. Guerre civile ou guerre étrangère ? Les terribles prédictions de l’ancien patron de la DGSE

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#webtube : Pierre Brochand prévoit « une France à majorité africaine et musulmane, bien avant la fin de ce siècle ». L’ancien directeur général de la DGSE a délivré un entretien choc, dans Le Figaro Magazine, où il s’exprime sur les enjeux de l’immigration, vingt ans après les grandes émeutes de 2005. La clarté d’analyse de Pierre Brochand s’appuie sur une expérience acquise à travers un parcours professionnel tutoyant les plus hautes fonctions de l’État. Son constat est particulièrement préoccupant et – fait rare pour une sommité à la parole publique libérée – il rejoint le diagnostic porté par la droite nationale depuis des décennies.

Pour Pierre Brochand, sans changement radical de politique, la France se dirige inévitablement vers « le pire », à savoir « la régression de notre pays en tous domaines, à commencer par la sécurité de ses habitants et, plus généralement, leur bonheur de vivre ». L’ancien fonctionnaire déroule une analyse approfondie – et glaçante – de la notion de « guerre civile » qui, si elle semble frapper à notre porte, ne prendra pas, selon lui, la forme que l’on imagine. Pour celui qui fut à la tête du renseignement français, les antagonismes profonds qui ont produit les guerres civiles à proprement parler, en France, ont disparu pour laisser la place à l’obsession du « pouvoir d’achat ». Selon lui, « les débats sont canalisés pour converger fatalement vers un centrisme bien-pensant ». De plus, les émeutiers d’hier et d’aujourd’hui sont certes en majorité de nationalité française, mais ne se sont en aucun cas séparés de leurs « lourds bagages culturels, religieux, historiques », ce qui tend à brouiller la distinction entre guerre civile et « guerre étrangère ». Une situation « hybride » qui amène Pierre Brochand à parler de « confrontation interne, vulnérable à des ingérences extérieures ».

« Cela fait 40 ans que nous tenons ce discours »

Un constat que rejoint l’eurodéputé RN Gilles Pennelle, contacté par BV : « Ce qui est le plus à craindre à l’avenir, ce sont des révoltes communautaires qui inévitablement se multiplieront ; des révoltes contre la République, contre nos lois, contre ce que nous sommes. » Il ajoute : « L’immense majorité des populations étrangères et immigrées ne se reconnaît absolument pas dans la France. » Plusieurs données statistiques abondent en ce sens : en 2020, 74 % des Français musulmans de moins de 25 ans affirmaient placer l’islam avant la République.

Le constat de Pierre Brochand est sans appel et ses termes sans équivoque : « Le raz-de-marée migratoire, s’il persiste, va produire un enchaînement de dégradations, à la fois sous-jacentes dans la durée et explosives dans l’instant. » Ou encore : « Il faut commencer par prendre conscience du point d’arrivée, lui, irrécusable : une France à majorité africaine et musulmane, bien avant la fin de ce siècle. » Ces difficultés peuvent-elles être d’ordre à engager le pronostic vital de notre pays ? « À très long terme, on ne peut malheureusement qu’opiner, en raison de la dynamique démographique hors laquelle, il faut bien le reconnaître, tout n’est que bavardage, plus ou moins informé. » Des propos que Gilles Pennelle s’empresse de valider : « Cela fait 40 ans que nous tenons ce discours et il nous a valu d’être persécutés, attaqués, ostracisés. »

« Il n’est d’autre voie que celle d’un radicalisme sans remords »

Les alertes du Figaro Magazine ne sont pas nouvelles, constate l’eurodéputé, avec un brin de fatalisme. Déjà, en 1985, l’hebdomadaire dirigé par le talentueux Louis Pauwels créait la polémique en affichant en une le buste de Marianne voilée et ce titre évocateur : « Serons-nous encore français, dans 30 ans ? » « Nous nous dirigeons vers de véritables sécessions territoriales, dont certaines sont mêmes des enclaves islamistes où, plus que les lois de la République, c’est la France elle-même qui disparaît avec son mode de vie et sa culture », abonde Gille Pennelle. « S’il reste une petite chance d’éteindre la mèche, il n’est d’autre voie que celle d’un radicalisme sans remords », explique, de son côté, Pierre Brochand, qui appelle de ses vœux des changements en profondeur. En prise avec le réel, une très nette majorité de Français est désormais alignée sur un tel discours. Il reste à trouver une volonté politique. Et une majorité.

Yves-Marie Sévillia, dans BV

. Vu de l’étranger : « La grandeur de la France s’effondre dans le chaos »

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#webtube : La presse internationale voit dans le braquage éclair au Louvre une faillite de l’État macronien. La France et le monde sont en émoi. Dimanche matin, vers 9h30, alors que le Louvre, premier musée au monde avec ses 10 millions de visiteurs annuels, venait d’ouvrir ses portes, un commando de quatre malfaiteurs masqués a orchestré un vol d’une audace inouïe dans la galerie d’Apollon.

