. Budget de la Sécu : Faure continue de faire le malin. Jusqu’à quand ?

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#webtube : Samedi soir, la partie « recettes » du PLFSS a été adoptée, grâce au PS : la petite heure de gloire d’Olivier Faure… Olivier Faure, Premier secrétaire du PS (1,8 % en 2022…), semble devenu l’ultime régent d’une République au Président ultra-impopulaire et de députés (pas ceux du RN-UDR) uniquement mus par la peur de la dissolution. Ce parti a obtenu du Premier ministre Lecornu, en échange du vote du budget, que le 49.3 ne serait pas utilisé : la République est donc placée sous le chantage du PS, qui en use et en abuse, histoire de se refaire une santé médiatique.

La semaine dernière, Olivier Faure menaçait d’une dissolution si les exigences du PS n’étaient pas prises en compte. Nouvelle illustration de ce dévoiement des institutions, ce samedi 8 novembre, avec le vote du volet « recettes » du projet de loi de financement de la Sécurité sociale (PLFSS) par 176 voix contre 161. PS et macronistes, avec les députés LIOT, ont été les seuls à voter pour, écologistes et communistes se sont divisés entre pour, contre et abstention, LFI, RN et UDR votant contre, tandis que les députés LR et Horizons s’abstenaient.

Olivier Faure dans les vieux habits du parti de gouvernement

Après ce vote serré obtenu par le PS, Olivier Faure s’en est pris au RN : selon lui, en votant contre la partie « recettes », le RN et LFI ont fait « le jeu du pire ». Cocasse, de la part d’un PS qui n’avait pas l’impression de faire « le jeu du pire » quand il passait des accords électoraux avec LFI sous les beaux noms de NUPES ou de NFP – en attendant le prochain. Soucieux de revêtir à nouveau l’habit usé du respectable chef de « parti de gouvernement » qu’il croit être encore, le Premier secrétaire du PS a estimé que son groupe a fait son « devoir » et a montré « qu’il y a une gauche qui est utile aux Françaises et aux Français et qui continuera à l’être ». Le Premier ministre Sébastien Lecornu a salué, sur X, ce respect du contrat par le PS : « Ce vote est une étape, les discussions parlementaires continuent. Plus que jamais, le gouvernement se tient à disposition des députés et sénateurs pour la suite des débats. » La position d’Olivier Faure a été pilonnée par Mélenchon.

Ce théâtre d’ombres de la gauche ne peut masquer les postures politiciennes dénoncées par le RN. Jean-Philippe Tanguy a expliqué que le groupe RN avait voté contre l’adoption de la partie « recettes » du PLFSS parce qu’il « est hors de question que les classes moyennes, en particulier les épargnants, paient à hauteur de 3 milliards d’euros cette année et 5 milliards [d’euros] l’année prochaine les magouilles entre le Parti socialiste et les macronistes ». Pour le député RN, « le vote de ce soir n’a rien à voir avec l’intérêt des Françaises et des Français et va même contre l’intérêt général. Tout ça pour sauver le système, sauver leurs sièges et, une fois de plus, éviter la dissolution et, donc, d’aller rendre des comptes devant les Français et se présenter aux élections. »

Olivier Faure veut « continuer »

Sentant peut-être que les Français pourraient ne pas être dupes de ce jeu politicien et s’en lasser rapidement, Olivier Faure a immédiatement donné une interview au Parisien dans la soirée, toujours sur la ligne de la « responsabilité » et pour justifier son alliance avec la Macronie. Affirmant « Le combat va continuer », il prétend rechercher des accords avec le gouvernement, mesure par mesure, mais continue à brandir la menace de la dissolution ! « Personne dans la rue m’interpelle pour me dire qu’il souhaite une dissolution à tout prix, déclare-t-il. […] Si nous n’obtenons pas gain de cause dans le cadre du débat, nous n’aurons aucune hésitation. » En somme, il prépare sa sortie, son claquement de porte au nez du pauvre M. Lecornu. Quand ? Un baromètre IPSOS BVA, publié samedi soir, nous donne peut-être une indication : Olivier Faure, en baisse, n’y rassemble que 10 % de satisfaits.

En tout cas, la France ne peut plus demeurer très longtemps l’otage d’un deal entre un socle commun macroniste qui se délite et un PS aussi squelettique qu’arrogant qui, tous deux, communient dans une folie dépensière sans affronter le défi de l’immigration. Ce petit cirque PS-Macronie ne trompe personne et Olivier Faure verra d’ailleurs que dans ce même sondage, Bardella gagne 4 points et monte à… 37 %. De quoi faire réfléchir.


