. La gauche française de plus en plus haineuse et totalitaire

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#webtube : La liberté d’expression est odieuse à la gauche, comme le manifeste son combat permanent contre le groupe Bolloré. Chacun se souvient que certains militants de gauche étaient allés célébrer la mort de Jean-Marie Le Pen place de la République. Quelques semaines plus tard sa tombe avait été profanée à la Trinité-sur-Mer. Sur un autre plan mais dans un état d’esprit similaire, certains se sont réjouis ouvertement de l’emprisonnement de Nicolas Sarkozy. Dans les deux cas, les militants de gauche, parfois même des élus, ont manifesté une haine malsaine comme un esprit de revanche ou même de vengeance, le point d’orgue étant la demande d’élus de gauche et d’extrême gauche d’aller vérifier que l’ex-président ne bénéficiait pas d’un traitement de faveur durant son incarcération.

Sarkozy dans le viseur

En ce qui concerne Nicolas Sarkozy, qui affichait dans le discours des positions ouvertement de droite et remettait en cause « l’esprit soixante-huitard », chacun sait que la gauche lui vouait une détestation tenace. Même si, dans les faits, à peine élu sur un programme de droite ferme, il avait tenté l’ouverture à gauche ! Il n’est toutefois pas interdit de se demander si la décision d’exécution provisoire de la peine prononcée lors de son jugement, ne relève pas d’une volonté de vengeance corporative et idéologique à l’égard d’une homme qui avait critiqué ouvertement certaines pratiques judiciaires. En effet, il n’existait ni risque de fuite, ni de récidive, ni de trouble à l’ordre public. Décision de justice ou d’injustice ?

Quoi qu’il en soit, tout ceci est le signe d’une radicalisation inquiétante de la gauche française. Celle-ci constate bien que son « magistère » intellectuel et « moral » s’effondre. Trop de déni de la réalité, trop de mensonges idéologiques, trop de soutien à des régimes totalitaires et/ou terroristes immondes, le dernier en date étant le Hamas, finit par ouvrir les yeux de ceux qui étaient aveuglés par la propagande. Et la gauche enrage de sentir sa fin prochaine de son influence. Telle une bête féroce acculée, elle redouble de fureur. Ceci se traduit parfois par la violence urbaine et l’appel à la violence mais surtout par l’abus des procédures judiciaires visant à réduire au silence ceux qu’elle considère comme des adversaires à éliminer.

À ce sujet — [ÉDITO] Sarkozy incarcéré : la joie mauvaise de la gauche

Un film et un magazine pris comme têtes de Turc

La toute récente tentative du maire socialiste de Marseille, Benoît Payan d’interdire la projection du film Sacré-Cœur au château de La Buzine, démontre que l’état d’esprit totalitaire et liberticide n’appartient pas qu’à l’extrême gauche ou à LFI. Elle irrigue désormais toute la gauche. Grâce à Dieu, le tribunal administratif a estimé dans sa décision que « le maire de Marseille a porté une atteinte grave et manifestement illégale à la liberté d’expression et à la liberté de création et à la liberté de diffusion artistiques, libertés fondamentales au sens de l’article L. 521-2 du code de justice administrative ». Car la gauche, qui s‘autoproclame la voix du progrès, semble revenir à la frénésie anti-catholique des petits bourgeois bedonnants et francs-maçons de la IIIe République, ceux-là même qui appelèrent le Maréchal Pétain au pouvoir. Ces « gens d’avenir » sont affectés d’un torticolis qui les tourne obstinément vers le passé.

Le retrait d’agrément de diffusion du magazine satirique de droite La Furia, par la Commission paritaire des publications et agence de presse (CCPAP), relève de la même volonté totalitaire de briser la liberté d’expression en France. Cette décision entraîne la perte des tarifs postaux, de la TVA spéciale, et de l’obligation aux vendeurs de distribuer le journal. Rien que cela. Et pour quels motifs ? Le contenu du journal serait « susceptible de choquer ». Bien. Le contenu de Charlie Hebdo n’aurait-il jamais été susceptible de choquer ? Ou encore ce contenu serait susceptible de « constituer des infractions », ce qu’aucune décision de justice n’est venu confirmer. Comprenez-le bien, braves Français, la satire ne peut être que de gauche et une obscure commission inconnue du public décide de ce qui peut vous faire rire et de ce qui ne doit pas vous faire rire !

