. Tous ces guignols sont indignes de notre France millénaire


Articles : Oct. 2025Sept 2025Aout 2025Juil. 2025
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#webtube : Après avoir barré le RN, en passe d’obtenir une très large majorité aux dernières législatives, les soi-disant serviteurs de la France se lamentent tous en chœur sur l’absence de majorité, qui ramène notre pays aux temps de la IVe République. La valse des gouvernements va donc se poursuivre pour que le fossoyeur de la France puisse terminer son mandat en 2027.

Servir, servir, ils n’ont pas la moindre idée de la noblesse qui entoure ce verbe quand on sert son pays. C’est surtout leur gamelle qui les préoccupe et chacun sait que si Macron choisit le retour aux urnes, le RN sera le grand gagnant de l’épreuve, à condition que droite et gauche ne violent pas une nouvelle fois la démocratie, en s’alliant avec LFI.

Sondage sur Cnews

La mascarade continue. La seule certitude est que Lecornu jette l’éponge, preuve que la situation, malgré ses dires, ne s’est guère améliorée. Combien de concessions faudra-t-il accorder à la gauche, combien de couleuvres faudra-t-il avaler pour éviter la censure et sauver Macron coûte que coûte ? Telle est la sinistre réalité. Barrer le RN et sauver Macron, telle est la seule mission du futur gouvernement.

Déclaration du Premier ministre

«Un projet de budget sera déposé lundi, dans lequel il y aura beaucoup à débattre»

«Il faudra trouver un chemin pour que le débat ait lieu sur la réforme des retraites»

 «Une suspension de la réforme des retraites coûterait au moins 3 milliards d’euros en 2027»

«La future équipe gouvernementale, « quelle qu’elle soit », devrait être complètement déconnectée des ambitions présidentielles pour 2027»

«La situation permet au président de nommer un Premier ministre dans les 48 prochaines heures»

«Il y a une majorité absolue à l’Assemblée nationale qui refuse la dissolution» 

«Ce soir, je considère que ma mission est terminée»

Un Premier ministre de gauche à Matignon ?

On en prend le chemin.

Rappelons simplement qu’à la présidentielle, Olivier Faure, candidat PS, a fait 2 %.

Rappelons que sans le front républicain, le PS obtenait 1 seul député !

https://www.bvoltaire.fr/decouvrez-lassemblee-de-lunion-des-droites-et-des-patriotes

Mais au sein de la macronie, la conception de la démocratie et de la souveraineté populaire est assez proche de celle de Kim Jong Un. Insulter le peuple, Macron y excelle.

Macron a tout détruit, l’industrie, l’agriculture, l’école, la santé, les services publics, livrant le pays aux mondialistes et aux légions d’immigrés qui ne s’intègrent plus. Et il entend bien finir le travail pour lequel il a été missionné. Il lui reste encore beaucoup à faire.

Malgré tout, Marine refuse la procédure de destitution, seul moyen de forcer Macron à lâcher la rampe et de nous débarrasser de ce fléau. Elle n’est plus crédible. La destitution est prévue dans la Constitution, cela n’a rien d’un sacrilège.

Refusant également l’union des droites, elle est devenue un boulet pour le camp patriote.

Avec de tels opposants, Macron ne risque pas grand-chose. Le calvaire va durer 18 mois de plus, sauf colère du peuple, écœuré par tous ces incapables qui ont détruit l’avenir des générations futures.

Faillite et tsunami migratoire sont en passe de liquider 2000 ans de notre fabuleux roman national.

Mais où sont donc passés les vrais patriotes et les vrais gaullistes pour sauver la nation ?

Jacques Guillemain, Riposte Laïque

. Que nous dit l’or? et le portefeuille des quatre quadrants par Charles et Emmanuelle Gave

#webtube Dans cette vidéo du 2 octobre 2025, Charles et Emmanuelle Gave vont parler de l’or. L’emission est partagée en trois parties

02:09 Un rappel sur ce qu’est la monnaie. 05:18 La valeur est subjective. 10:34 L’ Université de l’Epargne. 12:00 Quand on pense l’économie. 22:00 L’Epargne chez les Français. 34:00 Début des graphiques sur l’or pour comprendre ce que disent les marchés. A prendre la pour les confirmés.