Frédéric Sirgant
, dans BV

. Le Canon Français triomphe à Goven (35) : encore merci à la gauche bretonne…

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#webtube : Malgré les appels à la censure et les pétitions indignées, les banquets du Canon Français ont rassemblé des centaines de convives dans une ambiance festive et apolitique — au grand dam des militants d’extrême gauche.

On les disait « infréquentables », « d’extrême droite », voire « dangereux pour la démocratie ». On les voulait interdits. Finalement, les banquets du Canon Français, organisés du 7 au 9 novembre au château de Blossac à Goven (Ille-et-Vilaine), ont bien eu lieu. Et le moins que l’on puisse dire, c’est qu’ils ont fait salle comble : près de 2000 participants se sont succédé tout au long du week-end, dans une ambiance conviviale, festive et bon enfant.

Malgré les pétitions, les communiqués de maires et les cris d’orfraie de l’extrême gauche, le bon sens populaire a triomphé du sectarisme militant. Et, ironie du sort, les tentatives de censure ont offert au Canon Français une publicité inespérée, propulsant l’événement bien au-delà du cercle habituel de ses habitués.

Une polémique montée de toutes pièces

Tout avait commencé par une pétition anonyme, relayée par plusieurs élus de gauche d’Ille-et-Vilaine, réclamant l’interdiction pure et simple du banquet, accusé — sans preuve — d’être « une tribune d’extrême droite ».

Sous la pression, le Château des Pères à Piré-Chancé, premier lieu choisi, avait renoncé à accueillir la manifestation, évoquant des menaces reçues par ses employés. Les organisateurs se sont alors repliés sur le château de Blossac, à Goven.

Là encore, treize élus locaux (dont des députés socialistes et écologistes) ont adressé une lettre au préfet pour demander l’interdiction de l’événement. En vain : le bon sens administratif a prévalu, et le banquet a eu lieu, sans incident, sans débordement, sans politique.

Sous un grand chapiteau dressé dans le parc, 800 convives par soir se sont retrouvés autour d’un repas copieux et festif : charcuterie, cochon rôti, vin rouge, chansons françaises et musique bretonne.

Loin des fantasmes médiatiques, aucun discours, aucune revendication, aucun drapeau partisan. Seulement des rires, des chants et le plaisir simple d’être ensemble.

« On est là pour s’amuser, pas pour débattre », expliquait un participant venu du Morbihan.

« Il y a un fossé entre ce que racontent les médias et ce que l’on vit ici », ajoutait un autre. Beaucoup ont d’ailleurs souligné l’absurdité d’une polémique déconnectée du réel : un repas populaire et festif transformé, par quelques militants, en menace pour la République.

Même la presse locale, après avoir largement contribué à entretenir la fausse polémique, a dû se rendre à l’évidence : rien de politique, rien d’extrémiste, simplement une « soirée franchouillarde » où la convivialité l’a emporté sur les caricatures.

Quand la gauche offre la meilleure publicité

Car, paradoxalement, ce sont bien les élus et militants de gauche qui auront fait la promotion la plus efficace du Canon Français.

À force de crier au « danger fasciste », ils auront attisé la curiosité d’un public bien plus large, venu de toute la Bretagne et même des régions voisines pour découvrir par lui-même.

Les places se sont arrachées, les vidéos ont circulé sur les réseaux sociaux, et le Canon Français sort renforcé de cette polémique, plus visible et plus populaire que jamais.

Seul petit bémol relevé par certains observateurs bretons : le côté très “franchouillard” ou folkorique, et moins breton, de la soirée, au cœur même de la Bretagne.

Certes, la présence de musique bretonne et du Gwenn ha Du sur scène rappelait que l’événement se tenait sur une terre d’identité et de culture. Mais le ton général — bérets, marinières, Marseillaise reprise en chœur — sonnait parfois un peu parisien pour un public attaché à son ancrage régional.

Un décalage plus symbolique que grave, mais que beaucoup ont remarqué : la Bretagne n’est pas un simple décor folklorique de la France éternelle, elle est une nation culturelle vivante, avec sa langue et son âme.

Malgré la tempête politico-médiatique, le Canon Français a remporté son pari : rassembler, faire la fête et rappeler que l’amour du terroir n’est pas un crime.

En voulant interdire, la gauche bretonne a surtout montré son intolérance et son mépris des gens ordinaires.