Acharnement fiscal

La rage de la gauche se déploie aussi sur le plan économique. Alors que la France est le pays le plus imposé du monde, les socialistes en redemandent encore alors même que le délire français en matière fiscale et réglementaire a prouvé sa nocivité. Depuis des décennies, les Français sont assommés de nouveaux impôts et de nouvelles réglementations et quel est le résultat ? Le déficit public a atteint des sommets, le pays s’est désindustrialisé, la classe moyenne se prolétarise, les Français cessent de consommer pour constituer une épargne de précaution, les cerveaux et les talents fuient la France… Nous sommes bien loin du « Enrichissez-vous par le travail et l’épargne » de Guizot. Pour la gauche, s’enrichir est un péché et toute nouvelle ressource doit être taxée. Pourtant, la création de richesse et l’amélioration de la situation matérielle des particuliers entraînent la consommation et l’investissement, provoquent la circulation de l’argent, et bénéficient à tous. Mais non. Les idéologues de gauche savent mieux que vous comment utiliser cet argent qu’ils viennent subtiliser dans vos poches.

La gauche menace vos libertés essentielles. La liberté d’expression lui est odieuse comme le manifeste son combat permanent contre le groupe Bolloré. L’expression publique de la foi chrétienne lui est insupportable et elle lui préfère l’islam. Les choix démocratiques, quand ils ne vont pas dans son sens, doivent être effacés par l’instrumentalisation de l’État de droit. Les libertés économiques lui sont intolérables. L’attachement à nos racines culturelles et historiques lui semble révoltant. Ces gens sont dangereux. Ils menacent la civilisation française, notre vie en société, l’humanité en ce qu’elle a d’enracinée, donc de réel. Les combattre est un devoir. Et ce combat est sans merci.

Stéphane Buffetaut, dans BV

. « Tant qu’une balle ne rentrera pas en pleine tête d’un Blanc » : Mediapart dérape

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#webtube : Vue comme une incitation à la violence, la séquence a d’ores et déjà été signalée à la Justice. Nouveau dérapage, pour Mediapart. À l’occasion des vingt ans de la mort de Zyed Benna et Bouna Traoré, la plate-forme d’extrême gauche a mis en ligne, ce dimanche 26 octobre, une émission spéciale intitulée « 2005-2025 : les quartiers, oubliés ? ». Cette dernière vise à incriminer les violences d’une police « de plus en plus militarisée », qui ferait « de plus en plus de morts ». Présentée comme une militante « engagée contre les violences policières », une certaine Samia El Khalfaoui y tient des propos pour le moins incendiaires. « La police en France est une police qui a une histoire coloniale…

C’est une police qui a toujours été là pour contrôler un peuple, une race, lance-t-elle, face à un petit public conquis. Dans les années 30, il s’agissait des Juifs étrangers. Dans les années 60, il s’agissait des Français musulmans d’Algérie. Aujourd’hui, il s’agit des jeunes racisés, noirs, blancs ou arabes, issus des quartiers populaires. » Et la jeune femme d’illustrer sa tirade par l’exemple : « Vous avez tous vu en direct la mort de Nahel et des 33 autres victimes. Ils sont tous noirs, arabes ou gitans, racisés. Et tant qu’une balle ne rentrera pas en pleine tête d’un Blanc issu de bonne famille, je pense que cette loi ne changera pas… ».

