen.

« La gauche a ses réseaux internationaux, ses ONG, ses médias. Nous devons, nous aussi, bâtir cette solidarité entre peuples européens qui refusent leur disparition », a souligné Gannat.

Cette mobilisation révèle une fracture profonde : d’un côté, un appareil d’État obsédé par la répression idéologique ; de l’autre, un peuple de plus en plus conscient de vivre dans un pays où dire le vrai devient un délit.

Vers un procès emblématique

Jean-Eudes Gannat doit comparaître le 6 mai prochain au tribunal d’Angers. Ses soutiens préparent déjà un rassemblement.

L’enjeu dépasse son cas individuel : il s’agit d’un test grandeur nature pour la liberté d’expression en France. Si un homme peut être arrêté pour avoir montré quatre Afghans dans une petite ville de province, alors qu’aucune violence ni injure n’a été proférée, qu’adviendra-t-il demain des journalistes, écrivains ou citoyens qui décrivent la même réalité ?

Lui-même l’assume : « Je n’ai rien d’un héros, mais je préfère passer deux jours en cellule que de vivre dans une société où l’on n’a plus le droit de nommer les choses. »

Son cas, devenu emblématique, a ravivé un débat que le pouvoir voulait clore : celui du droit des Français à parler de leur pays tel qu’il est.

Au-delà du tumulte judiciaire, l’affaire Gannat aura révélé une vérité : la dissidence n’est plus marginale. Elle s’organise, s’entraide et se dresse face à l’appareil politico-médiatique qui tente encore de la réduire au silence. Et derrière un hashtag, #MontronsLeReel, c’est peut-être le réveil d’un peuple qu’on croyait éteint.

« Soyez l’homme providentiel de votre vie. Rendez vos enfants fiers », conclut Gannat, remerciant ceux qui se sont levés pour lui.

De la Bretagne à la Provence, de Paris à Londres, des voix s’élèvent. La peur change peu à peu de camp.

YV

PS : la collecte est mise en place ici

Breizh-info.com

. Belgique : selon le JID, un massacreur du 7 octobre serait réfugié à Bruxelles

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#webtube : Selon le Centre juif d’information et de documentation (JID), ce « journaliste » gazaoui voyage librement en Europe. Un terroriste du Hamas réfugié en Belgique ? C’est du moins ce qu’affirme le Centre juif d’information et de documentation (JID), après une enquête sur le Gazaoui Mohanad al-Khatib. Sur les réseaux sociaux, ce dernier se présente comme journaliste et photographe, mais les preuves rapportées dans un dossier – que BV a pu consulter – sont accablantes.

Elles ont été transmises à la police. Le JID affirme que ce Palestinien est un participant actif aux atrocités du 7 octobre 2023 contre Israël. En effet, des vidéos et photos réunies par le JID le montrent courant joyeusement dans les kibboutz israéliens ce jour-là, aux côtés de terroristes du Hamas, sans gilet pare-balles, criant des slogans exaltés comme « Allahou akbar » et « Feu et cendres ». Toujours selon le JID, ses complices, liés à des personnalités directement impliquées dans les atrocités du 7 octobre, filmaient les exactions en direct : prise d’otages, grenades en main, camions de terroristes franchissant la frontière. Al-Khatib, lui aussi, immortalisait la scène, encourageant l’invasion. Aujourd’hui, ce « réfugié » vit à Bruxelles, voyage librement en Europe, allant et venant entre Amsterdam, Gand et Paris, pouvant défiler contre Israël sans jamais avoir été inquiété par les autorités belges, accuse encore l’organisme. 

Des complices au cœur du Hamas

Selon le JID, al-Khatib n’agissait pas seul : ses amis intimes, tous « journalistes » de façade, étaient au front du massacre. Hassan Eslaieh, terroriste du Hamas, postait en direct sur Instagram des vidéos de terroristes préparant des explosifs, de pick-up bourrés d’assaillants entrant en Israël, et se filmait en scooter avec une grenade, al-Khatib courant derrière, hilare. Eslaieh, lié à Yahya Sinwar, l’architecte du massacre du 7 octobre, glorifiait les « martyrs » et appelait à l’invasion. Un autre, Mohammed Fayq, vante sur X avoir vu « tout Gaza » en Israël, ce jour-là : soldats capturés, 50 « occupantes » traînées, portes de bunkers forcées. Ce trio d’amis, immortalisés en famille sur Facebook, est dénoncé comme formant un véritable réseau pro-Hamas par le JID.