Et à la fin, comme souvent, les cris des militants se sont perdus dans le bruit des chants et des verres qui s’entrechoquent.

Une belle leçon de liberté, et un beau pied de nez à ceux qui confondent culture populaire et meeting politique.

Yann Vallerie, Breizh Info

. France, le grand déclassement : industrie bradée, mise à mort des agriculteurs et fuite des cerveaux

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#webtube : Avec ses 1000 milliards de budget social, record mondial, la France est la championne de l’assistanat et l’Eldorado pour toute la misère du monde. Il va de soi que tout cela a un coût et que nos 3 500 milliards de dettes sont en grande partie la conséquence d’une immigration de masse sous qualifiée, donc peu productive, inadaptée à une économie moderne.

Non seulement Macron a bradé nos pépites industrielles aux prédateurs étrangers, non seulement il met à mort nos agriculteurs en acceptant l’inique traité du Mercosur qui va les livrer à une concurrence déloyale sans précédent, mais le déclassement économique de la France, la fiscalité confiscatoire et l’insécurité exponentielle poussent nos jeunes surdiplômés à fuir vers des cieux plus cléments. Des dizaines de milliers d’entreprises fuient également cet enfer fiscal que nous impose une démentielle politique de gauche qui ne dit pas son nom. Même au RN, c’est un esprit davantage socialo-communiste que libéral qui domine sur les sujets économiques. La France en faillite et de plus en plus soviétisée ne fait plus rêver.

À contrecœur, créateurs de richesses et surdiplômés l’abandonnent. Place à l’assistanat et aux « bac moins 10 ». « Le mérite et la réussite ne passeront pas », telle est la devise des mondialistes et des ayatollahs de la diversité heureuse.

https://ripostelaique.com/le-fossoyeur-de-la-nation-a-brade-1608-entreprises-francaises-en-une-decennie.html

La France a perdu l’essentiel de son outil industriel, alors que l’Allemagne et l’Italie l’ont préservé. L’industrie ne pèse plus que 10 % du PIB, condamnée par une perte de compétitivité aux causes multiples, dont une fiscalité écrasante qui tue l’investissement et l’emploi. Pour ce pouvoir prédateur insatiable, doubler les impôts serait encore insuffisant. Non seulement il nous écrase d’impôts, non seulement il emprunte à tout va, mais les caisses sont vides et plus rien ne fonctionne. Où va l’argent ?

Notre agriculture, longtemps référence mondiale, bascule dans le rouge

En se disant « plutôt positif » sur le traité du Mercosur, après l’avoir jugé « inacceptable » l’an dernier, Macron poignarde nos paysans dans le dos et les livre à la concurrence du Brésil, de l’Argentine, du Paraguay et de l’Uruguay, qui ne respectent aucune de nos normes sanitaires et environnementales imposées par Bruxelles, voire par Paris, qui adore faire du zèle et de la surenchère réglementaire sur le dos des producteurs.

La France a perdu 100 000 exploitations en 15 ans. Il en reste 400 000 qui peinent à survivre face à la concurrence mondiale et au déluge réglementaire incessant.

Après des années de balance commerciale excédentaire de 10 milliards, les exportations se sont effondrées et 2025 pourrait afficher un déficit pour la première fois en près de 50 ans. C’est donc un pilier de notre économie et de notre identité que Macron va achever avec le Mercosur.

L’exil des cerveaux et des entrepreneurs s’accélère.

20 % de nos polytechniciens quittent la France chaque année. La réputation de nos grandes écoles n’étant plus à faire, nos jeunes diplômés n’ont aucune peine à s’expatrier vers des pays dynamiques qui leur offrent des perspectives de carrière et une liberté d’entreprendre que la France leur interdit. Pour 15 000 diplômés de haut niveau, l’avenir se joue ailleurs qu’en France et l’exil est la seule solution. 

Notre pays, phare de l’Europe en 1975, a réussi l’exploit de devenir à la fois le champion de l’assistanat, le pays le plus fiscalisé des 38 membres de l’OCDE et l’ennemi de la réussite sociale.

Avec sa mentalité socialo-communiste gravée dans son ADN, la France n’aime ni les riches, ni les patrons, ni les propriétaires, ni les investisseurs, ni les actionnaires, ni les héritiers, tous bons à être saignés pour financer les milliards de l’assistanat sans limite.

Elle chasse ses cerveaux sans regret mais elle accueille 500 000 immigrés chaque année, issus pour l’essentiel des pays les plus analphabètes du monde, donc les plus pauvres.

