. Trump : l’ami américain qui veut réveiller les Européens

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#webtube : Face à une Union européenne qui s’égare et à des élites qui refusent de voir le réel, la nouvelle doctrine américaine agit comme un électrochoc. En rappelant les menaces qui pèsent sur notre civilisation, Donald Trump veut réveiller les Européens. Analyse de cette nouvelle donne par Pierre Boisguilbert.

Trump à la rescousse de la civilisation européenne

Il n’est pas besoin d’un ministère de la Vérité pour dire la vérité. Mais, apparemment, en France comme dans l’Europe de Bruxelles, toutes les vérités ne sont pas bonnes à dire. Celle de l’administration Trump a le mérite de la clarté. Elle parle le Zemmour et le Knafo dans le texte : c’est saisissant, et cela devrait pousser le RN à se positionner plus franchement sur le terrain civilisationnel.
Pour Washington, si l’Europe ne jugule pas la submersion migratoire dans les vingt ans à venir, et si des partis héritiers et défenseurs de sa civilisation historique ne prennent pas le pouvoir, l’Europe — qui a fait le monde, dont les États-Unis — disparaîtra de la carte. Le Monde, dans son édition du dimanche 7 et du lundi 8, propose un article d’une grande clarté factuelle (en grande partie) sur la doctrine Trump, qui sera peut-être demain aussi célèbre que la doctrine Monroe.
« L’administration Trump a émis, vendredi 5 décembre, un document titré “Stratégie de défense nationale”, dans lequel elle anticipe l’“effacement civilisationnel” de l’Europe. “Si les tendances actuelles se poursuivent, le continent sera méconnaissable dans vingt ans ou moins”, y est-il écrit… Dans le premier document du genre de son second mandat, le président américain, Donald Trump, dessine la place des États-Unis dans le monde, sur un plan géopolitique, stratégique et économique, privilégiant son approche de “l’Amérique d’abord”. Cette “stratégie de défense nationale” insiste notamment sur la lutte contre “l’immigration de masse” et les “invasions”, met en garde l’Europe contre son “effacement civilisationnel” et se félicite de sa politique au Proche-Orient. »
Le Proche-Orient, comme l’Europe, n’est plus une priorité américaine ; Israël devra également en tenir compte. Il n’y a plus de dépendance énergétique comme dans les années 1970. Ce n’est plus vital pour les États-Unis, et cela obligera sans doute les pays de la région à redéfinir leurs relations. Mais c’est un autre espace géopolitique.
On sent bien que cette doctrine s’inspire davantage de Vance, le vice-président, que de Trump lui-même, ce qui lui assure une forte probabilité de s’inscrire dans la continuité. Mais l’Europe, comme le Moyen-Orient, devra prendre son destin en main. C’est la fin annoncée du protectorat américain. Un protectorat que de nombreux pays européens ont accepté — et acceptent encore — en renonçant à toute politique de puissance. Une Europe qui abrite des bases militaires étrangères sur son territoire depuis 1945.

La fin du protectorat américain

Le document de l’administration américaine est, sur ce point aussi, très clair. Il entend en finir avec « l’époque où les États-Unis soutenaient l’ordre mondial tout entier, tel Atlas », et souhaite tourner la page des décennies qui ont suivi la Seconde Guerre mondiale. Adieu à Atlas.
Le désengagement américain est justifié notamment par la crainte de voir des pays de l’OTAN changer d’identité. « Il est plus que plausible que, d’ici quelques décennies tout au plus, les membres de l’OTAN deviennent majoritairement non européens », peut-on lire. « Il est légitime de se demander s’ils percevront leur place dans le monde, ou leur alliance avec les États-Unis, de la même manière que ceux qui ont signé la charte » de l’organisation.
Le Monde poursuit, cette fois avec une lucidité certaine : Washington dénonce pêle-mêle « les décisions européennes qui sapent la liberté politique et la souveraineté ; les politiques migratoires, qui transforment le continent et créent des tensions ; la censure de la liberté d’expression et la répression de l’opposition politique ; la chute des taux de natalité, ainsi que la perte des identités nationales (…) », tout en souhaitant que « l’Europe reste européenne, retrouve sa confiance en elle-même sur le plan civilisationnel et abandonne son obsession infructueuse pour l’asphyxie réglementaire ».
Ce dernier souhait est un appel. Trump demande à l’Europe de se réveiller et compte pour cela sur les élections et sur la poussée des mouvements identitaires nationaux-populistes. Mais la victoire de l’Europe héritière de l’Europe passe par la liberté de s’exprimer pour gagner les élections à armes argumentaires égales.
Bruxelles et Paris voient bien le danger et vont tout faire pour empêcher la vérité venue d’ailleurs de s’imposer. Ils veulent construire un mur de l’Atlantique médiatique. Il risque, comme son prédécesseur, de ne pas arrêter le débarquement de la liberté de penser — et surtout de dire. Avec, en plus, le fait que le bunker bruxellois doit également faire face à la Russie de Poutine, qui parle parfaitement le Trump, comme l’Ukraine et les Européens commencent à s’en rendre compte.
L’Europe sera un véritable empire européen composé de nations identifiées, ou ne sera plus. Une fois de plus : « la vérité est ailleurs ».
Mais il y a bien une vérité.

