. La chanson du jour, Jim Croce – It Doesn’t Have To Be That Way

Articles : Dec. 2025Nov. 2025Oct. 2025Sept 2025
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#webtube : Une perle méconnue de 1973, parfaite pour ces soirées d’hiver. Des lumières de Noël, des rues enneigées, une pointe de mélancolie… mais avec cet espoir doux : « It doesn’t have to be that way » – on peut toujours se retrouver, non ? Idéale pour ceux qui ont le cœur un peu bleu sous les guirlandes. Écoutez-la, elle touche droit au but.

#webtube : A hidden gem from 1973, perfect for these winter evenings. Christmas lights, snowy streets, a touch of melancholy… but with that gentle hope: « It doesn’t have to be that way » – we can always find our way back, right? Ideal for those whose hearts are a little blue under the Christmas lights. Listen to it, it hits the nail on the head.

Source : Weboomedia

. Musiciens, peintres ou écrivains, ce que Noël leur doit

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#webtube : G. de La Tour a représenté la Nativité avec des jeux d’ombre et de lumière qui rendent la scène intime et silencieuse. Charpentier, Berlioz, La Tour, Gauguin, Chagall, Matisse, Claudel, Péguy, Hugo… ont tous révélé une part de leur génie en magnifiant la naissance du Christ. Six à sept siècles avant sa naissance, les prophètes Isaïe, Jérémie, Ézéchiel et Daniel avaient annoncé la venue de Jésus. Aujourd’hui, vingt et un siècles plus tard, le monde chrétien (deux milliards et demi de croyants) fête toujours cette naissance en attendant son retour. C’est au IVe siècle, sous le règne de Constantin, premier empereur romain converti au christianisme, que la naissance de Jésus-Christ est officiellement fixée au 25 décembre. Cette date correspond aux festivités païennes du solstice d’hiver. Elle a été choisie pour faciliter son adoption par la population.

Antoine de Quelen, dans BV

. Budget 2026 : On verra ça après les fêtes…

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#webtube : L’hypothèse d’une censure du gouvernement Lecornu s’éloigne peu à peu.C’est bien connu, un bon croquis vaut mieux qu’un long discours. On prête cet adage à Napoléon. Il est vrai que le dessin était au programme de l’école royale d’artillerie d’Auxonne où le jeune Bonaparte fit ses classes. De même, un bon croquis vaut sans doute mieux qu’un long éditorial. Alors, reconnaissons que le croc de cette semaine de notre ami Ixène a tout dit et pourrait nous dispenser de cet exercice vespéral du dimanche. Ursula, Imperatrix drapée dans son manteau d’azur constellé d’étoiles, jetant du haut de son balcon ses étrennes à ses bons peuples : report à 2035 du tout électrique automobile, report en janvier 2026 de la signature du traité avec le Mercosur. « Joyeux Noël, braves gens ! Profitez-en : on reprendra tout en 2026. »

Georges Michel, dans BV

. Les paysans incarnent une France que la gauche veut éradiquer

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#webtube : Les paysans c’est la France. Notre France, celle qu’on aime et qu’on défend. Depuis que la gauche est apparue comme courant politique, elle exècre les paysans. Alors, oui, il faut défendre les paysans. Il faut empêcher l’Europe et la gauche de leur tordre le cou. Si nous ne le faisons pas, nous nous rendrons compte de l’énormité de notre erreur quand il sera trop tard. Donc réfléchissons bien. Et surtout comprenons qu’il n’y a pas une minute à perdre pour nous mobiliser afin de défendre les paysans, les éleveurs.