. Sarah Knafo : comment redevenir une grande nation ?

#webtube Entretien Confession avec Sarah Knafo, la voix montante de la droite française et députée européenne du parti Reconquête ! Dette, enjeux de souveraineté, IA; économie, immigration, réformes de l’Etat : un entretien loin des discussions politiciennes et du vide de certains grands médias.

Magistrate, membre éminent de la Cour des Comptes, Sarah Knafo est l’une des figures les plus influentes de la nouvelle génération conservatrice. Élue au Parlement européen en 2024, elle défend avec passion les enjeux de souveraineté, d’immigration et d’identité européenne, tout en n’hésitant pas à challenger les tabous de la politique française. Abonnez-vous à la chaîne Frontières pour ne rien rater de nos nouveaux contenus, reportages de terrain et analyses sans concessions.

SOMMAIRE 01:1008:54 : introduction 08:5532:22 : Europe 32:2345:38 : Technologies 45:3901:02:25 : États-Unis 01:02:2601:02:46 : littérature 01:02:4701:32:57 – immigration 01:32:5801:36:10 – pub 01:36:3401:42:24 – magazine 01:42:25 – 01-52-32 – auditeurs 01:52:3301:53:13 – conclusion 01:53:14 – 01:55:36 – pub

. Dette, guerre commerciale, or: quelle stratégie face à la crise ? Politique & Eco avec E Doutrebente

#webtube : Dans ce nouvel épisode, on reçoit Éric Doutrebente, président du conseil de surveillance de la Financière Tiepolo et expert reconnu en gestion de patrimoine. Ensemble, on passe au crible les grands enjeux économiques du moment

📉 La dette française et ses conséquences 🏠 L’état du marché immobilier (ancien, neuf, luxe) 💰 Le boom de l’or : signe de crise ? 🇫🇷 L’épargne des Français, bonne ou mauvaise nouvelle ? 🛢️ Prix du pétrole, guerre commerciale, fiscalité, IFI… 🧓 La transmission du patrimoine et l’effet des baby-boomers 🧑‍🎓 Les conseils concrets aux jeunes et aux contribuables 👉 Une conversation sans langue de bois, entre pédagogie et analyse fine du monde économique.

. Article 16 dans 48 heures ?

#webtube : Selon un sondage Odoxa, 60 % des Français souhaitent une dissolution et 70 % veulent le départ de Macron. Que va donc nous sortir de son chapeau l’illusionniste de l’Élysée ?

Car tout cela sent de plus en plus  la machination machiavélique à plein nez. Un domaine où Macron excelle, reconnaissons-le. Toute cette mascarade a tout du coup fourré prémédité de longue date. Un mois de palabres pour accoucher du même gouvernement, si ce n’est pas une provocation parfaitement orchestrée, qu’est-ce que c’est ?

Quand Macron annonce qu’il prendra ses responsabilités mercredi soir, en cas d’échec des ultimes négociations entre Lecornu et les leaders politiques, je ne crois pas qu’il ait en tête de dissoudre l’Assemblée une deuxième fois, option qui lui serait néfaste. Je crois plutôt qu’il vise le chaos afin d’obtenir les pleins pouvoirs que lui confère l’article 16 de la Constitution. Pourquoi Lecornu réussirait-il en 48 heures ce qu’il n’a pas obtenu en un mois ? Macron s’attend à l’échec programmé de Lecornu pour justifier sa décision. On objectera que tout cela relève du complotisme le plus absolu, mais avec Macron tout est possible.

Que dit cet article 16, qui accorde des pouvoirs exceptionnels au Président ?