Pierre Boisguilbert, dans Polémia

. Le dogme du dérèglement climatique anthropique et ses dissidents

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#webtube : Ancien dirigeant d’entreprise, Guy Barbey est le président de l’association Climat et Vérité, qui publie chaque semaine sur internet une revue de presse gratuite en vue de « favoriser un débat ouvert et pluraliste sur la science climatique et sur la transition énergétique ». Dans un livre très documenté, Les dissidents du climat — Les thèses du GIEC en question (Éditions Bookelis, 286 pages, 18 euros), préfacé par le professeur Paul Deheuvels, membre de l’Académie des sciences, et par le polytechnicien Michel Vieillefosse, vice-président de l’association des anciens du Centre national d’études spatiales, l’auteur démontre comment l’ONU, via le GIEC, poursuit des objectifs politiques en imposant « la culpabilisation du CO2 anthropique à la communauté internationale ».

Le GIEC est un organisme politique

L’Intergovernmental panel on climate change (IPCC) a été créé en 1988 par l’ONU, suite à une initiative du G7 impulsée par Ronald Reagan et Margaret Thatcher qui souhaitaient notamment réduire l’influence des syndicats de mineurs dans leurs pays respectifs.

La traduction en français, Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC), laisse à penser que ses participants possèdent un statut d’expert alors qu’ils ne sont que des représentants désignés par les États membres.

La mission de cet organisme consiste à s’intéresser à l’influence humaine sur le climat, et non à étudier les causes naturelles pouvant l’affecter telles que les rôles du soleil et de l’océan, les changements d’orbite de la terre, etc.

« Comment le GIEC peut-il prétendre procéder à des analyses neutres alors que sa maison-mère, l’ONU, a décrété et fait approuver en 1992, dans la Convention cadre des Nations-Unies sur le changement climatique, la condamnation du CO2 anthropique par anticipation ? »

Son premier objectif a consisté à « étouffer toute velléité des scientifiques indépendants de contester la thèse du rôle central du CO2 anthropique dans le réchauffement climatique ».

Aujourd’hui encore, « de nombreux scientifiques n’osent plus s’exprimer car ils craignent des représailles », tandis qu’« une douzaine de pétitions internationales comportant parfois des milliers de signatures de scientifiques sont restées sans réponse ».

Une scientificité douteuse

Guy Barbey a initialement adhéré aux conclusions formulées par le GIEC, dont la crédibilité scientifique lui paraissait établie, avant de lire les critiques argumentées de scientifiques renommés qui subissaient une véritable omerta.

L’auteur ne conteste pas le réchauffement climatique en cours mais s’efforce d’en comprendre les causes : « C’est le rôle central accordé aux gaz à effet de serre et en particulier au CO2 anthropique dans le réchauffement climatique ainsi que l’objectif de neutralité carbone en 2050 qui sont en question. »

Depuis l’origine, « le GIEC a multiplié les prédictions apocalyptiques sur l’évolution du climat, qui se sont révélées largement fausses chaque fois qu’il a été possible de les vérifier ».

Sur la base de modèles mathématiques très simplifiés et en désaccord avec les mesures de la température de l’atmosphère, des rapports, régulièrement publiés, concluent à la culpabilité du CO2, tandis que les thèses critiques sont passées sous silence.

Contrairement au principe de la démarche scientifique qui consiste à émettre des hypothèses puis à comparer les théories à la réalité, ces rapports partent des conclusions voulues par les rédacteurs finaux, tout en utilisant un artifice qui consiste à apposer les noms de tous les contributeurs pour suggérer que chacun d’eux valide lesdites conclusions.

Des falsifications graves sont avérées, comme dans le rapport de 1995 où les conclusions de scientifiques n’ayant pas attribué les changements climatiques à l’augmentation des gaz à effet de serre ont été modifiées dans la rédaction finale.

Par ailleurs, malgré le haut degré de confiance qui leur est attribué, « les prévisions ou projections faites à partir des modèles ne sont pas fiables », d’autant plus que la complexité du sujet étudié est accentuée par l’existence d’une trentaine de climats différents et non d’un seul, selon la classification retenue par les géographes.

Une manipulation d’envergure est apparue lorsque l’évolution des températures admise par les scientifiques depuis le Moyen Âge a été contestée par un certain Michael E. Mann en 1998. L’histoire du climat démontre que des périodes de fort réchauffement ont alterné avec des périodes de fort refroidissement, sans que ces variations puissent être attribuées à l’activité humaine du fait de l’existence d’un optimum médiéval plus chaud que la période actuelle, suivi d’un petit âge glaciaire et d’une remontée des températures vers 1850. Les conclusions de ce « jeune climatologue fraîchement diplômé », effaçant à la fois cet optimum et ce petit âge glaciaire tout en mettant en évidence « une accélération très marquée de la température de la planète depuis le début du XXe siècle », ont été retenues par le GIEC qui leur a donné une publicité considérable, malgré le fait que la courbe des températures présentée par l’intéressé ait fait l’objet de solides critiques scientifiques et déclarées fausses par une commission sénatoriale américaine en 2006.

En 2011, le GIEC a également « annoncé en grande pompe » que « 77 % des besoins énergétiques de la planète pourraient être fournis par les énergies renouvelables en 2050 », alors que l’Agence internationale de l’énergie estimait leur potentiel à 10 %. Cette information erronée a servi de référence aux travaux préparatoires des Accords de Paris en 2015.

L’Occident doit payer et s’appauvrir

Les énergies fossiles (pétrole, charbon et gaz naturel) fournissent près de 80 % de l’énergie primaire dans le monde. Selon l’Agence internationale de l’énergie, ce pourcentage ne pourra faiblir que lentement car tous les pays en ont grandement besoin, soit pour sortir de la pauvreté, soit pour défendre leur niveau de vie.

