. La chanson du jour, Sometimes I Feel Like Screaming – Deep Purple

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#webtube : « Il y a des morceaux qui te prennent aux tripes dès les premières notes… « Sometimes I Feel Like Screaming » de Deep Purple (Purpendicular, 1996) en fait partie. Cette intro à la guitare, longue, hypnotique, presque douloureuse, signée Steve Morse… et puis la voix de Ian Gillan qui arrive, fragile et puissante à la fois. On sent le poids des années, la fatigue, mais aussi une rage sourde. C’est pas du hard rock clinquant, c’est du Deep Purple mature, introspectif, presque blues dans l’âme. 7 minutes 30 de pure émotion qui finissent en crescendo déchirant.

#webtube : « There are songs that grab you by the soul from the very first notes… « Sometimes I Feel Like Screaming » by Deep Purple (Purpendicular, 1996) is one of them. That long, haunting, almost painful guitar intro by Steve Morse… then Ian Gillan’s voice comes in, fragile yet immense. You can feel the weight of the years, the weariness, but also this quiet, burning rage. This isn’t flashy hard rock. This is mature Deep Purple: introspective, blues-soaked, deep. 7:30 of pure emotion that builds into a heart-wrenching climax.

Version Originale

Version en concert

Source : Youtube – Gork

. Operation militaire Dacian Fall : l’énorme échec que la macronie veut vous cacher… | avec Code Reinho

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#webtube : L’opération Dacian Fall (20 oct. – 13 nov. 2025, Roumanie) est un fiasco pour l’armée française, visant à déployer rapidement une brigade sur le flanc est OTAN. Prévue comme Dacian Spring en mai 2025, elle a été reportée et allégée, exposant faiblesses logistiques, infrastructures et politiques. Cette manœuvre anti-Russie s’est muée en humiliation, montrant l’incapacité française à passer d’opérations africaines à haute intensité européenne.

CONTEXTE DE L’OPERATION : La France excelle en déploiements rapides via alerte Guépard (5000 soldats en 12h, surtout Afrique, avec VAB, VBCI). Pour OTAN Aigle en Roumanie, engagement à projeter 7e Brigade Blindée (3000-5000 hommes, Leclerc 60t, Caesar, logistique) en moins de 10 jours. Annoncée oct. 2024 par général Schill comme signal anti-Russie. Chargements janv. 2025 Toulon vers Alexandroupolis (Grèce), puis Bulgarie/Roumanie. Dacian Spring : 4000 soldats/10 pays allégé (Ministère roumain Défense). Report à Dacian Fall oct. 2025 : arrivée partielle, 2400 Français/5000 total (NATO Shape), focus interopérabilité.

ECHECS LOGISTIQUES : Infrastructures roumaines inadaptées : routes étroites, ponts faibles pour Leclerc, détours 2h, risques accidents (sources roumaines). Problème récurrent flanc est, comme Américains. Français : 1500 containers en 10j cauchemar ; 2022, bataillon = 20 vols An-124 + paperasse. Dacian Fall : mer (519e Train), air, mais OTAN chaotique, trains inadaptés. Article CEPA (mars 2025) : interférence russe retards. Armée française experte Sahel, mais incompétente Europe, manque budget/préparation vs Américains.

PROBLEMES POLITIQUES ET ELECTORAUX Timing nul : Dacian Spring pendant présidentielle roumaine 2025, Nicușor Dan (pro-OTAN) bat George Simion (anti-OTAN). Déploiement massif risqué politiquement. Analystes Politico (oct. 2024) : questionne pivot Macron vers Est/Ukraine sans moyens. Report Dacian Fall post-élections : bluff, renforts progressifs vs complet.

CRITIQUES EXTERNES Critiques web : Vidéo YT « France Deployed Armored Brigade To BULLY Russia » (nov. 2025) ridiculise annulation logistique. Post X @GeromanAT (nov. 2025) : « échec sévère » France. Reporteri.net (nov. 2025) : Rutte vante, mais ironie « 4000 incluant cuistots ». Instagram reels : « crise logistique NATO », memes ponts effondrés. Quora (nov. 2024) : France ridiculisée, inapte haute intensité. Ministère minimise via communiqués vagues.