La France… comment pourrait-on la définir en tant que pays ? Dès lors qu’on prend quelques minutes pour trouver une réponse à cette question, une évidence s’impose : un pays qui fut jusqu’à un passé très récent d’abord un pays principalement agricole. Au sein duquel la paysannerie était la classe la plus nombreuse. Mais classe qui fut depuis la Révolution française largement persécutée par ceux qui furent d’abord appelé « révolutionnaires » avant de s’appeler quelques décennies plus tard « la gauche » et qui sont aujourd’hui connus sous les vocables « progressistes – européistes – mondialistes – wokistes ». L’ennemi de ces gens, quel que soient leurs noms, n’a pas changé : les paysans. Les culs-terreux, les ploucs comme ils disent. Le malheur de cette catégorie sociale dure depuis longtemps et commença notamment sous la Révolution française de 1789, plus exactement prit un aspect terrible à partir de 1793. N’oublions pas non plus que cette répression et ces exactions ne se limiteront pas à la Révolution française. La Révolution russe de 1917 apporta aussi sa pierre à ce sinistre édifice. Avant que ces agressions ne se renouvellent de nos jours.

En fait pour les paysans, si nous remontons le temps, les ennuis commencèrent lorsque la Constitution civile du clergé, obligeant les ecclésiastiques à prêter serment de fidélité au nouveau pouvoir, fut adoptée par l’Assemblée constituante le 12 juillet 1790. Cela suscita une franche hostilité en Bretagne et en Vendée, régions très pieuses. Plus de 80 % des prêtres refusèrent de jurer fidélité, et l’arrestation de nombre de ces prêtres réfractaires aggrava les tensions. D’autant que nombre d’entre eux furent assassinés. De plus, dans ces provinces essentiellement rurales, la population souffrait du renchérissement des denrées, ce qui contribua à une recrudescence de la misère. L’étincelle qui mit le feu aux poudres et déclencha l’insurrection vendéenne fut sans nul doute la levée en masse de 300 000 hommes décrétée par la Convention girondine le 23 février 1793. L’effroyable misère, les persécutions de prêtres et l’obligation d’aller mourir pour la république, responsable de tous leurs malheurs, provoqua dès lors l’affrontement des Vendéens avec le nouveau pouvoir issu des événements de 1789. En réponse, la répression fut terrible et les colonnes infernales commirent un véritable génocide du peuple vendéen, principalement constituée de paysans. Le chiffre de 300 000 morts – hommes, femmes, et même enfants et vieillards – est couramment avancé. Telle est le bilan du premier effroyable massacre perpétré par les révolutionnaires qui deviendront quelques décennies plus tard la gauche. Le 1er carnage frappant les paysans, cette couche de la population vivant dans les campagnes, et cela au nom du bien.

Mais n’allez pas croire que cet événement fut le seul à marquer l’histoire. D’autres événements aussi terribles frappèrent également les paysans dans d’autres pays dans les années 20, tout spécialement au sein de la Russie en pleine Révolution, causés par les mêmes qui se nommaient communistes, en revendiquant l’héritage de la Révolution française. Ces gens, les communistes, avaient comme symbole la faucille et le marteau. Force est de constater qu’ils ont eu besoin et respectent le marteau, mais la faucille n’est nullement leur problème et ceux qu’elle représente – les paysans – ne méritent aucun respect. En 1920, devant les terribles problèmes et affrontements liés au communisme de guerre, Lénine décide un virage stratégique connu sous le nom de NEP (Nouvelle Économie Politique) qui sera mis en œuvre à partir de 1921, consistant à lâcher du lest pour éviter que le pays n’explose. En janvier 1924, Lénine meurt. Staline accède au pouvoir. La NEP fut stoppée dès 1928 et Staline lança le premier plan quinquennal en vue d’industrialiser le pays. Pour acheter des machines et industrialiser le pays, Staline décida de s’approprier toute la production de céréales afin de la vendre à l’étranger. Évidemment, les paysans se révoltèrent contre cette politique. En réponse, Staline décida « l’élimination des koulaks en tant que classe » et l’intégration de tous les autres paysans dans de grandes fermes collectives (kolkhozes) ou des fermes d’État (sovkhozes). C’est ainsi que 70 % des terres furent collectivisées et la « dékoulakisation » fut dès lors considérée comme achevée. Il résulta de ces mesures d’une extrême violence des famines terribles en 1932-1933 qui coûteront la vie à des millions de personnes, mortes de faim, notamment en Ukraine ainsi que dans le Kouban, riche région agricole du Caucase du Nord peuplée majoritairement d’Ukrainiens. Les paysans n’avaient tout simplement plus rien à manger, puisque tout était confisqué par l’État.

