. L’or et l’argent attaqués par le « DeepState » ? Le Zoom – Pierre Jovanovic – TVL

Articles : Dec. 2025Nov. 2025Oct. 2025Sept 2025
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#webtube : Pierre Jovanovic, journaliste économique, nous éclaire sur les marchés de l’or et de l’argent, qui connaissent des progressions inédites.

Un blocage historique du Chicago Mercantile Exchange (CME) fin novembre pendant plus de 10 heures a secoué les marchés de l’or et de l’argent notamment. La raison invoquée : un dysfonctionnement majeur dans un serveur. Pour Pierre Jovanovic, l’explication réelle est bien différente… Vous le comprendrez dans cette émission. Depuis 2015, l’or a littéralement explosé, passant d’une once à 1 050 € à près de 3 950 € en 2025, soit une hausse de 380%. De son côté, l’argent a connu une explosion mirifique en un an et reste beaucoup plus abordable. En plus d’un passage en revue de l’actualité, Pierre Jovanovic explique quelques grands fondamentaux de l’investissement. Il revient aussi sur les différences entre l’or physique et l’or papier, leur rôle comme valeur refuge face à la volatilité des marchés.

Source : Youtube – TVL

. François Asselineau répond à vos questions en direct n°90

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#webtube : Dans cette vidéo, François Asselineau répond aux questions des auditeurs et met en lumière la fin programmée de l’Union Européenne.

Dans ce numéro 90, François Asselineau a répondu aux questions suivantes : 00:08:40 – Question n°1 posée de nombreuse fois Que pensez-vous des déclarations d’Elon Musk au sujet de l’Union européenne qui devrait être abolie ? 00:46:20 – Question n°2 de Laurent Qu’avez-vous pensé du « débat » entre Nathalie Loiseau et Sarah Knafo ? Elles étaient d’accord sur tout concernant l’UE, même si Knafo est pour « une autre Europe ». 01:09:28 – Question n°3 de Nelsonteles5853 Que dire, cher François, du voyage de Macron en Chine ? 01:33:27 – Question n°4 de Papy Crevette Est-il possible pour une association de particuliers de solliciter l’intervention directe d’un organisme supra-national, du type FMI, pour chasser la classe en place en invoquant l’insincérité des chiffres donnés l’année dernière et le dérapage constant à la hausse ? 01:34:56 – Question n°5 de Laurent3374 Monsieur Asselineau, avez-vous pris contact avec la Coordination Rurale concernant la situation sanitaire dans les élevages ?Que pensez-vous du maintien en France des abattages préventifs de bovins 01:38:46 – Question n°6 de Nathan Hier, Bardella, le président du RN, a rencontré Nigel Farage qui a apporté son soutien après des discussions portant sur la lutte contre l’immigration et le retour à la prospérité économique. D’après vous, cette rencontre est-elle : un message subliminal annonçant un futur Frexit caché ? Ou un simple miroir aux alouettes pour conquérir le vote souverainiste avant de le trahir en 2027 ? . 01:48:20 – Question n°7 de Gérard Quand vous serez élu Président de la République,  lèverez-vous le « secret défense » qui classe confidentiels pour 50 ans, les débats en huis clos ainsi que les décisions prises lors des réunions du CDSN (Conseil de Défense Sanitaire National) présidées par Macron ? 01:50:36 – Question n°8 de Thibault Je parlais de vous à un ami l’autre jour et il me disait que votre problème, c’est que vous ne vouliez faire alliance avec personne et que vous êtes tout seul. Que pourrais-je lui répondre la prochaine fois ? 02:05:00 – Question n°9 de Samuel Est ce que le jour où nous sortirons de l’Union européenne sera fait jour férié ?

Source : Yourube – UPR

. Le Krach de 1929 arrive sur les marchés mais par ou? par Charles Gave et Emmanuelle Gave

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#webtube : Une nouvelle analyse pertinente de notre tandem préféré pour décrypter les événements chaotiques qui bouleversent notre Economie en France et en Europe.