CONSEQUENCES ET SIGNAL STRATEGIQUE RATE Échec crédibilité OTAN : bluff vs armée opérationnelle Europe. Discrédite Macron Ukraine. Vs 12000 N-Coréens Ukraine (30% pertes), 2400 Français light pâle. Confirme expertise « pécores désert » vs Russie. Pas test 2026 pour éviter humiliation. Symbolise incapacité déploiement, bureaucratie OTAN cauchemar.

CONCLUSION Dacian Fall : exercice modeste « bac à sable » vs ambitions. Signal : France pas prête haute intensité, encourage Russie, expose faiblesses UE. Fiasco logistique/politique ridiculise internationalement.

Source : Youtube – Idriss J. Aberkane

. DSA, bouclier démocratique : l’étau de la censure se resserre ! – Joron/Luçon

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#webtube : Censure : on vous explique en détail ce que vous préparent Macron et l’UE… Virginie Joron Députée française RN du groupe Patriotes Europe au Parlement Européen, membre suppléante de la Commission spéciale sur le bouclier européen de la démocratie, Stéphane Luçon Journaliste d’investigation, fondateur du substack “Francezul”

Source : Youtube – Tocsin

. Tracts en turc : à Strasbourg, la campagne municipale vire au communautarisme

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#webtube : Un candidat publie des tracts en turc et un autre se vante d’avoir des créneaux réservés aux femmes dans les piscines. « Bienvenue au Strasbouristan ! » Depuis l’annonce de la candidature de Cem Yoldas, ancien porte-parole du collectif antifasciste la Jeune Garde, à la mairie de Strasbourg, beaucoup grincent des dents. Avec sa liste « Strasbourg, c’est nous », soutenue par le Nouveau Parti anticapitaliste (NPA), le jeune homme entend construire « une alternative populaire, solidaire et antiraciste » dans la capitale alsacienne. Et pour détrôner Jeanne Barseghian, l’actuelle édile écologiste, tous les moyens semblent bons… même celui de proposer des tracts en turc et en arabe.

En effet, ce 17 novembre, le candidat antifasciste a publié sur ses réseaux sociaux des tracts dans lesquels il présente les grandes lignes de son programme : gratuité des transports, désarmement de la police municipale, fin du jumelage entre Strasbourg et une ville israélienne… Au-delà des propositions somme toute assez cohérentes pour un candidat qui souhaite faire de Strasbourg un « bastion » contre l’extrême droite, c’est la forme des tracts qui interpelle. « Strasbourg, c’est nous » a ainsi décidé de traduire son programme en turc, en alsacien et en arabe. Le prospectus turc étant classé en deuxième position, entre le français et l’alsacien. L’objectif : « parler à chaque Strasbourgeois·e avec la langue qu’il ou elle maîtrise le mieux » (sic). Certes, la pratique n’est pas illégale tant que « les termes en français et leur traduction sont strictement équivalents ». Cependant, elle interroge. « La langue de la République est le français », rappellent ainsi certains internautes sous la publication du jeune homme. D’autres dénoncent une tentative de surfer sur un certain « communautarisme ».

« Antifaciste et antiraciste »

Face aux réactions outrées, Cem Yoldas se réjouit et ironise. Selon lui, « Strasbourg est une ville multiculturelle ». Une vision qui n’est pas du goût de tout le monde. Virginie Joron, candidate du Rassemblement national à Strasbourg, contactée par BV, se dit d’abord « étonnée » que le jeune homme continue de se présenter comme porte-parole de la Jeune Garde, collectif dissous en juin 2025 (un recours contre cette décision est en cours). Mais elle s’attriste surtout de le voir ainsi « attiser les haines dans une visée purement électoraliste ».

