. Accord franco-algérien de 1968 : le rapport parlementaire qui révèle le coût d’un scandale – c’est Nicolas qui paie encore (pour se faire cracher dessus)

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#webtube : C’est un texte vieux de près de soixante ans, mais il continue de produire des effets considérables : l’accord franco-algérien du 27 décembre 1968, signé dans le sillage des accords d’Évian, régit encore aujourd’hui les conditions de séjour, d’emploi et de protection sociale de centaines de milliers d’Algériens en France.

Un rapport parlementaire rendu public le 15 octobre 2025 vient d’en dresser un bilan accablant : un régime d’exception devenu incontrôlable, dont le coût annuel est évalué à près de deux milliards d’euros pour le contribuable français, qui paye ainsi pour se faire littéralement cracher au visage.

Un « accord bilatéral » à sens unique

À l’origine, l’accord de 1968 devait encadrer une immigration de travail issue de l’Algérie indépendante. Il prévoyait des quotas, un contrôle médical, un titre de séjour, et la mise en place d’une commission mixte franco-algérienne chargée d’en suivre l’application

Mais avec le temps, ce cadre s’est transformé en un système juridique dérogatoire, sans équivalent pour aucune autre nationalité. Trois avenants successifs (1985, 1994 et 2001) ont élargi les droits des ressortissants algériens, tandis qu’une jurisprudence administrative bienveillante leur a accordé des privilèges croissants.

Résultat : l’accord, censé limiter les flux migratoires, a eu l’effet inverse. 

Des droits exorbitants, sans réciprocité

Le texte de 1968, tel que modifié, accorde aux Algériens des facilités d’entrée, de séjour et de regroupement familial inconnues du droit commun.

Par exemple :

  • un certificat de résidence de dix ans renouvelable automatiquement après seulement trois ans de présence régulière (contre cinq pour les autres étrangers) ;
  • un accès facilité au regroupement familial après douze mois de présence (contre dix-huit pour les autres nationalités) ;
  • la possibilité d’obtenir un titre de séjour même après un séjour irrégulier, au nom de la « vie privée et familiale » ;
  • la prise en compte des prestations sociales françaises (RSA, minimum vieillesse) dans les ressources exigées pour faire venir sa famille – avantage unique réservé aux Algériens.

Le rapport révèle aussi un fait sidérant : il est presque impossible de retirer le titre de séjour d’un Algérien, même en cas de condamnation pénale. Depuis 1994, aucune disposition ne permet de le faire, et la jurisprudence protège même ceux reconnus coupables de violences ou d’atteintes à l’ordre public.

Un coût estimé à deux milliards d’euros par an

Les députés Charles Rodwell et Mathieu Lefèvre, auteurs du rapport, évaluent à près de 2 milliards d’euros par an le surcoût pour les finances publiques lié à ce régime d’exception.
Cette somme inclut :

  • environ 300 millions d’euros de charges administratives et judiciaires (traitement des dossiers, contentieux, rétention) ;
  • 1,5 à 2 milliards d’euros de dépenses sociales liées à une immigration plus familiale et moins insérée économiquement ;
  • des centaines de millions d’euros de pensions et allocations versées à des résidents en Algérie.

Rien que pour 2023, 361 771 pensions françaises ont été versées à des retraités algériens vivant en Algérie, pour un montant total d’un milliard d’euros.
Et dans de nombreux cas, l’Algérie refuse de payer la part qui lui incombe, obligeant la France à compenser — comme l’a rappelé Charles Rodwell : « L’Algérie refuse de payer les retraites de milliers de ses ressortissants, et c’est la France qui compense avec l’ASPA. »

Une rupture d’égalité et une anomalie constitutionnelle

Au-delà du coût, le rapport pose une question de fond : ce régime d’exception est-il encore constitutionnel ?

L’article 6 de la Déclaration des droits de l’homme de 1789 stipule que « la loi doit être la même pour tous ». Or, en France, un ressortissant algérien n’est pas soumis au même droit des étrangers qu’un Marocain, un Guinéen ou un Européen.

Cette situation crée une discrimination positive inversée : les Algériens disposent de plus de droits que les citoyens européens, qui doivent justifier de ressources propres pour accéder au RSA. Les auteurs du rapport parlent d’une « rupture d’égalité manifeste » et appellent à « tirer les conséquences constitutionnelles de cet état de fait ».

