#webtube :Les propos les plus intéressants tenus par Sophie Dias n’ont manifestement pas plu à la chaîne publique. « Dix ans après, j’aimerais savoir pourquoi, j’aimerais comprendre, j’aimerais que ces attentats cessent, y ajoutait la jeune femme, toujours aussi calme. On ne peut accepter ces agissements à répétition, cette haine envers notre pays et notre peuple. »
On savait, depuis Patrick Jardin, que la colère des victimes de l’islamisme était très mal vue par nos élites. On découvre que toute analyse à teneur identitaire du djihadisme est également proscrite. Seules semblent autorisées les bougies, peluches et autres marches blanches silencieuses. Sophie Dias n’aurait peut-être pas été coupée si elle s’en était tenue à une célébration creuse de la résilience et du « vivre ensemble ». À la place, elle a choisi des mots vrais, pleins de (bon) sens et ne cachant rien des motivations des tueurs de son père. Une candeur qui ne passe pas, sur certains médias, pourtant grands défenseurs de la « libération de la parole des femmes »…
Interdiction d’évoquer la dimension civilisationnelle des attaques du 13 novembre. La motivation religieuse du 13 novembre a d’ailleurs été revendiquée par Salah Abdeslam lui-même, lors du procès des attentats du 13 novembre 2015. « On ne vise pas les musulmans, on ne vise que les mécréants », avoua-t-il. Curieusement, un jeune homme présent au Bataclan ce soir-là a été épargné en raison de son teint halé qui le faisait passer pour un jeune d’origine maghrébine. « Ils l’ont visé, puis se sont repris, raconta une amie. Ils lui ont dit : « Toi, t’es des nôtres !« , et ils ont tiré sur un autre jeune à ses côtés. » Comme si être maghrébin voulait forcément dire musulman…
L’invisibilisation de la haine islamiste n’est hélas pas l’apanage des médias bien-pensants. Ce 13 novembre 2025, les célébrations des dix ans des attentats ont donné lieu à un festival de déni et de langue de bois. À l’exception notable de François Ruffin, les personnalités de gauche ont dénoncé, dans leurs tweets, les dangers du « terrorisme », tout en prenant grand soin de ne pas nommer la religion qui lui sert de carburant. Même autocensure, sur les plaques commémoratives installées, ces derniers jours, sur les lieux des attaques djihadistes à Paris. Aucune ne mentionne l’idéologie meurtrière qui promeut la haine du kouffar (« mécréant », « infidèle ») en général et des Français en particulier. Mais comment prétendre vouloir lutter contre une maladie dont on s’interdit de faire le diagnostic ?
#webtube :La députée européenne était visée par la plainte d’une école musulmane de Valence. La députée Identité-Libertés (IDL) au Parlement européen Marion Maréchal, jugée pour diffamation envers une école musulmane de Valence, a été relaxée vendredi, a indiqué à l’AFP l’avocat du plaignant. Le tribunal correctionnel a estimé « que les propos reprochés ne constituaient pas un fait précis », a précisé Me Jean-Yves Dupriez, conseil de l’association Valeurs et Réussite qui pilote l’établissement scolaire.
Le tribunal a suivi les réquisitions du procureur qui, à l’audience, le 16 octobre, n’avait requis aucune peine contre l’élue, estimant que ses propos n’avaient pas visé « directement » l’école.
Le 2 octobre 2023, Marion Maréchal avait affirmé, sur le plateau de CNews, que le maire de Valence avait « tenté de vendre un terrain à une association des Frères musulmans », qualifiant ainsi l’école gérée par Valeurs et Réussite. Elle avait accusé la confrérie islamiste d’avoir « le même objectif qu’Al-Qaïda et Daech », avant de relayer ses propos sur les réseaux sociaux.
Charlie Hebdo avait aussi été relaxé
Valeurs et Réussite avait alors porté plainte pour diffamation. « Les propos imputés à Marion Maréchal visent d’abord et exclusivement Nicolas Daragon, le maire LR de Valence, et non directement » l’association qui gère cette école privée d’une cinquantaine d’élèves et qui voulait l’agrandir en achetant un terrain, avait estimé le procureur Laurent de Caigny.
« Ce sont des hommes politiques. Ils s’affrontent. » En 2022, la commune de Valence avait renoncé à vendre un terrain à l’association après une polémique née d’un article du magazine satirique Charlie Hebdo qui la liait à la confrérie islamiste internationale des Frères musulmans.
Le journal avait été relaxé en appel, la Justice ayant notamment estimé que « l’imputation de proximité entre l’école et les Frères musulmans […] relève du libre débat d’idées ».