Cem Yoldas est de toutes les luttes antifascistes et d’extrême gauche. Outre son engagement au sein de la Jeune Garde, le jeune homme de 29 ans prend également fait et cause pour Gaza. Ses tracts aux couleurs de la Palestine en sont un symbole. Il accuse par ailleurs Jeanne Barseghian, maire EELV de Strasbourg, d’avoir « fauté » avec « le jumelage de la honte avec Ramat Gan », une ville israélienne. Le candidat, à l’instar d’une grande partie de l’extrême gauche, multiplie également les interventions contre les forces de l’ordre. Sur X, il écrit par exemple : « La police harcèle, blesse, mutile et assassine. » Après la mort de Nahel, il accuse également la police de racisme : « Trop d’enfants ont été tués par la police parce que noir, arabe ou encore habitant de quartier populaire »dénonce-t-il.

Cem Yoldas promet également un soutien aux associations de la ville, « en particulier féministes ». Pourtant, en mars dernier, à l’occasion de la Journée internationale du droit des femmes, il se félicitait d’avoir « empêché » le collectif Némésis de manifester.

Des créneaux réservés aux femmes

Cem Yoldas n’est pas le seul candidat à faire grincer des dents, à Strasbourg. À gauche, les candidatures sont très nombreuses. Parmi elles, un autre garçon entend tenter sa chance. Fahad Raja Muhammad, vingt ans seulement, ancien président des Étudiants musulmans de France de Strasbourg, s’est également déclaré candidat. Fin septembre, le jeune homme, qui prône « une ville sans frontières », se réjouissait d’avoir obtenu « un créneau réservé aux femmes » dans les Bains municipaux de Strasbourg. « La campagne strasbourgeoise devient inquiétante », résume Théo Bernhardt, député RN du Bas-Rhin. En cause, « la gouvernance laxiste des écologistes ces dernières années », pointe du doigt la candidate du RN à Strasbourg.

Face à ces deux candidatures, Virginie Joron (RN) entend « sauver Strasbourg ». Avec le Rassemblement national, la candidate se dit ouverte à discuter avec toute la droite pour « rendre à Strasbourg son attractivité ». Présente sur le terrain, elle entend « tout faire pour provoquer une alternance » et mise sur « le bon sens des Strasbourgeois ».

Clémence de Longraye, dan BV

. Leroy Merlin va-t-il se mordre les doigts de s’être soumis à l’extrême gauche ?

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#webtube : En se soumettant à une organisation d’extrême gauche, l’enseigne s’est offert un bad buzz malencontreux. Leroy Merlin serait-il un magasin d’extrême gauche ? C’est la question que beaucoup se posent, depuis un incident survenu lundi 17 septembre. Ce jour-là, à 11h30, l’enseigne a été interpellée, sur X, par l’antenne française des Sleeping Giants, un groupe de pression qui œuvre à la censure des médias de droite. « Votre pub Leroy Merlin apparaît sur le site abject #FrontieresMedia.fr, obnubilé par l’immigration, qui vend du merch avec le slogan xénophobe du FN/RN et de Génération identitaire et qui est accusé de diffamer des ONG de défense des droits humains. Est-ce OK ? » Une tentative d’intimidation couronnée de succès, puisque l’entreprise a mis moins de quatre heures pour se coucher à plat ventre.

« Votre alerte a bien été prise en compte. Le site mentionné a été immédiatement ajouté à notre liste de blocage publicitaire, a ainsi répondu le compte X de Leroy Merlin, dès 15h. Nous ne cautionnons en aucun cas les propos tenus sur cette plate-forme, ni les messages qu’on a pu y voir relayés. » Satisfaction immédiate du soi-disant « collectif citoyen » : « Leroy Merlin retire ses pubs Web du site toxique #Frontieremedia.fr, qui diffuse une propagande outrancière et vend des produits dérivés ornés de slogans xénophobes. » Contactée par BV, l’enseigne n’a pas répondu à nos questions.

Suite de l’article ci-dessous

https://www.bvoltaire.fr/leroy-merlin-va-t-il-se-mordre-les-doigts-de-setre-soumis-a-lextreme-gauche

Boulevard Voltaire

. Ces deux France des jeunes : l’une abandonnée par l’État, l’autre se raccrochant à l’islam

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#webtube : En quête de sécurité, les jeunes n’ont pas les mêmes réactions par rapport à la crise qu’ils traversent. Deux études sur les jeunes de France viennent de sortir, l’une sur leur sentiment d’abandon, notamment en milieu rural, l’autre sur l’évolution de la pratique religieuse chez les musulmans de France, qui propose un instructif focus sur les jeunes.

