#webtube : Autre résultat marquant : Bruno Retailleau ne capitalise pas sur son passage à Beauvau. Rien ne semble arrêter la dynamique dont bénéficie Jordan Bardella. Un nouveau sondage le donne gagnant au second tour de l’élection la présidentielle quel que soit son adversaire.
C’est un petit séisme, dans le monde politique. Une étude Odoxa pour Public Sénat et la presse régionale confirme la popularité du président du Rassemblement national et sa capacité à emmener la formation nationaliste à la victoire finale. Crédité de 35 et 36 % des voix au premier tour (une hausse de 3,5 à 4,5 points depuis la précédente étude d’avril), Jordan Bardella distance ses adversaires. Dans le cas de figure où Édouard Philippe est le candidat du bloc central, le président d’Horizons chute à 17 % (en baisse de 3 points) ; s’il s’agit de Gabriel Attal, l’ancien Premier ministre réalise un piteux 11 %, laissant la deuxième place à Raphaël Glucksmann (14,5 % dans les deux cas de figure). Bruno Retailleau ne redore pas le blason de son camp et stagne à 8-10 %. Avec 3 %, Éric Zemmour réalise un score qui ne lui permet pas de passer la barre fatidique des 5 %, synonyme de remboursement des frais de campagne.
Le bloc de gauche – LFI, les Verts, PS – oscille entre 30 et 33 %. Mais la sensation provient de la victoire du candidat du RN au second tour, scénario qui ne s’était jusqu’ici jamais réalisé dans un sondage. Dans le cas présent, le jeune homme de 30 ans s’impose dans toutes les hypothèses. Il l’emporte avec 53 % contre Édouard Philippe, 58 % contre Raphaël Glucksmann, et renvoie Jean-Luc Mélenchon aux oubliettes, s’imposant en cas de duel avec le fondateur de La France insoumise avec 74 % des intentions de vote.
Le confortable plan B
Quels enseignements en tirer ? Il faut souligner, tout d’abord, la performance inédite de Jordan Bardella, qui réalise ce que jamais Marine Le Pen n’a obtenu : un sondage donnant le parti patriote victorieux au second tour de l’élection présidentielle. Le « plan B » du Rassemblement national qui n’hésite pas à envoyer des signaux aux électeurs de droite, tout en gardant une ligne sociale forte confortée par sa grande popularité, s’affirme. Le succès de son second livre Ce que veulent les Français et de sa tournée de dédicaces arrive à point nommé. Le parti à la flamme attend fébrilement le procès en appel de Marine Le Pen dans le cadre de l’affaire dite des assistants parlementaires, qui se déroulera du 13 janvier au 11 février. En attendant, dans les rangs des fidèles de la députée du Pas-de-Calais, pas question d’aller trop vite en besogne. Sébastien Chenu, vice-président du RN, l’a rappelé, ce 25 novembre, dans les couloirs de l’Assemblée nationale : « Marine Le Pen est notre candidate pour 2027 ; jusqu’à preuve du contraire, elle l’est, elle le demeure, quoi qu’il arrive. »
Autre point marquant : Bruno Retailleau ne capitalise pas sur son passage à Beauvau. Les Républicains sont plombés par une ligne illisible, alors que six de ses membres appartiennent au gouvernement et que dans de très nombreuses villes, ils feront liste commune avec les macronistes aux municipales en 2026. Enfin, la candidature Reconquête restera-t-elle à 3 %, si Sarah Knafo porte la bannière de son parti ?
Le Monde se convertit
Ce sondage démontre la fébrilité du bloc de gauche, qui s’éloigne des préoccupations réelles des Français. Le ras-le-bol fiscal, migratoire, sécuritaire qui submerge notre pays conduit les Français à se tourner massivement et majoritairement vers leur droite. La bérézina socialo-communiste est magnifiquement illustrée par le journal Le Monde qui s’interrogeait, il y a deux jours, par la voix d’un de ses éditorialistes : « Si la gauche veut regagner les classes populaires, elle ne peut plus faire l’impasse sur l’immigration. » Incroyable prise de conscience, cet aveu sonne même comme une sorte de révélation, pour un journal qui n’a de cesse de dénoncer les « thèses xénophobes et populistes ». « Alors que l’extrême droite continue de s’enraciner auprès de l’opinion, la gauche paraît davantage préoccupée par le débat budgétaire et la question des primaires que par la nécessité de répondre aux questions qui taraudent les Français, la délinquance et l’immigration », écrit Philippe Bernard, qui reconnaît du bout des lèvres qu’une immigration galopante peut ne pas être sans « conséquence sociale ». La bonne affaire. « La question ne saurait se limiter à du « racisme », elle mérite d’être prise au sérieux comme une question sociale et non identitaire. »
Les moralisateurs professionnels, garants des « valeurs de la République », les démocrates idéologues sans peur et sans reproche s’aperçoivent qu’ils ont abandonné en chemin une broutille : le peuple. Et c’est le peuple qui vote.