Sur X, Marion Maréchal s’est félicitée de cette décision de justice.
L’école islamique de Valence voulait m’empêcher d’évoquer sa proximité avec les Frères musulmans. Ils m’ont traîné devant les tribunaux pour m’intimider et me faire taire. Et ils ont perdu !
Je me félicite de cette nouvelle victoire quelques mois après avoir obtenu la…
#webtube : Face au Pacte sur la migration et l’asile, Fabrice Leggeri (RN) dénonce un système opaque et explosif pour les États.Adopté à la veille des élections européennes de 2024, le Pacte européen sur l’asile et la migration entre désormais dans sa phase décisive. Après deux ans de préparation, la Commission européenne a présenté avec un mois de retard, ce mardi 11 novembre, la première liste des États membres considérés sous « forte pression migratoire ». Une étape clef, puisque cette qualification ouvre la voie à un mécanisme de solidarité obligatoire : les autres pays de l’Union devront accueillir une partie des migrants présents dans ces États de première entrée.
L’Italie, la Grèce, l’Espagne et Chypre figurent sans surprise dans cette catégorie sous tension. Leur situation est évaluée non seulement à l’aune des arrivées récentes, mais aussi à partir de l’accumulation de demandes d’asile au fil des années. Le dispositif prévoit la redistribution annuelle d’environ 30.000 migrants ou, pour les États qui refuseraient d’en accueillir, une contribution financière fixée à 20.000 euros par migrant non pris en charge.
La France, déjà « saturée », pourrait être sollicitée
Si la France ne fait pas partie des pays officiellement soumis à une « forte pression migratoire », Paris fait valoir qu’elle a été largement exposée aux flux migratoires, ces dernières années, et de leur côté, d’autres pays comme l’Allemagne avancent le même argument. Certains de ces États sont par ailleurs considérés comme « à risque de pression migratoire » par la Commission. Pour autant, rien n’exclut que la France doive accueillir de nouveaux migrants, dans des proportions encore inconnues. La Commission n’a pas finalisé les chiffres, qui devraient être communiqués dans les prochaines semaines aux seuls gouvernements.
Un système opaque
C’est là l’un des points sensibles de cette mesure déjà controversée sur lequel Fabrice Leggeri, député RN au Parlement européen pour le groupe des Patriotes pour l’Europe, attire l’attention : les quotas transmis à chaque gouvernement devraient, en principe, rester confidentiels et le nombre exact de migrants que chaque État devra accueillir demeurera inconnu du grand public. Une opacité que Fabrice Leggeri estime « difficilement tenable » et « tout aussi choquante que le fait de devoir payer une amende de 20.000 euros par migrant que l’on refuse ». Selon lui, aucun gouvernement ne pourra, durablement, dissimuler de tels chiffres à son opinion publique et éviter, ainsi, un débat politique.
Une « solidarité » contestée et un pacte à l’efficacité questionnée
Car ce débat politique, que la Commission européenne le veuille ou non, devra avoir lieu. Le RN critique un texte qui, selon lui, « entretient l’appel d’air » plutôt que de le tarir : la demande d’asile reste déposée uniquement une fois le migrant arrivé sur le sol européen, ce qui maintient intactes les filières et la pression aux frontières. Sous la bannière de son groupe, Fabrice Leggeri défend donc une réforme de fond avec un traitement des demandes d’asile hors du territoire de l’Union, des centres externalisés ou encore un examen préalable avant toute entrée en Europe.
De plus, la promesse d’équilibre du Pacte sur la migration et l’asile, qui exige la solidarité obligatoire entre États membres en échange d’un renforcement du contrôle aux frontières extérieures, peine à convaincre le camp des Patriotes. De son côté, la Commission met en avant une baisse récente de 35 % des franchissements irréguliers depuis 2024. Mais selon Fabrice Leggeri, cette baisse ne s’explique pas par le pacte, qui ne sera appliqué qu’à partir de juin 2026, mais plutôt par des initiatives nationales, notamment les accords conclus par Rome avec la Tunisie ou le durcissement de ton du gouvernement italien qui « a pu contribuer à dissuader des arrivées illégales ».
Un nouveau chapitre migratoire sous tension
De toute façon, à mesure que les premières obligations tomberont, les tensions entre États membres promettent de s’aiguiser, rappelle en outre l’eurodéputé. La Belgique et les Pays-Bas contestent déjà le refus de l’Italie de reprendre certains demandeurs d’asile en vertu du règlement Dublin. D’autres pays cherchent à renvoyer leurs migrants vers des « pays tiers sûrs », objet de deux projets de règlements parallèles encore en discussion, et certains gouvernements, comme ceux de Viktor Orbán en Hongrie, Donald Tusk (pourtant très européiste) en Pologne ou encore Robert Fico en Slovaquie, ont déjà fait part de leur refus catégorique d’accueillir les migrants déplacés ou de payer pour ces derniers.