Pour revenir à la France, son déclin définitif comme nation agricole n’a été constaté et confirmé que très récemment. Au début des années 1980 pour être précis. En effet, en 1982, l’effondrement du nombre d’agriculteurs a été observé. Ils étaient 10 millions en 1945. En 1982 on n’en dénombrait plus que 1,69 million. Une chute déjà vertigineuse qui ne s’est pas arrêtée là. Aujourd’hui, il n’y en a plus que 400 000. Cette effondrement pose d’ailleurs un très grave problème à notre pays, tout simplement parce qu’il s’agit de la mise en danger de notre indépendance alimentaire. Or, et c’est indiscutable, cette indépendance n’est clairement plus assurée. En effet, en cette année 2025, et pour la 1re fois de notre histoire, notre balance économique agricole sera déficitaire. Ce qui veut dire qu’on aura plus importé qu’exporté de produits agricoles. Situation tout simplement incroyable puisque qu’il y a simplement 30 ans, nous avions le 2e excédent commercial mondial pour notre secteur agricole.

Parallèlement à cette terrifiante évolution, nos campagnes ont totalement changé d’aspect. Auparavant constituées de petites exploitations agricoles dont la taille moyenne, en 1970, était de seulement 19 hectares la superficie moyenne. Depuis, cette superficie moyenne ne cesse de croître. Aujourd’hui, seulement 38 % des exploitations ont une Surface Agricole Utile (SAU = surface totale de l’exploitation moins les chemins, les friches, les zones boisées, etc.) de moins de 20 hectares, tandis que selon l’Insee, 26 % dépassent les 100 hectares. La tendance est donc claire : de moins en moins d’exploitations, chacune étant de plus en plus grande.

Quant aux agriculteurs eux-mêmes, ils sont victimes d’une guerre sans pause de la part des européistes-mondialistes qui veulent de manière évidente leur perte et leur disparition. Les attaques sont incessantes au travers de normes innombrables, dont certaines sont tout simplement démentes, rendant leur travail de plus en plus difficile à exécuter. Le Green Deal étant le projet diabolique piloté par Pascal Canfin (Les Verts, puis ministre socialiste, puis macroniste… bref un homme de conviction) pour le compte de l’Union européenne afin de liquider nos paysans. Sans parler des accords économiques tels le Mercosur qui va noyer nos productions nationales et de grande qualité sous une masse de productions low cost mais d’une qualité absolument médiocre comme les poulets venant d’Ukraine, ou des viandes d’Amérique latine produites avec des produits interdits en France (antibiotiques, OGM, hormones…) mais qui seront pourtant importées massivement en échange de clauses acceptant l’importation de voitures allemandes. Avec comme corollaire la faillite inévitable de nos paysans. Comment lutter contre un poulet ukrainien à 3€ le kilo quand il est produit en France à 7€ le kilo ? Mais la qualité de la volaille n’a bien sûr rien à voir.

Tout cela ne faisant qu’accélérer la disparition de très nombreux agriculteurs. De ce fait, le désespoir est partout dans les campagnes et les agriculteurs se suicident au rythme de 1 tous les 2 jours, ce qui est 20 à 30 % supérieur au reste de la population. Mais visiblement, tout le monde s’en fout. Ce ne sont que des culs-terreux et les élites mondialisées pensent qu’on n’a plus besoin d’eux. La dernière saloperie en date étant les abattages massifs de troupeaux pour une maladie très peu mortelle (moins de 10 %). La plupart des animaux guérissent. Une maladie, surtout, qui ne présente aucun danger de transmission à l’homme. Les moyens les plus brutaux ayant été utilisés par l’État pour imposer le diktat décidé par Bruxelles et appliqué servilement par la ministre de l’Agriculture Annie Genevard – Capes de lettres classiques – mais ne connaissant rien à l’agriculture. En France, il vaut mieux être une racaille de banlieue, impliqué dans le trafic de drogue, qu’éleveur de bovins. Les premiers sont mieux traités que les seconds. Et si vous vous demandez pourquoi cette folie d’abattage injustifié… la réponse est des plus dégueulasses : quand on n’aura plus assez de viande en France, on sera bien obligé d’acheter les viandes pourries (piquées aux hormones et aux antibiotiques) importées grâce à l’accord du Mercosur !