Dénonçant un discours porteur d’infractions, l’euro-député du RN Matthieu Valet a signalé la séquence au ministre de l’Intérieur, ainsi qu’à la procureur de Paris. « Ces propos sont, à mon sens, de nature diffamatoire et injurieuse à l’égard de l’ensemble de la police nationale, en laissant entendre que son action aurait une vocation discriminatoire et illégitime, écrit-il dans une lettre rendue publique, sur XAu-delà de leur violence verbale, ces déclarations constituent une incitation à la haine et à la violence qui ne peut, à mon sens, rester sans réaction. »

L’habituelle accusation de « racisme »

Encouragée par son auditoire, la militante n’en est pas restée là et a poursuivi sa mise en cause d’une police française qu’elle juge fondamentalement raciste. « Si, demain, ça touchait une autre catégorie, les gens s’en alarmeraient beaucoup plus. (…) Lorsque c’est des gilets jaunes, lorsque c’est des Blancs, on parle de gestes politiques. Lorsque c’est dans les quartiers, on parle d’émeutes. Il faut faire en sorte de changer cette narration autour des quartiers puisqu’en fait, ils expriment ce qui est en France depuis toujours : c’est-à-dire qu’on est dans un pays raciste, qui n’assume pas son passé colonial et qui essaie d’effacer par la violence les traces de son passé. »

La mise en parallèle des gilets jaunes et des émeutes ethniques est osée. Contrairement à ce que Samia El Khalfaoui semble croire, la police n’est pas moins sévère avec les « Blancs ». On ne compte plus les articles – dont beaucoup ont été publiés par Mediapart – sur les « gilets jaunes éborgnés » et autres victimes occidentales de « violences policières ». C’est précisément lorsque les manifestants sont issus des cités que l’État tremble et demande à ses forces de l’ordre de raser les murs ou de battre en retraite. Anonymement, certains policiers confirment que leur hiérarchie leur demande d’être tout particulièrement « souples » lors de leurs échanges avec les populations des quartiers dits « populaires ».

De même, Samia El Khalfaoui s’indigne unilatéralement du nombre « record », en France, de personnes tuées ou mutilées par la police. « C’est une urgence de se saisir de ça. C’est de la dignité humaine, dont on parle ! », déclare-t-elle. Mais quid de nos forces de l’ordre agressées quotidiennement par la racaille ? Début 2025, le directeur général de la gendarmerie nationale avait révélé que 1.000 gendarmes avaient été ciblés ou agressés par arme en 2024, ce qui constituait un fait « inédit ». Pourquoi l’extrême gauche racialiste ne dénonce-t-elle jamais ces violences-là ?

La délégitimation de la police

Au-delà de sa soi-disant « violence », c’est en raison de sa simple existence que la police est aujourd’hui conspuée. « Il y a une vraie problématique, explique ainsi Samia El Khalfaoui. En France, il y a plusieurs polices : on a la police nationale, la police municipale ; depuis quelques années, on a aussi la sécurité ferroviaire qui se permet des clés d’étranglement… on a tout un appareillage de police. Et depuis les JO, on a installé également des caméras qui surveillent les mêmes ! ». Exaspérée par la présence d’agents de l’État français dans les quartiers, la militante se dit également « effarée » par les contrôles d’identité qu’ils y effectuent. À ses yeux, la loi accorderait encore trop de pouvoirs à la police, à l’image de cet article du Code de sécurité intérieure, entré en vigueur en 2017, qui élargirait outrageusement les conditions dans lesquelles les forces de l’ordre peuvent faire usage de leurs armes. « Le 9 octobre, Robert Badinter rentrait au Panthéon parce qu’il a aboli la peine de mort. Sauf que cette loi de 2017 a restitué la peine de mort puisqu’aujourd’hui, mon neveu a été abattu par la police parce qu’il refusait un contrôle ! », avance Mme El Khalfaoui.

À écouter Samia El Khalfaoui, son neveu aurait perdu la vie gratuitement, alors qu’il faisait une simple « marche arrière » en voiture. Les faits sont en réalité un peu plus complexes que cela. Comme nous l’apprend France 3, le dénommé Souheil El Khalfaoui s’est non seulement rendu coupable d’un refus d’obtempérer, mais il a aussi blessé un agent en essayant de s

d’obtempérer, ce ne sont quasiment jamais des « Blancs » qui perdent la vie. Faut-il en déduire que certains respectent plus la loi que d’autres, ne s’exposant pas, ainsi, à un tir de maintien de l’ordre ?