Des jeunes négligés (et surtout les ruraux)

Avec toutes les précautions qui s’imposent (du fait, par exemple, des recoupements partiels entre les populations interrogées), il est très intéressant, non pas de comparer, mais de confronter des données qui révèlent le fort contraste entre deux France. Les deux études concluent en commun à une forte attente (liée généralement à une insatisfaction ou un manque) des jeunes dans notre France actuelle, quelle que soit leur situation. Dans le premier sondage, réalisé par OpinionWay pour les Apprentis d’Auteuil, la réponse de la population rurale est particulièrement instructive, puisqu’elle amplifie le sentiment général de la classe d’âge interrogée (16 à 25 ans). Un sentiment qui n’est guère positif et confirme les constats qu’ont pu en faire, récemment, les sociologues les plus affûtés. « Deux jeunes sur trois se considèrent comme des citoyens sans voix, exclus des décisions publiques », mais ils s’estiment aussi (comme beaucoup de Français plus âgés, d’ailleurs) peu et mal représentés. Ils sont en effet 83 % à juger « les décideurs déconnectés de leurs réalités » et 79 % à se sentir « instrumentalisés par des élus qui défendent leurs propres idées ». Et plus on s’éloigne des centres urbains, plus le constat est sévère : 72 % des jeunes ruraux se sentent « comme des citoyens de seconde zone », contre 59 % des Franciliens. Ils expriment, par ailleurs, des difficultés concrètes : 34 % « se disent confrontés aux violences et aux discriminations, 30 % à la précarité et la pauvreté, et 28 % s’inquiètent de leur santé ».

Déception, mais pas insouciance

Mais cette vision assez négative ne doit rien à une quelconque insouciance. Ils sont huit sur dix à souhaiter « s’impliquer plus fortement sur les grands enjeux actuels qui concernent la jeunesse et son avenir ». Et si 30 % ne voteront pas aux prochaines élections, invoquant « un sentiment de non-représentation par les candidats », ils sont malgré tout 64 % à vouloir participer aux municipales en 2026 et 73 % à la présidentielle de 2027. Souvent déçus et mécontents, ils voudraient se faire entendre, mais ne se reconnaissent majoritairement pas dans les caricatures activistes de type « antifa » : 73 % rejettent la violence envers les autorités et 59 % s’opposent à la désobéissance civile.

Ils se sentent en fait plutôt perdus, 54 % se trouvent « mal informés et n’ont pas les codes pour y parvenir », et un tiers pensent « qu’être écoutés renforcerait leur confiance et leur volonté d’agir ». Et s’ils priorisent les réseaux sociaux (50 %) devant le vote (44 %) pour s’exprimer, ils en constatent aussi les faiblesses et sont 75 % à affirmer « que ce qui y est exprimé reste souvent ignoré par les responsables politiques ». Enfin, s’ils lui trouvent quelques défauts, l’école est aussi perçue par 74 % d’entre eux comme « un lieu d’apprentissage de la citoyenneté » et « 71 % se disent consultés au sein de leurs établissements scolaires, contre 50 % par les médias, 45 % par les élus et 39 % par les partis politiques ».

À ce sujet — [ÉDITO] Sondage IFOP : inaction et négation au service de l’islamisation sans fin

Les jeunes musulmans se radicalisent

Avec toutes les précautions qui sont de rigueur concernant les sondages sur les croyances et pratiques religieuses, la dernière étude de l’IFOP (qui ausculte les musulmans de France depuis 1989) pour le magazine Écran de veille n’en apporte pas moins un éclairage instructif sur la pratique de l’islam par les plus jeunes (moins de 25 ans) et son évolution. En moins de quatre décennies, le taux de fréquentation des mosquées a bondi de 7 % à 40 %, celui de l’observance du ramadan de 51 % à 83 %. Alors qu’il serait en chute chez les musulmanes de plus de 50 ans, le taux de port du voile chez les jeunes filles est passé de 16 % à 45 %. 38 % disent le porter pour montrer « leur appartenance à leur religion » , 44 % pour « ne pas attirer le regard des hommes », 42 % pour « se sentir en sécurité », 15 % pour « ne pas être perçue comme une femme impudique » et 2 % « sous la pression directe de proches ».