“20 pays ont le triste honneur de compter plus de 50 % d’analphabètes dans leur population : l’Afghanistan, le Bénin, le Burkina Faso, la Centrafrique, le Tchad, les Comores, la Côte d’Ivoire, l’Ethiopie, la Gambie, la Guinée Bissau, Haïti, l’Irak, le Liberia, le Mali, la Mauritanie, le Niger, le Sénégal, la Sierra Leone et le Sud Soudan.”

Avec ses 1000 milliards de budget social, record mondial, la France est la championne de l’assistanat et l’Eldorado pour toute la misère du monde. Il va de soi que tout cela a un coût et que nos 3 500 milliards de dettes sont en grande partie la conséquence d’une immigration de masse sous qualifiée, donc peu productive, inadaptée à une économie moderne. Mais n’attendez pas des élus la vérité sur le coût de l’immigration, première cause de notre déclassement.

« Le moindre taux d’emploi des immigrés et descendants d’immigrés représente une perte de PIB de 3,4 % et une perte de recettes fiscales et sociales de 1,5 point de PIB ».

https://observatoire-immigration.fr/limpact-de-limmigration-sur-leconomie-francaise

La France est donc devenue une terre d’émigration pour ses éléments les plus dynamiques, les plus diplômés, les plus entreprenants, ceux qui veulent réussir et préfèrent fuir un pays qui ne reconnait plus le mérite, l’effort et la réussite.

Un tel pays ne peut que décliner, alors qu’il était un modèle du monde occidental il y a un demi-siècle. Et rares sont les politiciens conscients de l’ampleur du désastre, qui va s’amplifier si personne ne s’oppose à la dictature mondialiste et ne libéralise l’économie. N’attendons rien de Marine, dans le domaine économique et fiscal, elle vient de prouver qu’elle est sur la même longueur d’onde que Mélenchon.

Jacques Guillemain, Riposte Laïque

. Toutes les conditions sont réunies pour un nouveau Bataclan

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#webtube : Chaque jour, j’ai l’impression que la violence dans mon pays augmente. Dans la plupart des cas, c’est dû au trafic de drogue. Qui est responsable de ce trafic ? Les trois quarts, pour ne pas dire plus, de ce trafic sont l’œuvre d’Africains désœuvrés qui ont quitté l’école et n’ont aucune formation. D’ailleurs ils ne veulent pas bosser et gagnent beaucoup plus que vous et moi en se spécialisant dans la vente de shit, de cocaïne ou de toutes ces saloperies dont hélas de plus en plus de consommateurs deviennent friands.

Ces personnes ne réfléchissent même pas au fait qu’ils favorisent ce marché parallèle. Parfois, ces dealers consomment également une de ces saloperies qui leur fait perdre tout discernement et commettre des crimes (comme celui dont a été victime Mathis, à Lille), refusant d’obéir aux injonctions de la police, prenant tous les risques afin de ne pas être interpellés !

Malheureusement, en France, nous avons des pouvoirs politiques qui refusent d’intervenir par peur de ce qui pourrait arriver dans les banlieues, créant des scènes d’émeutes risquant de compromettre leurs carrières politiques. Car soyons sérieux, pour les politiques, c’est le seul sujet qui pourrait éventuellement les gêner. Pour le reste, ne vous inquiétez pas pour eux, ils vivent dans de beaux quartiers, à l’abri de tout conflit et ne se déplacent qu’avec leurs gardes du corps. Ils sont à cent lieues des problèmes que vivent les Français logeant dans des cités. Quant à la justice, elle n’a jamais été aussi laxiste. Le meilleur exemple, c’est ce qui vient d’arriver à un couple de Rennes qui possédait une brasserie qu’ils ont été contraints de fermer, après une chute vertigineuse de leur chiffre d’affaires due à la proximité de trois points de deal. Ils ont eu beau se plaindre auprès des élus locaux, rien n’y a fait.

https://www.fdesouche.com/2025/11/08/rennes-35-le-trafic-de-drogue-a-eu-raison-de-notre-brasserie-des-restaurateurs-abandonnes-par-les-pouvoirs-publics-ferment-apres-dix-ans-de-lutte

À 55 et 57 ans, ces restaurateurs ayant cédé aux insultes et aux menaces doivent repartir de zéro. Dans ce quartier livré au trafic et à la peur, La Bonne Adresse a fermé, symbole d’un commerce de proximité que l’État n’a pas su protéger. Et malheureusement, le cas de ces commerçants n’est pas isolé en France. Et pourtant, d’après la Constitution, l’État doit la sécurité à ses ressortissants !