Leurs profils sur les réseaux sociaux regorgent de propagande : al-Khatib épingle depuis août 2023 un appel au « Paradis sans jugement » s’il mourait, prescience glaçante avant le 7 octobre. Il salue les missiles yéménites et iraniens sur Israël, prie pour que l’Iran vise les bases américaines et fustige les Arabes « traîtres » face à Gaza.

Une vie paisible à Bruxelles

Depuis juin 2025, al-Khatib s’est installé à Bruxelles. Il y manifeste d’ailleurs les 14 juin et 5 octobre pour le sort des Palestiniens, filmant pour Al Jazeera Arabic. Ses TikTok et Instagram, mis en ligne depuis la Belgique, le montrent en gilet pro-Palestine, remerciant les « libres Européens » contre les « Arabes silencieux ». Voyageur libre, il atterrit à Amsterdam fin juillet, honore des « martyrs » en Turquie fin octobre. Pourtant, ses vidéos du 7 octobre le montrent exultant : « Viens, on y va ! Dieu est grand ! Je veux porter quelqu’un sur mon cou ! ». Des propos qui suffisent à le placer sous une surveillance accrue. 

Alors que l’Europe intensifie la traque des cellules du Hamas actives après le 7 octobre, avec des arrestations en Allemagne et aux Pays-Bas facilitées par le Mossad, et des extraditions intra-UE déjà effectuées – tandis qu’Israël formule des demandes d’extradition pour des suspects liés au terrorisme palestinien -, la Belgique brille par son inaction. Al-Khatib peut parader. 

Julien Tellier, dans BV

. Afflux de clandestins au Royaume-Uni : les casernes du Grand Remplacement

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#webtube : Wethersfield (Angleterre) : 800 habitants… et 600 migrants ! À Crowborough, les habitants inquiets protestent contre l’hébergement de 600 clandestins dans le camp militaire. Ce samedi 8 novembre à Crowborough, dans l’East Sussex (nous sommes au sud de Londres), un millier d’habitants ont manifesté leur opposition à l’arrivée prochaine de 600 clandestins en attente de régularisation. Qui sont donc ces protestataires ? Des fachos, des hooligans, des néo-nazis ? Non, des jeunes. Des parents. Des familles.

Sécurité élémentaire

Aux frais de la princesse, ou plutôt aux frais de « Nicholas who is paying », les migrants illégaux annoncés — arrivés ces dernières semaines depuis la France — seront logés sur le camp militaire d’entraînement de Crowborough. Une décision que les autorités locales disent avoir appris par une fuite dans la presse. Elle rappelle l’utilisation semblable d’une base de la RAF à Wethersfield, où une même dose de clandestins a sensiblement modifié la vie quotidienne du village.

Pas besoin d’être Conan Doyle — qui a vécu et est mort à Crowborough — pour deviner qu’une bonne partie des 22.000 habitants sont inquiets pour leur sécurité. Et ce n’est pas la page Internet du ministère de l’Intérieur britannique qui les rassurera : « Le site accueillera des demandeurs d’asile célibataires de sexe masculin, âgés de 18 à 65 ans. » À quoi rétorque un manifestant : « Je veux la sécurité pour notre communauté, ma femme, tous les jeunes et tout le monde. Je ne veux plus avoir peur de sortir dans la rue. » Manifestement, le passage de 250 réfugiés afghans (de décembre 2023 à novembre 2024) n’a pas laissé que de bons souvenirs, à Crowborough.

Ministère tranquille, district inquiet

Pourtant, le ministère de l’Intérieur se veut lénifiant : les migrants assisteront à « des ateliers sur les comportements antisociaux ». Euphémisme pour agressions, viols et autres réjouissances… Le Telegraph rapportait tout récemment ce témoignage brut de décoffrage d’une assistante sociale : « Je pense qu’il est inévitable qu’un homme à qui j’accorde l’asile viole ou assassine une jeune fille. » Le mot « sécurité » (securitysafety) revient dix-neuf fois dans la bouche du ministère, comme si le répéter ad nauseam allait suffire à maîtriser les « comportements antisociaux » d’hommes dans la fleur de l’âge.