L’objectif de la « neutralité carbone », fixé à l’horizon 2050, entraînerait de fait les nations occidentales vers la décroissance économique et l’appauvrissement, pendant que d’autres puissances ne se restreindraient nullement.

Les thèses avancées par le GIEC conduisent en réalité à un « grand marchandage financier planétaire » dans lequel les pays industrialisés sont déclarés responsables du réchauffement climatique et sommés de « payer des sommes substantielles au reste du monde pour l’aider à faire face à cette situation nouvelle ».

Un haut dirigeant du GIEC, Ottmar Edenhofer, a ainsi déclaré : « Il faut dire clairement que nous redistribuons en fait la richesse du monde par la voie de la politique climatique. »

L’exigence d’un débat scientifique

À l’inverse de ce qui est couramment avancé, de nombreux scientifiques (dont des prix Nobel), universitaires et experts n’adhèrent pas au dogme du réchauffement climatique anthropique lié à la combustion des énergies fossiles.

L’auteur consacre de longues pages à recenser en détail « les voix des Dissidents du climat, étouffées par l’omerta » (dont l’association de scientifiques belges Science, climat et énergie, qui propose sur son site internet une excellente recension du livre de Guy Barbey).

Au moment où cette contestation scientifique ne peut plus être ignorée, le risque est réel que, sous prétexte de sauver la planète, ces dissidents climatiques soient l’objet de mesures liberticides : « On pourrait très bien entrer en France dans une nouvelle phase où la censure sera officialisée et les contrevenants sanctionnés. »

Il est pourtant indispensable d’exiger une confrontation honnête et publique entre les tenants des thèses opposées : « La France s’honorerait à prendre la tête d’une telle initiative visant à faire revivre le pluralisme scientifique écrasé par trente ans d’hégémonie onusienne. »

Johan Hardoy, dans Polémia

. Frédéric Taddeï : un soir comme jamais à Bistro Libertés !

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#webtube : Frédéric Taddeï est l’invité spécial d’Éric Morillot pour cet épisode. C’est une des grandes figures audiovisuelles françaises du XXIème siècle. On compte sur les doigts d’une main les grandes émissions culturelles et intellectuelles du « mainstream » de ces 25 dernières années et à chaque fois son nom y est associé. Jugez-en vous-même : après « Nulle part ailleurs », il remplace Thierry Ardisson à « Paris dernière ». Il enregistre une moyenne de 5 millions de téléspectateurs avec « D’Art d’art », une belle performance pour une émission qui raconte les secrets d’une œuvre d’art. Il fustige la médiocrité des programmes audiovisuels et ne se contente pas de mots : il est à la tête de « Ce soir ou jamais », la dernière émission d’idées du service publique. Delphine Ernotte se sépare de lui puisqu’il y a « trop de mâle blanc de plus de 50 ans à la télévision ». Une télévision qui abandonne sa mission d’éveil culturel pour se tourner vers la téléréalité et autres émissions à décérébrer.

Il se tourne alors vers RT France où il anime « Interdit d’interdire ». Il en prend congé en 2022 dès le début de la guerre en Ukraine. C’est également un homme de radio et c’est même par là qu’il a commencé. Tout d’abord à Radio Nova, mais aussi France Culture et enfin Europe 1. La presse n’est pas en reste et l’on trouve son nom au magazine Actuel, à L’idiot international de Jean Edern Hallier, au Figaro Magazine, à GQ, à la direction de la rédaction de Lui, et enfin, depuis 2025, il est à la tête de Marianne. Celui qui représente ce que la télévision à fait de mieux et qui n’existe plus est confronté à Béatrice Rosen, Jacline Mouraud, Jonathan Sturel et Greg Tabibian sur le thème : La télé est-elle définitivement morte ? Emmanuel Macron veut désormais labelliser, trier les “bons” et les “mauvais” médias. Au même moment, la télévision s’embourbe dans les audiences et les polémiques. Commission d’enquête, dérives idéologiques, chaînes en chute libre : l’audiovisuel public prend l’eau de toute part. Pendant ce temps, une autre réalité s’impose : les médias alternatifs explosent, plus suivis que jamais.

Source : Youtube – TVL

. Sarah Knafo, face à Nathalie Loiseau.

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#webtube : Dans ce débat, Sarah Knafo et Nathalie Loiseau ont opposé deux visions de l’Europe très différente. La première a défendu une Europe des nations, où chaque souveraineté nationale est respectée et où la liberté est principe fondamental. En face, Nathalie Loiseau a défendu une vision fédéraliste et technocratique de l’Europe. Une vision qui nous mène dans le mur depuis plusieurs années. Écoutez le débat en intégralité !

Source : Youtube – Sarah Knafo

. Le spectacle sur Notre-Dame qu’ils ne veulents pas que vous voyiez… On y va !

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#webtube : La Dame de pierre » est un spectacle musical qui raconte les grands moments de l’histoire de la cathédrale Notre-Dame. Mais ce projet ne plaît pas à tout le monde. Reportage ! Faites vous votre opinion.

Source : Youtube – Lapierre

. La chanson du jour, Flowers in december – Mazzy Star

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#webtube : Cette chanson, c’est comme une caresse mélancolique un soir d’automne tardif… La voix aérienne et languissante de Hope Sandoval, les guitares qui glissent comme des larmes douces, cette sensation de temps suspendu. Sortie en 1996 sur l’album Among My Swan, elle parle de l’amour qui persiste même quand tout semble fané.