Par ailleurs, 87 % des jeunes musulmans se disent désormais « religieux » (attachés à une pratique stricte) et 12 % déclarent ne pas consommer d’alcool. 42 % disent éprouver de la sympathie pour l’islamisme et 32 % se disent proches du courant de pensée des Frères musulmans. Pour 57 % d’entre eux, la législation française est « moins importante » que la charia (ce qui confirme un précédent sondage ) et 82 % pensent que la religion surpasse la science sur la question de la création du monde.

Deux France, deux attitudes

On ne peut pas comparer les réponses des populations interrogées dans ces deux sondages, certains des ruraux pouvant être des musulmans et les questions ne portant pas sur les mêmes thèmes. On constate cependant que les ruraux, sans céder au désespoir, font spontanément référence aux institutions (même si c’est pour s’en sentir abandonnés), alors que les jeunes musulmans s’en remettent à la religion. Ou, plus précisément, à l’islam, la nuance ayant son importance. En effet, comparer une population musulmane (majoritairement immigrée ou issue de l’immigration) à une population « de souche », catholique ou de culture chrétienne, a ses limites. Si le christianisme est avant tout une question de foi, la pratique de l’islam est avant tout une question d’obéissance à la loi, ce que confirme d’ailleurs le sondage de l’IFOP.

Que penser du contraste saisissant entre les réponses des populations interrogées dans ces deux sondages ? Pour François Demaison, directeur de pôle social, interrogé par BV« si les ruraux se constatent abandonnés, c’est que le pouvoir politique ne s’intéresse qu’aux populations qui engagent un rapport de force avec lui. Or, ici, nous avons affaire à une population qui ne génère aucun trouble et n’engage donc aucun rapport de force. » Il rappelle, par ailleurs, que « la plupart des jeunes vivent aujourd’hui dans une société où les cercles communautaires protecteurs ont souvent disparu, à commencer par le cercle familial ». Et face à l’insécurité de cette situation, chacun va vers ce qu’il connaît : « Les jeunes ruraux attendent que l’État et ses institutions jouent leur rôle protecteur multiséculaire. » Alors que « les jeunes musulmans reviennent à l’islam, qui est à la fois leur religion et leur loi ».

« Nous sommes arrivés au dernier stade de l’individualisme vers lequel nous poussaient les Lumières », estime notre interlocuteur, car « l’homme n’est plus aujourd’hui qu’un sujet de droit, réduit à sa seule dimension de consommateur ». Et dans une France où « le laïcisme républicain a affaibli le catholicisme et ainsi créé un vide spirituel », François Demaison juge durable le retour à la pratique observé chez les jeunes musulmans, « car l’islam est la seule entité permettant d’apporter à des populations déracinées par leur immigration une identité propre ».

Etienne Lombard, dans BV

. Éric Zemmour rive son clou au « fils spirituel de BHL »

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#webtube : « En Hongrie, il n’y a pas de petite Lola qui se fait découper par une Algérienne ». Raphaël Glucksmann  était le grand invité ce mardi 19 Novembre, sur LCI, de l’émission La grande confrontation dirigée par David Pujadas. En seconde partie du programme, une confrontation musclée a opposé l’eurodéputé socialiste au président de Reconquête, Éric Zemmour. Ce sont deux visions de la France et de son identité qui s’opposent ce soir là.

« Quand je vais à New York ou à Berlin, je me sens plus chez moi que lorsque je me rends en Picardie ». C’est par une citation de son adversaire qu’Éric Zemmour entre dans l’arène. « Cette phrase vous résume » lance-t-il à Raphaël Glucksmann, avant de dresser un bilan des propos tenus par ce dernier lors de la première partie de l’émission : « C’était affligeant de médiocrité et de banalité ».