Autre sujet d’inquiétude, ce sont les déclarations du procureur national antiterroriste (PNAT), Olivier Christen, qui évoque une menace qui s’accroît en France. Mais comment pourrait-il en être autrement ? Depuis Charlie, depuis le Bataclan, depuis Nice, qu’ont fait nos politiques pour éviter que cela recommence ? RIEN ! Nos services, et je les félicite, ont déjoué en 2025 nombre d’attentats sur notre territoire, jusqu’au jour où il y aura un trou dans la raquette. « La tendance générale est à une menace qui s’accroît », dit Christen, menace portée par des individus de plus en plus jeunes.

Pendant ce temps-là, la France s’apprête à commémorer les attentats du 13 Novembre 2015.  La menace djihadiste reste la plus importante, à la fois par son volume et par le niveau de préparation des passages à l’acteChristen ajoute : « En 2025, 6 attentats ont également été déjoués sur le territoire. La tendance générale est donc à une menace qui s’accroît. Nous observons depuis maintenant 3 ans une augmentation du nombre de procédures que nous ouvrons et, d’autre part, dans les projets qui sont construits, un aboutissement, un stade de préparation des projets beaucoup plus développé aujourd’hui qu’il y a quelques années. »

Elle se caractérise par des individus qui sont sur le territoire français, ne l’ont jamais quitté et n’ont pas nécessairement de rapports directs avec les organisations terroristes. Ce sont des individus qui vont s’auto-alimenter de propagande et qui, à partir de là, vont envisager un engagement djihadiste, notamment un passage à l’acte en France, conformément aux préconisations des principales organisations terroristes, que ce soit Daech ou Al-Qaïda. « Depuis 4 ou 5 ans, nous observons un très net rajeunissement des personnes qui sont mises en examen, avec plutôt des personnes qui ont moins de 20 ans. Depuis 2023, de façon assez subite, nous constatons un très net rajeunissement, avec désormais beaucoup de mineurs ». Aujourd’hui 42 mineurs sont mis en examen. Ce sont principalement des garçons, beaucoup de profils isolés, souvent en situation d’échec scolaire ou de relative distance par rapport à l’école. Ils vivent sur tout le territoire, et passent beaucoup de temps sur les réseaux.  TikTok ou Telegram ont des algorithmes qui les conduisent assez rapidement – dès lors qu’ils recherchent des contenus liés souvent à l’ultra-violence – vers des sites de nature djihadiste qui parviennent à les convaincre que leur mal-être est dû à la société. Et la réponse est donc d’attaquer la société.

Ce que prônent les organisations terroristes, c’est le passage à l’acte en tout lieu, par tout moyen, sans qu’il soit nécessaire de rechercher à avoir des contacts avec elles. Tout ceci, mes chers amis, me conduit à affirmer que ce que j’ai eu le malheur de vivre avec le Bataclan, il y a de fortes chances que cela risque de recommencer parce que nos dirigeants feignent d’ignorer ce qui est en train de se passer. On peut me traiter de complotiste mais le rapport d’Olivier Christen est malheureusement très clair ! En seulement 48 heures, nous avons eu des femmes qui projetaient un attentat qui ont été incarcérées, et nous avons appris que le fumier d’Abdeslam, bien qu’incarcéré théoriquement à vie avec une peine théoriquement incompressible, avait fomenté un nouvel attentat avec une clé fournie par une pouffiasse qui a le droit de venir le voir en taule, et sans doute davantage !

Et quelle est la réaction des autorités ? Hidalgo la Dingo demande aux Parisiens de déposer des fleurs et des bougies (si je devais me reconvertir, je créerais une fabrique de bougies, il y a de l’avenir !) place de la République en commémoration du 13 Novembre 2015. La grosse lécheuse de babouches Mathilde Panot prône le pardon (ce sera sans moi, car ce qui a été commis est impardonnable), et le gouvernement a lancé une campagne de sensibilisation pour mieux préparer et protéger les citoyens face à la menace terroriste (en d’autres termes démerdez-vous !) en quatre instructions : s’échapper, se cacher, alerter et résister.

Ben voyons, comment résister après que Moussa Darmanin a tout fait pour désarmer les Français ? Ils nous prennent vraiment pour des cons !

Patrick Jardin, Riposte Laïque