#webtube : Parfois, une chanson te tombe dessus 20 ans après et te met KO. « Missing » de Bruce Springsteen (tirée de l’album The Rising, 2002) en est une. Une simple photo dans un journal, un café qui refroidit, un lit trop grand… Et Springsteen, avec sa voix rauque et tendre, raconte le vide laissé par quelqu’un qui n’est plus là. Pas de grand discours, pas de pathos excessif : juste la vie qui continue, mais en boitant. « Everything is everything But you’re missing »
#webtube : Some songs hit you like a freight train… 20 years late. “Missing” by Bruce Springsteen (from The Rising, 2002) is one of those. A photograph in the paper, coffee getting cold, a bed too big… With that raw, tender voice, Bruce tells the story of the hole someone leaves behind. No big speeches, no over-the-top drama—just life limping along without them. “Everything is everything But you’re missing”
#webtube : Un groupe de 29 sénateurs, piloté par la sénatrice LR du Val-d’Oise Jacqueline Eustache-Brinio, vient de produire un rapport de 107 pages qui liste 17 mesures sur la manière de lutter contre l’entrisme islamique en France.
« L’islamisme est un obstacle à notre cohésion nationale. » « L’ensemble de ces mesures converge vers la nécessité d’un réarmement républicain global face à l’offensive islamiste. Ce réarmement doit être à la fois intellectuel, juridique, administratif et politique. » affirme le rapport.
Pour la sénatrice : « L’islamisme constitue une idéologie qui vise la transformation de la société française selon des normes religieuses radicales, constituant ainsi un projet séparatiste systématique de long terme. » C’est contre cela et non contre l’islam qu’elle lutte, tient-elle à préciser, pour ceux qui voudraient l’accuser d’amalgame.
Un amalgame que les spécialistes de l’islam pratiquent en toute connaissance de cause. Rappelons cette sentence de Ferhat Meheni, président du gouvernement kabyle en exil : « L’islam, c’est l’islamisme au repos. L’islamisme, c’est l’islam en mouvement. C’est une seule et même affaire. »
Les 17 mesures proposées par le rapport sont certes intéressantes, mais nos gentils sénateurs semblent avoir oublié une chose : quand la baignoire déborde, rien ne sert de disposer d’une armada de seaux, d’écopes, de serpillières, d’éponges. La première chose à faire est d’arrêter le robinet d’arrivée d’eau.
Prétendre lutter contre l’islamisation de notre société sans stopper l’immigration, essentiellement musulmane, et mettre un terme à ses nombreuses pompes aspirantes, c’est aller au-devant d’un échec évident. C’est toute la différence entre droite molle et droite de conviction. Cette dernière aurait placé l’arrêt de l’immigration en 1. Les LR n’en font même pas état…
Voici quelques-unes des 17 mesures du rapport :
L’interdiction du voilement des fillettes et jeunes filles avant l’âge de 16 ans dans l’espace public
Un peu difficile à appliquer sur le terrain… Les policiers vont-ils verbaliser la jeune fille ou ses parents ? Comment apprécieront-ils l’âge des jeunes filles, surtout si elles sont voilées ? De son côté, le patron des LR à l’Assemblée nationale, Laurent Wauquiez, devait déposer ce lundi une proposition de loi visant à interdire le port du voile pour les mineures. Le député de Haute-Loire cite notamment une étude de l’Ifop, selon laquelle 44 % des jeunes filles musulmanes de 15 à 24 ans portent aujourd’hui le voile, contre 16 % en 2003. Le rapport ajoute que les sénateurs du groupe « sont également favorables à l’interdiction du port du voile par les accompagnatrices scolaires afin de maintenir un espace éducatif neutre et cohérent avec les principes de l’école publique ». Il explique que « cette mesure vise à préserver la neutralité de l’environnement scolaire. Elle avait été votée par le Sénat à l’occasion de l’examen de la proposition de loi tendant à assurer la neutralité religieuse des personnes concourant au service public de l’éducation, le 29 octobre 2019. L’Assemblée nationale n’a pas choisi d’inscrire le texte à son ordre du jour. Une nouvelle disposition législative est donc nécessaire ».