Plus près du terrain et de la colère des gens, le district de Wealden, dont fait partie Crowborough, a une certitude fort différente de celle du ministère : « Le fait d’héberger 600 hommes sur un même site […] comporte des risques importants »alerte-t-il. Par ce courrier du 7 novembre, il a prévenu Alex Norris, ministre de la Sécurité des frontières et de l’Asile, que ses services sont inondés de courriers inquiets (même, est-il précisé, en laissant de côté les « communications racistes » — puisqu’on ne peut s’inquiéter pour sa sécurité sans être accusé de racisme).

Immersion migratoire

Selon la région East Sussex, les migrants, les demandeurs d’asile et les réfugiés « contribuent grandement à l’économie, au dynamisme et à la culture ». Pile, la légende dorée de l’immigrationnisme ; face, le Grand Remplacement. Les deux revers de la même médaille. Tout un symbole : à partir du moment où un pays ne se défend plus, à quoi bon loger des soldats dans des casernes ? Logeons-y des clandestins, soldats de la conquête en cours, que ce soit à Wethersfield, Crowborough, Inverness ou Folkestone

Comme on comprend les larmes de ce vétéran qui émeut bien au-delà de l’Angleterre ! Jamais on n’aura été aussi désarmés au sens propre, mais aussi au sens figuré, moralement, face à l’immersion migratoire« Pas raciste. Pas politique. Juste un père et grand-père très inquiet pour la sécurité de ses enfants et petits-enfants ! », disait la pancarte d’un des manifestants de Crowborough. Ce n’est certes pas raciste, mais c’est éminemment politique. C’est même à la prise en considération ou non de cette question qu’on peut juger de la validité d’une politique.

À ce sujet — Wethersfield (Angleterre) : 800 habitants… et 600 migrants !

. Ceux de 14, de Maurice Genevoix : magnifique hommage au sacrifice de la France d’avant

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#webtube : La guerre au ras des tranchées, par un écrivain de génie. Pour comprendre l’héroïsme ordinaire des fils de France. Quel jour plus indiqué que le 11 novembre, pour relire l’un de nos plus grands écrivains, le merveilleux Maurice Genevoix (1890-1980). Nous nous sommes replongés dans Ceux de 14.

« Aux jours de la retraite, avant la Marne, on nous a laissé croire que nous allions embarquer à Bar-le-Duc pour nous rendre à Paris où des troubles menaçaient d’éclater. Des capitaines répétaient cette bourde parce qu’au moins elle expliquait nos étapes vers le sud, parce qu’elle leur était une clarté. Ils l’avaient accueillie aussitôt, ayant besoin de savoir et de croire.

Une fois, une seule, on nous a parlé : c’était le matin du 6 septembre. Le capitaine nous a réunis et, rapidement, en quelques mots, il a esquissé la situation des armées en présence et nous a exposé ce que nous allions faire. Rien de plus. Il ne nous a pas révélé quelle bataille décisive allait s’engager ce jour-là ; lui-même ne le savait pas. Et pourtant, ce fut assez : une lumière était en nous. On nous demandait quelque chose. On nous disait : « Voilà ce qu’il faut que vous fassiez ; nous comptons sur vous. » Et c’était bien.

Mais hier, quand nous avons quitté le bivouac près de la ferme, nous avons marché à l’inconnu, dans l’angoisse trouble de ce qui allait se passer. On nous lançait en pleine tourmente à une heure difficile entre toutes, l’ennemi avançant avec une résolution forcenée, nos troupes perdant du terrain, lâchant pied jusqu’à laisser libre la route de Verdun. Toute la science des états-majors ne pouvait plus rien là contre. Nous arrivions, nous luttions, nous tenions, nous étions bousculés à notre tour. Dès lors, nous étions tout. Dès lors, il était juste, il était raisonnable de nous dire combien lourde, mais combien exaltante était notre tâche. Nos soldats sont incapables de se résigner à ignorer. Lorsqu’on leur donne un ordre que rien n’explique à leur jugement, ils obéissent mais en grognant. Ils disent : « On se fout de nous. » Ils disent encore, en lançant leur sac sur leurs épaules, d’un mouvement hargneux : « Marche, esclave ! » Et ce n’est pas risible. Assurément, il y a des choses qu’il est utile de cacher aux combattants. Il y en a d’autres qu’on pourrait, qu’on devrait donc leur révéler. L’incertitude complète énerve leur courage. On les y laisse trop souvent, comme à plaisir. »