« Lorsque les institutions de la République, l’indépendance de la Nation, l’intégrité de son territoire ou l’exécution de ses engagements internationaux sont menacés d’une manière grave et immédiate et que le fonctionnement régulier des pouvoirs publics constitutionnels est interrompu, le président de la République prend les mesures exigées par ces circonstances, après consultation officielle du Premier ministre, des présidents des Assemblées ainsi que du Conseil constitutionnel. »

Par conséquent, après trois tentatives infructueuses pour doter la France d’un gouvernement stable, capable d’élaborer un budget 2026 et d’assurer le bon fonctionnement de l’État, Macron peut très bien décider de s’attribuer ces pleins pouvoirs, en prétextant le chaos et la paralysie du pays.

Ce n’est pas son ami Richard Ferrand, président du Conseil constitutionnel, qui s’y opposera.

L’option de la dissolution n’est guère favorable à Macron

Sans l’inique front républicain habituel, insulte majeure au peuple souverain, ce serait un raz-de-marée du RN. Option que refusent l’Élysée et tous les partis, y compris les traîtres LR, plus proches de LFI que du RN.

Simulation des dernières législatives sans front républicain : 

https://www.bvoltaire.fr/decouvrez-lassemblee-de-lunion-des-droites-et-des-patriotes

EXD : 1RN : 276LR-RN : 43DVD : 20LR : 18NFP : 143DVG : 11REG : 10SOC : 1ENS : 48DVC : 3HOR : 3 
Total bloc patriote : 358Total bloc de gauche : 165Total bloc centriste : 54

On constate que le PS, qui ne cesse de réclamer Matignon, n’aurait obtenu qu’un seul siège au lieu des 62 actuels. Belle légitimité pour exiger le pouvoir ! Merci LFI !

Quant aux LR, qui méprisent le camp patriote, sans Mélenchon, ils n’obtenaient  que 18 sièges et non pas 47. Pas de quoi fanfaronner non plus. Merci Mélenchon !

Cela dit, rien n’est joué. Macron est bien capable de céder Matignon aux socialistes.

Une option catastrophique pour l’économie, mais tout ce qui peut permettre à Macron de tenir jusqu’en 2027 est bon à prendre. Pour lui, la France n’est qu’un jouet entre ses mains pour abuser de son pouvoir. Sans le pouvoir, notre narcissique Président n’est plus rien. Son départ le terrorise.

Préparons-nous au pire, car rien n’arrêtera Macron pour éviter une éviction prématurée humiliante.

Seule l’union des droites pourrait sortir le pays du chaos actuel.

Reconquête la réclame, Marion la réclame. Mais ceux qui détiennent les gros bataillons d’électeurs, le RN et LR, n’en veulent pas. Ce que la gauche a réussi en 1981 semble être mission impossible à droite, alors que les électeurs réclament cette union depuis des années, à une très large majorité.

Les traîtres LR se plaisent à clamer que la France est à droite pour réclamer le pouvoir. Mais s’ils écartent le RN, la France est bien à gauche. Il n’y a donc rien à attendre de cette clique qui a toujours mené une politique de gauche quand elle était aux affaires. Quant à Marine, elle rumine ses rancœurs en sachant très bien qu’elle ne peut gagner seule. Pas étonnant que le peuple désespère de ses élus.

Jacques Guillemain, Riposte Laïque

. La France risée du monde : Le Maire se retire, Macron, aux abois, se tait


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#webtube : Le Président demande à Lecornu de mener d’ultimes négociations sur une « plateforme d’action et de stabilité ». C’est la panique à l’Élysée, où Macron sent le vent du boulet, que ce soit celui de la dissolution ou de la destitution. Tétanisé, il ne s’adresse même plus aux Français. La honte absolue.

C’est bien pire que tout ce qu’on pouvait imaginer. Lecornu a jeté l’éponge ce matin, mais Macron, tel le cerf aux abois, revient sur la démission du Premier ministre et tente de s’accrocher à son pouvoir qui vacille. Avec un gouvernement surréaliste, constitué de revenants et de bras cassés comme Le Maire, comment le tandem Macron/Lecornu a-t-il pu espérer un accueil bienveillant ?