En ce qui concerne les hommes politiques, ce n’est guère mieux. Le pompon étant décroché avec mention spéciale par Sandrine Rousseau (les Verts) qui a osé déclarer : « Je n’en ai rien à péter de la rentabilité des agriculteurs ». À Bruxelles, Pascal Canfin dirige les manœuvres pour détruire notre agriculture et en France les Verts applaudissent et déclarent n’en avoir rien à foutre de la rentabilité des exploitations agricoles. Autant dire clairement que tout ce petit monde souhaite leur disparition. Il se trouve que cette abrutie de Sandrine Rousseau a osé aller visiter des exploitations agricoles, ce qui lui a valu cette remarque méritée : « Va faire la soupe, salope ». Elle a récidivé annonçant vouloir acheter une résidence secondaire en Bretagne dans le Finistère. Mauvaise pioche encore. Les agriculteurs vivant autour ont fait un barbecue géant devant sa future maison. Elle se prépare des journées sans doute difficiles si son projet immobilier va à son terme. Elle l’aura bien cherché…

Mais pour conclure, pourquoi cette haine de cette gauche et des bien-pensants contre les paysans ?

Il y a plusieurs raisons :

Tout d’abord Bruxelles veut la mort de l’agriculture française, afin de mener à leur terme les accords commerciaux de la Commission européenne, spécialement le Mercosur, dans le seul intérêt des Allemands.

Sur le plan politique, notamment en France, les paysans sont tout ce que la gauche déteste :

  • Des gens courageux, qui travaillent sans compter et sans se plaindre.
  • Des gens souvent très pieux (la plupart des gens de gauche méprisent les cathos qui sont des fachos pour eux).
  • Des gens qui sont attachés à la terre (les gens de gauche ne sont de nulle part, ils sont citoyens du monde. La terre, la leur et celle de leurs ancêtres, ils s’en foutent).
  • Des gens qui aiment leurs traditions, leurs coutumes, leur identité donc leur pays pour lequel tant de leurs anciens ont donné leur vie (les gens de gauche veulent instaurer le vivre- ensemble. La défense de la France, ce n’est pas leur problème).
  • Des gens qui aiment créer des produits de qualité (les gens de gauche soutiennent le Green Deal et la qualité des produits français n’est nullement leur souci).
  • Des gens qui aiment la nature, s’en occupent et que beaucoup respectent (la gauche, écologistes en tête, ne savent même pas de quoi il s’agit). Si demain les paysans ne sont plus là, la France des campagnes deviendra une vaste friche, mais la gauche s’en fout.

En résumé, les paysans c’est la France. Notre France, celle qu’on aime et qu’on défend. Depuis que la gauche est apparue comme courant politique, elle exècre les paysans. Alors, oui, il faut défendre les paysans. Il faut empêcher l’Europe et la gauche de leur tordre le cou. Si nous ne le faisons pas, nous nous rendrons compte de l’énormité de notre erreur quand il sera trop tard. Donc réfléchissons bien. Et surtout comprenons qu’il n’y a pas une minute à perdre pour nous mobiliser afin de défendre les paysans, les éleveurs.

Pour la France.

Bernard GERMAIN, Riposte Laïque

. Ce que cachent les manifestations contre les signatures du livre de Bardella…

#webtube : Jordan Bardella ne peut désormais plus se rendre à une simple séance de dédicace sans que l’événement ne soit traité comme une provocation politique majeure. À Caen, comme dans d’autres villes, une rencontre banale entre un auteur et ses lecteurs se transforme systématiquement en point de fixation pour une agitation militante organisée. Il ne s’agit ni d’un meeting, ni d’un rassemblement public, mais d’un moment privé, légal, déclaré, encadré. Pourtant, des groupes surgissent, parfois accompagnés d’élus, pour perturber, faire pression, créer du désordre et tenter d’empêcher matériellement le déroulement normal de la signature. La scène est devenue presque mécanique.