Interdiction du jeûne pour les moins de 16 ans
Une recommandation qui apparaîtra encore plus lunaire. Comment empêcher quelqu’un de faire le jeûne sinon en le forçant à manger ? On attend les courageux policiers qui viendront gaver de force les mineurs qui entendent jeûner à l’image de leurs parents…
Lutter contre les mariages forcés
Le groupe de travail recommande que soit systématisée la procédure d’audition des époux avant la transcription du mariage par les autorités consulaires françaises afin d’éviter les mariages forcés. On attend que la loi française, qui met le mariage civil avant le mariage religieux, soit enfin respectée : l’Église catholique la respecte scrupuleusement, alors que les imams s’en jouent royalement. Ainsi Salah Abdeslam s’est marié religieusement dans sa prison, devant les autorités de l’établissement d’arrêt, et n’a même jamais procédé au mariage civil.
Rattacher la délivrance des visas au ministère de l’Intérieur
Cette mesure de bon sens permettrait d’assurer une cohérence entre entrée, séjour et contrôle des étrangers, en regroupant sous une même autorité les décisions relatives aux visas, aux titres de séjour et aux éloignements. Selon les sénateurs, cette mesure « constituerait un levier stratégique, en adaptant les critères de visas selon la coopération des pays d’origine ou de transit et en consolidant l’impact coercitif de la politique migratoire. Une telle centralisation contribuerait par ailleurs à la prévention de l’infiltration d’individus liés à l’islamisme radical, en permettant un contrôle plus strict des entrées sur le territoire national. »
Traçabilité du financement des mosquées et des associations
Il est nécessaire, pour la sénatrice et ses collègues, « de tracer les financements des mosquées et associations en vue de prévenir l’utilisation des structures religieuses à des fins de propagande politique. Cela implique un renforcement des obligations déclaratives des associations recevant des financements étrangers ainsi qu’un contrôle effectif du respect de ces obligations. »
Assurer la neutralité dans le sport
Dans le sport, Jacqueline Eustache-Brinio assure qu’il faut agir en veillant au respect de la « neutralité ». Les sénateurs de son groupe de travail « appellent de leurs vœux l’adoption définitive de la proposition de loi de Michel Savin visant à assurer le respect du principe de laïcité dans le sport. Ils souhaitent, par ailleurs, inciter les fédérations sportives, comme l’a déjà fait celle du football, à modifier leurs règlements pour aboutir à une neutralité totale dans chaque discipline. »
Rendre obligatoire la neutralité des élus dans l’exercice de leur mandat et l’interdiction du port de signes religieux ostentatoires
Une mesure proposée depuis plusieurs années par les sénateurs LR. « Cette mesure, qui concernerait en particulier les élus locaux, notamment les maires et conseillers municipaux, paraît cohérente avec la neutralité déjà imposée aux élèves des écoles publiques, aux fonctionnaires et agents publics, aux magistrats, aux forces de l’ordre ou aux militaires ».
Rallonger jusqu’à sept mois la durée maximale de rétention des étrangers les plus dangereux
Cette mesure vise à se donner davantage de chances de réussir leur éloignement. Déjà présentée à l’Assemblée et censurée, le 7 août dernier, par le Conseil constitutionnel, au grand dam de Bruno Retailleau, alors membre du gouvernement, qui soutenait cette initiative.