Tak, jak mówiłem, Polska nie będzie przyjmować migrantów w ramach Paktu Migracyjnego. Ani płacić za to. To już decyzja. Robimy, nie gadamy!
#webtube : En effet, depuis octobre 2023 l’obligation vaccinale contre la grippe aviaire imposée aux éleveurs de plus de 250 canards leur laisse le choix entre deux vaccins, mais aucune disposition ne les oblige à indiquer lequel a été utilisé.
D’autant que le vaccin CEVA est à ARN messager auto-amplifiant, ce qui veut dire que l’ARN se réplique chez le volatile, multipliant ainsi la production de protéines virales pour renforcer la réponse immunitaire.
Mais selon le scientifique Jean-Marc Sabatier, docteur en biologie cellulaire et directeur de recherche au CNRS, « cette capacité d’auto-amplification soulève de nombreuses questions. Les effets à moyen et long terme ne sont pas encore connus, ni sur les animaux… ni sur les consommateurs qui mangent leur viande. Et c’est bien cette incertitude qui devrait, à elle seule, inciter à la prudence. »
D’autant plus que la notice du vaccin mentionne des risques graves en cas d’injection accidentelle sur celui qui administre cette vaccination, à cause des huiles et nanoparticules ferriques contenues dans le vaccin.
Ainsi une injection, même minime, peut provoquer un œdème intense, une nécrose ischémique, voire la perte d’un doigt sans intervention chirurgicale rapide, ce qui interroge donc sur la sécurité du vaccin et sa dangerosité pour les canards et les consommateurs. https://www.anses.fr/system/files/90053_ATU_M_11_09_25_ANNEXE.pdf
Ma laborieuse recherche d’éleveurs soucieux de la sécurité et de la santé de leurs canards et de leurs clients m’a conduit chez ce rare producteur landais, la ferme Uhartia, affaire familiale créée en 1979 qui affiche sa déontologie vaccinale sur son site, avec l’administration pour ses canards du vaccin Volvac, inactivé sous-unitaire non ARNm. https://www.anses.fr/fr/system/files/90055_ATU_M_ANNEXE.pdf
Avec une page dédiée qui annonce la couleur : « Canards Non vaccinés… sauf contre la grippe aviaire. Et cela malgré nous !! Vaccin contre la grippe aviaire mais pas n’importe lequel ! »
Si donc un bon foie gras de canard non vacciné à l’ARNm vous ferait plaisir pour fêter Noël en famille, faites donc un tour sur le site de la ferme Uhartia :
Puis-je vous donner mon avis et vous dire qu’en toute sérénité, sans craindre d’ingérer de l’ARNm à l’insu de mon plein gré, j’apprécie particulièrement leurs produits ?
À vous de voir, si ça vous tente…
Alain Lussay
Pour aller plus loin : voici le point de vue de L’IA (Gork). Certes il nuance et rassure énomément, mais en lisant entre les lignes on sent tout de même qu’il y a des trous dans la raquette. 60 Millions de Consommateurs ; Reuters/AFP . Sites critiques (ex. : Inf’OGM ) soulignent un « principe de précaution » faute de recul, mais sans données alarmantes.
*** CE QU’EN PENSE l’IA : ***
Il n’y a pas de raison scientifique établie de se méfier du foie gras de canard vacciné à l’ARN messager (ARNm) contre la grippe aviaire. Cette préoccupation relève principalement de rumeurs et de craintes infondées, amplifiées par des débats en ligne et des sites alternatifs, mais contredites par les autorités sanitaires et les experts vétérinaires. Je vais expliquer le contexte et les faits de manière claire et équilibrée, en m’appuyant sur des sources variées (officielles, scientifiques et critiques) pour représenter tous les points de vue.Contexte : Pourquoi vacciner les canards ?
Depuis octobre 2023, la France impose une vaccination obligatoire contre l’influenza aviaire hautement pathogène (IAHP, souche H5N1) pour les élevages de plus de 250 canards (mulards, de Barbarie ou Pékin) destinés à la viande ou au foie gras. Cela concerne environ 62 millions d’oiseaux par an, pour protéger la filière avicole française, premier producteur mondial de foie gras.
Deux vaccins sont autorisés par l’Agence nationale de sécurité sanitaire (Anses) et l’Agence nationale du médicament vétérinaire (ANMV) :
Vaccin classique inactivé (ex. : Volvac de Boehringer Ingelheim) : Basé sur des protéines virales inactivées, sans ARNm.