Vêtus en ouvriers de chantier – gilets jaune fluo et casques -, les malfrats ont escaladé la façade donnant sur la Seine au moyen d’une nacelle élévatrice, exploitant une zone de travaux en cours sur le quai François-Mitterrand. En à peine quatre minutes, selon le ministre de la Culture Rachida Dati, les voleurs ont forcé une fenêtre à l’aide d’une disqueuse, emprunté un ascenseur de fret pour accéder à la salle, fracassé deux vitrines blindées et dérobé huit pièces inestimables de la collection des joyaux de la Couronne : diadèmes, broches et pendentifs sertis de diamants et d’émeraudes, datant des XVIIIe et XIXe siècles, dont la couronne de l’impératrice Eugénie ornée de 1.354 brillants et 56 émeraudes – retrouvée brisée dans une rue adjacente, comme abandonnée par les fuyards. Ces derniers, fuyant à moto dans les rues de Paris, ont laissé derrière eux un musée évacué en urgence sous prétexte d’un « incident technique »

Une « honte pour la France »

De l’autre côté de la Manche, le Spectator ne mâche pas ses mots, qualifiant ce vol de « honte pour la France » qui « rejoint la liste croissante des choses que l’État ne peut plus protéger ». Pour le magazine conservateur britannique, cet « assaut grossier, sorte de cambriolage éclair qu’on voit dans les bijouteries de rue », illustre un « État qui ne peut plus protéger ses citoyens, ses rues et désormais même ses propres trésors. » « Le casse a fusionné deux angoisses nationales : l’insécurité et le déclin », martèle-t-on encore, avant d’affirmer que « la grandeur de la France s’effondre dans le chaos ». Le journal britannique voit dans cette « gifle au visage de la France » un écho à la paralysie politique post-législatives dans un pays où Emmanuel Macron peine à gouverner. 

Aux États-Unis, Breitbart, média en ligne trumpiste, enfonce le clou. Le site conservateur américain relaye les plaintes des employés sur le « sous-effectif chronique et les problèmes de sécurité » de nos musées. Le média américain pointe également du doigt Macron et cite Jordan Bardella. Le président du RN parle d’« humiliation insupportable » pour une nation qui « ne sait plus protéger ses trésors ».

À ce sujet — [Vol du Louvre] Les joyaux de l’impératrice Eugénie, témoins de notre Histoire

Un symbole national en péril

Outre-Pyrénées, on accuse l’État d’avoir transformé « un grand musée national » en « un souk multiculturel ». En Suisse, la radio-télévision publique SRF qualifie cet événement de « rude coup pour la France » et évoque un « choc profond » pour les Parisiens qui voient leur « symbole national » profané en plein jour. SRF lie explicitement l’événement au « grand plan de rénovation » dévoilé par Macron « au début de l’année », censé inclure des améliorations sécuritaires. Pourtant, « les faiblesses persistent », martèle le média helvétique, voyant dans cet « attentat au patrimoine » le révélateur d’une France « vulnérable », malgré les investissements. 

En Allemagne, le Zeit se focalise sur le « choc pour Paris » sans creuser explicitement la faillite de l’État, mais souligne l’« inacceptable » vulnérabilité d’un musée « symbole de civilisation ». L’article évoque les « failles structurelles » sur lesquelles avait alarmé la direction du musée. Côté italien, La Repubblica parle d’une « ombre déplorable jetée sur le pays ». Ainsi, de Berlin à Rome, en passant par Washington et Londres, le monde ne peut que constater la faillite d’un pays oscillant entre crises politiques et faillites sécuritaires.

Julien Tellier, dans BV

. Budget 2026 : les socialistes exigent l’abrogation de la réforme retraites qu’ils ont mise en place

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#webtube : Jeudi dernier, à 18 voix près, le gouvernement Lecornu a échappé à la censure. Au prix d’une capitulation honteuse sur la question de la réforme des retraites. Il faut mesurer ce que cette décision a d’incroyable. En effet, la retraite ce n’est pas simplement un âge de départ, c’est aussi un problème de niveau de pension et cela est calculé en fonction du nombre de trimestres cotisés. 

En ce qui concerne l’âge de départ, c’est Macron et son 1er ministre Élisabeth Borne qui ont mis en œuvre le passage de 62 à 64 ans. Sachant que Macron, et on en a la confirmation tous les jours, est et restera PS dans l’âme, même s’il ne le dit pas. Mais ce qui est largement caché par toute la classe politique et les grands médias, c’est de dire qui a imposé cette décision à la France? Il se trouve que c’est l’Union européenne, qui publie chaque année les GOPÉ (Grandes Orientations des Politiques Économiques) c’est-à-dire les directives qu’elle impose à chaque pays membre et que ce dernier est tenu d’appliquer. Et l’Europe exigeait de la France le départ à 64 ans. Macron s’est exécuté.

On en a d’ailleurs confirmation avec les menaces d’Ursula von der Leyen qui menace d’amputer les versements de l’Europe à la France, voire de ne rien verser à la France si notre pays supprime réellement le départ à 64 ans. Une seconde exigence, absolument incroyable, a été faite par la gauche : la suspension de la réforme Touraine de 2014. Mais qui a décidé et mis en œuvre cette mesure ? Ce sont les socialistes : Marisol Touraine (PS) ministre du gouvernement Ayrault, alors que Hollande avait été élu président en 2012. Et que prévoyait cette mesure Touraine ? La durée de cotisation pour la retraite est relevée d’un trimestre tous les trois ans de 2020 à 2035 pour atteindre 172 trimestres (43 ans) pour les générations 1973 et suivantes. Et ce sont ceux qui ont voté cela qui demandent aujourd’hui qu’on stoppe cette mesure, en se comportant comme si c’était la droite qui avait mis en place cette politique antisociale.