Maintien de l’interdiction des signes religieux ostentatoires dans les écoles
Le rapport souligne « les effets positifs de la circulaire Attal de septembre 2023 ». Selon les auteurs, « ce texte a permis de réduire les incidents liés aux revendications religieuses, ce qui montre l’efficacité de la fermeté républicaine quand elle s’exprime clairement ». Ils pointent cependant encore du doigt ce qui, à leurs yeux, constitue certaines anomalies, comme la gestion du Crous, établissement public lié au ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, lorsqu’ils écrivent dans leur rapport : « En infiltrant les structures chargées de l’alimentation étudiante, les réseaux islamistes peuvent imposer leurs normes (alimentation halal) et créer des habitudes qui normalisent leurs exigences. »
Le rapport a été précédé de l’audition de nombreuses personnalités politiques et de la société civile
Parmi les dix-huit intervenants de la société civile, longuement auditionnés par le groupe (hauts fonctionnaires, représentants des cultes, sociologues, juristes, représentants d’associations d’élus, universitaires, lanceurs d’alerte), on trouvait des personnalités comme Bertrand Chamoulaud, actuel directeur du renseignement territorial (les ex-RG), Matthieu Ghadiri, ancien agent d’infiltration au sein des services de contre-espionnage, Mohamed Louizi, ancien membre des Frères musulmans, mais aussi l’ancien préfet Michel Aubouin, l’essayiste Céline Pina, connus pour leurs écrits sur ces sujets délicats, ou encore l’imam de Drancy, Hassen Chalghoumi, et l’anthropologue, chercheur au CNRS, Florence Bergeaud-Blackler, qui a accompagné ces travaux pas à pas.
L’intervention de Florence Bergeaud-Blackler a particulièrement frappé les sénateurs
Selon Florence Bergeaud-Blackler, « les organisations islamistes en France, dont celle des Frères musulmans, s’articulent autour d’une structure pyramidale secrète comptant une centaine de membres assermentés, influençant environ 100.000 fidèles à travers 100 à 200 mosquées ». Elle décrit un « écosystème completde 280 associations satellites, 21 établissements scolaires, 114 écoles coraniques. Les membres prêtent un serment d’allégeance (bay’a) engageant à “faire le djihad” et à une obéissance absolue aux dirigeants. » Des éléments qui nourrissaient déjà largement un rapport officiel explosif sur la mouvance frériste, en partie déclassifié et publié en mai 2025.
Stratégies d’infiltration des réseaux fréristes
Le groupe de travail LR assure que ses propres auditions « ont révélé que les stratégies d’infiltration islamistes reposent sur le double discours systématique, l’entrisme dans les institutions publiques (administration, éducation, sport) et l’instrumentalisation des libertés démocratiques ». Selon le rapport, « les réseaux islamistes exploitent également les failles juridiques de l’État Français. Les terrains particulièrement visés sont l’école (contestations pédagogiques, voilement des fillettes) et le sport (notamment les arts martiaux). Le voile devient alors l’étendard de l’apartheid sexuel, instrument de contrôle social et de marquage territorial ». Selon ce document, « des territoires entiers connaissent une ghettoïsation avec la création de sociétés parallèles échappant aux normes républicaines ».
Proposition de loi constitutionnelle sur la prééminence des lois républicaines
Face à ces menaces, les 29 sénateurs demandent l’examen rapide par l’Assemblée nationale de la proposition de loi constitutionnelle visant à garantir la prééminence des lois de la République, adoptée en première lecture par la Haute Assemblée le 20 octobre dernier, qui prévoit que « nul individu ou nul groupe ne peut se prévaloir de son origine ou de sa religion pour s’exonérer du respect de la règle commune ».
Développer un « contre-discours républicain » constitue selon les sénateurs une exigence
Ils préconisent notamment « la réaffirmation de la mixité filles-garçons dans tous les espaces éducatifs, culturels, sportifs, associatifs, sans exception possible ». Ils réclament aussi « la restauration d’une politique de soutien aux femmes des quartiers grâce à des associations indépendantes des groupes religieux, avec des moyens dédiés à leur autonomie, leur expression et leur formation ». Les pouvoirs publics doivent, selon eux, adopter des « mesures de protection pour les femmes qui prennent le risque de résister aux pressions communautaires ».
Encore une fois, ces 17 mesures sont nécessaires, mais elles sont largement insuffisantes tant que ne sera pas prise la mesure princeps, à savoir un arrêt total de l’immigration. Le nombre fait la force : dans certains quartiers, de plus en plus nombreux, et maintenant jusque dans les petites villes voire les villages, ce ne sont plus les lois de la République qui sont appliquées, mais la charia, la loi islamique, en tandem avec la loi des gangs ethniques.