04:46 Premier Graphique sur le marché obligataire Evolution du taux d’interet sur le 10 ans américain

07:26 Que vont faire les banques?

08:42 Qu’est ce que le zero coupon?

18:00 On a perdu en relatif et en absolu sur les obligations de l’OCDE

22:31 Troisieme graphique. Rapport sur le prix du pétrole

24:00 Double déficit aux USA

Source : Youtube – IDL

. Déprogrammation d’Historock à Montrouge : pour la gauche, la Marseillaise est d’extrême droite

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#webtube : Le spectacle éducatif Historock devait présenter à Montrouge (Hauts-de-Seine) devant 1600 élèves de CM1 et CM2, vingt tableaux de l’histoire de France, sur des accords pop-rock-reggae-rap, de «la naissance de la nation française, avec la construction des cathédrales, jusqu’à Charles de Gaulle »… Intolérable, se sont offusqués des syndicats et des élus (de gauche) de la ville, qui ont dénoncé une «propagande réactionnaire», un «dévoiement de l’Histoire par l’extrême droite»

Professeur d’histoire en zone d’éducation prioritaire (ZEP), Dimitri Casali cherchait un moyen de capter l’attention de ses élèves. Un jour, il apporte sa guitare en classe… et les collégiens, d’abord surpris de cette association improbable histoire & rock pour camper César ou Napoléon, sont finalement conquis.

«L’Histoire de France ne s’apprend pas par cœur, elle s’apprend par le cœur», aime-t-il à répéter. Naîtra ensuite l’idée du spectacle éducatif Historock. Parrainé par l’académicien Jean Tulard, il a déjà été joué dans une quarantaine de villes. Sa programmation avait déjà suscité des critiques d’élus de gauche, comme à Orléans au printemps dernier.

A Montrouge, la gauche est montée d’un cran dans l’intolérance, puisque le spectacle a carrément été interdit. Pire, Dimitri Casali a reçu des menaces de mort sur les réseaux sociaux : «Casali on va te faire la po (sic)»

« C’est un show extrêmement équilibré», fait valoir Dimitri Casali, puisque «dix chansons sont consacrées à l’héritage chrétien, et dix autres à l’héritage laïc». «Nous donnons la parole à un chevalier, un mousquetaire, une femme sans-culotte ou encore à un poilu de la Guerre de 14, développe-t-il. Et notre tube, que tous les élèves reprennent en chœur, c’est ’Front pop, pop, populaire’, dans le tableau sur Léon Blum».

«Comment nos enfants pourraient-ils s’inscrire dans la culture française, l’une des plus admirées au monde, si on ne parvient pas à leur transmettre notre héritage à la fois chrétien et monarchique, laïque et républicain ? », interroge Jean Tulard, auteur d’une quarantaine d’ouvrages historiques. « Notre pays est malade de son histoire. Malade de ne pas la connaître, de ne pas la transmettre, d’être sans cesse tenté de la réécrire pour l’instrumentaliser. Malade, surtout, d’y renoncer par lâcheté et refus de se confronter aux minorités. Être Français, c’est avoir la volonté de vivre ensemble, d’adhérer à des valeurs communes enrichies de souvenirs communs».

Du côté du «Syndicat des travailleur.euses uni.es de la culture et du spectacle», et de celui «des travailleur.euses artistes auteur.ices», on ne l’entend pas de cette oreille. «Maurras n’est pas mort, son cadavre bouge encore!», clament-ils

Du côté des enseignants, ça n’a pas fait un pli non plus : tous ont décidé de boycotter le spectacle. Une poignée par idéologie, les autres par soumission au politiquement correct.

«Pour nous, il s’agit d’un retour au roman national qui pourrait même s’apparenter à un retour au catéchisme», fustige le syndicat d’extrême gauche Sud Éducation.