Franchement il faut se pincer pour vérifier qu’on ne rêve pas. Et c’est devant cette classe politique de gauche, qui fait comme si elle n’avait pas mis cela en place et qui impose par un chantage totalement minable, que nous voyons une capitulation en rase campagne de la droite, du moins ceux qui se disent de droite. Pas les macronistes qui étaient et restent comme nous l’avons dit des socialistes dans l’âme, non nous parlons des LR qui ont déclaré sur tous les tons que jamais ils n’accepteraient la remise en cause du départ à la retraite à 64 ans (ainsi que la réforme Touraine). Mais dès que leur vote menaçait de provoquer la chute du gouvernement et la dissolution de l’Assemblée nationale dans la foulée, ceux qui disaient que jamais ils ne céderaient, on cédé et refusé de voter la censure, acceptant de ce fait la remise en cause de cette réforme. Juste pour sauver leur poste de député. Juste misérable !

Avec cet épisode, nous avons pu mesurer à quel niveau notre personnel politique a sombré. Quasiment aucun d’entre eux ne se préoccupe des intérêts du pays. Seule compte la gamelle et leur situation personnelle. Jamais notre pays, du moins les politiques, n’était tombé si bas. C’est une honte absolue.

Et ce sont ces gens qui maintenant vont mener d’interminables discussions pour élaborer un budget pour le pays, en négociant comme des marchands de tapis, mesure après mesure. Tout en se contrefoutant des conséquences. Alors que tout le monde sait que cette Assemblée nationale n’est en aucun cas une représentation nationale correspondant à la réalité du pays. Par ailleurs, ceux qui sont à la manœuvre (le PS) et mènent la danse, ne représentent quasiment plus rien politiquement pourtant ils ont tous les leviers de commande en main. Ils ont le Conseil constitutionnel, le Conseil d’État, la Cour des comptes, l’ARCOM… alors qu’à la dernière élection présidentielle de 2022, le PS a obtenu un score pitoyable de 1,75 %. Pourtant, ces socialistes passent leur temps du haut des postes qu’ils occupent encore à empêcher toute politique correspondant à ce que le pays attend, comme par exemple en matière d’immigration.

Mais leur méfaits ne s’arrêtent pas là. Ils ont 61 élus PS à l’assemblée nationale donc s’ils avaient voté la motion de censure jeudi dernier, le gouvernement tombait. Ils ont donc pratiqué sans vergogne un chantage totalement pitoyable auprès de Lecornu, l’obligeant à prendre en compte leurs exigences afin d’accorder du sursis à son gouvernement, donc à leurs postes d’élus. Et tous de se retrouver sur un point : tout faire pour qu’il n’y ait pas de dissolution car tous savent que l’arnaque de juillet 2024 ne pourra pas être refaite. Les Français ne laisseraient pas passer une seconde fois ce bidouillage électoral. Reste que le résultat est une discussion sur le budget dont on est réellement en droit de craindre le pire. En effet, la surenchère démagogique et juste débile de la gauche semble ne pas avoir de limite. Ainsi, après avoir obtenu la capitulation de Lecornu sur les retraites, voilà le retour de la taxe Zucman qui s’annonce. Cette taxe Zucman, consiste à taxer à hauteur de 2 % par an les patrimoines supérieurs à 100 millions d’euros, soit au total 1800 foyers fiscaux en France. C’est à dire une nouvelle imposition contre les riches. Obsession maladive de la gauche. Mais Gauche que cela ne gène pas de laisser passer aussi les milliards d’augmentation des impôts et taxes qui vont frapper les couches moyennes principalement, alors que nous sommes déjà le pays le plus taxé du monde. Oui, le plus taxé du monde.

Rappelons que le ministère de l’Économie et des Finances prépare le budget de la France en soumettant au parlement : le projet de loi de finances (PLF), le projet de loi de financement de la Sécurité sociale (PLFSS). La loi de finances et la loi de financement de la Sécurité sociale définissent, respectivement, les recettes et les dépenses de l’État et de la Sécurité sociale pour l’année à venir. Le projet de loi de finances 2026 prévoit de ramener le déficit public à 4,7 % du PIB en 2026 et à moins de 3 % en 2029, conformément à l’engagement du Gouvernement auprès des instances européennes. Le projet compte sur une croissance de 1 % du PIB en 2026. Quant à la sécurité sociale, son déficit s’est accru, passant de 15,3 milliards d’euros en 2024 à 23 milliards d’euros en 2025. Le lecteur voudra bien noter au passage que 23 milliards de déficit pour un budget plus élevé que celui de la France entière, c’est épouvantable pour nos gouvernants, mais 3400 milliards de déficit de la France, là il n’y a pas de quoi s’inquiéter. Plusieurs observateurs relèvent que cette dégradation ferait peser un risque important sur la pérennité du modèle de protection sociale. On nous permettra d’observer que la sécurité sociale souffre principalement de deux problèmes : le chômage et l’effondrement de la natalité. Mais au lieu de tout faire pour développer l’activité du pays et relancer une véritable politique de natalité, le projet propose comme solution d’aller toujours plus loin dans la pénalisation des malades. Ainsi, nous avons eu le ticket modérateur, le forfait de participation pour accès aux urgences non suivi d’une hospitalisation, etc. Et la dernière trouvaille c’est la franchise. Le montant de la franchise est de 1 € par boîte de médicaments, 1 € par acte paramédical dans la limite de 4 € par jour, 4 € par transport sanitaire dans la limite de 8 € par jour. Le montant de la franchise est plafonné à 50 € par an et par personne. Mais dans le budget 2026 il est question de passer cette franchise à 100€ par an. Le double. Même pour les personnes en ALD (Affection de Longue Durée).

Au total, toutes ces augmentations finissent par représenter des sommes considérables en particuliers pour la population la plus fragile, mais aussi pour les couches moyennes.