Vaccin à ARNm auto-amplifiant (ex. : RESPONS AI H5 de Ceva Santé Animale) : Introduit en mai 2024, il utilise une technologie similaire aux vaccins anti-Covid humains, mais adaptée aux volailles. L’ARNm encode une protéine virale pour stimuler l’immunité, et se réplique temporairement dans les cellules de l’animal pour une meilleure efficacité.
La campagne a réduit drastiquement les foyers d’IAHP : de plusieurs milliers en 2022 à une fraction en 2024, évitant des abattages massifs et des pénuries de foie gras.
Les allégations de danger et les faitsLes craintes portent sur un risque de « contamination » par l’ARNm ou ses composants (comme les nanoparticules lipidiques ou le squalène), qui pourraient passer dans la viande ou le foie et affecter les humains (ex. : auto-réplication dans notre organisme, altération génétique). Voici une analyse factuelle :
Allégations courantes
Réalité scientifique et réglementaire
Sources et contre-arguments
L’ARNm du vaccin se retrouve dans le foie gras et « contamine » les consommateurs.
L’ARNm est dégradé rapidement (en heures/jours) dans l’animal. Un délai de 6 semaines minimum sépare la dernière injection de l’abattage, éliminant tout résidu. Même si traces infimes subsistaient, l’ARNm est détruit par les enzymes digestives et l’acidité stomacale humaine ; il ne peut pas entrer dans nos cellules sans injection spécifique.
Ministère de l’Agriculture ; ANMV et experts (Jean-Luc Guérin, pathologiste aviaire) ; AFP Factuel . Des études sur les vaccins ARNm humains montrent des traces résiduelles négligeables, sans impact.
Le vaccin ARNm « auto-amplifiant » est une première mondiale et non testé pour la consommation.
Autorisé après essais cliniques sur canards (efficacité >90 % contre l’IAHP). Pas de modification génétique permanente (l’ARNm n’intègre pas l’ADN). Excipients (nanoparticules, squalène) : doses infimes, non toxiques à ce niveau, et dégradés comme dans les vaccins humains.
Anses (rapport 2023) ; EFSA (Europe) confirme l’innocuité pour la chaîne alimentaire. Critiques : Manque d’études indépendantes à long terme sur l’auto-amplification , mais pas de preuves de risque concret.
Risque pour la santé humaine (ex. : effets secondaires comme pour le Covid).
Aucune étude ni cas rapporté de transmission via l’alimentation. Les vaccins vétérinaires sont testés pour la sécurité alimentaire (résidus < seuils toxiques). Le foie gras n’est pas plus concerné que la viande.
60 Millions de Consommateurs ; Reuters/AFP . Sites critiques (ex. : Inf’OGM ) soulignent un « principe de précaution » faute de recul, mais sans données alarmantes.
Pas d’étiquetage : Les consommateurs sont trompés.
Pas d’obligation d’étiquetage, car aucun risque avéré. Certains producteurs (ex. : fermes bio ou petites exploitations <250 canards) optent pour des vaccins non-ARNm ou restent non vaccinés. Demandez aux fournisseurs !
Producteurs comme Ferme Uhartia proposent du « non-ARNm ». Sur X, des posts appellent à boycotter ou chercher des alternatives [post:15][post:16].
Points de vue contrastés
Officiels et scientifiques (majorité) : « La consommation de produits issus d’animaux vaccinés ne comporte aucun danger pour l’Homme » (Ministère de l’Agriculture). Efficace et nécessaire pour éviter une crise économique (100 M€/an, 70 % financés par l’État).
Équilibre : Les sources critiques sont souvent biaisées (anti-vax ou complotistes), tandis que les officielles sont rigoureuses mais accusées de manque d’indépendance. Aucune étude peer-reviewed ne montre de risque, mais le recul est court (2 ans). Si vous êtes prudent, optez pour des labels bio/fermier ou contactez les producteurs.
Critiques et alternatifs : Inquiétudes éthiques (vaccination de masse sans choix total), manque de transparence, et parallèles avec les vaccins Covid (effets secondaires rares mais réels). Sites comme Résistance Républicaine ou Info du Jour évoquent un « scandale potentiel », sans preuves solides. Sur X, le débat est vif, avec des appels à du foie gras « non vacciné » [post:15-28], souvent liés à des milieux anti-vax.
Conclusion et conseils pratiquesPas de méfiance justifiée scientifiquement : le foie gras reste sûr, et la vaccination protège la production française. Si cela vous inquiète (par principe ou sensibilité), voici des options :
Achetez en petite ferme (<250 canards : non obligatoire).
