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#webtube : Un pavé dans la mare qui va éclabousser les bellicistes de l’Eurocrature. La colonelle Tulsi Gabbard, 43 ans, patronne du renseignement américain, dément les mensonges de l’agence britannique Reuters, une crèmerie aux ordres de Nick Starmer.
Cette officine de désinformation a publié dans la nuit de samedi à dimanche une dépêche selon laquelle « les services de renseignement américains indiquent que les objectifs de Poutine en Ukraine et en Europe restent inchangés ». Or ça, c’est de la bouillie bruxelloise pour minets castrés.
Pour ces bellicistes forcenés, Vlad ne veut pas la paix, alors que c’est le nabot mendigot de Kiev qui bloque tout avec ses caprices de starlette, soutenus par les entrechats de Macronescu.
Quant à l’accusation d’invasion prochaine de l’Europe, c’est signé Pustula la Hyène. Laquelle sachant combien les Boches sont un peu trop experts dans le domaine de la blitzkrieg a fait passer le mot au Rosbif. Sanglant et saignant. Or tout cela est faux et archi-faux et Tulsi est bien placée pour le savoir. C’est son boulot. Elle accuse carrément Reuters et l’Eurocrature d’encourager l’escalade de la guerre par une propagande insensée.
Tulsi Gabbard c’est une poigne de fer sous un sourire avenant
Donald Trump sait particulièrement bien choisir son entourage. Il l’a remarquée alors qu’elle était plus ou moins Démocrate. Mais s’éloignait de Barack Hussein Obama en raison de sa complaisance envers les mahométans et de son refus de s’opposer au radicalisme islamique. Estimant ne plus rien devoir à l’Amérique après avoir fait liquider Oussama Ben Laden.
Les opinions de Tulsi sont carrées. « Les islamistes et l’islamisme représentent la plus grande menace pour la liberté, la sécurité et la prospérité des États-Unis et du monde entier. Leur objectif est l’islamisation de toute la terre. Il est peut-être déjà trop tard pour l’Europe et aussi pour l’Australie. Mais il n’est pas trop tard pour les États Unis si nous réagissons vite ». L’élection du maire de New York après celle de la somalienne binationale Ilhan Omar au Congrès confirme ses vaticinations.
Indigène des îles du Pacifique, Samoa et Hawaï, Tulsi nourrit une méfiance instinctive contre ces fanatiques qui voudraient séquestrer nos vahinés et les empêcher de vivre à leur guise. Convaincu de son patriotisme, elle a été volontaire pour l’Irak, Trump l’a engagée à rejoindre son équipe. Bien qu’elle entretienne des contacts cordiaux avec Poutine depuis des années, le boss lui fait entièrement confiance. Elle est une interface utile tout en servant l’Amérique.
Elle occupe un poste clé à la Maison-Blanche
En tant que directrice du renseignement national, elle fait partie d’un groupe restreint de très hauts responsables avec rang de ministre comme John Ratcliffe, le directeur de la CIA, Mike Waltz, le conseiller à la sécurité nationale, Pete Hegseth, le secrétaire à la Défense, James David Vance, le vice-président et Susie Wiles, la cheffe de cabinet.
À peine nommée à son poste, elle fonde une task force chargée d’améliorer la transparence et l’efficacité du renseignement américain, de restaurer la confiance dans les services spéciaux sapée par les menées antipatriotiques des progressistes depuis Obama, et de mettre fin à l’oppression du gouvernement Biden & Co contre les Américains de souche.
Appelée Director’s Initiatives Group, cette force est composée d’officiers de haut rang loyaux envers le POTUS et bénéficiant de prérogatives importantes. Dont celle de lancer ses propres enquêtes sur le prétendu assaut du Capitole le 6 janvier 2021, les origines de la pandémie de Covid-19 et la façon criminelle dont les vaccinations ont été imposées, ainsi que sur la réduction irresponsable du budget du renseignement.
Les colliers de fleurs c’est sympa pour le look mais il ne faut pas s’y tromper. Ceux qui l’ont vue à l’entraînement en Irak affirment qu’elle est capable de neutraliser des malabars éberlués avec des prises de jiu jitsu adéquates.

« Les va-en-guerre de l’État profond et leurs médias de propagande tentent une nouvelle fois de miner les efforts du président pour apporter la paix en Ukraine et en Europe en affirmant à tort que la communauté du renseignement américain soutient le point de vue de l’UE et de l’OTAN selon lequel la Russie chercherait à envahir et conquérir l’Europe (…) La vérité est que le renseignement américain estime que la Russie qui n’a même pas la capacité de conquérir et d’occuper entièrement l’Ukraine serait bien en peine d’envahir et d’occuper toute l’Europe. »
Cette déclaration a jeté un froid malgré le réchauffement climatique quand elle a été rendue publique au lendemain d’une nouvelle série de négociations réunissant Américains, Russes, Ukrainiens et Européens, ce week-end en Floride. Trump pestait ouvertement contre ses « alliés » européens qu’il estime à juste titre peu fiables, couards, menteurs et tricheurs.
Tulsi Gabbard a ensuite précisé la teneur des analyses produites par ses services. Les renseignements américains ont informé les décideurs politiques européens qui ont refusé de les entendre que « la Russie cherche à éviter un conflit majeur avec l’Otan » et qu’elle souhaite en finir rapidement avec cette guerre, sous réserve de récupérer les territoires russes de l’Est et du Sud de l’Ukraine, annexés par les néonazis à la chute de l’URSS.
Les médias de propagande russophobe des deux côtés de l’Atlantique ont soigneusement escamoté une déclaration du président russe qui affirmait lors d’une récente conférence de presse qu’il n’y aurait pas d’autres opérations si la Russie était traitée avec respect. Assurant qu’il n’avait nullement l’intention d’attaquer l’Europe, qualifiant cette accusation de ridicule.
En filigrane, l’action de Tulsi Gabbard s’inscrit dans un contexte de déclin et de dépérissement de l’Europe que l’Amérique préférerait contrer.
Que les Américains pensent d’abord à leurs intérêts, c’est évident. Mais l’effondrement de l’Europe, partenaire stratégique autant qu’économique leur poserait de gros problèmes de logistique ne serait-ce que pour tenir des avant-postes et écouler leurs produits. Tulsi ne peut prendre parti officiellement, État par État, ce serait une ingérence du gouvernement US dans les affaires intérieures d’autres pays. Mais elle ne désapprouve pas Elon Musk qui, libéré de ses fonctions au DOGE, peut dire ce qu’il pense.
Il n’y va pas par quatre chemins. « Sans une remigration massive, l’Europe ne sera plus l’Europe (…) Faute de quoi, la guerre civile n’est plus qu’une question de temps. » Sur Twitter où il a le droit de s’exprimer librement, n’en déplaise à Pustula et à sa clique germanique, il précise que le terme remigration renvoie à l’expulsion de populations étrangères ou d’origine étrangère. Et il ajoute que la pression de trop d’étrangers d’origines et de cultures très différentes accentue le poids sur les démocraties déjà mises à mal par le totalitarisme de l’UE qu’il invite à faire disparaître.
La conclusion de Tulsi est modérément optimiste car elle sait que les digues contre les grandes marées doivent être sans cesse renforcées et reconstruites. « Heureusement que le président Trump a donné la priorité à la sécurisation de nos frontières, à l’expulsion des terroristes connus et présumés, et à l’arrêt de l’immigration massive et non contrôlée qui met les Américains en danger. »
Le nouveau maire de New York a sûrement apprécié.
Christian Navis