Une coopération algérienne quasi inexistante

L’accord, qualifié de « bilatéral », n’a en réalité de réciprocité que le nom.
L’Algérie refuse régulièrement :

  • de délivrer les laissez-passer consulaires pour ses ressortissants expulsés ;
  • d’appliquer la convention de sécurité sociale signée en 1980 ;
  • et même, dans certains cas, de reprendre ses propres ressortissants condamnés.

Le taux d’exécution des obligations de quitter le territoire (OQTF) pour les Algériens n’est que de 5 %, contre 56 % pour les autres nationalités.
Ainsi, sur 22 426 mesures d’éloignement prononcées en 2024, seules 1 719 ont été effectives.
Et dans l’attentat au couteau de Mulhouse (février 2025), le terroriste d’origine algérienne était sous OQTF depuis des mois… que l’Algérie refusait d’appliquer.

Une République française cuck qui paie et se tait

Les auteurs du rapport soulignent l’asymétrie totale des relations entre Paris et Alger. La République française, tel un « cuck » verse des milliards chaque année pour des prestations sociales, des retraites, des aides médicales ou des logements sociaux bénéficiant à des ressortissants algériens, tandis que l’Algérie ne respecte aucun de ses engagements.

L’étude cite même le président Tebboune, qui reconnaissait en début d’année que l’accord était « dépassé et inutile » — sans pour autant accepter qu’il soit dénoncé.
De fait, la France demeure pieds et poings liés à un texte qu’elle seule applique.

Le rapport recommande de déclarer l’accord inapplicable ou caduc au regard des principes constitutionnels français.

En clair, il s’agirait de réintégrer les ressortissants algériens dans le droit commun du Code de l’entrée et du séjour des étrangers (CESEDA), en supprimant les dérogations historiques.

Mais le gouvernement d’Emmanuel Macron, soucieux de ménager Alger, ne semble pas prêt à franchir le pas. Le ministre de l’Intérieur Laurent Nuñez a d’ailleurs déclaré sur France Inter que “la remise en cause de l’accord n’est pas à l’ordre du jour”, préférant évoquer un hypothétique “bougé” dans les relations bilatérales.

Ce rapport éclaire d’un jour cru l’impuissance de l’État français face à un système qu’il a lui-même entretenu.

Alors que les débats sur l’immigration se multiplient, aucune majorité n’a encore osé toucher à ce texte, par crainte des conséquences diplomatiques ou communautaires. Pourtant, les chiffres parlent d’eux-mêmes : 650 000 Algériens résidents réguliers en France, une immigration majoritairement familiale, et un coût budgétaire supérieur à celui de certains ministères.

Dans une période où les Français sont sommés de “faire des efforts”, continuer de financer ce privilège postcolonial relève d’un choix politique, non d’une fatalité. Le courage consisterait, enfin, à dire que l’égalité de traitement commence par la fin des exceptions.

Breizh-info.com, 2025

. Pamiers (09) : après vingt ans de procédures, un couple devrait pouvoir récupérer sa maison squattée. Mais seulement après la trêve hivernale

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#webtube.fr : Après vingt ans de procédures, Georgette, 78 ans, et son mari David ont enfin obtenu gain de cause contre l’occupant illégal de leur maison à Pamiers, en Ariège. Mais malgré la décision du tribunal et les 70 000 euros de dommages accordés, le couple ne peut toujours pas récupérer son bien, bloqué par la trêve hivernale et les lenteurs administratives.

Tout commence à la fin des années 1990. Georgette achète une petite maison de 90 m² à Pamiers, qu’elle compte habiter pour sa retraite. Quelques années plus tard, elle confie les travaux et la gestion à un artisan local. Ce dernier s’y installe progressivement, cesse de payer le loyer et finit par occuper les lieux de manière permanente.

Lorsqu’elle revient dans la région, Georgette découvre que sa maison est devenue inaccessible. L’homme s’y est installé comme chez lui et, selon elle, lui aurait même répondu qu’elle “pouvait dormir sur le canapé” si elle voulait y passer la nuit.

Le couple engage plusieurs démarches administratives et judiciaires, souvent infructueuses. Plainte pour escroquerie, faux et usage de faux, abus de faiblesse… Rien n’y fait pendant des années. […]

Malgré un jugement favorable, le couple demeure prisonnier de la lenteur judiciaire et de l’inertie administrative. Le couple espère qu’au plus tard, le printemps 2026 marquera enfin la fin de ce long combat pour récupérer ce qui leur appartient depuis plus de vingt ans.