C’est un ramassis de guignols de haute volée que Lecornu nous vend comme une rupture !

Ce gouvernement est une insulte aux Français, un mépris absolu pour leurs angoisses légitimes. C’est une prime à l’incompétence, qui remercie ceux qui ont échoué de façon magistrale dans leur précédente fonction. La France est le cancre de l’Europe, elle s’effondre dans tous les domaines, mais on garde les mêmes jusqu’au bout.

Non seulement Macron a tout raté depuis huit ans, tout détruit avec une minutie de bénédictin, mais il trouve encore le moyen de provoquer une crise institutionnelle avec sa dissolution kamikaze. Il est incontestablement le maître d’oeuvre du chaos, mais il a été largement secondé.

Car n’oublions pas que c’est avant tout le front républicain qui a interdit de former une majorité. Et tous les partis, absolument tous sauf le RN, sont responsables du désastre pour avoir refusé le jeu démocratique. La responsabilité de ce chaos institutionnel incombe à toute la classe politique, ennemie du FN depuis 45 ans.

En 1975, notre pays était le premier de la classe en Europe, respecté et admiré de tous. De ce fabuleux héritage des Trente Glorieuses, il ne reste qu’un champ de ruines. La seule politique menée a été de combattre le FN par tous les moyens. On en voit le résultat !

En attendant le dénouement de cette mascarade ahurissante, aux rebondissements de plus en plus scabreux, la France est la risée du monde. Aucun président de la Ve République n’a autant fait honte au peuple français que Macron, le Mozart du fiasco.

https://www.lemonde.fr/politique/live/2025/10/06/en-direct-demission-de-sebastien-lecornu-le-premier-ministre-demissionnaire-de-nouveau-a-l-elysee_6644534_823448.html

La presse étrangère n’est pas tendre

« Échec de la France », « hausse alarmante de la dette », « Macron, canard boiteux à court d’options », « la France replonge dans les tourmentes des années 1950 », « la pression s’accentue sur Macron », « le gouvernement Lecornu n’a duré que 12 heures », « Lecornu, Premier ministre qui n’aura duré que 27 jours »…

Le feuilleton continue. Lecornu vient d’accepter la nouvelle mission confiée par Macron

« Sébastien Lecornu va mener « d’ultimes négociations » d’ici mercredi soir, Emmanuel Macron « prendra ses responsabilités » en cas d’échec. »

Qu’attendent les partis politiques pour mettre un terme à cette pantalonnade et engager une procédure de destitution ? L’heure n’est plus aux magouilles politiciennes pour sauver Macron, mais au sauvetage du pays.

Jacques Guillemain, Riposte Laïque

. Industrie automobile européenne : le suicide par la vertu


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#webtube : Les normes de plus en plus sévères fragilisent la compétitivité des voitures thermiques. Les deux principaux motoristes français (Renault et PSA devenu Stellantis) s’étaient livrés à la fin des années 2010 une guerre fratricide par l’entremise de leurs présidents respectifs, Carlos Ghosn et Carlos Tavares. Alors que Ghosn encourageait le tout électrique, Tavares le regardait « comme une folie ». La pression des écologistes et le travail de sape du Parlement européen adoubèrent en 2022 la vision de Ghosn : l’UE votait l’interdiction de la vente de voitures thermiques neuves à l’horizon 2035. Même si, comme plusieurs autres constructeurs, Tavares dénonça ce choix comme « idéologique », la loi fût actée début 2023 et les motoristes commencèrent malgré eux à transformer leurs chaînes de montage. Un choix qui va rapidement s’avérer catastrophique.

Au troisième trimestre 2024, Volkswagen enregistra une baisse de 60 % de son bénéfice net ce qui l’obligea à suspendre la production de plusieurs usines allemandes. Le cancer dépassa largement le « fleuron » de l’industrie allemande. Début 2025, les métastases ont atteint les marques italiennes de Stellantis avant de s’étendre à la France : le constructeur vient d’annoncer la mise au chômage technique, durant trois semaines, des 2.000 salariés de l’usine de Poissy.