#webtube : Borloo vient de découvrir l’eau chaude : « La France est en train de s’effondrer » nous dit-il, oubliant qu’il fait partie des politiciens ratés, de tous ces bras cassés qui ont dilapidé l’héritage des Trente Glorieuses, se contentant depuis quarante ans de combattre JMLP et le RN.
Comme le dit Alain Falento, tous ces nuisibles, on les a assez vus et entendus.
Je rappelle qu’en 1975, la France caracolait en tête des nations européennes et se plaçait juste derrière les États-Unis au plan mondial. Nous avions le 5e niveau de vie au monde, derrières les USA, la Suisse, le Luxembourg et la Suède. La France gaullienne était un paradis respecté, envié et admiré, en pointe dans tous les domaines scientifiques. Le coût financier de Mai 68, quand la gauche hystérique prétendait nous vendre son contre-modèle de société, fut résorbé en six mois, tant la croissance était au beau fixe. Puissance nucléaire par la volonté du Général, la France rayonnait aux quatre coins du monde, méritant amplement son siège permanent au Conseil de sécurité de l’ONU.
L’Allemagne n’était pas encore réunifiée, le Japon commençait à vendre ses montres au kilo, la Chine sommeillait encore, l’Inde ramassait ses cadavres chaque matin dans les quartiers pauvres, l’Amérique du Sud vivait au rythme de ses révolutions et l’Afrique retournait peu à peu vers l’ère précoloniale, ravagée par les coups d’État et le retour des guerres tribales.
Pas besoin de remonter à Louis XIV pour louer le rayonnement passé de la France. De Gaulle a réalisé en une seule décennie le redressement de notre malheureux pays emporté dans le tourbillon de la folie hitlérienne. Mais ses successeurs, de gauche comme de droite, se sont acharnés à tout détruire, ne consacrant leur énergie qu’à leur maintien au pouvoir, en s’alliant néanmoins systématiquement contre le FN lors de chaque élection.
En cinquante années d’immigration et de mondialisme débridé, tout a été détruit. Macron s’étant montré particulièrement zélé dans le démantèlement de la France, en liquidant son histoire, son école, ses services publics et en bradant son industrie ainsi que son agriculture aux intérêts américains ou européens. Il a la haine des nations mais prétend aujourd’hui défendre les frontières ukrainiennes.
Nous sommes ruinés et au bord de la guerre civile, incapables de résister aux assauts de l’islam politique, autant par lâcheté que par ignorance, pour ne pas dire par trahison. Car c’est bien le gaullisme que nos politiciens trahissent depuis le départ du grand homme.
Mais il serait injuste de n’accuser que les politiciens dans la destruction de la nation.
Par ses votes irréfléchis, reconduisant systématiquement les fossoyeurs de la France, le peuple est le premier artisan de son malheur. Plus il se plaint de l’immigration, plus il vote pour des immigrationnistes. Plus il se plaint de la mondialisation et plus il se dit européen, restant hostile au Frexit. La responsabilité du désastre incombe à tous.
Le grand patronat a toujours exigé une immigration de masse pour peser sur les salaires et développer la consommation. Mais où sera le bénéfice quand le pays sera devenu un champ de ruines ? Cette immigration, constituée en majorité de déshérités sans diplômes, nous coûte plus de 100 milliards par an selon l’Observatoire de l’identité et de la démographie (OID), soit 3,4 points de PIB. Avec notre croissance inférieure à 1 %, on voit mal comment l’immigration de pauvres pourrait nous enrichir.
Les enseignants, majoritairement de gauche et qui façonnent les citoyens de demain, n’ont toujours pas compris que la gauche de 2025 n’est plus celle de Georges Marchais qui protégeait les travailleurs et s’opposait farouchement à l’immigration. La gauche de 2025, c’est celle de Mélenchon et de l’islamo-gauchisme qui a lâché l’électorat ouvrier. Certains enseignants exercent la peur au ventre, mais n’ont-ils pas fermé les yeux sur l’islamisation de l’école, au nom du droit à la différence et de l’accueil de l’Autre ?