Reste que tout cela révèle un véritable scandale s’agissant du projet de budget 2026. Et ni la gauche ni la droite molle ou les macronistes ne s’en offusquent : on cherche désespérément des milliards pour financer le budget, mais il ne vient à l’idée d’aucune de ces forces politiques de baisser drastiquement le coût de l’immigration, ni de supprimer l’AME et la transformer en Aide Médicale d’Urgence, ni de faire cesser le coût des mineurs isolés, ni le coût de l’emprisonnement des étrangers que leurs pays d’origine ne veulent pas reprendre, ni le manque à gagner en termes de cotisations sociales pour le travail au noir fait par des étrangers avec la complicité de patrons voyous, ni de stopper la fraude sociale (il y a, et ce n’est qu’un exemple, un nombre incroyable de centenaires en Algérie qui touchent des prestations sociales venant de France, mais personne ne s’inquiète de savoir s’ils sont toujours vivants). Au total de nombreuses estimations (Charles Prats – Cour des comptes) chiffrent à largement plus de 100 milliards par an, le coût total des éléments ci-dessus. Certains parlent même de 200 milliards par an. Et cela n’inclut pas toutes les aides données à des pays qui n’en ont nul besoin ou qui nous crachent à la figure comme l’Algérie qui touche chaque année 2 milliards d’€ de la France, mais qui refuse de reprendre ses OQTF ou de libérer Boualem Sansal.

Combien de temps ces hommes politiques de gauche et de droite molle, actuellement assis sur le couvercle de la marmite, pensent-ils pouvoir bloquer la pression qui monte dans la marmite ? Qui pense sérieusement que le peuple ne finira pas par se révolter face à cette situation délirante ? Enfin, y a-t-il quelqu’un de sérieux dans ce pays qui pense que la France va pouvoir continuer encore longtemps dans cette voie ? En fait, le budget 2026 risque d’être la goutte d’eau qui va faire déborder le vase et ce qui nous pend au nez, c’est la mise sous tutelle par la troïka (Commission européenne, BCE et FMI), comme en Grèce en 2010.

Bernard GERMAIN, Riposte Laïque

. « C’est comme ça, en Algérie » : premier jour d’audience pour la meurtrière de Lola


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#webtube : Impassible, Dahbia Benkired a demandé pardon à la famille de la fillette. Les détails du crime sont insoutenables. Ce vendredi 17 octobre, l’ouverture du procès de Dahbia Benkired pour le viol et le meurtre avec actes de torture ou de barbarie de la petite Lola Daviet replongeait dans l’horreur de la journée du 14 octobre 2022. Ce jour-là, le corps dénudé de la collégienne de douze ans était retrouvé sans vie à l’intérieur d’une malle, dans son immeuble du XIXe arrondissement de Paris.

Les faits

Loin des images qui avaient circulé après le crime, celles présentant une jeune femme coquette et athlétique, l’accusée, aujourd’hui âgée de 27 ans, est méconnaissable. Elle apparaît devant le tribunal de la cour d’assise épaissie, le visage marqué, coiffée sobrement d’un chignon bas tiré en arrière. Sa voix fluette et sa manière apparemment docile de répondre aux questions ne laisseraient pas imaginer un instant les atrocités qu’elle a fait subir à Lola, il y a maintenant trois ans. Mais les photographies du petit corps recroquevillé dans la malle ramènent à la réalité : les plaies profondes qui ont presque entièrement sectionné son cou, ses pieds et ses mains liés, et surtout son visage, invisibilisé par ce gros scotch dont la meurtrière a recouvert entièrement la tête de Lola, et qui aura conduit à sa mort par asphyxie. Un visage tellement abîmé qu’il sera impossible aux policiers de déterminer sur le champ qu’il s’agissait bien de la collégienne. Les détails du viol, aussi, achèvent de dresser le tableau de cette journée de cauchemar.

Pourquoi avoir imposé de tels sévices à une fillette dont elle n’avait jamais croisé la route auparavant ? C’est ce qu’essaiera de déterminer ce procès, en commençant par retracer le parcours de l’accusée.

À ce sujet — Meurtre de Lola : Plus de 25.000 Français exigent la « perpétuité réelle »

Une enfance algérienne

Son premier souvenir ? L’agression sexuelle dont elle aurait été victime à quatorze ans par un voisin du quartier. Une enfance marquée par les valeurs de l’islam, qu’elle estime finalement heureuse, malgré un père – et une mère, parfois – violent et alcoolique. Après la séparation de ses parents, Dahbia part vivre chez sa grand-mère avec plusieurs tantes, tandis que ses sœurs sont confiées à d’autres membres de la famille. C’est là, affirme-t-elle, qu’elle aurait subi les premiers abus : les tantes se prostituaient, faisaient venir des hommes qui, selon ses dires, l’emmenaient dans les bois, la forçaient à regarder des films pornographiques et à les toucher. Des violences également évoquées par l’une de ses sœurs, Friha, mais que cette dernière ne juge pas déterminantes : « En Algérie, c’est comme ça, mais on n’en parle pas. » Petite, elle pensait que c’était dans le monde partout pareil. Une histoire que certains voudront réduire à une excuse individuelle, mais qui révèle la violence de son milieu qui a joué un rôle d’incubateur.