Après avoir été qualifié de « fils spirituel de Bernard-Henri Lévy », – « l’identité des peuples vous intéresse quand ce n’est pas l’identité française » a lancé Éric Zemmour , le leader socialiste tient a rappeler en préambule que le leader de Reconquête a été condamné plusieurs fois pour racisme, injures, incitation à la haine raciale. « Je veux vous combattre partout, vous et vous amis d’extrême-droite » affirme-t-il en déballant sa logorrhée antifasciste : « La France ne vous appartient pas », « vous n’allez pas conquérir ce pays car vous ne l’aimez pas », et de lancer toute honte bue « s’il y a un patriote à cette table, ce n’est pas vous, c’est moi. ». Tout y passe : « l’admiration sans borne » d’Éric Zemmour pour « Poutine Orban, Vance Trump qui sont hostiles aux intérêts de la France », jusqu’à l’argument imparable : « Vous êtes un théoricien de la guerre civile en France ».

Le rêve de la diversité

Éric Zemmour rappelle alors vivement à son adversaire que la France vit « une invasion migratoire », qu’une «civilisation [est] en train de nous remplacer » et que le reste n’est que des mots. Lorsque Raphaël Glucksmann affirme que « ce qui a fait la grandeur de la France, c’est sa diversité », que « nous sommes aujourd’hui les héritiers de cette diversité » en s’en prenant au pays « corrompu » de Viktor Orban, le sang de l’ancien journaliste ne fait qu’un tour. « En Hongrie, il n’y a pas de petite Lola qui se fait découper par une Algérienne, en Hongrie, il n’y a pas de Thomas qui se faIt tuer par un shaid (martyr de la foi islamique ndlr), en Hongrie, il n’y a pas une Philippine qui se fait violer et massacrer par un Algérien ou un Tunisien, en Hongrie, il n’y a pas un petit Elias qui, parce qu’il va jouer au foot, se fait tuer par un Africain » scande-t-il dans une séquence bouillonnante. « Arrêtez votre propagande » lui répond alors le parlementaire socialiste. « Vous vous en foutez, c’est indigne, vous vous en moquez des gens que j’ai cités, ça se voit » lui rétorque Éric Zemmour qui fulmine. « Absolument pas, je ne vous autorise pas à dire ça » se défend le dignitaire socialiste qui ne cesse par le suite de faire les louanges de la société diversitaire, et s’il admet à demi-mot une « archipelisation » de la société, c’est uniquement car nous avons, selon lui, « abandonné la construction de [notre] République ».

La joute se poursuit sur la question de la place de l’islam dans la société française. Alors que Raphaël Glucksmann ne cesse d’évoquer « l’obsession de l’islam » d’Éric Zemmour – « vous fantasmez,  rêvez la France telle que vous voudriez qu’elle soit » -, ce dernier rétorque en traitant son adversaire d’« idiot utile de l’islamisation », s’appuyant sur l’étude Ifop publiée par Le Figaro ce même jour : 57 % des musulmans de 15-24 ans interrogés pensent que les lois de la République passent après les règles de l’islam, la législation française étant « moins importante » que la charia.

Yves-Marie Sévillia, dans BV

. Après 150 Gripen, Zelensky s’offre 100 Rafale… et réclame 200 milliards à l’Europe !

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#webtube : Avec ses complices européens, le Churchill ukrainien ose tout. Quand il ne réclame pas 200 milliards à l’Europe pour poursuivre la guerre et alimenter les comptes offshore de son entourage pour les deux prochaines années, il commande sur catalogue les armements de l’armée ukrainienne du futur, sans un sou en poche, évidemment.

Rappelons que c’est un Président ukrainien illégitime qui annonce cette intention, puisqu’il n’a jamais été réélu à la fin de son mandat début 2024. Par conséquent sa signature n’a aucune valeur, d’autant plus que les chances de Zelensky de conserver le pouvoir à la fin de la guerre sont nulles.