Un livre, une table, des lecteurs, et immédiatement une opposition qui refuse jusqu’à l’existence même de cet espace. Ce n’est pas une contestation argumentée, ce n’est pas un débat contradictoire, c’est une intrusion volontaire dans un lieu qui ne leur appartient pas, avec un objectif simple et assumé : faire obstacle. Ce premier niveau est essentiel à comprendre, car il montre que le problème ne commence pas avec les idées exprimées dans le livre, mais avec le fait même qu’un responsable politique puisse encore s’adresser physiquement à des Français sans être entravé. Ce qui vient ensuite, presque mécaniquement, c’est le procès moral sans lecture, l’accusation sans travail, la condamnation sans preuve.

La députée La France insoumise Emma Fourreau l’illustre parfaitement lorsqu’elle affirme que le livre poserait problème, véhiculerait des idées racistes, homophobes et antisémites, et que son auteur ne serait pas républicain. Tout est posé d’un seul bloc, sans citation, sans analyse, sans référence précise au contenu, avec une désinvolture assumée. Le livre n’a pas besoin d’être lu pour être condamné. Sa simple existence suffit à déclencher l’anathème. Ce mécanisme est devenu central dans la pratique politique de cette gauche-là. On ne réfute plus un propos, on disqualifie une personne. On ne démonte plus une thèse, on colle des étiquettes. Raciste, homophobe, antisémite, non républicain. Le vocabulaire est toujours le même, interchangeable, automatique. Il ne sert pas à éclairer le débat, mais à le fermer.

À partir du moment où ces mots sont prononcés, toute discussion devient inutile, voire suspecte. Celui qui lit, qui écoute, qui s’intéresse devient à son tour complice. Ce n’est pas une critique politique, c’est une procédure d’excommunication. Et elle est d’autant plus violente qu’elle se dispense de toute rigueur intellectuelle. Le livre pourrait être un roman, un témoignage ou un recueil de paroles, le résultat serait identique. Ce qui est visé, ce n’est pas le texte, c’est le droit même de parler, d’écrire et d’être entendu hors du cadre idéologique autorisé. Ce qui rend cette mécanique encore plus préoccupante, c’est l’impunité totale dont elle bénéficie. Les perturbations sont visibles, revendiquées, parfois même relayées fièrement sur les réseaux sociaux, et pourtant rien ne suit. Pas de rappel à la loi, pas de sanction, pas même un rappel de principe sur le respect des règles élémentaires.

Des groupes peuvent s’inviter dans un événement privé, tenter d’en bloquer l’accès, intimider les participants, sans jamais être inquiétés. Cette tolérance n’est pas accidentelle, elle est structurelle. Elle repose sur une hiérarchie idéologique implicite : certains troubles à l’ordre public sont excusables, d’autres ne le sont pas. Tout dépend de qui les commet et au nom de quoi. Lorsqu’il s’agit d’empêcher un adversaire politique de s’exprimer, l’entrave devient presque vertueuse. Le désordre est requalifié en engagement. L’intimidation devient une posture morale. Cette asymétrie crée un précédent dangereux, car elle envoie un signal clair : il est permis d’entraver la liberté d’expression tant que la cible est jugée illégitime. L’État, en se taisant, valide de fait cette pratique. Il laisse s’installer l’idée que certaines opinions peuvent être combattues non par l’argument, mais par la pression physique et la dissuasion collective.