La Dépêche

. La chanson du jour, Madrugada – Majesty

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#webtube : Un beau et grand morceau du groupe norvégien Madrugada. Cette ballade rock mélancolique, portée par la voix écorchée de Sivert Høyem, explore les regrets d’une relation amoureuse brisée. L’instrumentation épurée, avec sa guitare lente et ses touches de batterie délicates, amplifie cette atmosphère de deuil et de nostalgie, rendant la chanson intemporelle et profondément émouvante pour quiconque a connu la perte d’un amour. Un bijou du post-rock scandinave !

#webtube : A beautiful and powerful track from the Norwegian band Madrugada. This melancholic rock ballad, carried by Sivert Høyem’s raw vocals, explores the regrets of a broken relationship. The stripped-down instrumentation, with its slow guitar and delicate drum touches, amplifies this atmosphere of mourning and nostalgia, making the song timeless and deeply moving for anyone who has experienced the loss of love. A gem of Scandinavian post-rock!

Source : Youtube – Gork

. Alarmisme climatique : les 8 étapes de l’hystérie expliquées

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#webtube : Connaissez-vous les étapes du changement selon John Kotter ? Cette théorie managériale s’applique parfaitement à toutes les manœuvres politiques liées au changement climatique. En appliquant son modèle aux décisions de la caste au pouvoir liées à cet alarmisme climatique, vous allez tout comprendre sur ce qu’il se passe actuellement. Ne vous laissez pas berner.  

Que vous soyez climatosceptique ou fervent croyant du changement climatique, venez le 15 novembre au Forum de la dissidence, où nous discuterons de la question environnementale afin d’éviter un totalitarisme qui menacerait nos libertés individuelles : https://my.weezevent.com/forum-alarmisme-climatique.

Première étape : créer un sentiment d’urgence

Les acteurs de l’alarmisme ont construit, dès les années 1980, une narration de crise existentielle :
« L’humanité est en danger », « la planète brûle », « il ne reste que dix ans ».

En stratégie du changement, cette étape vise à provoquer une réaction émotionnelle collective (peur, panique, culpabilité) pour forcer la mobilisation.

  • Diffusion d’images de catastrophes naturelles ;
  • Répétition des échéances (« 2020 », « 2030 », « 2050 ») ;
  • Assimilation du scepticisme à une irresponsabilité morale.

Résultat : un état d’urgence permanent qui justifie l’action politique radicale et empêche le débat contradictoire.

Deuxième étape : former une coalition dirigeante

Les institutions internationales, grandes ONG et leaders politiques se sont unis autour de la cause climatique :
ONU, GIEC, Union européenne, grandes multinationales, médias, influenceurs « verts »…

Cette coalition a unifié le discours et marginalisé les voix dissidentes.
Elle donne au récit climatique une légitimité institutionnelle et morale, s’appuyant sur la science officielle et la vertu politique.

C’est une coalition d’influence, non une coalition démocratique.
Le pouvoir symbolique et économique s’enracine dans la « bonne cause ».

Troisième étape : développer une vision et une stratégie

Une fois l’urgence et la coalition installées, on formalise une vision du futur :

  • Une planète « neutre en carbone » ;
  • Une économie « verte » et « durable » ;
  • Une humanité « responsable » (souvent au prix de restrictions).

Cette vision s’accompagne d’une stratégie prescriptive :

  • Taxation, surveillance énergétique, limitation des libertés, contrôle des comportements individuels.

Sous couvert de sauver la planète, on structure un projet de transformation sociale et politique global dont la finalité réelle peut être le contrôle plutôt que la protection.

Quatrième étape : communiquer la vision du changement

La « vision verte » est relayée massivement :
médias, réseaux sociaux, cinéma, école, publicité, institutions publiques.

L’image du « sauveur de la planète » devient une norme sociale et morale.
Les messages sont simples, répétitifs, émotionnels :
« Chaque geste compte », « Sauvez la Terre », « Il n’y a pas de planète B ».

Les figures médiatiques (Greta Thunberg, Leonardo DiCaprio, etc.) incarnent le récit.
La répétition constante transforme l’opinion publique en consensus apparent : le doute devient marginalisé, voire interdit.
L’objectif n’est plus la compréhension, mais la conversion.