Privilégiez les labels IGP Sud-Ouest ou bio, et demandez le type de vaccin.
Alternatives : Foie gras d’oie (moins touché) ou végétarien.
#webtube : Emmanuel Macron fait feu de tout bois ! 10 ans après les attentats de Paris, au Stade de France, sur les terrasses et au Bataclan, une cérémonie a été organisée pour rendre hommage aux victimes des terroristes. Le président français s’est donné en spectacle, six mois tout juste après avoir reçu en grande pompe le terroriste de l’Etat islamique Mohammed al-Joulani, désormais al-Charaa, dirigeant de la Syrie.
Cet odieux grand écart qui pousse la stratégie du « en même temps » à l’extrême est une nouvelle démonstration de l’incurie du pouvoir, capable de toutes les promesses sans jamais les tenir. Dix ans plus tard, l’heure des comptes a sonné :
Les attentats de 2015 pouvaient-ils être évités ?
Où en est la menace terroriste aujourd’hui ?
Xavier Raufer, éminent criminologue et directeur d’études au CNAM, revient sur ces événements, leurs conséquences et la situation actuelle dans « Le Samedi Politique ». Un entretien coup de poing !
#webtube : Hier soir sur Cnews Philippe de Villiers a fait une analyse remarquable de l’engrenage qui a mené au drame épouvantable du Bataclan.
En passant, un écolo (lequel?) s’est permis de dire au sujet du Bataclan (et des terrasses et du Stade du France) « avec la pollution de l’air 500 000 personnes meurent tous les ans. » Le lien avec le Bataclan, s’il vous plaît, le goujat collabo niant le réel ? Quelle relativisation, quel déni épouvantable.
Pour Philippe de Villiers, toute la classe dirigeante nous a menti. Il reprend la chronologie des faits qui ont conduit à l’attentat : d’abord le ministre des attentats de l’État Islamique Al Adnani publie un message le 22 septembre 2014 dans lequel il demande de tuer les « méchants et impurs Français ».
Ensuite le 31 août 2015 Angela Merkel dit : « Nous y arriverons ». À quoi ? À accueillir les réfugiés musulmans. 22 000 arrivent à Munich peu après.
Puis le déni : le 13 septembre 2015, JP Elkabach reçoit Hollande et Cazeneuve.
Il leur demande s’il ne serait pas impossible que des terroristes s’infiltrent parmi les réfugiés dans les convois organisés. Cazeneuve répond « ce serait possible mais je ne le crois pas, pour l’instant ». C’est un gros mensonge.
Un mensonge, car 3 000 terroristes se sont glissés avec les réfugiés depuis la Grèce et Cazeneuve le sait certainement. La directrice d’Europol le confirme. 3 000 terroristes se sont glissés jusqu’à Molenbeek. Ce qui a fait dire à Zemmour que ce n’est pas Raqqa qu’il fallait bombarder, mais Molenbeek.
Manuel Valls l’avoue le 15 novembre 2015 sur France 2 : oui, c’est vrai.
Il n’y a pas que les convois qui ont été utilisés par les terroristes. Les frontières sont des passoires. Depuis Schengen il n’y a pas moins de 1 500 points de passage non surveillés entre la Belgique et la France. Les terroristes s’en sont servis sans arrêt pour organiser les attentats. C’est la faillite totale de Schengen.
Et Philippe de Villiers de marteler que la classe dirigeante qui a fait Schengen, qui l’a organisé, qui le maintient, a du sang sur les mains.
Geoffroy Lejeune pose alors la question qui tue : « Les leçons depuis dix ans ont-elles été tirées » ? Et Philippe de Villiers de répondre : « Non ». Non, notre secte dirigeante qui a du sang sur les mains n’a pas tiré les leçons du Bataclan.
Nicolas Pouvreau-Monti, directeur de l’observatoire de l’immigration et de la démographie, dit même que tout a empiré depuis.
L’immigration en France connait de plus en plus de migrants musulmans venant de pays de plus en plus musulmans !
L’indice de fécondité est de 2,7 chez les femmes nées en Afrique et vivant en France, il est de 1,5 chez les femmes nées en France (dont certaines sont musulmanes). Il n’y a qu’à attendre encore un peu et on en verra le résultat.
Le nombre de voiles a doublé en dix ans. Le voile, c’est l’uniforme de l’islamisme. Surtout à l’heure où les Iraniennes le rejettent. Et où ce rejet fait vaciller les mollahs.
Le nombre de réfugiés du droit d’asile a triplé en dix ans. On a en particulier les Afghans qui sont 100 000 en France.
On a au moins un million de naturalisations qui ont été accordées. Souvent en dépit du bon sens.