À ce stade, on ne parle plus seulement de militantisme agressif, mais d’une remise en cause concrète de l’égalité devant la loi. Et c’est précisément ce silence institutionnel qui transforme ces scènes locales en symptôme politique majeur. Ce qui se dessine derrière ces scènes répétées, ce n’est pas une colère spontanée ni une mobilisation populaire, mais une méthode. Une façon d’agir qui considère que la démocratie n’est acceptable que tant qu’elle produit les bons discours, les bons auteurs et les bons vainqueurs. Dès lors qu’un livre, une parole ou une présence échappe à ce cadre, elle devient illégitime par nature. Il n’est plus nécessaire de convaincre, encore moins de débattre. Il suffit d’empêcher. Empêcher que l’événement ait lieu, empêcher que le public écoute, empêcher que le livre circule normalement.

Cette logique est profondément autoritaire, même si elle se pare d’un vocabulaire moral et progressiste. Elle repose sur l’idée que certains citoyens seraient trop influençables pour lire par eux-mêmes, trop dangereux pour être exposés à des idées non validées, et qu’il faudrait donc filtrer, encadrer, bloquer à leur place. C’est une vision infantilisante du peuple, combinée à une obsession du contrôle symbolique. Ceux qui agissent ainsi ne se vivent pas comme des censeurs, mais comme des gardiens. Ils ne parlent pas de censure, mais de protection. Protection contre les mots, contre les livres, contre les rencontres. Cette posture est d’autant plus inquiétante qu’elle s’installe dans la banalité, sans violence spectaculaire, sans uniforme, sans rupture apparente. Elle avance masquée, convaincue d’agir pour le bien, et c’est précisément ce qui la rend dangereuse.

Au bout du compte, ces épisodes disent moins de Jordan Bardella que de ceux qui prétendent le combattre. Ils révèlent une gauche radicale qui ne croit plus à la confrontation des idées, qui ne fait plus confiance au débat, ni aux citoyens, ni même aux règles qu’elle invoque en permanence. Incapable d’emporter l’adhésion par l’argument, elle se replie sur la disqualification morale, puis sur l’entrave concrète. Le livre devient un prétexte, la dédicace un symbole, l’auteur une cible. Peu importe le contenu réel, peu importe ce qui est écrit ou dit, l’essentiel est d’empêcher que cela circule. Cette logique n’est pas marginale, elle est appelée à s’étendre. Car chaque absence de réaction, chaque tolérance accordée, chaque silence officiel renforce l’idée que cette méthode fonctionne. Aujourd’hui, on perturbe une signature.

Demain, on exigera l’annulation d’une conférence. Après-demain, la fermeture d’un lieu, puis la mise à l’index de ceux qui auront simplement écouté ou lu. Ce n’est pas un fantasme, c’est une pente. Une pente où l’on ne cherche plus à convaincre une majorité, mais à intimider une minorité jusqu’à ce qu’elle se taise. Les slogans changent, les visages aussi, mais la logique est ancienne. Elle repose sur une certitude dangereuse : celle de détenir le monopole du bien et le droit de décider qui peut encore parler. C’est ainsi que naissent non pas des débats démocratiques, mais des polices idéologiques. Et c’est toujours au nom des meilleures intentions que l’on commence à rogner les libertés les plus élémentaires..

Jérôme Viguès, Riposte Laïque

. Selon Steve Bannon, seul le Frexit peut éviter une guerre civile en France

Articles : Dec. 2025Nov. 2025Oct. 2025Sept 2025
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#webtube : Nous avons élu et réélu depuis un demi-siècle les pires destructeurs de la France depuis sa naissance, car si notre nation s’est toujours relevée des guerres, des révolutions, des épidémies et des famines au cours des siècles, elle ne se relèvera pas d’un changement de peuple et de culture. Car c’est bien de cela qu’il s’agit, d’une menace existentielle qui plane sur notre civilisation judéo-chrétienne, que personne ne veut regarder en face.

Ces fossoyeurs de la France qui ont dilapidé l’héritage gaulliste vont léguer aux générations futures un pays méconnaissable, ruiné, disloqué, en proie à un choc frontal violent entre des communautés qui ne partagent plus aucun avenir commun, comme l’a annoncé Gérard Collomb en vain. Les Français, bercés dans le consumérisme effréné de l’État providence financé à crédit, ne voient rien venir, du moins tant qu’ils ne sont pas touchés directement. Aussi égoïstes qu’inconscients, ils détruisent l’avenir de leurs propres enfants, persuadés que leurs élites dirigeantes maîtrisent la situation.