«Le choix de la municipalité de proposer aux enfants le spectacle Historock est une faute politique et éducative majeure », juge de son côté la section du PS de Montrouge. « Derrière ce vernis ludique se cache une offensive réactionnaire soutenue par le fonds du milliardaire d’extrême droite Pierre-Édouard Stérin : un récit national aseptisé, idéologiquement orienté, qui gomme les complexités, minimise les blessures coloniales».

Le patronyme qui fâche est lâché : Stérin, le milliardaire catholique, donc d’extrême droite…

« Avant d’accepter, en 2024, un don de Pierre-Édouard Stérin, j’avais fait au moins douze demandes de subventions au ministère de la Culture, sans jamais recevoir de réponse », précise Dimitri Casali. « Si faire chanter la Marseillaise à nos enfants est réactionnaire, où allons-nous ?» se désole-t-il.

La caisse des écoles, qui devait programmé ce spectacle prévu sur le temps scolaire, après avoir «analysé le spectacle dans son intégralité», a estimé qu’il ne présentait «aucun contenu problématique». Mais…

Mais «au vu de la situation et l’absence certaine de public », elle a «considéré qu’il n’avait pas d’intérêt à être maintenu».

Les maires de droites plébiscitent Historock

Ancien maire de La Garenne-Colombes, aujourd’hui député LR des Hauts-de-Seine, Philippe Juvin a déjà programmé Historock trois années de suite, et prévoit une séance le 6 février prochain : «C’était émouvant, se souvient-il, de voir dans la salle des gamins des quartiers populaires tous mélangés et vibrer ensemble sur des chansons qui parlent de laïcité, de liberté, d’égalité et de fraternité».

Même engouement à Chalon-sur-Saône (Saône-et-Loire), chez le maire DVD Gilles Platret : «Nous avons reçu Historock deux fois et, par deux fois, nous avons vu s’accomplir de petits miracles, raconte-t-il. Une salle d’enfants conquise, captivée par un spectacle absolument remarquable. Un travail pédagogique préalable en classe opéré par Dimitri Casali et une vraie communion autour de l’histoire de France. Voir des enfants, de toutes les origines, se retrouver sur scène pour chanter ensemble la Marseillaise, c’était non seulement émouvant, mais fondateur. Une bouffée d’espoir : la cohésion nationale peut être reconstruite si on se donne la peine d’offrir en héritage aux enfants de France l’histoire de leur pays».

La gauche, grande pourvoyeuse de division, veut tuer l’idée même de France

L’affaire Historock est révélatrice d’un malaise bien plus profond que la simple censure d’un spectacle éducatif. Elle illustre la volonté de la gauche et de l’extrême gauche de démonter, pièce par pièce, le récit national qui unit les Français, au nom d’une idéologie qui préfère la fragmentation à la transmission. Sous couvert de lutte contre l’« extrême droite », ce sont les fondements mêmes de l’identité française qui sont attaqués : son histoire, ses symboles, et cette capacité à rassembler, au-delà des origines et des croyances, autour d’un héritage commun.

La Marseillaise, les cathédrales, Napoléon ou Léon Blum sont des chapitres d’une histoire complexe, riche et plurielle, qui a forgé la France. Les accusateurs d’Historock, en réduisant ce spectacle à une « propagande », trahissent leur refus de l’universalisme républicain. Leur obsession à traquer les « fantômes de Maurras » ou les « complots d’extrême droite » révèle une paranoïa identitaire : plutôt que de célébrer ce qui rassemble, ils préfèrent dénoncer ce qui divise, quitte à priver des enfants — souvent issus de milieux « populaires » — d’un accès ludique et fédérateur à leur propre histoire.

En cédant à la pression des syndicats et des minorités militantes, la municipalité de Montrouge a validé une logique mortifère : celle qui consiste à saboter la transmission pour mieux imposer une vision partiale et culpabilisante du passé. Comme le souligne Jean Tulard, la France est « malade de son histoire » — non pas à cause de celle-ci, mais à cause de ceux qui, par lâcheté ou dogmatisme, refusent de l’enseigner.