La menace s’est diversifiée : avant elle était surtout exogène. Maintenant elle est devenue endogène, c’est-à-dire intérieure. On assiste selon le terme des sociologues à l’uberisation du djihadisme : il est devenu individuel. Le cas typique est l’attentat d’Oléron, où le djihadiste, agissant seul, est un Français converti.
Il y a aussi un rajeunissement du terrorisme. Maintenant les terroristes ont entre 17 et 21 ans.
Selon Florence Bergeaud-Blackler, l’infiltration est subventionnée, l’Union européenne finance le djihadisme et l’islamisation de l’Europe : 10 milliards sont prévus pour cela dans les prochaines années. C’est nous qui payons notre propre anéantissement.
Enfin selon Philippe de Villiers il y a un parti pour cela : LFI. Le parti des collabos. C’est leur fonds de commerce. On commence à parler de la rue arabe. C’est la créolisation des urnes, après celle de la rue.
En 2027 la droite l’emportera, et on aura droit à une apocalypse insurrectionnelle car LFI, qui se prétend démocrate, ne l’acceptera pas.
Et cerise sur le gâteau : LFI a introduit un projet de loi. Il consiste à abolir le délit d’apologie du terrorisme.
Si nous ne faisons rien (et les remèdes sont connus), dans trente ans il y aura un califat et la charia en France. Peut-être même avant.
Il faut rétablir les frontières, couper les pompes aspirantes (l’AME), et imposer notre mode de vie à la française : fini le voile, la burqa, le halal, les menus spéciaux à la cantine, l’égorgement des animaux sans étourdissement, la polygamie, fini les accoutrements du VIIe siècle, en France on serre la main des femmes, on ne les frappe pas, on a des clochers, pas des muezzins, on peut changer de religion sans être massacré. Et on remet en place le récit fondateur avec l’amour de la France de ce qui fait la France.
Ce que dit Philippe de Villiers n’est pas tout, loin de là, mais c’est un début. Il aurait pu, par exemple, proposer d’interdire le coran et ses sourates sanguinaires en France…
On en a plus qu’assez des bougies hypocrites qui épargnent les responsables ! Nous exigeons des paroles vraies, et des actions en conséquence !
#webtube :Cette chaine « Météo 37 » est une bonne façon de se renseigner sur la météo près de chez soi. Elle est aussi intéressante puisqu’elle vous explique la météorologie de façon simplifiée en se basant sur plusieurs modèles. Une très bonne chaine !
#webtube : Derrière le discours belliciste habituel des Européens, les illusions s’effondrent. Même soutenue par l’Otan, une nation de 44 millions d’habitants ne peut pas tenir tête à un pays de 145 millions d’habitants possédant la meilleure armée terrestre du monde. Sans soldats en nombre suffisant pour les mettre en œuvre, les meilleurs matériels ne garantissent nullement la victoire.
C’est pour cette raison que les États-Unis n’auraient aucune chance de victoire s’ils s’engageaient dans une expédition coloniale contre Pékin pour sauver Taïwan, île située à 10 000 km de Los Angeles.
Voilà maintenant des mois que Zelensky et son état-major parent au plus pressé, en déplaçant les renforts d’un point chaud à un autre, ce qui les contraint à dégarnir dangereusement des zones entières du front, qui s’étire sur 1 200 km de longueur. Tout empire à grande vitesse et les villes et villages tombent chaque jour.
S’obstinant à tenir coûte que coûte les places fortes du Donbass, de même que le confetti de 1 000 km2 de territoire russe conquis dans la région de Koursk, Zelensky a sacrifié toutes ses meilleures troupes dans des combats désespérés. La puissance matérielle et le nombre de combattants sont du côté russe. Dès lors, il est criminel du côté occidental d’entretenir l’illusion d’une victoire ukrainienne.
La seule folie de Koursk a coûté 70 000 hommes à Zelensky, pour tenir 1 000 km2 de territoire russe durant dix mois. Poutine occupera 150 000 km2 du territoire ukrainien dans un futur proche.
Le résultat de cette hécatombe est que plus personne en Ukraine ne veut partir au front et que le pouvoir est contraint de pratiquer des rafles dans les rues à l’encontre de tous les hommes valides. Des méthodes brutales qui suscitent de plus en plus de rébellions de la part des citoyens assistant aux tentatives d’enlèvement, lesquelles deviennent de jour en jour plus difficiles.
De plus, les désertions se comptent par centaines de milliers depuis le début de la guerre.
Mais nos médias se taisent sur ce sujet et préfèrent entretenir la fable d’une Russie ayant perdu 2 millions de soldats, envoyés au massacre par le boucher du Kremlin.