Jean Kast
, dans BV

. La fin de « l’enfer » ? À Châteauneuf-Grasse, vers une fermeture du centre pour mineurs isolés

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#webtube : Les opposants à ce centre espèrent qu’il ne s’agit pas encore d’une « fausse promesse ». « On a le sentiment d’être abandonnés. » Deux ans et demi après l’installation de mineurs non accompagnés dans le seul hôtel de la ville, les habitants de Châteauneuf-Grasse (Alpes-Maritimes) croisent les doigts. Ce 13 octobre, lors du conseil municipal, la mairie a annoncé son intention de racheter l’ancien Campanile afin d’y installer « une nouvelle activité […] pour répondre aux besoins du territoire et des habitants ». Les discussions entre la municipalité et le propriétaire de l’hôtel sont en cours. Une très grande partie des habitants de cette petite commune de 3.700 habitants, à bout, espèrent que ces échanges permettront, « avant la fin de l’année », le rachat de l’établissement et, donc, la fermeture du centre qui accueille à ce jour une quarantaine de mineurs isolés.

Incivilités et suspicion de trafic de stupéfiants

Depuis deux ans et demi, les habitants de Châteauneuf-Grasse ont en effet vu leur tranquille quotidien être bouleversé par ces mineurs isolés. Emmanuel Delmotte, maire de la commune, reconnaît lui-même devant son conseil municipal que « le nombre important de mineurs de cultures différentes dans un même site, la fragilité sociologique de ce public, la typologie des lieux mal adaptée ont conduit à de nombreux événements constitutifs d’un trouble à l’ordre public ». C’est « un enfer »décrivait, en février dernier, Cyril Malbert, habitant de la commune et farouche opposant à ce centre, contacté par BV. Il décrivait alors les nombreuses incivilités auxquelles sont désormais confrontés les riverains. « Plusieurs habitants ont leur jardin qui donne directement sur les fenêtres de l’hôtel. Ils subissent des nuisances sonores jour et nuit. Ils sont dérangés en pleine nuit par l’alarme incendie ! […] Et ces jeunes traînent [dans la rue] et font des réflexions agressives aux passants », énumérait-il. Dans une nouvelle vidéo envoyée à BV, ces jours-ci, on entend des jeunes déranger la tranquillité des voisins directs du centre en soirée.

En mars, une fronde a même éclaté dans le centre géré par l’association Entraide Pierre Valdo. Dans des vidéos récupérées par BV, on entendait des jeunes crier, donner des coups et déclencher les alarmes. Les habitants partageaient leur « peur » par messages alors que les forces de l’ordre étaient contraintes d’intervenir. À l’époque, la préfecture tentait de temporiser et assurait qu’il s’agissait seulement de « troubles ». Mais depuis, les faits de violence s’accélèrent. En juin, Le Figaro affirme que « quatre jeunes résidents ont tiré des billes de plastique et de plomb dans la cour d’une crèche située à proximité » du centre. La mairie a alors été contrainte de barricader la crèche, faute de pouvoir fermer ce centre. Et encore, début octobre, « des tirs de pistolets à billes ont visé la cour de la crèche municipale »rapporte le conseil municipal, alors que les enfants se trouvaient à l’intérieur de l’établissement. Une plainte contre X a été déposée par la municipalité. L’enquête est en cours. Au même moment, les forces de l’ordre ont mené deux perquisitions au sein du centre. Ils y ont trouvé plus de 1.000 euros en liquide, des stupéfiants, un taser ou encore une bouteille de protoxyde d’azote.

À ce sujet — Des mineurs isolés dans les Alpes-Maritimes : « On a tous peur » !

Les habitants de la commune, à bout, ont tenté plusieurs fois de déposer plainte. En vain, « c’est rarement suivi d’effet », se désole l’un d’eux.