Un Green Deal mortifère

Au bord de l’asphyxie, l’industrie automobile européenne est en train de suicider ses quinze millions de salariés sur « l’autel de la vertu climatique » ! En cause, un Green Deal mortifère assorti de normes de plus en plus sévères fragilisant d’un côté la compétitivité des voitures thermiques et promouvant de l’autre des voitures électriques onéreuses inaccessibles aux classes populaires.

À ce sujet — Pacte vert automobile européen : Stellantis contre-attaque

Pourtant, l’un des rares domaines où l’Europe conservait un avantage compétitif sur la Chine, restait le moteur thermique : si la Formule 1 était présente aux JO, l’Europe empocherait toutes les médailles tandis que la Chine ferait de la figuration. Cependant, ayant anticipé l’absence de stratégie européenne, la Chine a pris dans le domaine de l’électrique quinze ans d’avance : avance technologique, mais aussi avance économique grâce à un coût du travail deux fois moindre.

Un marché de l’occasion thermique prospère

Le résultat est sans appel : le marché de l’électrique ne décolle pas, la vente de voitures thermiques neuves est en berne tandis que le marché de l’occasion thermique ne s’est jamais aussi bien porté.

Une voie alternative (celle de Tavares !) existait pour réduire les émissions de GES dans la mobilité : diminuer la consommation des voitures thermiques. Nous disposons en effet, notamment grâce au numérique, de tous les leviers pour passer d’une moyenne de 6 l/100km aux 3 l /100km. Mais une telle mesure déplaisait aux prêtres de la religion carbo-centrée préférant le symbole au pragmatisme.

La transition des usages du thermique vers l’électrique se fera à dose homéopathique et le mix énergétique 2050 contiendra encore au moins 50 % de fossiles. Est-il encore temps pour inverser les chaînes automobiles européennes : Porsche vient de décider d’arrêter l’électrification de sa gamme et de retourner au moteur thermique ! Même cause mêmes effets : Stellantis a abandonné la prometteuse Fiat 500 électrique au profit de l’historique 500 thermique. La responsabilité des écologistes et du Parlement européen dans le saccage de l’industrie automobile est gigantesque.

. Nouveau gouvernement : le mépris


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#webtube : Soyons clair : un tel gouvernement tient de la provocation, de la gifle envoyée aux électeurs. La maison France menace ruine. La dette, abyssale, galope chaque mois vers de nouveaux sommets. L’immigration dissout le corps national au rythme de 500.000 arrivées par an. La violence et le trafic de drogue atteignent des proportions folles, au-delà de tout contrôle. La France se désindustrialise à vue d’œil. Le marché immobilier est bloqué. L’agriculture, qui exportait lorsque Macron est arrivé au pouvoir, est devenue déficitaire : elle agonise sous l’effet des accords inspirés du mondialisme sans-frontiériste.

L’urgence ne crie plus, elle hurle à tous ceux qui aiment ce pays qu’il faut changer de route, abandonner les vieilles recettes qui nous ont menés au désastre, condamner vite et sévèrement ceux qui les ont appliquées et donner à la France un gouvernement qui cesse de la détruire pour reconstruire, enfin.

Que fait Macron ? Après huit ans au pouvoir, après huit ans d’échecs pathétiques, il nomme, par l’intermédiaire de Lecornu… les mêmes ! Sanctionné dans les urnes, renversé à l’Assemblée nationale, le macronisme poursuit sa route comme si de rien n’était. Fidèle entre les fidèles, discipliné, obéissant, le Premier ministre Lecornu franchit un pas de plus dans une idéologie que les Français repoussent. Après trois semaines de suspense, de négociations, d’écoute des différents partis – trois semaines ! -, il reconduit au gouvernement, aux mêmes fonctions, Bruno Retailleau à l’Intérieur, Gérald Darmanin à la Justice, l’effarante Élisabeth Borne à l’Éducation nationale, le désastreux Jean-Noël Barrot aux Affaires étrangères, Manuel Valls aux Outre-mer, Rachida Dati à la Culture, Annie Genevard à l’Agriculture, Agnès Pannier-Runacher à la Transition écologique, Philippe Tabarot aux Transports. Au total, treize ministres sont reconduits. Pour les nouveautés, il faut signaler le retour d’un petit nouveau qui a fait ses preuves : Bruno Le Maire. L’homme qui a su si bien endetter la France débarque aux Armées.