Ce naufrage identitaire et même civilisationnel est le résultat de l’idéologie mondialiste qui a cru que les individus, quelle que soit leur culture ou leur religion, étaient tous interchangeables, au nom de l’égalité des races.

Et c’est là l’erreur fatale de l’Occident, qui a voulu ignorer que si les races peuvent se mélanger, les cultures ne se mélangent jamais, sauf à dose homéopathique. Quant à l’islam, il ne sera compatible avec la civilisation occidentale que le jour où le Coran sera expurgé de ses versets les plus violents. Ce qui est bien entendu impensable.

Cette tragique perspective de guerre civile qui menace en priorité la France et le Royaume-Uni, deux pays qui ont ouvert leurs frontières toujours plus largement alors que l’intégration ne fonctionne plus, est totalement évacuée par les élites. Nos élus préfèrent agiter chaque jour la menace d’un déferlement de l’armée russe sur l’Europe, alors que cette hypothèse n’est qu’une fable grotesque, ce qui vient d’ailleurs d’être confirmé par les services de renseignement américains, certainement plus au fait des réalités que nos médias aussi ignares qu’incompétents. 

« La directrice du renseignement national des États-Unis, Tulsi Gabbard, a qualifié de mensonge et de propagande l’article de Reuters affirmant que Poutine « a l’intention de s’emparer de toute l’Ukraine et d’une partie de l’Europe ».

Elle a accusé l’agence de presse de diffuser un faux récit pour bloquer les initiatives de paix de Trump, d’attiser l’hystérie et de soutenir l’escalade de l’OTAN et de l’UE dans le but d’entraîner les États-Unis dans une guerre directe avec la Russie.

« Non, c’est un mensonge et de la propagande que Reuters diffuse délibérément au nom des fauteurs de guerre qui veulent saper les efforts incessants du président Trump pour mettre fin à cette guerre sanglante qui a fait plus d’un million de victimes des deux côtés. Vous promouvez dangereusement ce faux récit pour bloquer les efforts de paix du président Trump et attiser l’hystérie et la peur parmi la population afin de la pousser à soutenir l’escalade de la guerre, ce que veulent réellement l’OTAN et l’UE pour entraîner directement les forces armées américaines dans une guerre avec la Russie. La vérité est que la communauté du renseignement américaine a informé les politiciens, y compris le membre du HPSCI du Parti démocrate cité par Reuters, que, selon l’évaluation du renseignement américain, la Russie cherche à éviter une guerre plus large avec l’OTAN. On estime également que, comme l’ont montré les dernières années, les actions militaires de la Russie indiquent qu’elle n’a actuellement pas les capacités de conquérir et d’occuper toute l’Ukraine, sans parler de l’Europe », a souligné la directrice du renseignement national des États-Unis. » (tiré du blog Telegram de Boris Karpov)

Tout est dit, mais Macron, Merz et Starmer se nourrissent de la guerre pour masquer le fiasco monumental de leur politique intérieure et pour mieux nier l’effacement civilisationnel de l’Europe, laquelle ne cesse sombrer dans tous les domaines.

Ce que dit Steve Bannon (interview du JDD)

Steve Bannon est un ancien officier de marine, il fut l’architecte de la victoire de Donald Trump en 2016.

« Chacun devrait lire les 33 pages sur la nouvelle Stratégie de sécurité nationale américaine.

Dans vingt ou trente ans, nous ne saurons peut-être même plus qui gouvernera certains pays européens.

Sans la France, nous n’aurions pas obtenu notre indépendance. 

Nous sommes submergés par ces récits, dans la presse, d’une mainmise islamique sur la France, sans réaction à la hauteur, malgré les discours, prétendument rassurants de vos autorités.