Projet politique de la gauche : le culte de l’Autre Suprême

Il s’agit de remplacer le roman national par un récit faisant la part belle à la repentance. Or, une nation qui renie son passé est une nation qui se condamne à l’effacement. Les témoignages enthousiastes d’élèves, d’enseignants et d’élus de tous bords (de la droite aux maires sans étiquette) prouvent qu’Historock n’est pas un outil de division, mais au contraire un remède contre le communautarisme — un moyen de redonner aux enfants, quelles que soient leurs origines, la fierté d’appartenir à une histoire collective.

La gauche qui hurle à la « propagande » aujourd’hui est celle qui, hier, chantait L’Internationale en rêvant d’une société sans frontières ni mémoire. Elle a changé de méthode, mais pas d’objectif : détruire l’idée de France comme projet commun, pour la remplacer par une juxtaposition de communautés en concurrence. Face à cette offensive, la résistance passe par des initiatives comme Historock — des ponts jetés entre les générations, les classes et les cultures, pour rappeler que la France n’est pas un musée de haines, mais une aventure toujours vivante.

Cela dit, les lecteurs et contributeurs de Riposte Laïque ne se font aucune illusion : le modèle multiculturel adopté depuis un demi-siècle – le patronat et le lobby universaliste aidant – par tous les partis politiques de l’Establishment mène la France à la catastrophe. Doit-on remarquer que ne sont évidemment pas des spectacles comme le louable Historock qui sauveront l’une des plus vieilles nations du monde de l’effondrement sous le poids d’une immigration mortifère ?

Deux choses auraient dû être faites pour éviter l’issue fatale : réduire drastiquement l’immigration en provenance d’Afrique dès les années 1970 et promouvoir un modèle strictement assimilationniste, celui qui a permis à notre pays de « faire France » à partir des vagues d’immigrations en provenance d’Italie, d’Espagne, du Portugal et de Pologne dans les années 30 et l’immédiat après-guerre. Une assimilation remarquons-le grandement aidée par le fait que les nouveaux venus étaient des Européens de souche catholique.

Historock ou pas, c’est maintenant un peu tard…

Henri Dubost, Riposte Laïque

. Effondrement de l’école : le constat accablant de l’Observatoire de l’immigration

Articles : Dec. 2025Nov. 2025Oct. 2025Sept 2025
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#webtube : C’est une étude très détaillée que nous livre l’Observatoire de l’immigration et de la démographie (OID), en reprenant un article de  Joachim Le Floch-Imad  sur l’impact  négatif de l’immigration extra-européenne sur notre système éducatif.

Des dizaines de milliers d’enfants allophones, faute de maîtriser le français, subissent un déclassement scolaire inexorable qui se répercute sur le niveau scolaire général du pays. Dès lors qu’elle atteint des niveaux excessifs, l’immigration ne s’intègre plus. C’est un sujet gravissime connu mais qui a toujours été mis sous le tapis.  

On se souvient qu’en 2004, Jean-Pierre Obininspecteur général de l’Éducation nationale, avait remis au Gouvernement un rapport alarmant sur l’islamisation de l’école républicaine.

Mais le ministre de l’Éducation nationale de l’époque, un certain François Fillon, avait courageusement enterré le rapport, en bon petit soldat de cette droite sans convictions, encore plus mondialiste et immigrationniste que la gauche.

Rappelons que l’essentiel de notre immigration provient d’Afrique, où les taux d’alphabétisation sont les plus faibles. Notamment nos anciennes colonies.