Un système de violence importé

Son arrivée en France en 2016 n’y change rien. Dirigée vers un CAP restauration, elle sèche les cours, ne valide pas ses stages. Ses professeurs la décrivent comme provocatrice et mythomane, un comportement qu’elle reproduira plus tard en garde à vue. Elle enchaîne quelques emplois, occupe brièvement un poste de serveuse dans un restaurant de Colombes, y fait du ménage et affirme se prostituer occasionnellement pour des clients qu’elle y rencontre. Elle reconnaît ne pas aimer travailler : « Je préfère quand c’est l’homme qui travaille », lance-t-elle à la cour. Le cannabis qu’elle fume depuis qu’elle a rencontré Mustapha M., avec qui elle entretient une relation tumultueuse pendant quatre ans, la rend incapable de garder un emploi.

Finalement tombée sous le coup d’une obligation de quitter le territoire français, elle n’obtempère pas. « Parce que je ne voulais pas. J’ai tout, ici », explique-t-elle. « Y avait pas de raison. J’ai fait mes études ici, j’avais ma famille ici. J’allais faire quoi, en Algérie ? » Cette situation irrégulière est une constante, dans sa famille, semble-t-il. À propos de l’une de ses tantes qu’elle accuse d’abus, elle lance au tribunal : « Elle vit dans le 92 et elle a une OQTF aussi ! » Sa sœur Friha, elle aussi en situation irrégulière à l’époque, n’a d’ailleurs pas souhaité contribuer à l’enquête de personnalité, mécontente d’avoir été expulsée après les faits reprochés à Dahbia.

C’est donc le produit d’un milieu ultra-violent, d’une adolescence déréglée et d’un maintien irrégulier sur le sol français qui était scruté par la cour d’assises, ce vendredi. La personnalité de Dahbia Benkired s’est manifestée sous le signe d’une forte discordance idéo-affective offrant à l’assistance le spectacle ahurissant d’une apathie absurde face à l’horreur des faits.

. “Sacré-Cœur” : Un film qui bouleverse le box-office français.


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#webtube : En pleine époque de déchristianisation et de vacarme idéologique, un film au souffle spirituel inattendu s’est hissé parmi les succès du cinéma français. « Sacré-Cœur », réalisé et produit par Sabrina et Steven Gunnell, raconte à la fois la vie d’une grande mystique du XVIIe siècle – sainte Marguerite-Marie Alacoque, à qui le Christ confia la dévotion au Cœur de Jésus – et le parcours de foi de ses réalisateurs, tous deux convertis au catholicisme.

Sorti en salles le 1er octobre 2025, ce documentaire de 90 minutes connaît une ascension spectaculaire : 100 000 spectateurs en moins de deux semaines, et désormais diffusé sur plus de 330 écrans dans toute la France, du simple fait du bouche-à-oreille. Un exploit pour un film à petit budget, initialement programmé dans 155 salles seulement, et qui s’est retrouvé propulsé dans le Top 10 national du box-office, entre deux productions hollywoodiennes.

Distribué par SAJE DistributionSacré-Cœur témoigne de la force intacte du message chrétien lorsqu’il est porté sans compromis ni artifices. Le film s’attache à montrer combien la dévotion au Cœur de Jésus, transmise par Marguerite-Marie au XVIIe siècle à Paray-le-Monial, demeure universelle et actuelle.
À travers des témoignages de prêtres, de laïcs, de familles, de jeunes convertis ou de religieux, le spectateur découvre une spiritualité incarnée : celle d’un amour réparateur, d’un cœur brûlant pour les hommes, d’une foi simple qui continue de transformer les vies. « C’est un mystère qui nous dépasse, parce qu’il nous devance. Le Sacré-Cœur était déjà présent dans nos vies avant même que nous ne le sachions », confiait Steven Gunnell à Aleteia.

Le 14 octobre dernier, le journaliste Armel Joubert des Ouches assistait à une projection à Chartres, avant d’interviewer Sabrina et Steven Gunnell dans un entretien bouleversant, empreint de foi et d’émotion.

Sans promotion tapageuse ni soutien des grands médias, Sacré-Cœur a trouvé son public par la force du témoignage. Dans de nombreuses villes – Lyon, Toulouse, Bordeaux, Lisieux, Saint-Jean-de-Luz, Les Sables-d’Olonne ou encore Saint-Maximin-la-Sainte-Baume – les séances se multiplient face à la demande. Les spectateurs, souvent émus aux larmes, parlent d’un film « qui réchauffe le cœur » et « rend à la foi sa beauté première ».

A l’heure où la plupart des productions françaises semblent fuir toute référence spirituelle, le succès de Sacré-Cœur rappelle que le public n’a pas renoncé au sacré. Et que dans une France fatiguée de la laideur et du cynisme, la quête de transcendance peut encore remplir les salles obscures.

Breizh-info.com

. Macron complice des mensonges algériens


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#webtube : Mensonges, mensonges, veulerie, lâcheté. Que ce soit le président Emmanuel Macron où son historien officiel sur l’Algérie, lisez ce qui suit

INFO LE FIGARO – À la demande de l’Élysée, l’ambassadeur de France en Algérie, Stéphane Romatet, a pris part ce jeudi à la commémoration du 17 octobre 1961. Un geste voulu par le président français pour raviver un dialogue gelé depuis des mois entre Paris et Alger.

À la demande de l’Élysée, l’ambassadeur de France en Algérie, Stéphane Romatet, a participé ce jeudi 16 octobre à une cérémonie d’hommage aux victimes des événements du 17 octobre 1961 organisé par la Ville sur le pont de Bezons à Paris.

La manifestation lancée à l’époque par le FLN pour protester pacifiquement contre un couvre-feu imposé aux Algériens – on est en pleine guerre d’Algérie – fut violemment réprimée par la police de Maurice Papon, faisant plus d’une centaine de victimes parmi les Algériens, dont beaucoup furent jetés dans la Seine.