Espoirs de fermeture

En mars, après la fronde au sein du centre, de nombreux riverains ont cru que les autorités fermeraient l’établissement pour de bon. Lionel Tivoli, député Rassemblement national des Alpes-Maritimes, confiait ainsi à BV que le « préfet avait fermé le centre ». Cette fermeture semble avoir été seulement temporaire.

La perspective de rachat par la municipalité est le dernier espoir des habitants de Châteauneuf-Grasse. « Sur le principe, cette idée est peut-être bonne pour retrouver notre sécurité et tranquillité, mais le chemin reste long et compliqué. Il faut effectivement casser un bail, la vente coûtera sans doute plusieurs millions d’euros… Il faut rester prudent. Les habitants de Châteauneuf-Grasse ont besoin de solutions concrètes, pas de promesses en l’air », commente Cyril Malbert auprès de BV. Il en veut pour preuve l’annonce de la fermeture du centre en mars dernier. « Va-t-on encore faire de fausses promesses ? » Mais une question demeure : une fois le centre de Châteauneuf-Grasse fermé, où seront envoyés les mineurs isolés qui y logeaient ? Quelle autre commune des Alpes-Maritimes verra alors sa tranquillité bouleversée ?

Clémence de Longraye, dans BV

. Paris évacue plein de Gazaouis vers la France : combien de terroristes ?

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#webtube : Vingt Palestiniens ont été évacués ce dimanche de la bande de Gaza vers la France par le Quai d’Orsay. Il s’agirait d’étudiants boursiers. Ils sont attendus en France ce mardi.

Ces évacuations sont du ressort d’une cellule de crise visant à identifier et faire sortir de Gaza « les personnes appelées à être rapatriées en France ou à y séjourner », ouverte depuis deux ans au sein du consulat de France à Jérusalem. Très concrètement, les listes des exfiltrés sont établies par le centre de crise du Quai d’Orsay puis transmises à l’administration israélienne pour une première vérification de sécurité. Les visas sont ensuite instruits par le poste consulaire français. Le ministère de l’Intérieur, lui, contrôle les fichiers de police français.

En avril 2025, 500 personnes avaient déjà été évacuées de la bande de Gaza vers la France depuis le massacre du 7 octobre. « Dans ces efforts, nous veillons scrupuleusement à ce que les personnes évacuées vers notre pays respectent les valeurs et principes de la République », précise encore la source diplomatique.

Le processus d’évacuation avait été brutalement gelé cet été après la découverte de posts à caractère antisémite publiés sur les réseaux sociaux par une étudiante gazaouie, Nour Atallah, arrivée en France quelques semaines plus tôt. Cette dernière avait bénéficié d’une bourse France Excellence, délivrée par le consulat français à Jérusalem. La jeune femme de 25 ans, qui devait faire sa rentrée dans l’établissement de Sciences Po Lille, avait été placée en garde à vue et visée par une enquête judiciaire pour « apologie du terrorisme et apologie de crime contre l’humanité », avant de quitter la France pour le Qatar.

Les ministres de l’Intérieur et des Affaires étrangères s’étaient renvoyé la responsabilité de ce raté dans la sélection des étudiants gazaouis autorisés à quitter la bande de Gaza pour venir en France. Beauvau rappelait que ses prérogatives se concentraient sur l’étude « des menaces contre la France et les Français » et pas sur « ce qui se passe à l’extérieur, qui concerne les ministères en charge de l’extérieur » quand Jean-Noël Barrot pointait à l’inverse une défaillance des « services compétents ».

Une enquête interne avait été lancée dans les deux ministères pour que « cette situation ne se reproduise plus ». Le ministre des Affaires étrangères Jean-Noël Barrot avait en parallèle annoncé le 1er août la suspension immédiate de toutes les opérations d’évacuation. « Tous les profils qui sont entrés en France vont faire l’objet d’une nouvelle vérification », avait insisté le Quai d’Orsay, refusant de préciser le nombre de personnes concernées par cette suspension pour « raisons de confidentialité ». À la suite de cette enquête interne, « les contrôles ont été renforcés, permettant la reprise des opérations », confie à cet égard la source diplomatique.