Et que dire des médias subventionnés pour distiller la bonne parole du politiquement correct, que dire des juges qui ont pris l’ascendant sur les politiques et défendent davantage les malfrats que notre droit élémentaire à la sécurité, que dire de certains généraux irresponsables qui agitent le spectre d’une invasion russe totalement imaginaire, en évacuant le véritable danger qui menace le pays, à savoir l’islamisme ? On cherche vainement une figure patriote et courageuse capable de redresser notre nation millénaire, capable d’agir au lieu de se contenter de constats sans lendemain.
La France paie le prix de sa lâcheté, de son inconscience face aux véritables dangers, elle paie le prix de sa naïveté face au lavage de cerveau permanent entretenu par les ayatollahs du politiquement correct.
Par conséquent, si notre pays a encore une petite chance de s’en sortir et d’éviter la sortie de l’histoire, ce sera avec du sang neuf, en écartant sans état d’âme tous ceux qui ont eu une parcelle de pouvoir depuis cinquante ans, aussi bien les partis politiques que les personnalités. Les partis traditionnels sont disqualifiés à jamais.
N’accordons notre confiance qu’à des figures nouvelles comme Sarah Knafo, Marion Maréchal ou Jordan Bardella, en exigeant d’eux la réconciliation sans conditions pour une union salvatrice des droites patriotes et identitaires, à l’exclusion de cette maléfique droite LR socialo-centriste qui ne sait que mentir et trahir.
L’heure des constats est passée, 2027 sera l’ultime bataille des patriotes et amoureux de la France pour la sauver des griffes des mondialistes qui veulent sa disparition. Il n’y aura pas de deuxième chance.
#webtube : Cette dame s’est plainte de nombreuses fois à ses enfants pendant un an. Tout paraissait si bien à l’Ehpad. Tout le monde était si gentil. Ses enfants ont cru que si leur mère avait des hématomes sur le visage, c’est qu’elle se cognait à la barrière du lit. Ou alors, qu’elle perdait un peu la tête. Jusqu’au jour où ses hématomes étaient si graves que ses filles ont décidé de mettre une caméra cachée dans sa chambre.
Leur mère se plaignait d’être battue par un homme mais la direction disait qu’il n’y avait pas d’homme. C’est en regardant les vidéos que les enfants ont découvert qu’il y avait bien un homme dans l’Ehpad, la nuit. Elles l’ont dit à la direction.
La direction a avoué que oui, il y avait bien un homme, la nuit. Mais « si gentil, si dévoué, si aimé de tout de monde ! Et même, il adore votre mère !… » Ben voyons. C’est comme ces terroristes dont les voisins affirment ensuite qu’ils étaient si gentils, si serviables qu’on n’aurait jamais cru qu’ils agiraient de manière aussi horrible.
Au même moment, la dame est tombée de son lit, elle est restée plus d’une heure par terre, elle s’était cassé le col du fémur. Et sur une vidéo, on voit « l’homme » la tirer par les cheveux, la traîner par terre en l’insultant puis la jeter sur son lit sans ménagement.
Pour couronner le tout, il la traitait de sale pute.
La dame ne pourra plus jamais marcher de sa vie, en raison de ces mauvais traitements.
Il y a eu un procès, au cours duquel on n’a pas pu visionner la vidéo car c’était trop violent. La cour a juste fait écouter les sons. L’homme a écopé de cinq ans de prison dont trois ferme, et a été interdit définitivement de travailler dans un Ehpad. C’est un peu doux comme sanction. On aurait pu espérer plus sévère.
Sous l’Ancien Régime, on lui aurait arraché les ongles un à un, on l’aurait sévèrement battu et on l’aurait jeté dans un cul-de-basse-fosse. Mais sous l’Ancien Régime, il n’y avait pas d’Ehpad. Les vieux vivaient rarement très vieux et leurs familles les gardaient chez elles, la plupart du temps avec joie et affection et dans la simplicité. Mais les temps ont changé, comme on dit.
Et il y a tous les jours des affaires comme celle-ci qui sortent. Dans toute la France des pensionnaires d’Ehpad sont maltraités, insultés et des femmes sont agressées sexuellement.
Comme cette femme de 94 ans qui se plaint d’avoir été agressée sexuellement et qui n’est pas en état de donner les détails.
Ou cette autre femme qui a eu accès à un escalier qui aurait dû être fermé et ne l’était pas. Elle s’est cassée en mille morceaux.