Commando suicidaire

Soyons clair : un tel gouvernement tient de la provocation, de la gifle envoyée aux électeurs. Qu’importe les dernières législatives, les sondages, les chiffres, les peines, les cris, les manifestations. Cause toujours, nous ne changerons pas, nous ne changerons rien, expliquent d’une seule voix Macron et Lecornu. Éric Ciotti l’exprime clairement, sur X : « Ce gouvernement est un bras d’honneur aux Français. On prend les mêmes et on recommence. En prime, le retour de l’homme aux 1.000 milliards de dette. Le dernier quarteron du macronisme est tout, sauf la rupture demandée par les Français. Cette provocation ne sera pas sans conséquence. »

À ce sujet — Lecornu, Premier ministre « le plus faible » de la Ve : on en est donc là !

Persévérer, tenir la barre du navire jusqu’à l’iceberg, abîmer, noyer le pays qui vous a porté un jour au pouvoir et qui s’est aperçu trop tard qu’un commando suicidaire avait saisi les commandes et n’entendait les lâcher sous aucun prétexte, même démocratique. Empêcher à tout prix l’alternance, coûte que coûte. Macron prend des allures de forcené retranché. Devant le spectacle du désastre, le Président s’enferme dans le cockpit avec quelques fidèles, enfonce la manette de gaz et fonce droit sur la falaise. Mais on ne méprise pas impunément le pays. La déception populaire risque de fissurer et de dissoudre très vite ce qui restait du macronisme. La question se pose, chaque jour, avec davantage de force : combien de temps l’homme de l’Élysée peut-il piétiner le pays ? Sur CNews, l’avocat ancien député RN Gilbert Collard résume le sentiment de ceux qui aiment leur pays. Il voit la France en « salle de soins intensifs : on essaie de faire durer des institutions à bout de souffle. La seule solution, c’est de redonner la parole au peuple… […] On vit l’agonie de nos institutions dans une espèce de théâtralisation ratée. »

Des mesures d’urgence signées Philippe de Villiers

Un appel à une Sixième République. Pourtant, les hommes sont plus forts que les institutions et le même syndicat destructeur parviendrait à dissoudre le pays, quel que soit le cadre institutionnel, VIe République comprise. C’est aux oppositions de saisir le pouvoir. Ce dimanche soir, Jordan Bardella ne semblait pas disposé à laisser un répit à ce gouvernement provocateur. « Nous l’avions dit clairement au Premier ministre : c’est la rupture ou la censure, écrit-il, sur le réseau X. Le gouvernement annoncé ce soir, composé des derniers macronistes agrippés au radeau de la Méduse, a décidément tout de la continuité, absolument rien de la rupture que les Français attendent. »

Barbey d’Aurevilly disait : « Le mépris outrage plus que la haine et la haine le sait bien. » Dans un pays prompt à la révolte et à bout de patience, le pouvoir devrait éviter d’amplifier l’exaspération et la colère. Macron, apparemment, n’en a cure. Gilbert Collard, sur CNews, franchit un pas : « On est arrivés à un moment où le choc avec Macron va avoir lieu », estime-t-il.

La balle est chez les électeurs. Elle est aussi chez les dirigeants de l’opposition. Vendredi, Philippe de Villiers traçait leur route et énumérait quelques mesures d’urgence. Celles qui s’imposent à ceux qui aiment encore ce magnifique et vieux pays : bloquer l’immigration, sortir de Schengen, rétablir les frontières, renvoyer les prisonniers et délinquants étrangers, interdire les tchadors et autres vêtures du VIIe siècle, tourner la justice vers les victimes, rendre la loi française supérieure à la loi européenne, couper dans les dépenses inutiles ou nocives et, surtout, rétablir dans l’enseignement l’amour de la France. Des mesures qui nécessitent un peu de courage politique mais peuvent relancer le pays en quelques semaines tout au plus.