L’évacuation de Gazaouis vers la France a repris depuis le 7 octobre. Cinq cents d’entre eux sont déjà arrivés sur le territoire national.

Henri Dubost, Riposte Laïque

. Le Burevestnik, le nouveau missile russe, garanti sans puces de machine à laver

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#webtube : La faute impardonnable des Européens a été de rejeter la Russie en 1991, alors que les Russes ne demandaient qu’à se rapprocher de l’UE en enterrant la guerre froide.

Nous aurons peut-être un jour une troisième guerre mondiale, donc la dernière par le feu nucléaire, parce qu’une bande de crétins à la botte des États-Unis, se sont couchés devant les faucons russophobes du Pentagone qui rêvent toujours d’en découdre, sans même soupçonner la puissance militaire de la Russie ni la force mentale de son peuple. L’histoire jugera ces criminels. Les Russes de 2025 sont les mêmes qu’à Stalingrad. Ils ne se plaignent ni ne renoncent jamais. L’Otan ne peut donc que perdre cette guerre, même si Poutine refuse de mobiliser et d’engager toutes ses forces.

Faire la guerre à un peuple blanc et chrétien, alors qu’une guerre interne a toutes les chances d’éclater en Europe et d’embraser le continent, relève d’un délabrement mental de nos élites totalement irrécupérable.

C’est avec la Russes qu’il fallait prôner le « vivre-ensemble », au lieu de nous imposer une société multiculturelle contre-nature qui disloque les nations européennes.

Imaginez combien l’Europe serait puissante si elle avait arrimé la Russie au continent. Matières premières à profusion, cerveaux de premier plan et immensité territoriale, auraient constitué la première puissance mondiale sur tous les plans. Nous serions en paix.

Au lieu de quoi nous nous ruinons dans une guerre perdue d’avance et qui n’est pas la nôtre ! Sommes nous gouvernés par des fous ? Impossible de comprendre ce suicide collectif.

Quand il s’agit de dénigrer les Russes, l’Occident se surpasse dans le grotesque et les niaiseries en tous genres. On se souvient d’Ursula von der Leyen qui relayait sans rougir la fable des puces de machines à laver que les Russes désossaient en masse pour alimenter leur industrie d’armement. Comment peut-on diffuser de telles âneries à la face du monde ?

Pour ceux qui l’ignorent, selon le professeur Petit, le père de l’hyper-vélocité, la maîtrise des missiles hypersoniques volant à plus de mach 5 sur des trajectoires aléatoires donne une avance technologique de 20 ans au pays qui possède une telle arme.

Tous les essais américains dans ce domaines éminemment pointu se sont soldés par des fiascos jusqu’à ce jour.

Pendant que certaines lumières occidentales ironisent sur la lenteur des opérations, voici un résumé du discours de Poutine. Rappelons que les Russes ne rasent pas des villes entières, méthode de prédilection des Américains. Les combats sont longs parce que la guerre urbaine est la plus difficile et coûteuse en vies humaines. On combat village par village, rue par rue, maison par maison. Il serait facile de tout raser et d’enterrer militaires et civils sous les décombres. Mais il y a déjà suffisamment de victimes collatérales sans sacrifier délibérément les populations civiles. Le tapis de bombes à l’américaine, ce n’est pas la doctrine russe.

Extrait tiré du blog Telegram de Boris Karpov « Brèves de Russie »

Un rapport séparé a été présenté au Président concernant les directions de Koupiansk et Krasnoarmiïsk 

– Sur la direction de Koupiansk, jusqu’à 5 000 militaires des forces armées ukrainiennes sont encerclés, et sur celle de Krasnoarmiïsk, 5 500 ;

– Le groupement de troupes « Centre » a achevé l’encerclement de l’ennemi dans la région de Krasnoarmiïsk et Dimitrov ;

– Au total, 31 bataillons des forces armées ukrainiennes sont encerclés dans la région de Krasnoarmiïsk et Dimitrov ;

– Plus de 70 % de Volchansk ont été libérés ;

– Les forces armées russes ont encerclé Koupiansk, ont pris le contrôle du passage sur la rivière Oskol et ont bloqué le groupement des forces armées ukrainiennes ;

– L’essai du missile « Bourévèstnik » a eu lieu le 21 octobre. Le missile a parcouru 14 000 km, ce qui n’est pas une limite, et a également démontré la capacité de contourner les systèmes de défense antimissile.