Cette femme encore qui, tombée, a vomi au sol. Quand le soignant est venu, il a essuyé par terre avec la couverture et… a remis la couverture sur le lit. Après, on dit que les personnes âgées sentent mauvais.
À croire que des diversitaires ou des gens rendus malades d’un syndicalisme outrancier veulent faire payer la vie dorée que ces personnes sont supposées avoir eue avant d’entrer en Ehpad.
Et il n’y a pas que les coups et les gifles. L’impossibilité de s’occuper comme il se doit d’un pensionnaire faute de personnel équivaut à de mauvais traitements.
Par exemple cette femme âgée qu’on n’a pas eu le temps de coucher. Elle a passé toute la nuit dans son fauteuil. Surtout, elle est restée treize heures dans une couche répugnante.
Ou cette autre à laquelle on avait mis une minerve, on se demande bien pourquoi. Sans sa fille venue la voir et qui a desserré la minerve, elle aurait pu s’étouffer.
On devrait contraindre les Ehpad à prendre le personnel en nombre suffisant. Car on ne peut pas, hors mauvais traitements bien sûr, jeter la pierre entièrement aux aides-soignants.
Certains Ehpad sont gérés comme des boîtes à fric. Au dépens de nos anciens, qui deviennent victimes du plus vite, plus vite, à l’heure de leur vie où ils sont moins rapides en raison de leur âge et aimeraient prendre un peu de temps. Et avoir si ce n’est de l’affection, au minimum du respect.
Les aides-soignants ont très peu de minutes pour changer les pensionnaires trop nombreux, les laver, les coucher. L’un d’eux raconte qu’il a treize minutes pour enlever le pyjama, laver sommairement, mettre une couche, habiller, descendre pour le déjeuner.
Ils ont peu ou pas de temps pour les faire manger ou les aider à manger. Au bout d’un moment, on enlève les assiettes, même pleines. Beaucoup de pensionnaires sont donc déshydratés, dénutris. Tout le monde se souvient de cet Ehpad très cher, qui faisait des économies sur la nourriture… notamment sur le nombre de biscottes au petit-déjeuner !
Pour leur faire prendre leurs remèdes, on écrase souvent ceux-ci avec la nourriture, la rendant infecte.
La rentabilité dans les Ehpad est un concept détestable. Le pensionnaire devient un numéro dans la boîte à fric, il doit tout supporter sous peine d’être tapé, et ne pas coûter trop cher. La famille est souvent loin et, malgré elle, inefficace.
Sans parler de ces Ehpad où les « clients » sont piqués définitivement, ni vu ni connu je t’embrouille.
Et il y aurait en France 700 000 personnes âgées seules, sans amis, sans famille. Leurs derniers jours risquent fort de ne pas être drôles du tout.
D’ailleurs, nous avons tous du souci à nous faire. Pour les nôtres et pour nous-mêmes. Car nous sommes tous menacés par ces fins de vie misérables, tout à fait sordides, totalement dépourvues d’humanité.
#webtube : Quand les points de vue et les perspectives s’opposent sur la guerre en Ukraine, peut-on croire les médias milliardaires comme LCI étant donné leur passif compliqué dans la couverture d’autres conflits comme les guerres d’Irak et d’Afghanistan ou les révélations de Julian Assange, Edward Snowden ou Chelsea Manning? Nous en parlons en direct avec deux intervenants réguliers de la chaîne, M.M Aurélien Duchêne et Xavier Tytelman
#webtube : La France à l’heure d’un basculement économique majeur. Dans cette interview exceptionnelle, l’économiste @MarcTouatiTV alerte sur un cocktail explosif : dette publique incontrôlable, tensions monétaires en zone euro, et surtout… menace directe sur l’épargne des Français.
Pourquoi l’écart de taux entre la France et l’Allemagne est-il si inquiétant ?
Jusqu’où peut aller la pression fiscale pour combler les déficits ?
Et que risque réellement votre épargne placée sur des supports dits « sûrs », mais “improductifs” ?
Livrets réglementés, assurance vie traditionnelle : ces placements sont-ils encore adaptés à un monde en mutation ? Découvrez comment les actifs tangibles, comme l’or, peuvent offrir une protection réelle dans un contexte de crise prolongée.