#webtube : This song is like a melancholic caress on a late autumn evening… Hope Sandoval’s ethereal, languid voice, the guitars that glide like gentle tears, this feeling of time standing still. Released in 1996 on the album Among My Swan, it speaks of love that persists even when everything seems faded.

Source : Youtube – Weboomedia

. L’arc républicain se retourne : la déploraison poignante de Lucie Castets

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#webtube : La célèbre Lucie Castets, cette candidate dont la fabrication et la chute auront battu tous les records de vitesse dans l’histoire de la Ve République, n’en a pas fermé l’œil de la nuit. « Ils ne se cachent plus. Bruno Retailleau nous explique que « le Rassemblement national appartient à l’arc républicain ». Nicolas Sarkozy écrit qu’il n’appellera plus à faire battre les candidats du RN. Laurent Wauquiez souhaite une primaire avec le parti d’Éric Zemmour. »

Tout cela est vrai. Et cela sent la gamelle. Non pas celle qu’on vient tendre au sommet de l’État pour quêter un salaire de Premier ministre mais celle qu’on prend lorsqu’on a mal évalué l’obstacle. Elle a raison, Lucie Castets. L’arc républicain n’est peut-être pas aussi mort qu’on le dit : il est en train de se retourner contre ceux qui en ont usé et abusé avec cynisme, jusqu’à l’usure. La flèche de l’arc républicain tourne et vise de plus en plus nettement la gauche. Cette gauche morale qui s’est alliée avec le pire de l’extrême gauche sans jamais cesser de pousser des cris d’orfraie dès que la droite esquissait un geste de rassemblement.

Étonnante créature mélenchonienne, Lucie Castets a laissé, en tête de son fil X, un post du 23 août 2024 : la photo de la gauche unie autour d’elle, au-dessus de cette phrase qui sonne un peu comique, aujourd’hui : « Nous sommes prêts ! »

À ce sujet — [ÉDITO] Il est libre, Sarkozy !

C’était l’été. La chaleur attisait les rêves fous de l’extrême gauche. Lucie Castets s’installerait à Matignon en deux coups de cuiller à pot. Toute la gauche unie autour de Mélenchon, calife influent, vociférant mais caché, accéderait enfin aux manettes et détruirait rapidement, dans une ébriété hilare, les ruines fumantes que Macron avait laissées.

Lucie Castets, vestale solitaire de la gauche déçue

Quinze mois se sont écoulés – autant dire quinze ans. L’histoire de la gauche est faite de rêves et d’utopies noyés. La candidate virtuelle s’accroche à l’arc républicain comme à une poutre après le naufrage, brandit l’Histoire, convoque même les figures de la droite : « C’est une rupture avec la position de la droite depuis la Seconde Guerre mondiale, pleure Lucie Castets. Du général de Gaulle à Chirac, le refus de s’allier avec les héritiers du pétainisme et de l’Algérie française avait été constant. Ils sacrifient désormais leurs valeurs, assoiffés de pouvoir. »

Personne ne lui a dit, apparemment, que Bardella et Ciotti ne sont pas Pétain et Salan. Quant au sacrifice des valeurs pour étancher la soif de pouvoir : n’était-ce pas précisément l’objectif de cette union de carpes et de lapins de l’été 2024 ? Ce mot historique – « Ils sacrifient désormais leurs valeurs, assoiffés de pouvoir » – ne va-t-il pas comme une moufle à l’incroyable alliance de la gauche et de la droite qui prit forme sous l’impulsion de Gabriel Attal pour enrayer la poussée du RN à l’Assemblée, lors des dernières législatives ?

Il ne reste à Lucie Castets, vestale solitaire de la gauche déçue, que ses yeux pour regretter les stratagèmes de magicien de cirque inventés par Mitterrand et aujourd’hui éventés. La menace hou-hou-hou d’un fascisme imaginaire ne prend plus. Seule avec ses amis de LFI, Lucie Castets continue à évoquer les « valeurs » d’un parti où nombre de ses hiérarques ont pris très souvent des positions, sous couvert de défense de la cause palestinienne, qui frôlaient un certain antisémitisme. Reste à réciter en litanie les invocations usées, râpées à force d’avoir trop servi, « le rejet de la xénophobie, du racisme, de l’antisémitisme, de l’homophobie ».

« Des voies s’élèvent à droite ! »

Le charme est rompu, le temps des grands bannissements (façon terreur rouge) appartient au passé. Lucie Castets, qui a tant rêvé de Matignon, lâche ce constat désabusé : « Des voies (sic) s’élèvent à droite pour alerter sur le danger d’une alliance avec l’extrême droite, mais bien peu nombreuses. Force est de constater qu’ils sont devenus minoritaires dans leur propre camp. »

Elle trouvera peut-être un peu de consolation auprès de Xavier Bertrand, lui aussi emblématique de l’arc républicain d’avant, lui aussi incarnation de ces responsables politiques ensevelis sous l’effondrement du village Potemkine qu’ils ont dressé et si longtemps soutenu. Elle sera sur la même longueur d’onde qu’Emmanuel Macron : le Président démonétisé dans les sondages vient de confier son orthodoxie sur l’arc républicain excluant le RN à… L’Humanité, inamovible promoteur d’une idéologie qui a tué 100 millions d’êtres humains. On se pince.

Rien n’est jamais joué, sur le terrain politique, mais la gauche, très minoritaire en France, semble un peu perdue.

Comme dit Lucie Castets, « des voies (sic) s’élèvent à droite ».