Cinquième étape : lever les obstacles

Une fois la vision imposée, il faut neutraliser les voix dissidentes :

  • Marginalisation des climatosceptiques, assimilés à des complotistes ou ennemis de la science ;
  • Pression académique et médiatique ;
  • Censure indirecte via les plateformes ou les financements.

L’obstacle principal n’est plus technique mais idéologique : ceux qui doutent.
Le débat scientifique est remplacé par une morale obligatoire.
La peur devient une arme de contrôle social, la bonne conscience écologique un filtre de légitimité.

Sixième étape : générer des victoires à court terme

Les gouvernements et ONG mettent en avant des succès symboliques :

  • Fermeture de centrales à charbon ;
  • Interdiction des pailles en plastique ;
  • Accords internationaux (COP, Accords de Paris) ;
  • Campagnes de reboisement médiatisées.

Ces victoires, souvent médiatiques, entretiennent la narration du progrès :
« Nous avançons », « Le monde se mobilise ».

Elles maintiennent la mobilisation émotionnelle et font taire la fatigue ou le doute.

Septième étape : consolider les gains et produire plus de changement

Une fois la population sensibilisée et les victoires célébrées, le système se renforce :

  • Création d’organismes institutionnels permanents (Haut Conseil pour le Climat, ministères, agences, programmes).
  • Intégration du narratif climatique dans toutes les politiques publiques : urbanisme, énergie, agriculture, éducation, santé.
  • Multiplication des contraintes légales : taxes carbone, normes, restrictions de mobilité.

Chaque été est « le plus chaud jamais enregistré », chaque tempête une « preuve du dérèglement ».
L’objectif : ne jamais laisser retomber la peur ni la mobilisation.

Le processus devient auto-entretenu : plus la société change, plus elle se convainc qu’elle doit encore changer davantage.

Huitième étape : ancrer les nouvelles approches dans la culture

Le climat devient une religion séculière, un dogme moral et culturel.

  • À l’école, les enfants apprennent à « sauver la planète » ;
  • Dans les médias, toute catastrophe est reliée au changement climatique ;
  • Dans les entreprises, la « responsabilité environnementale » devient un critère d’image et d’embauche ;
  • En politique, les programmes verts deviennent transpartisans.

Celui qui doute n’est plus simplement en désaccord : il est fautif, dangereux, voire haïssable.

Le discours climatique cesse d’être scientifique pour devenir idéologique et totalitaire, au sens où il prétend régir tous les aspects de la vie : alimentation, transport, énergie, logement, natalité.

Polémia
28/10/2025

. La sexualité et l’homosexualité en islam

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#webtube : L’islam a codifié  les rapports sexuels entre les hommes et les femmes qui sont soumis à la charia (les lois islamiques). Certains actes sexuels sont permis et d’autres sont strictement interdits.

En effet, il est interdit aux femmes et aux hommes musulmans de discuter ouvertement des relations sexuelles. L’islam met l’accent sur les préliminaires. La masturbation est interdite, mais les hommes et les femmes mariés peuvent stimuler le pénis et le vagin de leur partenaire. Pourtant malgré ces interdictions, les rapports sexuels définis par le nikah (sexualité islamique) restent nécessaires dans la vie conjugale du couple.

Dans la culture musulmane, le refus d’une femme d’avoir des relations sexuelles sans raison valable est puni par Allah et ses anges, mais cela ne signifie pas que le mari est obligé d’avoir des relations sexuelles avec elle. Par contre, la femme ne doit pas se refuser à son mari, même sur le dos d’un chameau (hadith authentifié).

Allah a dit que les femmes sont des champs de labour pour leurs époux :

« Vos épouses sont pour vous un champ de labour ; allez à votre champ comme [et quand] vous le voulez et œuvrez pour vous-mêmes à l’avance. Craignez Allah et sachez que vous Le rencontrerez. Et faites gracieuse annonce aux croyants » (sourate 2, verset 223).

L’islam interdit l’homosexualité. Beaucoup de versets coraniques l’interdisent. En effet, il est écrit dans la sourate 27, versets 54 à 58 :

« [Et rappelle-leur] Lut (Loth), quand il dit à son peuple : « Vous livrez-vous à la turpitude [l’homosexualité] alors que vous voyez clair ? ».