Le patriotisme naturel et tranquille

Cet extrait de Ceux de 14 (pages 148-149), précieuse réédition des livres de guerre de Maurice Genevoix aux Éditions Flammarion, est un peu à part. L’auteur magnifique de La Dernière Harde et d’Un jour verse rarement, au fil de son récit de guerre, dans la réflexion stratégique et la morale adressée aux états-majors. C’est une science moderne. Genevoix se contente du sublime. En 1914 – il alors 24 ans -, lorsqu’il est mobilisé, le sublime prend essentiellement les visages et les mots de nos paysans et de nos ouvriers plongés dans une guerre inédite, un enfer de violence et de cruauté. Ils regardent ce déchaînement qui les décime avec la distance et le réalisme des gens de notre terre.

– Enfin, mon lieutenant, c’est fini. J’vous ai r’trouvé, me v’là, j’suis chez moi; l’jour s’amène : j’suis content, lance un soldat.

Paroles et gestes de héros tranquilles, qui font simplement leur devoir. Les réseaux sociaux n’ont pas transformé ces frères d’armes solides et concrets en ludions numériques ivres du reflet de leur image dans les réseaux sociaux. Les hommes de Genevoix ne dissertent pas sur la politique, les causes de la guerre, la stratégie choisie, les raisons bonnes ou mauvaises, les luttes intestines et les inégalités. Ils combattent âprement, entre deux moments de répit pleins d’une humanité débordante. On a le patriotisme naturel et tranquille. Le soldat est râleur et fataliste, mais les cinq livres réunis dans Ceux de 14 (Sous VerdunNuits de guerreAu seuil des guitounesLa Boue et Les Éparges, 860 pages hors notes) font parler les qualités et les défauts de ces héros discrets. On croise des Français plus vrais que nature, comme cette paysanne affligée, hurlante, douloureuse qui suscite soudain la pitié des soldats prêts à apprendre le pire. Ils découvrent vite l’objet de sa souffrance : des soldats lui ont bu six bouteilles de mauvais vin qu’ils lui avaient auparavant dûment réglées…

Morts pour… la France

Genevoix a chroniqué le quotidien de ces hommes (car le sacrifice ultime fut massivement exigé des hommes, c’était avant la parité…). Des hommes venus de la profondeur de nos terroirs, dont le nom s’efface sur nos monuments aux morts. Ceux de 14 entendront dans l’au-delà les péroraisons mondialistes politiciennes de Macron sur l’Europe et la paix, ce 11 novembre. Ils se tairont. Les vrais héros restent discrets. Ils laisseront aux phraseurs de notre siècle le soin de saccager le fruit de tant d’abnégation et de tant de sacrifices pour faire avancer leur calendrier idéologique, oubliant délibérément qu’ils sont, comme le rappellent les monuments de nos 36.000 communes, « morts pour la France ».

. La chute de Pokrovsk signe la défaite inéluctable de Kiev et de l’Otan

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#webtube : Ce qui se joue à Pokrovsk, c’est la fin du rêve insensé d’une victoire de l’Occident sur l’Ours russe, c’est la fin de la grande illusion de la supériorité otanienne sur cette armée russe jugée archaïque et dépassée, parce que l’héritière de l’armée soviétique d’un autre âge.

Le mépris de tous ces leaders politiques occidentaux, l’arrogance de tous ces généraux de troisième niveau promettant la victoire ukrainienne sans aucune expérience de la guerre de haute intensité, les fanfaronnades en tous genres des nains militaires européens qui déconstruisent leur armée depuis 1991, tous ces irresponsables qui rivalisent d’incompétence, vont trouver leur réponse sur le terrain des armes. La chute de Pokrovsk va ouvrir la route de Kramatorsk et de Slaviansk.