20 pays ont le triste honneur de compter plus de 50 % d’analphabètes dans leur population : l’Afghanistan, le Bénin, le Burkina Faso, la Centrafrique, le Tchad, les Comores, la Côte d’Ivoire, l’Éthiopie, la Gambie, la Guinée Bissau, Haïti, l’Irak, le Liberia, le Mali, la Mauritanie, le Niger, le Sénégal, la Sierra Leone 

https://www.radiofrance.fr/franceculture/750-millions-d-analphabetes-dans-le-monde-mais-des-progres-2754405

Je ne vais pas vous faire un résumé de l’énorme travail effectué par l’auteur de l’étude, d’autant plus qu’une synthèse est  disponible sur le site. La voici :

https://observatoire-immigration.fr/limpact-de-limmigration-sur-le-systeme-educatif-francais

Joachim Le Floch-Imad est enseignant et essayiste. Il vient de publier Main basse sur l’Éducation nationale. Enquête sur un suicide assisté (Éditions du Cerf)dont cette note prolonge et approfondit plusieurs réflexions.

–  Si elle n’est pas la cause unique des difficultés de notre école, l’immigration, dans sa forme actuelle, les exacerbe toutes. Le sujet demeure pourtant absent du débat public, quand bien même plus de trois-quarts des Français se disent favorables à une politique migratoire plus ferme. Cette situation constitue une anomalie démocratique à corriger et un défi politique à relever ;

–  Avec 40 % des enfants de moins de quatre ans en France, immigrés ou d’origine immigrée, plus d’un élève de CM1 sur cinq qui parle une autre langue que le français à la maison, l’immigration change le visage de notre système éducatif ;

–  Le nombre d’élèves allophones nouvellement arrivés (EANA) a augmenté de 153 % depuis l’année scolaire 2007-2008. Pour répondre à ces difficultés, le Ministère multiplie les programmes spécifiques, contribuant à segmenter les missions d’une école déjà fragilisée ;

–  Dans 73 % des pays évalués dans le cadre de la dernière enquête PISA, les élèves issus de l’immigration affichent en mathématiques un score inférieur à celui des élèves « autochtones » (ni immigrés ni enfants d’immigrés), avec un écart moyen de 29 points ;

–  Le problème ne se limite toutefois pas à ces cas spécifiques. En France, d’après l’enquête PISA 2022, les élèves issus de l’immigration rencontrent plus souvent des difficultés en mathématiques, avec un écart moyen de 47 points entre « autochtones » et enfants d’immigrés, et de 60 points entre autochtones et immigrés, soit l’équivalent d’un an et demi de retard scolaire. Cette différence de niveau, nettement plus frappante que chez nos voisins, contribue à notre recul au classement PISA, avec un score national moyen en mathématiques de 474 points (contre 485 points pour les seuls élèves sans ascendance migratoire directe) ;

–  Selon l’Insee, 23,9 % des enfants d’immigrés ne terminent pas leurs études initiales, contre 12,9 % des Français sans ascendance migratoire. En moyenne, les immigrés ou descendants d’immigrés redoublent davantage, sont surreprésentés dans les filières spécialisées, accèdent moins souvent au lycée général et technologique et ont un moindre niveau de diplôme ;

–  Il n’existe pas une, mais des immigrations, aux trajectoires contrastées et surprenantes. Les enfants de l’immigration d’Asie du Sud-Est sont ainsi en surréussite scolaire par rapport aux Français d’ascendance française. À l’inverse, les descendants d’immigrés du Maghreb, d’Afrique subsaharienne ou de Turquie rencontrent, en moyenne, des difficultés scolaires plus précoces et plus durables ;

–  Selon l’enquête TALIS 2018, seuls 8 % des enseignants français se disent correctement préparés par leur formation à travailler dans des environnements multiculturels, contre 26 % en moyenne dans l’OCDE ;

–  Si l’immigration pèse davantage sur notre école que sur celles de nos voisins, c’est parce que la France accueille des flux migratoires plus extra-européens, moins diplômés et plus précaires que la moyenne de l’OCDE ;