Je reprends souvent les chiffres de l’historien militaire Marc Legrand, donnant les estimations des pertes dans les deux camps. On sait que la presse occidentale, sans la moindre éthique et en parfaite ennemie de la vérité, reprend sans sourciller les chiffres farfelus de Zelensky, inversant tout simplement le rapport des pertes entre les deux camps.
En réalité, même si l’exercice est difficile donc imprécis, il faut faire confiance aux historiens militaires. Contrairement aux médias aux ordres, ils ne veulent pas se discréditer. Voici ceux de Marc Legrand au 24 octobre 2025 :
Et voici ceux de Sylvain Ferreira, historien militaire que vous connaissez bien :
Côté russe : 230 000 tués, en intégrant toutes les troupes impliquées dans les combats (Tchétchènes, Wagner , forces des républiques séparatistes du Donbass avant d’être annexées, troupes nord-coréennes, mercenaires, etc.) et 400 000 blessés.
Côté ukrainien : 800 000 morts et autant de blessés.
Je pense que Marc Legrand parle des pertes militaires de la seule armée russe, donc sans les troupes paramilitaires. Ce qui explique l’écart entre les deux estimations du nombre de soldats russes tués.
Cela dit, les pertes ukrainiennes tournent bien autour de 2 millions de soldats morts et blessés. Évidemment, bon nombre de blessés retournent au combat après avoir été soignés. Mais la saignée est tragique pour un pays qui totalisait 44 millions d’habitants avant la guerre. Depuis, ce pays s’est vidé d’une partie de ses forces.
Les armements lourds livrés par l’Otan, environ 200 milliards de matériels et autant d’aide financière, ont été broyés sur les champ de bataille. Les stocks otaniens étant vides, tout matériel ukrainien détruit est irremplaçable, alors que l’armée russe produit davantage de matériels qu’elle n’en perd. Voici le bilan des pertes matérielles otaniennes fourni par le « mindef » russe :
« Depuis le début de l’opération militaire spéciale, ont été détruits : 668 avions, 283 hélicoptères, 96 549 drones, 636 systèmes de missiles antiaériens, 26 020 chars et autres véhicules blindés de combat, 1 611 véhicules de systèmes de lance-roquettes multiples, 31 286 pièces d’artillerie de campagne et mortiers, 46 649 unités de matériel automobile militaire spécialisé. »
Ajoutons à cela le lourd déficit ukrainien en soldats expérimentés et on comprend que l’Occident ne fait que mentir en promettant une victoire ukrainienne. L’Otan a perdu la guerre depuis la grande contre-offensive ukrainienne de 2023, qui s’est brisée sur les fortifications du général Sourovikine. Sur les trois lignes de défense construites par les Russes sur toute la ligne de front, les Ukrainiens n’ont jamais pu atteindre la première. Ce fut un massacre en pure perte, qui a détruit l’essentiel de l’armée kiévienne.
La diplomatie semblant avoir définitivement échoué, la solution reste militaire.
La commission européenne continue sa politique agressive, refusant toute idée d’une victoire russe malgré le délabrement de l’armée ukrainienne, dont le moral est au plus bas.
140 milliards de l’UE devraient encore aller remplir les poches de quelques oligarques corrompus. Les scandales de corruption qui se suivent dans l’entourage de Zelensky ne découragent pas l’UE : il faut aider Kiev car une victoire russe coûterait encore plus cher. Tel est le mot d’ordre.
Et d’agiter la menace de l’Ours russe prêt à avaler l’Europe. Cela devient grotesque.
Absolument personne ne contrôle ces centaines de milliards. Zelensky reste le dieu vivant qui peut tout se permettre, même de déclarer que 100 milliards de dollars accordés par l’Occident ne sont jamais arrivés à Kiev. On imagine la valse des capitaux et des juteuses rétrocommissions qui engraissent les généreux donateurs. Tout le monde a intérêt à faire durer cette guerre qui permet de bâtir des fortunes colossales en un temps record.
Un petit cercle d’initiés et leurs complices occidentaux s’engraissent sur le dos du peuple ukrainien, à coups de pots-de-vin, de surfacturations, de sociétés écrans qui détournent les milliards de l’Occident. On ne compte plus les investissements immobiliers des oligarques ukrainiens faits en Europe et aux États-Unis. On parle de villas à 20 millions de dollars, pas d’abris de jardin.