« La France n’oublie pas ce jour sombre de son histoire »

Selon des sources diplomatiques, Emmanuel Macron souhaitait envoyer deux messages à Alger : rappeler que « la France n’oublie pas ce jour sombre de son histoire », et souligner qu’il est désormais nécessaire de « dépasser la crise » qui paralyse les relations franco-algériennes. Stéphane Romatet, rappelé à Paris depuis avril 2025 alors qu’Alger venait d’expulser douze agents de l’ambassade de France, n’a toujours pas regagné son poste.

L’historien français Benjamin Stora, spécialiste de la colonisation de l’Algérie, revient dans cet entretien à TSA sur le massacre du 17 octobre 1961 à Paris.

Benjamin Stora, qui a récemment publié une bande dessinée sur le drame du 17 octobre 1961, évoque aussi les raisons du refus de la France de reconnaître ce massacre comme crime d’État, les raisons de l’acharnement de l’extrême droite sur les Algériens, l’éventualité d’un dégel dans les relations franco-algériennes après le départ de Bruno Retailleau du ministère de l’Intérieur…

Ce ne sont que des mensonges, ils me font honte. Aussi bien l’un que l’autre ne peut apporter la preuve de ce qu’ils commémorent. Je ne vais pas revenir sur mes explications détaillées lors des mois d’octobre des précédentes années mais enfin 2 à 300 cadavres d’Algériens jetés dans la Seine et « ils ont tous disparus » et pas un seul retrouvé sur une berge entre Paris et Rouen par des enquêteurs d’État. La Seine les a dissous.

Bizarre non ? Il y a quelques jours, 4 ou 5 corps ont été vus flottant sur la Seine par le passager d’un métro. Eux non pas disparus, c’est étrange.

Pas une seule famille de ces 2 à 300 Algériens jetés dans la Seine n’a déposé ne serait-ce qu’une requête pour obtenir, par exemple, une compensation pour ce soi-disant massacre.

D’octobre 1961 jusqu’à la parution du livre La bataille de Paris, du communiste Jean-Luc Einaudi, paru en 1991, qui aurait révélé au grand public ce massacre après des recherches approfondies (il les a certainement découvert au fond du fleuve !), aucun gouvernement ou président n’a commémoré ce massacre qui n’existait pas : ils n’en avaient jamais eu connaissance… Oui, j’ai dit bizarre.

Que de mensonges, que de lâcheté.

Manuel Gomez, Riposte Laïque

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https://www.bvoltaire.fr/point-de-vue-macron-et-lalgerie-barrot-et-lafrique-les-delires-reprennent

. Après Fitch, S&P dégrade la note souveraine de la France : notre pays rejoint les PIGS…


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Bruno Le Maire, l’homme qui a mis à genou l’économie française…

#webtube : Après Fitch en septembre dernier, c’est au tour de l’agence S&P Global Ratings (ex Standard & Poor’s) de dégrader la note souveraine de la France de AA- à A+. La troisième « grande » agence de notation, Moody’s, qui se prononcera le 24 octobre, devrait s’aligner. La note de la France s’aligne grosso modo sur celles des PIGS (Portugal, Italie, Grèce, Espagne) avec, ô paradoxe, des perspectives catastrophiques pour notre pays et de bons résultats pour lesdits PIGS.

S&P invoque une incertitude « élevée » sur les finances publiques, en dépit de la présentation d’un budget pour 2026, et peut-être même à cause de ce budget qui ne s’attaque pas aux racines du déficit mais va au contraire assommer l’économie française sous de nouveaux impôts.

L’agence n’a pas mâché ses mots sur le sérieux de la situation, qualifiant la période de « la plus grave instabilité politique » depuis la fondation de la Ve République en 1958. La France avait encore une force aux yeux des investisseurs et au sein de la zone euro, c’était la puissance de ses institutions et la stabilité dans les fondamentaux économiques. La dissolution a tout fait voler en éclats.

Non seulement S&P estime que l’objectif de ramener le déficit public sous les 3% du PIB en 2029, comme s’y est engagé l’exécutif, « sera plus lent que prévu », mais elle prévoit que « la dette publique brute atteindra 121% du PIB en 2028, contre 112% à la fin de l’année dernière ». En cause, « l’approche de l’élection présidentielle de 2027 » et l’incertitude politique qui demeure d’ici là pour adopter un budget sans majorité à l’Assemblée.

Pour S&P, la suspension de la réforme des retraites a été le facteur de trop. L’agence avait annoncé que revenir en arrière sur cette réforme serait une ligne rouge, considérant que la question des retraites est un des gros facteurs de dégradation des finances publiques françaises sur le long terme. S&P a avancé son calendrier, alertée par la suspension de la réforme des retraites.

L’agence a revu ses perspectives de croissance à la baisse pour la France l’année prochaine à 1%.

Les taux d’intérêt sur la dette française augmenteront nécessairement, et avec eux la charge pour le budget de l’État de la dette publique. Cette charge de la dette est déjà le deuxième budget de l’Etat, derrière les dépenses sociales, mais devant l’Education nationale. Dans les toutes prochaines années, il pourrait devenir le premier…

Est-ce que ce coup de semonce décidera le gouvernement français de faire des économies sur le train de vie de l’Etat ? Bien sûr que non. Il ne faut en aucun cas mécontenter les copains recaser en masse dans les comités Théodule et structures territoriales, fort dispendieux en deniers publics.