Dans cette période d’incertitude, une chose est certaine : ces mesures évidentes, urgentes, nécessaires, le nouveau gouvernement ne les prendra pas.

Marc Baudriller, dans BV

. David Betz : la guerre civile devient inévitable à terme


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#webtube : Deux pays sont en première ligne : le Royaume-Uni et la France Pendant que les fous furieux rêvent d’une guerre contre la Russie, guerre que Poutine ne veut pas, la véritable menace d’une guerre civile se précise. Guerre de religion, guerre raciale ou guerre civile, peu importe le nom qu’on lui donne.

Ce sera sans doute un cocktail de tout cela. Dès lors que les peuples ne sont plus écoutés, dès lors que des communautés ne partagent plus d’avenir commun pour de multiples raisons, ni les mêmes valeurs, l’éclatement de la nation est inéluctable. La volonté d’imposer une gouvernance mondiale postnationale contre la volonté des peuples ne peut que semer les germes d’un embrasement majeur.

Pour David Betz, professeur au King’s College de Londres, les facteurs d’insurrections violentes en Occident s’accumulent : affaiblissement de la légitimité politique, fracture identitaire et perte de cohésion nationale sont le terreau de l’explosion à venir.

Ce sont d’abord les élites biberonnées au mondialisme, qui se sont coupées du peuple natif, attaché à son patrimoine culturel et à son histoire. Ce choc des cultures nié par une classe dirigeante qui prêche la diversité heureuse contre l’avis des peuples disloque peu à peu la nation. Des millions de citoyens ne croient plus à l’utilité du vote, la démocratie étant quotidiennement bafouée. On l’a vu au Royaume-Uni, où le Brexit n’est pas vraiment effectif. On l’a vu en France avec le référendum sur la Constitution européenne, enterré par le pouvoir. Quelle confiance accorder à des élites qui méprisent le peuple et le persécutent sur le plan judiciaire ?

C’est ensuite l’échec de l’intégration de plus en plus flagrant avec les nouvelles générations d’immigrés. Le repli identitaire de communautés toujours plus nombreuses, qui se sentent étrangères à l’histoire du pays d’accueil et qui jugent que le pouvoir en place ne les représente aucunement, crée une ségrégation sociale à 180° de la mixité souhaitée. Les enclaves ethniques se multiplient, disloquant la cohésion nationale. Ce sentiment de cohabitation impossible se répand chez les natifs, qui pensent que l’immigration de masse est un ratage évident mais n’osent l’exprimer publiquement. Les mouvements politiques en vogue, que les élites cataloguent d’extrême droite, n’hésitant pas à les taxer de racisme, de xénophobie ou d’islamophobie, ne font en réalité qu’écouter les craintes de patriotes attachés à leur pays et que les mondialistes en place méprisent au plus haut point. En 2025, aimer son pays, défendre son histoire, ses traditions et sa culture devient suspect. L’accusation de racisme n’est pas loin. Les craintes des natifs sont pourtant justifiées. Gérard Collomb, particulièrement bien renseigné en tant que premier flic de France, ne disait-il pas en quittant ses fonctions : « Nous vivons côte à côte avant de vivre face à face » ?

Et si les deux pays d’Europe les plus menacés par un embrasement généralisé sont le Royaume-Uni et la France, la probabilité d’une contagion européenne est de 60 %.

Selon David Betz, « les théories sur les causes des guerres civiles sont claires : des sociétés polarisées, fracturées, avec des écarts d’attente massifs et une perte de confiance dans les mécanismes politiques classiques, ont toutes les caractéristiques propices au déclenchement d’un conflit. »

Cette réalité est de plus en plus évidente pour bon nombre de responsables, mais aucun gouvernement ne reconnait à ce jour la faillite de la mondialisation. Aucun gouvernement n’avoue que la société multiculturelle paradisiaque n’est qu’une grande illusion. Tout est mis sous le tapis parce que les élites n’ont pas de solution, ou plutôt n’ont ni le courage ni la volonté de traiter les causes du naufrage identitaire de l’Europe, qui va nous mener au pire.