Vous allez aux hommes au lieu de femmes pour assouvir vos désirs ? Vous êtes plutôt un peuple ignorant.

Puis son peuple n’eut que cette réponse : « Expulsez de votre cité la famille de Lut (Loth) ! Car ce sont des gens qui affectent la pureté.

Nous le sauvâmes ainsi que sa famille, sauf sa femme pour qui Nous avions déterminé qu’elle serait du nombre des exterminés.

Et Nous fîmes pleuvoir sur eux une pluie (de pierres). Et quelle mauvaise pluie que celle des gens prévenus ! ».

Voir aussi les versets 80 à 84 de la sourate 7, les 78 à 82 de la sourate 11, les versets 28 à 35 de la sourate 29.

À ce sujet, le prophète de l’islam a dit, rapporté par Abou Horeira ( Sunan Abi Dawud 8) : «  Le croyant qui utilise la voie anale dans son acte intime avec son épouse est maudit ».

Les exégètes islamiques ont interdit les actes homosexuels. Mais en réalité, entre ce qui est halal et haram, il y a  un fossé  que les musulmans refusent de voir. Le réel leur est étranger.

L’homosexualité et la sodomie demeurent omniprésentes  au sein de la oumma mais cachées des regards de la foule haineuse.

L’exemple de l’oasis de Siwa à l’ouest de l’Égypte est édifiant. Cette oasis cache une histoire étonnante longtemps oubliée (ou plutôt, volontairement effacée mais qui continue à se pratiquer en cachette) : les mariages homosexuels (entre les hommes uniquement).

Ces unions entre hommes étaient reconnues par la communauté et faisaient l’objet de véritables mariages officiels. La dot versée pour un mariage homosexuel était souvent plus élevée que celle d’un mariage hétérosexuel.

L’autre exemple de l’homosexualité est le bacha bazi (jouer avec les garçons imberbes comme au Paradis d’Allah). Cette pratique est un esclavage sexuel, sous forme de prostitution.

Le bacha bazi est encore pratiqué en Afghanistan, à l’ouest du Pakistan et dans certaines régions de l’Asie centrale (Turkménistan, Ouzbékistan, Tadjikistan…).

Constantin Constantinovitch von Palhlen (1833-1912, général et homme politique russe), dans ses notes sur l’Asie centrale, décrit le bacha bazi (mission en Turkestan, 1908 et 1909).

« Des coussins et des carpettes furent installés, sur lesquels nous nous allongeâmes avec reconnaissance. De grands tapis furent étendus dans la cour et les indigènes allumèrent leurs narguilés, nous les offrant poliment. C’est alors que Khivan, célèbre bachehs, fit son entrée. Derrière la scène, un orchestre principalement composé de flûtes de jumeau, de tambours de bouilloire et d’une demi-douzaine de trompettes d’argent à taille d’homme avait pris position. En face de nous, une porte laissée entrouverte conduisait au harem [espace réservé aux esclaves]. L’orchestre commença alors avec une curieuse mélodie plaintive, le rythme étant repris et souligné par les timbales et quatre bachehs prirent leurs positions sur le tapis. Les bachehs sont de jeunes garçons spécialement formés pour effectuer un ensemble particulier de danses. Pieds nus, vêtus comme des femmes, en longues blouses de soie aux couleurs vives qui atteignent le dessous de leurs genoux, les pantalons étroits bien serrés autour des chevilles, les bras et les mains brillant de bagues et de bracelets. Ils portent les cheveux longs, arrivant en dessous des épaules, bien que la partie avant de la tête soit rasée de près. Les ongles des mains et des pieds sont peints en rouge, les sourcils sont noir de jais. Les danses se composent de contorsions sensuelles du corps et de stimulations rythmiques de long en large, les mains et les bras levés dans un mouvement tremblant. Le nombre de danseurs augmenta ensuite, le cercle grandit en taille, la musique devint plus aiguë et perçante, tandis que les yeux des spectateurs indigènes brillaient d’admiration et que les bachehs entonnaient une mélodie perçante, dans le tempo sans cesse croissant de la musique. Le prince héritier expliqua qu’ils chantaient l’amour et la beauté des femmes. Ensuite les danseurs effectuèrent des mouvements plus rapides empreints d’une grande émotion, jusqu’à ce qu’ils se jettent à terre, comme épuisés et grisés par l’amour. Ils furent suivis par d’autres, qui dansèrent selon le même thème. »

En lisant ce texte, on se croit transporter au Paradis d’Allah et ses éphèbes qui tournent au milieu des ‘bienheureux’.