Il y a encore un mois, Macron prétendait que les Russes piétinaient et n’avaient conquis que 1 % du territoire ukrainien depuis leur repli sur le Donbass en 2022. Il joue encore les chefs de guerre sans jamais avoir tenu un fusil de sa vie, entouré de « stratèges » inconscients des réalités. Mais maintenant, la presse occidentale commence à parler vrai. 45 mois de mensonges n’auront servi à rien, si ce n’est allonger la liste effroyable des morts et des blessés.

Chez RL, nous avons écrit au bas mot entre 300 et 400 articles sur la Russie, expliquant pourquoi l’Occident était responsable de cette guerre, dont les causes profondes remontent à 1990. Nous avons eu la conviction dès le début de l’offensive qu’une armée russe reconstruite depuis l’an 2000 par Poutine, équipée d’armements inégalés et restant la première puissance nucléaire, une telle armée, héritière des héros de Stalingrad, ne pouvait pas perdre cette guerre.

Nous nous sommes insurgés contre les crétins qui insultaient l’armée russe, soldats comme officiers, alors que l’Amérique a perdu toutes ses guerres depuis 1945. On a vu des généraux sous-estimer une armée russe qu’ils ne connaissent absolument pas, preuve de leur incompétence et de leur désinvolture flagrantes.

Mais chez RL, on n’a pas oublié que les Russes ont été nos alliés en 14-18 et en 39-45. On n’a pas oublié que des pilotes français sont allés combattre les nazis aux côtés des pilotes russes, au sein de l’escadron Normandie-Niémen. On n’a pas oublié l’amitié francorusse, ni le rêve du Général de voir naître une vaste Europe de l’Atlantique à l’Oural. L’amateurisme de nos décideurs est sidérant.

Que Macron nous ait entraînés dans cette aventure antirusse est une ignominie sans nom. Comme tout ce qu’il entreprend, c’est un désastre. Sa russophobie nous place dans le camp des vaincus car ce qui se profile, c’est une défaite totale de l’Otan, qui va se payer au prix fort, avec plus de 2 millions de morts et de blessés ukrainiens, des millions de veuves et d’orphelins, sans oublier les 400 milliards de dollars partis en fumée en pure perte.

Si quelques illuminés Allemands veulent leur revanche, c’est leur affaire. Mais la Russie n’est pas notre ennemie et nous aurions tout à gagner à faire du business avec Moscou plutôt que d’attiser les braises d’une guerre qui n’est pas la nôtre.

La ville de Pokrovsk, contrôlée à 90 % par les Russes, va tomber. 10 000 soldats ukrainiens sont encerclés dans la région, n’ayant plus d’autre choix que de se rendre ou mourir. Les lignes de ravitaillement sont coupées, les tentatives de désencerclement ont échoué et les ordres d’évacuation pour éviter le désastre ne sont jamais arrivés.

Comme toujours, à Marioupol, à Bakhmut, à Avdiivka, à Koursk et aujourd’hui à Pokrovsk, Zelensky a refusé le repli des ses soldats quand il en était encore temps, s’obstinant à défendre des positions sans en avoir les moyens, ni matériels, ni humains. Cet acharnement a saigné l’armée ukrainienne de ses meilleures troupes. Ce mépris de la vie de ses soldats a entraîné des désertions en masse. On en est à 400 000 déserteurs ukrainiens, découragés par la faillite du commandement, incapable de ravitailler ses troupes ou d’évacuer les blessés. L’armée ukrainienne vit un enfer.

La folle aventure de Koursk, pour occuper temporairement 1 000 km2 du territoire russe, a coûté 70 000 soldats à Kiev, parmi les meilleures troupes. Zelensky est un dangereux illuminé pour son peuple et son armée.