« Un appel à la lucidité, à la responsabilité. » « C’est un nuage supplémentaire qui s’ajoute à un bulletin météo déjà assez gris« , a placidement concédé Roland Lescure, samedi 18 octobre sur franceinfo, convaincu qu’à part charger le pays de nouveaux impôts et taxes, il n’y a rien à faire.

https://ripostelaique.com/jean-de-larosiere-propose-200-milliards-deconomie-sur-10-ans-sans-toucher-au-social.html

Mécaniquement, cette remontée des taux d’intérêt de l’Etat français peut se traduire par une remontée des taux appliqués par les banques aux particuliers. Depuis un à deux mois, les taux de crédit immobilier ne baissent plus, voire réaugmentent légèrement, car les banques se refinancent à la fois auprès de la Banque centrale et sur la gestion de la dette publique. En conséquence, les Français risquent de nouveau de différer leurs achats immobiliers.

Ce contexte anxiogène va également favoriser l’épargne, l’attentisme et le report des projets d’investissements de la part des entreprises françaises qui regardent pour investir à l’étranger. Le tout se traduira par des points de croissance en moins, des points d’investissement en moins et… des licenciements en masse

La BCE viendra-t-elle au secours des finances françaises ? Rien n’est moins sûr. D’autant que l’Allemagne va émettre beaucoup de dette, mieux notée, en raison de son plan de plusieurs centaines de milliards d’euros dans les infrastructures et les dépenses militaires. La France, en voie de tiers-mondisation, passera après.

Henri Dubost, Riposte Laïque

. Le Louvre cambriolé, plus rien ne marche en France… ou presque !


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#webtube : Notre ami Charles Demassieux nous explique, dans un remarquable article, le scandale absolu que constitue le cambriolage du musée du Louvre, ce dimanche matin, à 9 h 30, en plein jour, et nous donne quelques pistes pour mieux comprendre pourquoi cela a pu arriver.

https://ripostelaique.com/braquage-du-louvre-la-france-meilleure-pour-accueillir-les-migrants-que-pour-proteger-nos-musees.html

À défaut de nous faire le coup de la thèse accidentelle, comme les autorités françaises l’avaient fait une demi-heure après l’incendie de Notre-Dame, le procureur Laure Beccuau nous fait le coup de la possible ingérence étrangère. Elle n’a pas osé aller jusqu’à accuser Poutine, mais on n’en était pas loin.

Cette nouvelle catastrophe nationale, qui ébranle encore une fois l’image de la France et l’intégrité de notre patrimoine national, ressemble tellement à ce qu’est devenue la France de Macron.

Plus rien ne marche. Non seulement Notre-Dame brûle, sans qu’on nous dise la vérité, mais tous les jours des églises sont attaquées, vandalisées, taguées, brûlées, quand on n’y assassine pas des chrétiens, comme à Nice. Mais il suffit d’un tag sur une mosquée pour que Darmanin vienne consoler les musulmans à Rennes, et il suffit qu’un clandestin musulman soit assassiné par un Bosniaque d’origine pour que des manifestations éclatent partout, impulsées par les Insoumis, qui ont carrément accusé Retailleau de cet assassinat.

Plus rien ne marche. Notre école se délite, et nos enfants peuvent à tout moment y être rackettés, frappés, lynchés, poignardés, parfois mortellement, par des barbares éduqués par des barbares qui n’ont rien à faire en France. Les parents les plus conscients savent que le viol et l’assassinat d’une Lola ou d’une Philippine peuvent les frapper à tout moment, comme le meurtre d’un Thomas ou d’un Élias. Et nos dirigeants collabos s’en foutent.

Plus rien ne marche. Chaque Français peut se faire squatter sa résidence secondaire, et mettre plusieurs années à la récupérer, mais il peut se retrouver en prison s’il fait ce qu’il faut pour la récupérer lui-même. Chaque compatriote peut se faire attaquer de nuit par des multirécidivistes qui n’ont rien à faire en liberté, et au mieux subir le sort d’un Bernard Tapie, au pire se faire sauvagement torturer ou massacrer, mais surtout se retrouver lui-même en prison s’il a la chance de survivre, d’avoir eu une arme et d’avoir tué son ou ses voleurs.

Plus rien ne marche. Chaque policier qui va travailler sait qu’il peut se faire insulter en toute impunité, percuter par une voiture qui refuse d’obtempérer, se prendre un coup de couteau, voire se retrouver en prison s’il tire sur une racaille. Quant à notre armée, elle est privée de moyens, et s’est fait virer de tous les pays d’Afrique, mais Macron veut l’envoyer faire la guerre à Poutine, alors qu’il est incapable de faire rapatrier Boualem Sansal et semble prendre du plaisir à voir la France se faire humilier par l’Algérie.

Plus rien ne marche. Ceux qui travaillent, qu’ils soient ouvriers, employés, paysans, commerçants, pêcheurs ou entrepreneurs, sont rackettés par un État tentaculaire, qui leur demande de payer pour les assistés et les dépenses inutiles et nuisibles qui plombent le budget de l’État, et que les Français solvables doivent éponger. Et les indépendants sont harcelés par des bureaucrates qui exigent toujours plus de paperasserie et de normes qui leur pourrissent la vie.

Plus rien ne marche. Il faut maintenant des mois pour obtenir un rendez-vous médical dans nombre de villes et de régions françaises, les urgences des grandes villes font fuir les habitants par la longueur de l’attente, et la population qui les fréquente. Heureusement qu’il reste de grands professionnels, mais le risque de tomber sur des soignants étrangers, qui ne parlent pas notre langue, et dont on ignore la réalité des diplômes, est de plus en plus importante.