–  Pour mesurer l’impact de l’immigration sur notre école, il faut la regarder telle qu’elle est, non telle qu’on aimerait qu’elle soit. Le débat consistant à savoir si le problème est migratoire ou socio-économique, en dépit de son intérêt théorique, importe peu en pratique. Par ailleurs, même en tenant compte des niveaux socio-économiques, une différence de 17 points subsiste entre immigrés et « autochtones » en mathématiques dans l’étude PISA ;

–  Les populations accueillies ne renonçant pas, une fois installées, aux bagages culturels qu’elles apportent, les flux migratoires apparaissent étroitement liés à la dégradation du climat scolaire, à la montée des violences et à la recrudescence des atteintes à la laïcité comme des tensions religieuses et identitaires. Ainsi, selon l’IFOP, 71 % des enfants de deux parents nés hors d’Europe ayant assisté à des violences physiques contre un élève juif parce qu’il était juif déclarent les avoir approuvées, contre 26 % de l’ensemble des élèves ;

–  Avec plus d’un millier de mineurs fichés pour islamisme, 38 % des élèves musulmans refusant de « condamner totalement » l’assassinat de Dominique Bernard et 81 % des lycéens musulmans jugeant injustifié de montrer en classe des dessins caricaturant les religions, l’immigration alimente, sur fond d’explosion des contestations d’enseignements, un prosélytisme islamiste qui décompose de l’intérieur l’école de la République ;

–  La pression exercée par l’immigration sur notre école apparaît difficilement soutenable. Pour sortir de ce « cercle vicieux », il est nécessaire, sans céder à la stigmatisation et sans nier les belles trajectoires qui existent à l’échelle individuelle, de réduire drastiquement les flux migratoires et, parallèlement, de mettre en œuvre des politiques éducatives de rupture.

Le constat est accablant mais il est inutile d’espérer un redressement si les flux migratoires s’accélèrent. Or, il n’ y a aucune volonté au gouvernement de freiner l’immigration de masse de 500 000 arrivants chaque année, pour la plupart sans diplômes , voire illettrés, qui nivellent le pays par le bas. Chaque jour les mondialistes savourent leur avancée dans la destruction des nations européennes, avec la bénédiction de leurs élites, dont la lâcheté et l’inconscience laissent pantois.

Comme l’écrivait Christine Tasin, le Titanic sombre et nos élites jouent du violon.

Jacques Guillemain, Riposte Laïque

. Agriculteurs : La goutte d’eau qui va faire déborder le vase ?

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#webtube : Ils ont gagné, une fois de plus. Les salauds ont fait abattre aujourd’hui 12 décembre, 207 bovins indemnes pour un seul cas de dermatose nodulaire contagieuse dans le cheptel concerné. Devant cette décision d’une imbécillité crasse, les paysans se sont révoltés à juste titre. Ils ont bloqué les routes menant à la ferme afin d’empêcher le massacre. En réponse, l’État a ordonné ce qu’il ne fait nulle part ailleurs. Il a envoyé massivement ses gendarmes et surtout, devant les gendarmes il y avait les fameux centaures.

Des quasi-chars d’assaut équipés d’armes sophistiqués, comme un porte-avions. Pourtant ce n’étaient pas des hordes barbares en face, mais de simples paysans. Et par la violence, l’État a imposé son diktat… pardon la volonté de Bruxelles, car c’est en application d’une directive de Bruxelles que l’État français a envoyé et fait agir la troupe contre nos agriculteurs. Bien sûr la FNSEA n’a pas manqué l’occasion de montrer une fois de plus de quel côté elle est, en appelant les agriculteurs à être « responsables ». Ben voyons ! Quelle clairvoyance !

Mais au fait, c’est quoi la dermatose nodulaire contagieuse ?