Marc Baudriller, dans BV

. Fatwa numérique contre Nathalie Saint-Cricq et ses propos sur le vote musulman

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#webtube : L’antisémitisme musulman a, semble-t-il, intégré la liste des réalités qu’il n’est plus permis d’évoquer. Les chiens sont lâchés. Depuis qu’elle a exposé les dessous de la stratégie électorale de La France insoumise, Nathalie Saint-Cricq est la cible d’une violente campagne de cyber-harcèlement lancée par l’extrême gauche et ses relais. Tout est parti d’une interview du député Alexis Corbière, diffusée le 3 décembre sur France Info.

Confronté aux nombreux dérapages de son ancien parti, celui qui est désormais militant au sein de « L’Après » a été contraint de reconnaître que l’antisémitisme était « chose sérieuse ». Ce à quoi l’éditorialiste a répondu, du tac au tac : « Et la quête du vote musulman aussi. » La réaction d’Alexis Corbière a été immédiate, pressant la journaliste de s’expliquer sur ce rapprochement fait entre islam et antisémitisme. « Quel est le rapport ? », l’a-t-il interrogée, lui demandant si elle pensait vraiment que certains élus tenaient des propos antisémites dans le but de séduire l’électorat musulman. « Ah, oui ! », a alors rétorqué, avec une candeur rafraîchissante, Nathalie Saint-Cricq, avant de se voir couper la parole par le responsable politique. « Je trouve ça intolérable. Les musulmans n’ont pas besoin qu’on leur tienne des propos antisémites pour qu’ils votent pour quelqu’un », a-t-il alors déclaré, sur un ton indigné.

La journaliste a eu beau préciser qu’elle ne ciblait aucunement les Français de confession musulmane, mais plutôt « ceux qui croient […] qu’en leur disant des propos antisémites, on va pouvoir les rallier », il était trop tard. L’extrême gauche tenait là son nouveau procès en « islamophobie » et ne comptait pas lâcher le morceau.

Une journaliste face à la meute

Les réactions politiques, notamment d’extrême gauche, n’ont pas tardé. Coordinateur de LFI, Manuel Bompard a étrillé l’éditorialiste de France Télévisions l’accusant d’« islamophobie »« Pour Nathalie Saint-Cricq, pour conquérir le vote musulman (expression qui n’a aucun sens quand on se dit républicain), il faudrait être antisémite. Cet amalgame islamophobe n’a rien à faire à la télévision. Ça suffit ! » Les équipes de la députée Clémence Guetté ont également pris la plume pour dénoncer une « sortie raciste », tandis qu’Antoine Léaument a accusé France Info de « faire du CNews ». À la remorque des Insoumis, le socialiste Olivier Faure est allé dans le même sens et a prétendu qu’il n’y avait « aucun lien mécanique à faire entre musulmans et antisémites ». Tout aussi remonté, le très ambigu recteur de la grande mosquée de Paris a annoncé saisir l’Arcom. « Les déclarations de Nathalie Saint-Cricq sont extrêmement graves. Je vais signaler à l’Arcom qui, je l’espère, prendra au sérieux notre demande. Comment peut-on tenir de tels propos ! », a ainsi écrit Chems-Eddine Hafiz, sur X.

Les collègues de Nathalie Saint-Cricq, les syndicats de journalistes et Reporters sans frontières se porteront-ils au secours de leur consœur jetée aux loups ? Rien n’est moins sûr.

À ce sujet — Avec LFI, l’imagerie antisémite connaît un curieux regain

Car une pétition contre la journaliste a également vu le jour, sur Internet. Partagée sur des comptes liés à LFI ou au Nouveau Front populaire, elle demande tout simplement le licenciement immédiat de Nathalie Saint-Cricq de son poste de directrice de la rédaction nationale de France Télévisions. « Des propos ont été tenus par elle à l’antenne de France Info, le 3 décembre 2025, selon lesquels la « quête du vote musulman » serait menée grâce à des déclarations supposément antisémites, écrivent les signataires. Ces déclarations provoquent une stigmatisation d’une communauté dans un média d’information publique, ce qui porte atteinte à la cohésion sociale, à la dignité des personnes concernées, et viole les valeurs de la République. » Plus de 9.000 personnes ont déjà signé ce texte.

Un lien largement documenté

Spécialiste des questions d’islam, l’anthropologue Florence Bergeaud-Blackler a pris la défense de Nathalie Saint-Cricq et estimé que cette dernière était dans son bon droit : « L’antisémitisme peut être un moyen d’aller chercher des voix islamistes », a-t-elle ainsi rappelé. En effet, si le recteur de la mosquée de Paris refuse d’entendre parler d’un quelconque « antisémitisme musulman », ce concept n’a rien de fumeux. En mai 2024, un sondage de l’IFOP nous apprenait que 59 % des Français musulmans estimaient que « les Juifs ont trop de pouvoir dans le domaine des médias », contre 24 % de l’ensemble de la population. En 2014, déjà, la dimension culturelle de cet antisémitisme islamique avait été pointée par une étude réalisée par l’institut Fondapol : la proportion de personnes partageant des préjugés défavorables aux Juifs était alors « 2 à 3 fois plus élevée » dans la population française de culture musulmane que dans le reste de la population.