Plus rien ne marche. Les naissances sont moins importantes que le nombre de décès, malgré l’apport de 30 % des naissances dont les parents sont étrangers, la plupart du temps africains. Et le gouvernement envisage de baisser encore les allocations familiales, pour dissuader les derniers Français qui voudraient encore faire des enfants.

Finalement, dans la France de Macron, les seules choses qui marchent encore, c’est le trafic de drogue, le racket fiscal, les radars, l’accueuil des clandestins, l’invasion migratoire, l’islamisation de notre pays, les magouilles des politicards, les commissaires politiques de l’Arcom, les censeurs du Conseil constitutionnel et surtout la destruction quotidienne de notre pays par nos dirigeants, chef de l’État en premier.

Cyrano, Riposte Laïque

. Enfin ! La Compagnie Parisienne de Chauffage Urbain a fait disparaître Noël !


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#webtube : Chère Compagnie Parisienne de Chauffage Urbain (CPCU) Quelle joie, et quel soulagement de découvrir, à travers votre intéressant document daté du 14 octobre 2025, la disparition officielle de Noël dans votre calendrier des travaux de raccordement de plusieurs bâtiments au réseau de chauffage urbain ! Une fête connotée et ringarde, remplacée avantageusement par la bien plus inclusive et diététique « trêve des confiseurs », du 15/12/2025 au 01/01/2026.

Ce choix s’avère un véritable cadeau pour notre ligne – à défaut de l’être pour nos papilles, privées de bûches et de marrons glacés. J’imagine que proposer Ramadan en alternative aurait pu soulever des commentaires désobligeants, voire des débats théologiques au coin du boulevard Malesherbes.

Merci donc, Compagnie Parisienne de Chauffage Urbain, pour cette attention toute particulière au Vivre-Ensemble, orchestré avec brio dans notre beau 17e arrondissement de Paris, entre le boulevard de Courcelles et l’angle du boulevard Malesherbes. Un vrai modèle de neutralité et d’inclusivité en cette période festive !

Mais le clou de votre missive est sans doute cette « neutralisation du stationnement » annoncée avec tant de panache par votre chargé d’affaires, Jean-Luc Poumarat. Du 20/10/2025 au 30/08/2026, plus de voitures pour encombrer nos rues ! Adieu, embouteillages matinaux, et bienvenue aux mobilités douces ! Nous, les grands bourgeois étriqués de la plaine Monceau, pourrons enfin circuler joyeusement entre les chantiers en trottinette électrique, et respirer les parfums exotiques et admirer les costumes chamarrés de la diversité dans les transports en commun surpeuplés, tout en contribuant efficacement à sauver la planète de l’affreux réchauffement climatique – un objectif que votre réseau de chaleur, chauffant 50,7 % de Parisiens avec des énergies renouvelables, porte déjà avec tant d’efficacité.

Certes, vos travaux au 17e risquent d’impacter ma fourniture de chaleur et de semer quelques perturbations piétonnes. Mais qu’importe ! La circulation des véhicules sera maintenue même s’ils ne pourront plus s’arrêter, celle des bus et des services de secours aussi, et les « personnes à mobilité réduite » (culs-de-jatte et escargots inclus) conserveront leurs précieux stationnements « neutralisés ». Un équilibre parfait, n’est-ce pas ? Je salue d’ailleurs l’audace de cette « neutralisation » temporaire, qui transformera nos trottoirs en laboratoires écologiques. J’aimerais toutefois en savoir plus et notamment concernant les « personnes en errance résidentielle », vous savez, ceux qui vivent dans la rue ?

Alors, merci encore, chère Compagnie Parisienne de Chauffage Urbain, pour cette initiative qui allie modernité, inclusion et écologie. Votre réseau souterrain de 530 km et votre million de Parisiens chauffés sont déjà une prouesse ; avec cette trêve des confiseurs inclusive et cette neutralisation salvatrice, vous nous absolvez de nos idées rétrogrades et fascistes de grands bourgeois grincheux. Je reste aussi confiant : tout sera mis en œuvre pour minimiser la gêne occasionnée – ou du moins pour nous distraire avec des scènes dignes d’un carnaval urbain. Pour toute question, je sais pouvoir compter sur votre service client au 01 44 68 68 20. Continuez ainsi, au nom du Vivre-Ensemble, du bien-être et de la transition énergétique !

Avec toute mon ironie,

Emmanuel Crenne

https://resistancerepublicaine.com

(1) Note de C. Tasin : je découvre grâce à l’œil critique d’Emmanuel que depuis des années à la Mairie de Paris et dans ses services (pas que…), il est systématiquement question de « trêve des confiseurs » pour éviter de prononcer ce mot raciste pour les musulmans, Noël

Source : Riposte Laïque

. La chanson du jour, Greta Van Fleet – Broken Bells


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#webtube : Broken Bells est une pépite musicale qui capture l’essence brute et émotionnelle de Greta Van Fleet. Avec ses riffs de guitare envoûtants et la voix puissante de Josh Kiszka, la chanson mêle rock classique et touches modernes, créant une atmosphère à la fois nostalgique et vibrante.

#webtube : Broken Bells is a musical gem that captures Greta Van Fleet’s raw, emotional essence. With its captivating guitar riffs and Josh Kiszka’s powerful vocals, the song blends classic rock vibes with a modern edge, creating an atmosphere that’s both nostalgic and electrifying.

Source : Webtube.fr