Personne, à part Poutine, n’a la moindre idée de ce que sera l’Ukraine d’après-guerre, personne ne sait si le Tsar se contentera de la Novorossia ou poussera ses légions jusqu’à la frontière polonaise, personne ne sait si l’Ukraine ne sera pas dépecée par ses voisins roumains, polonais ou hongrois, personne ne sait si le Kremlin victorieux acceptera que l’Ukraine résiduelle possède une armée ou simplement une modeste force de sécurité intérieure. C’est le vainqueur qui décidera de tout cela. Il n’y aura peut-être plus jamais d’armée ukrainienne.

Mais Macron et son complice viennent de nous jouer une farce grotesque du plus haut comique.

Oublions les Gripen suédois et parlons des 100 Rafale.

Quand c’est un pays solvable, comme l’Inde par exemple, qui vous signe une lettre d’intention pour une commande militaire de cette ampleur, il y a de quoi se réjouir pour notre commerce extérieur et pour nos industriels de l’armement, qui se battent comme des lions dans ce marché hyperconcurrentiel, notamment face à l’écrasante concurrence américaine.

Mais quand la demande émane d’un pays mafieux totalement ruiné, tenu à bouts de bras par une Europe elle-même sans un sou et en proie à des difficultés internes majeures, tout cela prend la forme d’un projet virtuel qui ne verra jamais le jour, un projet seulement destiné à entretenir la flamme guerrière des Européens de plus en plus lassés par cette guerre ruineuse et à attiser la russophobie qui s’émousse en Occident.

Cette farce grotesque à laquelle les médias feignent de croire n’est qu’un exercice de communication qui n’aura pas de suite. Macron continue sa petite croisade contre la Russie, alors que chaque jour voit l’Ukraine reculer sous la pression russe. En trois jours, l’armée russe a gagné plus de territoire qu’en un mois.

100 Rafale au standard F4, donc le plus récent et le plus performant, cela ne coûte pas 10 milliards comme annoncé dans la presse. C’est un coût de 25 milliards qu’il faut prévoir avec les équipements, les munitions, l’entretien et bien entendu la formation des équipages et des mécaniciens.

La vraie question est donc : qui va payer ?

Si l’UE n’est pas très chaude pour acheter du matériel américain pour le livrer à Kiev, il n’est pas certain que nos partenaires européens (mais en réalité des concurrents sans concession qui n’ont jamais acheté de l’armement français pour la plupart) acceptent de financer notre industrie de l’armement. Au sein de l’Europe, c’est tous pour l’Ukraine, mais c’est chacun pour soi entre les 27 membres de l’Union.

Reste le vol pur et simple des avoirs russes gelés en Belgique. Si l’Europe joue à ce petit jeu en violant le droit international, je ne donne pas cher de l’avenir de l’euro auprès des investisseurs du Sud global, Chinois, Indiens et monarchies du Golfe en tête. Plus personne ne fera confiance à cette Union de Rapetou. Quant aux représailles russes, elles pourront prendre des formes diverses, dont une cyberguerre dévastatrice pour l’économie.

Ensuite, Dassault devra augmenter la cadence de production à 5 Rafale par mois, ce qui ne va pas se faire en huit jours. Les carnets de commande sont déjà pleins pour dix ans.

Il faudra donc prélever quelques exemplaires sur les quotas des autres clients, dont l’armée de l’air, qui est passée de 450 avions de combat en 1990 à 200 aujourd’hui. Et une bonne partie de ces appareils n’est pas opérationnelle compte tenu d’une maintenance plus que médiocre. Macron fanfaronne mais notre armée est inapte au combat de haute intensité. Il faudrait entre 10 et 20 ans pour la reconstruire et la porter à un niveau crédible. Or, la France est ruinée et sa dette va s’alourdir, avec des intérêts doubles du budget de la Défense. Les paroles de Macron n’engagent que celui qui les écoute.

En conclusion, rappelons que nul ne connaît l’avenir de l’Ukraine en guerre et encore moins celui de son président illégitime. Par conséquent cette mascarade est vraiment malvenue. C’est Poutine qui a les cartes en mains et qui décidera du sort du vaincu.

Inutile de faire croire, au 1363e jour de guerre, que le régime mafieux et corrompu de Kiev va décider du sort de l’Ukraine après sa défaite.

Jacques Guillemain, Riposte Laïque