C’est une maladie infectieuse virale qui touche pour l’essentiel les bovins. La maladie est principalement transmise par des insectes (les mouches, les taons et sans doute les tiques). La dermatose nodulaire contagieuse provoque de fortes fièvres, des nodules douloureux donc une importante souffrance chez les animaux touchés mais cependant une mortalité faible. D’où vient cette maladie ? Elle vient d’Afrique. Sa première apparition a été relevée en Zambie en 1929. Ensuite, la maladie s’est étendue progressivement à tout le continent africain. En 1989, un foyer est noté en Israël. La maladie touchera Chypre (2014) puis la Grèce (2015) et les Balkans (2016-2017). Elle avait disparu suite à une importante campagne. La DNC est réapparue cette année en Europe de l’Ouest, le 20 juin 2025 en Sardaigne, avant d’apparaître en France pour la première fois en Savoie. Selon le ministère de l’Agriculture, il y avait au 9 décembre, 109 foyers détectés sur le territoire dans huit départements différents. Il est important de noter que la maladie ne présente aucun danger pour l’homme, la transmission bovin – homme étant impossible selon les spécialistes. La seule solution face à ce fléau étant la vaccination. Il n’existe aucun traitement lorsque la maladie est déclarée. Ce qui nous amène à une première question : pourquoi la vaccination contre cette maladie n’est pas obligatoire ? Sans oublier une seconde question : Pourquoi l’Union européenne n’a-t-elle comme seule préconisation, pour cette maladie, l’abattage de tout le troupeau ?

Le bon sens voudrait, à l’inverse, qu’on isole dès les premiers symptômes l’animal malade et qu’on l’euthanasie puisqu’il n’existe pas de traitement à ce jour. Mais non, pour l’Europe c’est l’abattage de tout le troupeau qui est la solution… alors que cette maladie n’est pas transmissible à l’homme répétons-le. Quant à la ministre de l’Agriculture, Annie Genevard, son incompétence est évidente. Rappelons en effet que la dame est titulaire d’un Capes de Lettres classiques obtenu en 1977. Par ailleurs, ni elle ni aucun membre de sa famille n’a été agriculteur. Sans parler de sa lâcheté, car elle a refusé de se déplacer pour venir parler aux agriculteurs.

Mais dame Genevard n’est pas seulement ignorante des problèmes de l’agriculture (sur le sujet, elle n’a sans doute lu que « Martine à la ferme »), elle est également lâche se disant sans doute qu’il était risqué d’aller chez les agriculteurs en période de fortes tensions, mais en plus elle est soumise car elle accepte d’appliquer sans sourciller les directives européennes, même si elles sont absurdes. Enfin, cerise sur le gâteau, elle nous prend pour des lapins de 3 semaines ou si vous préférez pour des abrutis complets. Pourquoi ? Parce qu’elle a déclaré au journal Les Échos du 12 décembre 2025, afin de justifier l’abattage total du cheptel en cause : « Si on n’applique pas ce protocole, l’Europe mettra la France sous cloche et plus rien ne sortira du pays. Ni animaux, ni fromage, ni lait. »… Reprenons, cette maladie n’est pas dangereuse pour l’homme mais l’Europe mettrait la France sous cloche si on n’applique pas à la lettre son protocole d’abattage massif. Faudrait savoir : c’est dangereux ou pas cette maladie pour l’homme ? Si c’est non, pourquoi ces tueries de masse ? Et surtout, pourquoi l’État ne rend-il pas la vaccination obligatoire ainsi qu’un abattage limité aux seuls animaux malades ? Et Les Échos d’ajouter « la zone vaccinale est étendue aux départements de l’Aude, de la Haute-Garonne, du Gers et des Pyrénées-Atlantiques ». Pourquoi ne pas vacciner partout en France ? Qu’est-ce qu’on attend… qu’il y ait d’autres foyers qui se déclarent en Limousin, en Bretagne, en Alsace ou dans le Nord ? Dans ce cas, sans une vaccination généralisée, cela amènerait à combien de bovins euthanasiés ?