Inversement, en novembre 2022, quand les Russes ont compris qu’ils ne pourraient jamais tenir la ville de Kherson, les 40 000 soldats qui l’occupaient se sont repliés à l’Est du Dniepr en bon ordre et sans pertes. Le bon sens même. Ce qui fut présenté en Occident comme une victoire ukrainienne, alors que la prise de la ville s’est faite sans combattre, a permis de sauver 40 000 soldats russes, bien plus utiles ailleurs sur le front. Un repli salvateur que Zelensky n’a jamais voulu observer, préférant perdre à la fois les villes et ses soldats.

Il faut bien comprendre que si Poutine peut aujourd’hui savourer les avancées de son armée, c’est parce que ses généraux, loin d’être les crétins qu’on nous vendait sur les plateaux TV, ont décidé le repli de leurs unités sur le Donbass dès les premiers jours de la guerre.

Pourquoi ce repli inattendu ? Parce que Poutine a été trompé par ses services de renseignement, qui affirmaient que l’offensive russe de février 2022 se passerait en douceur, comme en Crimée, sans intervention de l’Otan. Mauvaise pioche.

Le Kremlin n’avait jamais envisagé une guerre de 1350 jours, face à une coalition de 50 nations, capable de dépenser 400 milliards de dollars pour soutenir un pays mafieux et corrompu, tout en lançant 20 trains de sanctions économiques contre Moscou.

Mais un Russe ne baisse jamais les bras. Il est patient, déterminé et ne renonce jamais. Depuis la Retraite de Russie, les Français devraient savoir cela et ne pas faire des moulinets stupides comme le fait Macron. Comme disait de Gaulle, « Nul ne peut vaincre la Russie ».

Alors que Zelensky affirme toujours qu’à Pokrovsk la situation est sous contrôle, la presse occidentale annonce la chute de la ville imminente avec des milliers de soldats ukrainiens pris au piège mortel de l’entêtement de leur hiérarchie. Mais en France, c’est silence radio.

Le ministre belge de la Défense Theo Francken, qui promettait de « rayer Moscou de la carte » observe un recul prudent. Quant à Trump, il a enterré l’option Tomahawk, enfin conscient que Poutine n’a pas l’intention de reculer sur ses objectifs initiaux.

On est loin de l’euphorie de ces derniers jours, quand l’UE envisageait un budget de plusieurs centaines de milliards pour poursuivre la guerre aussi longtemps que nécessaire.

Comment l’Occident a-t-il pu tenir une position belliciste aussi suicidaire ? Mystère.

Tout, depuis 2022, annonçait que cette guerre était ingagnable pour Kiev.

Pokrovsk est plus qu’une bataille perdue. C’est la fin du mythe otanien, le saint des saints de la pensée militaire, la doctrine invincible censée assurer la domination de Washington jusqu’à la fin des temps.

C’est un pays au PIB nominal de 2 500 milliards de dollars, qui va vaincre une coalition de 32 nations, dont le PIB cumulé atteint 50 000 milliards, soit 20 fois celui de la Russie.

Ce qu’ont oublié les Occidentaux, c’est qu’on ne mesure pas la force d’un ennemi à son PIB, mais à la puissance de son armée. Ajoutons que nos lumières déterminées à en découdre ont également oublié que Poutine est assis sur un trésor géologique estimé à 70 000 milliards de dollars. Pour une Europe dépourvue de matières premières, cela ne manque pas de sel. Le Tsar a financé sa guerre avec son gaz et son pétrole, pendant que la France emprunte pour armer Zelensky. Petite remarque à l’attention de Bruno Le Maire :

La dette publique russe représente 18 % du PIB contre 115 % pour la France. Pour un pays en guerre depuis 1350 jours, frappé de 19 trains de sanctions, c’est assez remarquable.

Il est temps que cette folie s’arrête. La marche est beaucoup trop haute pour Macron.

Jacques Guillemain, Riposte Laïque

. Budget de la Sécu : Faure continue de faire le malin. Jusqu’à quand ?

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#webtube : Samedi soir, la partie « recettes » du PLFSS a été adoptée, grâce au PS : la petite heure de gloire d’Olivier Faure… Olivier Faure, Premier secrétaire du PS (1,8 % en 2022…), semble devenu l’ultime régent d’une République au Président ultra-impopulaire et de députés (pas ceux du RN-UDR) uniquement mus par la peur de la dissolution. Ce parti a obtenu du Premier ministre Lecornu, en échange du vote du budget, que le 49.3 ne serait pas utilisé : la République est donc placée sous le chantage du PS, qui en use et en abuse, histoire de se refaire une santé médiatique.