Toutes les élites se sont trompées sur les bienfaits de la mondialisation au niveau des sociétés occidentales. Les peuples d’Europe n’ont récolté que la désintégration de leur nation, des nations parfois millénaires, comme l’Angleterre ou la France, qui sont en train de disparaîtreDavid Betz interroge :

« Si l’idée de « remplacement démographique » des Européens est aujourd’hui prise au sérieux jusque dans des segments modérés de la population, pourquoi les élites ne proposent-elles pas une interprétation alternative plus convaincante ? Et pourquoi les autorités semblent-elles privilégier la censure, au nom de la lutte contre la « désinformation », allant jusqu’à emprisonner certaines figures d’opposition ? »

La triste réalité est que la course au grand marché mondial voulue par les multinationales, considérant les humains comme de simples consommateurs interchangeables, en faisant fi de leur héritage culturel, a conduit l’Occident au naufrage absolu, au point qu’il n’est pas certain qu’il survive à ses propres délires mondialistes.

À la question : Existe-t-il un scénario dans lequel cette trajectoire pourrait être inversée ? David Betz répond :

« Non. Je ne vois aucun scénario plausible permettant, dans le cadre des règles actuelles, de modifier significativement cette trajectoire. Il n’y a aucune véritable issue politique. Les partis antisystèmes, tels que Reform au Royaume-Uni, Alternative für Deutschland (AfD) en Allemagne ou le Rassemblement National en France, verront leurs perspectives électorales considérablement réduites par des procédés de «guerre juridique», c’est-à-dire de judiciarisation délibérée de l’adversaire politique, ainsi que par toute une panoplie de techniques éprouvées de défense du statu quo. Et même s’ils parvenaient à être élus et se révélaient réellement déterminés à changer les choses en profondeur, ces formations politiques se heurteraient à un mur d’obstruction administrative, à un sabotage bureaucratique constant. »

Par conséquent, attendez-vous à payer au prix fort la déstructuration culturelle orchestrée par les fossoyeurs de la civilisation occidentale qui nous gouvernent. Les mondialistes se battront jusqu’au bout contre les peuples.

Jacques Guillemain, Riposte Laïque

. Indignation en Italie : une statue de Jean-Paul II à Rome dégradée par des manifestants de gauche lors d’une marche pro-Palestine – un tag « fasciste de merde » avec un symbole communiste découvert


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#webtube : Un acte honteux a précédé la manifestation de cet après-midi à Rome en soutien à la cause de Gaza.  La statue du pape Jean-Paul II, sur la Piazza dei Cinquecento, où s’est conclue la manifestation de soutien à la cause palestinienne du 26 septembre, a été profanée. 

Des carabiniers de la caserne de Macao ont trouvé les mots « fascista di merda » et le symbole de la faucille et du marteau sur la statue. Ils ont engagé des procédures pour effacer les graffitis et restaurer le site dans son état d’origine. (…)

SecoloDItalia

La Première ministre Giorgia Meloni : « À Rome, ils ont profané la statue de saint Jean-Paul II avec le slogan “Faciste de merde” et un dessin de faucille et de marteau. Ils prétendent descendre dans la rue pour la paix , mais ils insultent en réalité la mémoire d’un homme qui fut un véritable défenseur et bâtisseur de la paix. Un acte indigne commis par des personnes aveuglées par l’idéologie, témoignant d’une ignorance totale de l’histoire et de ses protagonistes. » De son côté, le vice-Premier ministre Matteo Salvini a commenté avec amertume sur les réseaux sociaux : « Nous avons désespérément besoin de cerveaux pour ces pauvres imbéciles. » (…)

Quotidiano