#webtube : Dissolution française La fin du macronisme est un journal intime écrit entre 2022 et 2024 qui décrit les débats parlementaires les négociations secrètes et les échecs d’une majorité fragile. L’auteur y expose comment les réformes imposées sans concertation comme celle des retraites ont miné la cohésion sociale. Il dépeint un pouvoir qui privilégie les intérêts privés et les influences étrangères au détriment de l’intérêt général. Enrichi d’une préface d’un ancien leader et d’une postface familiale ce récit se lit comme un réquisitoire contre un système qui dissout les fondements de la nation. Il insiste sur l’abandon de la souveraineté économique avec la vente de fleurons industriels et critique les illusions d’une élite qui ignore les réalités du peuple. Ce livre posthume offre une introspection sur la droite traditionnelle appelant à un retour aux valeurs gaullistes pour contrer les extrêmes et restaurer une France indépendante.
CONTEXTE DE PUBLICATION Publié le 13 novembre 2025 chez Robert Laffont cet ouvrage était initialement prévu pour octobre mais sa sortie posthume en fait un événement symbolique. Achevé juste avant le suicide présumé de l’auteur le 7 juillet 2025 il capture l’essence d’une période chaotique marquée par la dissolution de l’Assemblée en juin 2024 et la censure du gouvernement la première depuis 1962. Ce timing renforce son impact révélant les fractures internes d’une République affaiblie par des décisions arbitraires et des alliances opportunistes. L’auteur ancien président d’un groupe parlementaire clé y exprime son désarroi face à un régime qui accélère la désintégration nationale. Dans un climat de crise post-réélection ce témoignage devient un testament politique alertant sur les dangers d’une globalisation qui érode la souveraineté. Les événements récents comme les tensions géostratégiques et les crises économiques soulignent la pertinence de ces critiques écrites dans l’urgence d’une fin tragique.
POURQUOI ATTAQUE-T-IL LE MACRONISME ? Les attaques virulentes s’expliquent par une conviction profonde que ce régime trahit les intérêts français. Il accuse une corruption systémique où les lobbies et puissances étrangères dictent les politiques menant à une dissolution non seulement parlementaire mais aussi culturelle et industrielle. Le macronisme est vu comme l’artisan d’un déclin lent imposant des réformes mal préparées sans dialogue véritable favorisant les débauchages individuels et les compromis douteux. L’auteur dénonce une dérive idéologique qui affaiblit les mœurs nationales permettant à des révolutions sociétales de prospérer sur un terrain moralement fragilisé. En privilégiant une Europe fédéraliste et une économie libérée des contraintes souveraines ce système vend l’âme de la France aux intérêts globaux. Ces critiques ancrées dans un refus des extrêmes appellent à une renaissance nationale pour contrer l’effacement progressif de l’identité française face à des menaces internes et externes. Il s’agit d’un cri d’alarme pour préserver l’héritage républicain contre un pouvoir évanescent qui priorise le court terme.
CONCLUSION Ce livre représente un appel à la résistance contre un système qui a échoué à protéger la nation. En adoptant une perspective qui valorise l’indépendance et la fierté nationale il invite à réfléchir sur les voies pour reconstruire une France forte et unie. Son impact pourrait inspirer un renouveau politique loin des dérives actuelles.
#webtube : Peut-on couper la France de ses racines chrétiennes ? Quelle place occupe aujourd’hui l’héritage chrétien dans la société française ? Le pays connaît une évolution rapide de ses pratiques culturelles et religieuses, tandis que la laïcité, l’immigration et les changements démographiques alimentent de nombreux débats publics.
Dans cette émission, Élise Blaise reçoit Éric Zemmour, essayiste et président fondateur de Reconquête !, pour échanger autour de son dernier ouvrage « La messe n’est pas dite – Pour un sursaut judéo-chrétien », publié chez Fayard et disponible ici (https://boutiquetvl.fr/accueil/eric-z… ) Ensemble, ils reviennent sur : – les déclarations de Fabien Mandon, le chef d’état-major des Armées (CEMA) – l’identité chrétienne de la France – l’influence des démographies sur la civilisation chrétienne – les transformations de la société française – le rapport entre identité, culture et histoire, et civilisation – les perspectives d’avenir dans un contexte en mutation. Un entretien axé sur l’analyse, les tendances de long terme et les enjeux culturels qui traversent la France.