« Ce qui est frappant, c’est la permanence des stéréotypes, unanimement affirmés, avec les thèmes les mieux connus et les plus constants : le pouvoir et la solidarité », notait alors la sociologue Dominique Schnapper. Des clichés nauséabonds, avancés « comme s’il s’agissait d’évidences partagées par tout un chacun » et très répandus notamment chez les personnes se déclarant d’origine algérienne et marocaine… De quoi accréditer, a minima, la thèse d’une grande porosité de la « Oumma » aux discours antisémites. Surtout si « c’est la science qui le dit », pour reprendre une rhétorique chère à l’audiovisuel public.


Jean Kast
, dans BV

. Laïcité : que de stupidités ils racontent en ton nom

Articles : Dec. 2025Nov. 2025Oct. 2025Sept 2025
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#webtube : Le 9 décembre 2025, c’était le 120e anniversaire de la loi de 1905. Cette loi est à la base de la fameuse notion de laïcité qu’invoquent en permanence la gauche et les bien-pensants en l’accommodant à toutes les sauces, surtout celles qui n’ont rien à voir. La loi de 1905 avait officialisé la séparation de l’Église et de l’État. Chacun étant tenu de rester dans son domaine de compétence à l’échelle du pays, et au plan plan individuel la liberté de culte était reconnue mais il était exigé pour chacun le respect d’une discrétion dans l’espace public. Les choses étaient donc claires, mais à notre époque la situation de notre société a bien changé. Pourtant les principes de 1905 continuent d’être invoqués par certains sans aucune réflexion de cette réalité ce qui est tout simplement absurde. Prenons une minute pour revenir sur tout cela.

Si l’on reprend rapidement et à grands traits le cours de l’Histoire, l’Église fut frappée dès le début de la Révolution de 1789 par les révolutionnaires. Ils mirent fin aux privilèges dont jouissaient l’Église et le clergé catholique sous l’Ancien Régime. Ils confisquèrent les biens du clergé, sur proposition de Talleyrand, par décret du 2 novembre 1789. Avec la Constitution civile du clergé de 1790, les ecclésiastiques français se virent obligés de prêter serment de fidélité à la Constitution. Ce qui engendra deux catégories au sein de l’Église : l’Église « constitutionnelle » qui acceptait ce serment et l’Église « réfractaire » qui le refusait. Le pape condamna en avril 1791 ce serment. Ce serment ainsi que l’anticléricalisme de la Révolution française provoquèrent de nombreuses réactions hostiles, comme ce fut le cas en Vendée qui fut l’objet d’une terrible répression et d’un quasi-génocide de 1793 à 1796 (le chef de cette révolte vendéenne fut Charette qui fut exécuté).

Après sa prise de pouvoir Bonaparte – premier consul – considéra qu’il était prioritaire dès le début des années 1800 de trouver une solution à ces conflits religieux qui minaient le pays. Il trouvera un premier accord avec l’Église catholique qui se traduira par le traité de concordat signé le 15 juillet 1801. Le document sera envoyé au pape qui le ratifiera un mois plus tard, le 15 août 1801. Bonaparte – Napoléon trouvera également des solutions avec les autres religions, notamment avec les juifs. Au départ il y eut une période de dialogue, au cours de laquelle les juifs réfléchirent à la manière de concilier leurs préceptes religieux avec les exigences légales du nouveau Code civil. Puis, en 1807, il y eut la réunion d’un Grand Sanhédrin à Paris pendant un mois, qui tira les conclusions pour la loi juive. En 1808, deux décrets organisèrent les consistoires locaux sur le modèle du protestantisme. Au niveau national, le Consistoire central israélite de France coordonnait les consistoires locaux et nommait le Grand rabbin de France.

Cette situation dite concordataire perdurera jusqu’en 1905, sauf dans un endroit : en Alsace-Moselle. En effet après la guerre de 1870, l’Alsace et la Moselle étaient devenues allemandes. Lorsque la loi de 1905 mettant fin au concordat de 1801 a été votée, ces régions étaient rattachées à l’Empire allemand (traité de mai 1871). En conséquence, en Alsace et Moselle le régime concordataire, toujours en vigueur lors du retour dans le territoire français en 1919, fut maintenu sur décision du Conseil d’État du 24 janvier 1925 déclarant que la loi de 1801, instaurant le concordat, car l’Alsace et la Moselle n’étaient pas concernées par la loi de 1905.

Aujourd’hui, au nom de la loi de 1905 et de la fameuse laïcité, on constate d’innombrables attaques contre notre société, son identité, sa nature et sa culture. Ainsi, par exemple, nous sommes à la période de Noël et il est de tradition depuis la nuit des temps de construire des crèches. Mais les bien-pensants et la gauche veulent deux choses : changer le nom de cette période qui ne serait plus nommée fêtes de Noël, mais fêtes de fin d’année. De même il faudrait faire disparaître partout les crèches de Noël. Pourquoi ? Au nom de la laïcité, un tel affichage ne serait pas conforme avec les principes énoncés par la loi de 1905. Vraiment ? Mais alors pourquoi les mêmes n’exigent pas que le voile islamique soit interdit dans l’espace public puisque c’est contraire à la discrétion exigée par la loi de 1905 ? De même, comment se fait-il que ces gens intransigeants sur les principes de laïcité ne s’élèvent pas, ne s’offusquent pas que la plus grande mosquée d’Europe soit construite à Strasbourg (ville dirigée par la gauche) dont la construction est financée pour une large part par les fonds publics c’est-à-dire les impôts des Strasbourgeois, alors que la loi de 1905 dit que l’État au sens large ne finance aucun culte ? Oui, mais ma bonne dame, vous n’avez rien compris. Soutenir un tel projet, c’est être inclusif. Ne pas le soutenir c’est montrer qu’on est raciste et islamophobe. Quant aux crèches qui seraient conformes à la laïcité, on en a un bel exemple à Bruxelles. Une crèche a été construite avec des personnages qui n’ont pas de visage… conformément à la conception musulmane salafiste. Là aussi c’est inclusif.