Déclarations de Poutine :

– Le Président a félicité les forces armées russes pour leurs succès dans l’encerclement de Koupiansk ainsi que pour les résultats de l’exécution des missions de combat sur d’autres directions ;

– La Russie a effectué des essais d’échantillons prometteurs d’armements lors d’un entraînement des forces nucléaires cette semaine ;

– Les forces armées russes ont réalisé des tirs d’entraînement-combat des trois composantes des forces nucléaires stratégiques lors de l’entraînement de la semaine passée ;

– Le bouclier nucléaire de la Russie a confirmé sa fiabilité, les forces nucléaires russes sont au plus haut niveau mondial ;

– Les essais du missile « Burevestnik » sont terminés, les tâches clés de ses essais ont été atteintes ;

– Ces missiles de croisière à propulsion nucléaire sont un produit unique, que personne d’autre dans le monde ne possède ;

– Un travail encore plus important est à venir pour le mettre en service opérationnel ;

– Il est nécessaire de prendre des mesures pour assurer la reddition des militaires ukrainiens et minimiser les pertes humaines ;

– L’armée russe a toujours traité l’ennemi avec miséricorde. Il faut continuer à agir ainsi, a-t-il souligné ;

– Lors du nettoyage des territoires des forces armées ukrainiennes, il faut tout faire pour assurer la sécurité des habitants locaux.

Le missile Burevestnik (Blog B. Karpov)

Le « Burevestnik » est l’objet le plus mystérieux de la « septième arme de Poutine ». C’est ainsi que l’on désigne les systèmes d’armes les plus récents dont Vladimir Poutine a parlé lors de son discours au Parlement fédéral en 2018-2019. Cette liste comprend le missile balistique « Sarmat », l’appareil sous-marin sans pilote « Poséidon », le bloc de combat hypersonique « Avangard », le laser de combat « Peresvet », etc.

Mais avant même la présentation officielle de ces systèmes, la plupart d’entre eux étaient déjà plus ou moins connus. En revanche, le « Burevestnik » a été une surprise totale. De plus, aucune information officielle sur l’avancement des travaux concernant cet engin n’a été publiée. Tout ce que l’on sait actuellement est basé sur des sources d’espionnage et d’analystes occidentaux, ou sur des sources d’information douteuses.

Ainsi, le missile de croisière russe à propulsion nucléaire a immédiatement été entouré de nombreux mythes :

1️⃣ Le « Burevestnik » est une « Hiroshima volante » qui laisse derrière elle une traînée radioactive.
C’est un non-sens complet. Le principe de fonctionnement du moteur du missile est très simple. Le réacteur produit de l’électricité qui est envoyée aux résistances chauffantes. Celles-ci chauffent l’air à plusieurs milliers de degrés, qui passe ensuite par la prise d’air. C’est ainsi que le missile vole. Le réacteur n’interagit en aucun cas avec l’air et est très probablement complètement isolé grâce à une protection spéciale.

2️⃣ Le vrai nom du « Burevestnik » est 9M730. Ce n’est pas vrai non plus. Le nom officiel du missile de croisière n’a jamais été divulgué ni apparu dans des contrats d’État. Le nom « Burevestnik » a été choisi lors d’un vote public, tout comme « Poséidon » et « Peresvet ». L’indice 9M730 est apparu dans une publication d’un média fédéral et est erroné. Pourtant, il a été immédiatement repris par diverses sources.

En Russie, il y a deux principaux fabricants de missiles de croisière : le GosMKB « Raduga » et le NPO « Novator ». Le premier produit la famille des missiles Kh-55 et Kh-101. Le second fabrique les « Kalibr » marins et les R-500 terrestres.