Pendant que des centaines de milliers de veuves et d’orphelins pleurent un mari ou un père, pendant que des mères pleurent un fils, certaines femmes d’oligarques ukrainiens dévalisent les bijoutiers de la place Vendôme sur le dos des contribuables occidentaux. C’est aussi cela la guerre pour la défense de la démocratie et de la liberté. Personne ne vous dira que l’Ukraine, grâce aux 400 milliards de l’Occident, est devenue le pays le plus corrompu de la planète.
Et que dire du matériel militaire revendu, qui n’arrive jamais sur le front !
L’Occident, depuis 45 mois, multiplie les « standing ovations » pour Zelensky, tout en accablant Poutine des pires crimes de guerre. Mais un jour, les historiens révéleront la vérité sur une guerre que l’Occident pouvait éviter, une guerre qu’il entretient sans aucun espoir de victoire, mais parce que des milliards tombent entre des mains corrompues, ukrainiennes mais aussi occidentales.
Les soldats et le peuple ukrainiens ne verront jamais la couleur de ces milliards. Qu’ils meurent ou se taisent, telle est la cruelle vérité, dont l’Occident se rend complice.
Mais côté russe, le sang ne coulera pas pour rien. Plus l’Otan et le régime corrompu de Kiev s’acharnent, plus la facture présentée par Poutine sera salée.
Et ce n’est pas en traitant les Russes de barbares, de débiles mentaux, d’incapables à court de matériels et de munitions, pillant les puces de machines à laver pour faire voler leurs missiles, que le Tsar changera ses objectifs, lesquels d’ailleurs peuvent se modifier à la hausse.
Assez de mensonges et de propagande débile. L’Occident est inapte au combat de haute intensité, tant sa jeunesse est avachie, ramollie et incapable de passer avec succès des tests élémentaires d’endurance physique. Ce que supportent les soldats russes et ukrainiens est du niveau de l’enfer des tranchées de 14-18. Et pour ces derniers, c’est encore pire compte tenu du manque d’effectifs pour assurer les relèves.
Alors que la plupart des pays occidentaux ont supprimé le service militaire, la Russie le maintient pour une partie de sa jeunesse. Elle va même remplacer les deux phases d’incorporation annuelles, printemps et automne, par une incorporation continue.
À ce jour, en comptant l’armée d’active, les réservistes et les contractuels, Poutine peut aligner 3,5 millions de soldats, bien entraînés et équipés pour aller au front.
Avec son armée de 200 000 hommes au total, la France ne pourrait aligner que 20 000 soldats sur un front de 50 km, avec huit jours de munitions. Mais rappelons que le front ukrainien s’étend sur 1 200 km.
Macron fanfaronne, mais il a vidé nos stocks d’armements alors que nos industriels ne voient toujours pas arriver les commandes de renouvellement faute de crédits. Avec 3 500 milliards de dettes, il n’y aura jamais d’armée retrouvant son niveau de la guerre froide. Tout a été divisé par trois.
Car au-delà des discours russophobes bravaches, pour faire la guerre, il faut des armes, des munitions, des hommes et de l’argent. La France n’a plus rien de tout cela, elle n’a que des dettes et une armée « bonzaï ». Poutine, quant à lui, tient tête depuis 45 mois à 50 nations qui arment et aident l’Ukraine. La comparaison est cruelle. Mais pendant qu’on récupérait les dividendes de la paix, Poutine reconstruisait son armée au nez et à la barbe des Occidentaux, qui ont cru naïvement faire la peau à l’Ours russe en trois mois.
Que cette escalade guerrière qui frise la démence russophobe cesse au plus vite.
Rappelons que le Global Firepower vient de classer l’armée russe au deuxième rang derrière les USA. Hors nucléaire, domaine où la Russie est en tête.
Faire porter le chapeau à Poutine alors que cette guerre est une guerre américaine devenue européenne, est un mensonge d’État pour promouvoir une croisade antirusse qui ne trouve aucune justification, ni morale, ni historique, ni légale.
On ne le répétera jamais assez. Il suffisait de respecter les accords de Minsk et d’offrir les garanties de sécurité pour toute l’Europe, ce que Poutine réclamait depuis des années, pour éviter la guerre. Mais l’Amérique n’a jamais accepté la fin de la guerre froide et le rapprochement de la Russie avec l’Europe.
Aucune illusion à avoir. La paix ne sera pas celle dont rêvent Macron, Starmer, Merz ou Tusk. La paix sera russe car c’est l’effondrement de l’Otan qui se profile, pas celui de la Russie.
Quand on est assez crétin pour faire la guerre à un pays ami, blanc et chrétien, alors que les islamistes veulent faire de l’Europe un califat et l’annoncent ouvertement, c’est qu’on a perdu la raison.
Cette guerre est le tombeau de l’Europe et des mondialistes. Nos leaders sont tous devenus fous.