La semaine dernière, Olivier Faure menaçait d’une dissolution si les exigences du PS n’étaient pas prises en compte. Nouvelle illustration de ce dévoiement des institutions, ce samedi 8 novembre, avec le vote du volet « recettes » du projet de loi de financement de la Sécurité sociale (PLFSS) par 176 voix contre 161. PS et macronistes, avec les députés LIOT, ont été les seuls à voter pour, écologistes et communistes se sont divisés entre pour, contre et abstention, LFI, RN et UDR votant contre, tandis que les députés LR et Horizons s’abstenaient.

Olivier Faure dans les vieux habits du parti de gouvernement

Après ce vote serré obtenu par le PS, Olivier Faure s’en est pris au RN : selon lui, en votant contre la partie « recettes », le RN et LFI ont fait « le jeu du pire ». Cocasse, de la part d’un PS qui n’avait pas l’impression de faire « le jeu du pire » quand il passait des accords électoraux avec LFI sous les beaux noms de NUPES ou de NFP – en attendant le prochain. Soucieux de revêtir à nouveau l’habit usé du respectable chef de « parti de gouvernement » qu’il croit être encore, le Premier secrétaire du PS a estimé que son groupe a fait son « devoir » et a montré « qu’il y a une gauche qui est utile aux Françaises et aux Français et qui continuera à l’être ». Le Premier ministre Sébastien Lecornu a salué, sur X, ce respect du contrat par le PS : « Ce vote est une étape, les discussions parlementaires continuent. Plus que jamais, le gouvernement se tient à disposition des députés et sénateurs pour la suite des débats. » La position d’Olivier Faure a été pilonnée par Mélenchon.

Ce théâtre d’ombres de la gauche ne peut masquer les postures politiciennes dénoncées par le RN. Jean-Philippe Tanguy a expliqué que le groupe RN avait voté contre l’adoption de la partie « recettes » du PLFSS parce qu’il « est hors de question que les classes moyennes, en particulier les épargnants, paient à hauteur de 3 milliards d’euros cette année et 5 milliards [d’euros] l’année prochaine les magouilles entre le Parti socialiste et les macronistes ». Pour le député RN, « le vote de ce soir n’a rien à voir avec l’intérêt des Françaises et des Français et va même contre l’intérêt général. Tout ça pour sauver le système, sauver leurs sièges et, une fois de plus, éviter la dissolution et, donc, d’aller rendre des comptes devant les Français et se présenter aux élections. »

Olivier Faure veut « continuer »

Sentant peut-être que les Français pourraient ne pas être dupes de ce jeu politicien et s’en lasser rapidement, Olivier Faure a immédiatement donné une interview au Parisien dans la soirée, toujours sur la ligne de la « responsabilité » et pour justifier son alliance avec la Macronie. Affirmant « Le combat va continuer », il prétend rechercher des accords avec le gouvernement, mesure par mesure, mais continue à brandir la menace de la dissolution ! « Personne dans la rue m’interpelle pour me dire qu’il souhaite une dissolution à tout prix, déclare-t-il. […] Si nous n’obtenons pas gain de cause dans le cadre du débat, nous n’aurons aucune hésitation. » En somme, il prépare sa sortie, son claquement de porte au nez du pauvre M. Lecornu. Quand ? Un baromètre IPSOS BVA, publié samedi soir, nous donne peut-être une indication : Olivier Faure, en baisse, n’y rassemble que 10 % de satisfaits.

En tout cas, la France ne peut plus demeurer très longtemps l’otage d’un deal entre un socle commun macroniste qui se délite et un PS aussi squelettique qu’arrogant qui, tous deux, communient dans une folie dépensière sans affronter le défi de l’immigration. Ce petit cirque PS-Macronie ne trompe personne et Olivier Faure verra d’ailleurs que dans ce même sondage, Bardella gagne 4 points et monte à… 37 %. De quoi faire réfléchir.


Frédéric Sirgant
, dans BV