Mais il y a un autre problème, jamais abordé lors des débats sur le thème de la laïcité et de la loi de 1905. Tout d’abord, sur ce plan, il faut noter que lors du vote de cette loi, il n’y avait pas d’islam en France. Aujourd’hui, l’islam ne cesse d’y voir son implantation progresser. Il y avait 8 mosquées en France en 1975, il y en a environ 3000 aujourd’hui. Certains prétendent que la loi de 1905 serait applicable à cette religion, comme pour le catholicisme. Sauf que l’islam n’est pas le catholicisme des musulmans. Ceux qui prétendent le contraire ne savent pas de quoi ils parlent. Le catholicisme est une orthodoxie, c’est en même temps une foi, personnelle, et une identité, collective, c’est-à-dire au plan de la société. Tandis que l’islam est une orthopraxie, c’est-à-dire que, bien au-delà d’une foi, cette religion embrasse tous les aspects de la vie en société : l’habillement, la nourriture, les prières quotidiennes obligatoires, les rapports homme/femme, l’héritage, etc. Donc vouloir traiter l’islam comme on traite le catholicisme est juste une hérésie. Réduire l’islam à n’être qu’une religion est la preuve qu’on n’a rien compris au Coran, à l’islam et l’oumma. Derrière l’islam se cache une conception de la vie en société totalement différente de la nôtre. Le fameux vivre-ensemble est une mauvaise blague racontée par la gauche.

Dans les faits, cela se traduit par le fait que l’on exige en permanence de notre société qu’elle accepte de ne plus être elle-même afin d’être plus inclusive avec l’islam, qui lui ne renonce à rien et dès qu’il est majoritaire impose la charia à tous les habitants de la zone qu’il domine comme l’a très justement rappelé Pierre Brochand dans Le Figaro récemment, indiquant qu’il y avait 1500 lieux en France où les lois ne s’appliquaient plus mais où régnait la charia. Propos d’ailleurs confirmés par plusieurs sondages récents spécialement parmi les 15-24 ans qui affirment à 65 % qu’ils considèrent que la charia est supérieure aux lois de la République. Et certains font semblant de ne pas comprendre ce qui nous attend si demain les tenants de l’islam sont majoritaires en France.

Prenons un autre exemple : les prénoms. Napoléon, par une loi de 1803, a obligé pour toute personne naissant en France qu’on lui donne un prénom « en usage dans les différents calendriers, et ceux des personnages connus de l’histoire ancienne ». C’est en 1993 que la gauche a voté une nouvelle loi sur le sujet abolissant celle de Napoléon et permettant le choix d’autres prénoms que ceux prévus dans la loi de 1803. Résultat : il y a de plus en plus d’enfants nés en France qui ont un prénom dont l’origine est de l’autre côté de la Méditerranée. Mais la réciproque n’est pas vrai. Si la France est inclusive sur ce plan, ce n’est pas le cas de l’islam. Tout musulman doit avoir un prénom correspondant à ceux acceptés par l’islam. C’est pour cela qu’en cas de conversion, un nouveau musulman doit changer de prénom. Il n’a pas le choix, c’est une obligation. Ce que manifestement la gauche n’a pas pris en compte en ayant aboli la loi de 1803 sur les prénoms, empêtrée qu’elle est dans son concept du vivre-ensemble qu’elle veut imposer à tout prix, alors qu’exemple après exemple il est indiscutable que les tenants de l’islam ne veulent pas du vivre-ensemble. Ils veulent venir, s’installer et au final s’imposer aux populations autochtones qui devront se soumettre. C’est cela la vérité.

Et puis, comment éviter la question du voile ? D’abord dans l’espace public où il devrait être interdit. Pourquoi ? Mais tout simplement parce qu’il est une sorte d’étendard, très loin de la discrétion voulue par la loi, permettant aux islamistes d’afficher leur présence dans les territoires et si les voiles y sont nombreux d’attester que ces territoires sont conquis. Reste, au-delà de ce problème général, la question du voile chez les très jeunes filles. Pour quiconque réfléchit un peu, le voile pour une jeune fille ne peut qu’être considéré comme un scandale absolu. Rappelons que le voile est prioritairement un signe de soumission et qu’une femme qui le porte affiche qu’elle est soumise. Et pourquoi est-ce encore plus grave pour une gamine ? Parce que le voile envoie un autre message aux hommes : « Je suis une femme respectable, on ne peut pas me convoiter ». Donc mettre un voile sur la tête d’une gamine de 6, 8, 10 ou 12 ans c’est reconnaître qu’elle est un objet sexuel, que pourraient convoiter des hommes, et lui faire porter ce voile atteste qu’elle n’est pas convoitable. Et personne n’est choqué à gauche et chez les bien-pensants de voir ces gamines réduites à être des objets sexuels en leur faisant porter un voile ? Franchement… c’est avec des gens comme cela qu’il faudrait vivre ensemble. Reste que dans nos pays, des abrutis bas du plafond mettent le port du voile dans la catégorie des libertés individuelles. Sauf qu’en Iran et dans de nombreux pays où l’islam règne, des femmes se font tuer car elles refusent de porter ce signe de soumission. Et c’est avec ceux qui les assassinent qu’il faudrait vivre ensemble dans nos pays ?