La sodomie des femmes est une pratique sexuelle assez répandue en terre d’islam. En effet, les jeunes filles musulmanes célibataires s’adonnent à la sodomie pour préserver leur virginité. Une fille qui n’est pas vierge, son avenir d’épouse n’est pas assuré. Elle est de facto frappée par la malédiction d’Allah.

Certaines femmes mariées mais infidèles pratiquent aussi la sodomie pour éviter de tomber enceintes et d’engendrer ‘des enfants illégitimes’. La peur du lendemain les pousse parfois, malgré elles, à cette pratique sexuelle qu’elles considèrent pourtant comme honteuse. Parfois, il faut le souligner, elles préfèrent être prises par derrière pour goûter au plaisir de la sodomie.

Je ne parle pas aussi des relations intimes entre femmes qui sont connues et qui se déroulent en général dans les hammams. Il est de notoriété publique aussi que l’homosexualité masculine se passe dans les alcôves  de ces hammams, après le départ des femmes.

Ces choses ne se discutent pas, elles font partie de l’intime.

Cet article n’est pas une critique de l’homosexualité mais il est là uniquement pour dénoncer la malhonnêteté de certains musulmans qui lavent plus blanc que blanc.

La sexualité dans la société arabo-musulmane est considérée comme haram. Elle est frappée par le sceau de la honte et de l’infamie en apparence. Et en plus, comme l’honneur (le nif) de la oumma se trouve entre les cuisses de la femme, la sexualité devient une obsession et un tabou fantasmé.

L’arabo-musulman cultive et entretient, depuis son enfance, un esprit plein de contradictions et de clichés dégradants sur la sexualité qui brouille sa vision et son rapport à la femme qu’il considère comme un objet sexuel difficilement atteignable pendant sa jeunesse. En tout cas, avant son mariage.

La sexualité demeure un complexe psychosocial refoulé et chronique chez le musulman en général, de la naissance jusqu’à la mort.

La sexualité est une obscurité qui le trouble !

La société arabo-musulmane, dans son intégralité, intellectuels comme simples citoyens, voit en la sexualité la “honte”.

La sexualité est aussi  synonyme  “d’honneur” ou “ de déshonneur” !

Ainsi, le crime d’honneur est légalisé par la société arabo-musulmane. Ces “crimes d’honneur” sont légion en terre d’islam et même en Occident à cause de l’invasion islamique que les médias officieux passent sous silence.

Le musulman est allergique à l’amour. Pour lui, l’amour est souvent lié à la sexualité maudite. Et la société arabo-musulmane l’encourage à refuser de reconnaître que la sexualité fait partie de la vie, en continuant à lui enseigner la haine et la violence comme les sédiments de sa culture.

Elle condamne aussi l’amour entre un homme et une femme. En un mot : la vie !

La sexualité crée une sorte de peur de la femme chez les arabo-musulmans qui deviennent des frustrés sexuels, au point que la violence misogyne devient la seule arme qui leur reste. L’invisibilisation de la femme de l’espace public est leur sujet de discussion à la mosquée. Pour beaucoup d’entre eux, la mixité est le chemin ouvert vers une sexualité hors charia. Par conséquent, la mixité est haram !

Dans une société obsessionnelle comme la oumma, la femme devient alors une proie harcelée dans la rue et parfois dans son propre domicile. Et les agressions sexuelles qui se passent dans les transports publics en France sont les parfaites illustrations de cette obsession sexuelle.

D’ailleurs, pour réprimer la sexualité, les oulémas s’appuient sur le verset coranique 187 de la sourate 2 : « Et ceux qui ne trouvent pas à se marier, qu’ils jeûnent, car le jeûne sera pour eux un bouclier ».

Pour Allah, jeûner est le meilleur moyen d’oublier sa sexualité.

Cette religion ‘de paix et d’amour’ est l’idéologie par excellence pour créer la frustration, la violence et le viol surtout contre les femmes non voilées et de préférence mécréantes.

Alors, d’une pierre, deux coups !

Hamdane Ammar, Riposte Laïque