Tout cela m’inspire deux réflexions :

– Tout d’abord on ne peut que comprendre et soutenir les agriculteurs en colère. Construire un cheptel c’est souvent des années de travail pour choisir et élever les bêtes, les sélectionner patiemment pour améliorer la lignée. Tout cela étant fait dans de petites ou moyennes exploitations par des agriculteurs pour qui le mot vacances est un mot étranger au vocabulaire, qui travaillent tôt le matin jusque tard le soir, sans jour de repos dans la semaine. Et tout cela peut être balayé d’un revers de main par d’obscurs bureaucrates de Bruxelles qui pour la plupart n’ont sans doute jamais mis les pieds dans un élevage, mais décident d’un protocole foutant en l’air tout ce travail des agriculteurs, juste parce qu’ils considèrent que la mesure est bonne pour eux. C’est vraiment insupportable, c’est odieux et la colère des paysans est totalement justifiée.

– La seconde réflexion que m’inspire ces faits est la suivante : l’État est fort avec les faibles et faible avec les forts. Ce qui me frappe, c’est l’envoi des centaures chez cet agriculteur pour pouvoir tuer ses bêtes et imposer la volonté de l’État, mais pourquoi donc le même État n’envoie-t-il pas les centaures dans les banlieues pourries ravagées par le trafic de drogues et les règlements de comptes à la kalachnikov ? Les agriculteurs sont brutalisés et ils ont droit aux centaures. Mais les dealers ont une paix royale. On dit même à la police de ne pas les poursuivre dans les cités, comme on le voyait dans le film « BAC Nord ». Résultat : toute la France est en train de basculer dans le narco-trafic. Dupond-Moretti avait passé un savon aux juges de Marseille qui alertaient sur le danger qu’ils voyaient venir. Marseille est aujourd’hui incontrôlable et aux dernières nouvelles Blois, ville de 47.000 habitants, vient de basculer. Des affrontements à la Kalachnikov viennent d’y être signalés. Dans peu de temps, toute la France aura sombré.

Tous les flics de France savent parfaitement qui sont les dealers, les trafiquants et les grands chefs. L’État pourrait envoyer les centaures et des bataillons de gendarmes pour les arrêter et démanteler tous ces trafics. Mais non, avec eux il faut prendre des pincettes, car la plupart sont originaires de l’autre côté de la Méditerranée… donc prudence pour ne pas être accusé de racisme si on les montre un peu trop du doigt ou si on les arrêtait massivement. Et même si des membres de ces populations en cause « cassent la gueule » à des flics, filmés avec des portables dont les images sont mises ensuite en ligne sur internet, ils sont épargnés notamment par une certaine justice bien compréhensive et qui excuse tout, trafics et violences. Idem quand il s’agit des écolos-terroristes à Sainte-Soline ou si ce sont des antifas dans les manifs de gauche cassant tout sur leur passage, y compris des flics. Par contre, on vient de le voir, aucune faiblesse si ce sont des paysans que l’État montre du doigt !

C’est Marine Le Pen qui aura eu le mot juste, la bonne analyse au sujet des agriculteurs : « Entre le Mercosur, la baisse annoncée de la PAC, la multiplication des réglementations et des normes, la concurrence déloyale qu’ils subissent, les agressions de la part des talibans écologistes et j’en passe, ils n’en peuvent plus ».

Il se pourrait bien que ce nouvel épisode soit « la goutte d’eau qui fait déborder le vase ». Aussi patients que soient les agriculteurs, ils n’accepteront pas éternellement de se faire rouler dessus par les décisions et directives de Bruxelles, servilement mises en œuvre par les laquais de Paris. À un moment ça va exploser et selon moi ce moment est proche. Que voulez-vous, quand on est agriculteur et qu’on n’a plus rien à perdre, il n’y a plus que deux solutions : se pendre (il sont des centaines à le faire chaque année) ou se révolter. Il me semble qu’ils sont de plus en plus nombreux à penser que la pendaison n’est pas la solution. Je ne voudrais pas être le membre du gouvernement qui ira au salon de l’agriculture à Paris, en début d’année 2026. Si ça n’a pas explosé avant…

Bernard GERMAIN, Riposte Laïque