La Ve République pourrait s’effondrer du jour au lendemain du fait de sa colossale dette publique, mais Macron se prend pour de Gaulle ou Napoléon, alors qu’il n’a pas le courage de s’attaquer aux problèmes structurels pourtant solubles.

Je pense être lucide. La France, comme la Grande-Bretagne, se dirige vers une situation de guerre civile.

Les Français traversent une crise financière majeure. Macron peut tomber comme l’ancienne Première ministre Liz Truss. Le marché obligataire a fait tomber plus de gouvernements que les obusiers.

Et la question migratoire que vous vivez est inextricablement liée à cette crise financière.

On ne peut pas maintenir un État-providence tout en ouvrant le pays sans limites. Ce modèle est voué à l’échec.

Je pense que vous serez en pleine guerre civile bien avant que vous n’ayez un président islamiste. Et il ne faudra pas perdre cette guerre.

Y aura t-il un soutien américain si une telle guerre éclatait ? Je pense que l’Occident chrétien aura son mot à dire.

Les Français ont le sentiment que la France devient chaque jour moins française. Leur histoire, tout ce qu’ils aimaient, tout ce que leurs parents et grands-parents leur ont transmis disparaît.

Seul un nationaliste convaincu plaçant la France et les citoyens français au premier plan pourra inverser cette trajectoire. Un dirigeant ferme et courageux.

Si la France faisait faillite, cette déroute ne serait pas imputable au manque d’efforts des Français, mais à ce système qui permet à des migrants d’arriver et de bénéficier immédiatement des aides sociales, sans être des membres productifs de la société.

Si vous augmentez les impôts, vous perdez vos contribuables les plus fortunés, vos entrepreneurs les plus dynamiques qui iront à Londres ou à New York.

Il vous faut donc un dur à cuire qui n’a pas peur. Malgré ses imperfections je soutiens Marine Le Pen. Le redressement passe par la baisse des dépenses publiques.

En France, les élites culturelles refusent d’affronter les réalités de la pression migratoire. Elles préfèrent détourner le regard. Ce que vous laissez à vos enfants est profondément inquiétant.

La France a besoin d’un Frexit. Cela retarderait le risque de guerre civile. Une France redevenue indépendante et capable de renvoyer une partie importante des immigrés dans leur pays d’origine.

Je suis tombé amoureux de la France et des Français. Mais ce que je vois aujourd’hui me brise le cœur. À Noël, Paris est de loin la plus belle ville du monde. Mais beaucoup de gens ont maintenant peur d’y aller. On parle d’attaques au couteau, d’agressions et cela les traumatise.

Mais vous avez le pouvoir d’agir. Tout cela n’est pas une fatalité. Et quand vous reprendrez le contrôle, il faudra agir avec force, avec des dirigeants coriaces, intelligents et déterminés. »

Cet effondrement civilisationnel de la France qui fut longtemps le phare du monde, le premier pays d’Europe au temps des Trente Glorieuses, est le fruit de décennies de lâcheté des élites, de renoncement permanent, d’aveuglement et d’inconscience, voire même de trahisons.

C’est toute une nation aux 2000 ans d’histoire qui se suicide dans l’allégresse au nom du mondialisme. Personne n’a écouté JMLP, personne n’a écouté Gérard Collomb. Les élites et le peuple ne réaliseront leur malheur que le jour où éclatera cette guerre civile que nous annonce, après tant d’autres sonneurs d’alarme, Steve Banon. En 1990, la droite prétendait agir avec un programme digne du FN. Arrivée au pouvoir, elle a fait pire que la gauche, enterrant ses convictions de Villepinte pour embrasser la politique mondialiste de Bruxelles. C’est cette droite de trahison qui est la principale coupable du naufrage de la nation. Ne l’oublions pas en 2027. Le salut ne viendra pas de ceux qui ont trahi, mais de ceux qui n’ont jamais gouverné.

Jacques Guillemain, Riposte Laïque

. Cyber-attaque, sanctions de l’UE… une fin de règne interminable #Octogone75

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