En vérité et pour conclure, la loi de 1905 et la laïcité ont été le produit de leur époque. Et à cette période il n’y avait pas d’islam. L’apparition et l’implantation toujours plus grande de l’islam en France (et plus largement en Europe) révolutionne totalement nos sociétés parce que l’islam n’est pas une religion comme une autre. C’est une conception de société radicalement différente de la nôtre. Impossible de cohabiter. Soit l’islam s’imposera et notre société disparaîtra, soit notre société va se réveiller avant qu’il ne soit trop tard et prendra les mesures salutaires qui s’imposent. Ce sera soit l’une soit l’autre solution. Aucune autre option n’est possible. Ceux qui nous parlent à tout bout de champ de la loi de 1905 et de la laïcité pour gérer le problème de l’islam nous prennent pour des imbéciles. Ils sont acharnés contre tout ce qui représente l’identité de notre société, notamment le catholicisme et tous ses symboles ; par contre ils sont d’un laxisme stupéfiant vis à vis de l’islam, de ses revendications et conquêtes de plus en plus évidentes. Les Français doivent cesser de se laisser berner par les discours de ces collabos fustigeant l’islamophobie et se rendre compte que le vivre-ensemble est un piège mortel. Le danger les plus terrible qui guette notre société est que l’islam y devienne majoritaire. Attendre qu’il le soit pour s’en alarmer serait fatal.

Bernard GERMAIN, Riposte Laïque

. DNC : derrière l’abattage sanitaire, la liquidation programmée de l’élevage

Articles : Dec. 2025Nov. 2025Oct. 2025Sept 2025
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#webtube : Sous prétexte de lutte contre la dermatose nodulaire contagieuse (DNC), des troupeaux entiers de bovins sont aujourd’hui abattus en Europe. Officiellement, il s’agit d’une mesure de précaution sanitaire. En réalité, cette politique s’inscrit dans une stratégie ancienne et cohérente de réduction massive des cheptels bovins, désormais justifiée par l’idéologie écologique.

La DNC est une maladie virale transmise par des insectes piqueurs. Sa mortalité est faible et des vaccins existent. Pourtant, la réponse quasi automatique reste l’abattage total, y compris lorsque seules quelques bêtes sont atteintes. Un choix radical, socialement destructeur, mais politiquement commode.

Cette guerre contre l’élevage ne date pas d’hier. Dès les années 1960, Sicco Mansholt, commissaire européen à l’Agriculture, lançait un vaste plan de restructuration visant à faire disparaître la petite paysannerie au profit d’une agriculture concentrée et industrialisée. Dans les années 1970, le Club de Rome instillait l’idée que la production, l’agriculture et l’alimentation devenaient des menaces pour la planète. La décroissance entrait dans le logiciel politique.

Aujourd’hui, ce cadre idéologique se traduit par des politiques coercitives. Aux Pays-Bas, sous le gouvernement de Mark Rutte, maintenant recasé à la tête de l’OTAN, un plan de réduction de près de 30 % du cheptel a déclenché en 1992 des révoltes paysannes sans précédent. En Irlande et en Belgique, des projets similaires sont à l’œuvre. Partout, la même logique : sauver le climat en supprimant les vaches.
La DNC devient alors un accélérateur sanitaire de cette décroissance agricole. Ce qui relevait d’un choix politique devient une obligation administrative. L’éleveur n’est plus un acteur économique mais un exécutant. Le troupeau devient une variable de gestion.
Dernier avatar de cette fuite en avant : le Bovaer, additif destiné à réduire la production de méthane dans le rumen des bovins qui semble d’ailleurs avoir des effets secondaires sur les bovins. Derrière la promesse d’une « vache climatiquement neutre », se profile une agriculture entièrement sous perfusion chimique, dépendante de protocoles industriels imposés. Les « escrolos », vous en dites quoi ?

Cette politique n’est pas écologique. Elle est suicidaire pour l’Europe. Pendant que nos pays détruisent leurs élevages, la viande importée explose, produite dans des conditions sociales, sanitaires et environnementales bien pires. La souveraineté alimentaire recule. Les territoires se vident.
Derrière chaque troupeau abattu, il y a un agriculteur ruiné. Derrière chaque norme, il y a un monde que l’on démonte. Et derrière chaque urgence sanitaire, il y a de plus en plus souvent une stratégie de contrôle du vivant.
Refuser l’abattage total systématique, ce n’est pas nier la maladie. C’est refuser que le sanitaire serve d’outil de liquidation agricole. Car une société qui sacrifie ses paysans au nom d’une écologie idéologique sacrifie, en réalité, sa liberté de se nourrir elle-même.
Et que dire de tous les petits fonctionnaires zélés qui appliquent les ordres sans se poser de questions ? On sait ce que cela a donné pendant « les heures les plus sombres » et à quelles abominations cela nous a conduit. N’est-il pas inscrit dans la Déclaration des droits de l’Homme que la « résistance à l’oppression » est un des droits inaliénables ?

Et que dire de l’Ordre des vétérinaires qui, au lieu de défendre la déontologie de cette belle profession en permettant au moins l’exercice d’une clause de conscience, menace mes confrères s’ils parlent et attaquent les lanceurs d’alerte comme Pierre-Guillaume Mercadal ? On comprend mieux comment certains régimes ont pu par le passé commettre des atrocités !

Dr Alain de Peretti vétérinaire, dans Riposte Laïque