En apparence, le « Burevestnik » ressemble beaucoup à la famille Kh-101. Il y avait même une version selon laquelle le missile à propulsion nucléaire porterait l’indice Kh-102. Mais cette hypothèse est également erronée.

Par ailleurs, le 9M730 est un produit de la famille des missiles R-500 pour les complexes « Iskander ». Il n’a aucun lien avec le « Burevestnik ». Même visuellement, tous les missiles « R-500 » ne ressemblent en rien à un missile de croisière à propulsion nucléaire.

3️⃣ Le « Burevestnik » a explosé sur le polygone de Nenoksa. Ce n’est pas vrai non plus. En 2019, un incident s’est produit avec un autre engin. Le « Burevestnik » a été testé en version non nucléaire à Kapustin Yar, et avec propulsion nucléaire au-dessus de la Nouvelle-Zemble.

Outre le réacteur nucléaire, le nouveau missile de croisière recèle une autre énigme : comment va-t-il suivre ses coordonnées en vol ? Pour des raisons objectives, la navigation par satellite n’est pas adaptée. La correction par points extrêmes, où le missile bondit au-dessus du sol à un point donné et compare l’image mémorisée avec le terrain réel pour déterminer son écart, ne fonctionne pas non plus.

Il est probable que le « Burevestnik » utilise un nouveau principe de navigation permettant des vols sur de longues distances globales. Mais ses caractéristiques techniques restent inconnues pour l’instant.

Ce que l’on sait, c’est que ce missile de croisière à charge nucléaire vole à très basse altitude et suit une trajectoire aléatoire vers son objectif, avec une vitesse autour de mach 1. Sa propulsion nucléaire lui permet de parcourir des distances considérables pour un missile basse altitude.

Intercepter un missile de croisière qui vole à 30 mètres du sol et à mach 1 n’est pas facile, mais si sa trajectoire change, c’est mission impossible.

Tout cela nous prouve une fois de plus que les farfelus qui braillaient en 2022 que les Russes  n’avaient plus de munitions et désossaient les machines à laver, sont malheureusement légion en Europe.

Les sages prêchant la paix en tenant compte des impératifs russes n’existent pas. Même Trump refuse de prendre en compte les arguments du Kremlin. Dans ces conditions, la guerre ne peut que se poursuivre, avec son lot de souffrances.

Face à l’hystérique russophobie occidentale, ce sont les cerveaux russes qui sont l’assurance-vie du peuple. Sans l’écrasante supériorité technologique de l’Ours russe, il y a longtemps que le Kremlin serait sous les bombes.

Jacques Guillemain, Riposte Laïque

. Squats : en Bretagne comme en France, des propriétaires livrés à eux-mêmes et abandonnés par les autorités choisissent la manière forte

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#webtube : La République française prétend protéger les plus faibles. En matière de squats, elle protège surtout les voyous. Derrière les grands principes juridiques et les promesses de lois « anti-squat », des centaines de propriétaires se retrouvent chaque année dans une impasse : leur logement occupé, leur vie suspendue, et des autorités impuissantes. Face à cette démission de l’État, certains n’ont plus qu’une arme : l’auto-gestion. Et de plus en plus, elle s’exprime hors du cadre légal.

Quand la loi ne sert plus à rien

Le scénario est désormais connu : une maison vide quelques semaines, un appartement en vente, un local en rénovation… et des intrus qui s’y installent. Une fois les squatteurs à l’intérieur, la situation se fige : constat de police, démarches interminables, refus d’intervention sans décision préfectorale. Les délais s’étirent sur des mois ; la facture grimpe ; les dégâts s’accumulent.

La loi « anti-squat » de 2023 devait changer la donne. Elle promettait une expulsion accélérée en 72 heures et la fin de la trêve hivernale pour les occupants illégaux. En pratique, les préfets hésitent, les recours se multiplient, et les forces de l’ordre obéissent à des consignes de prudence.
Résultat : les propriétaires ne croient plus à la justice. Et quand la légalité devient un piège, la tentation d’en sortir devient irrésistible.

À Brest, la nuit des coups de trop

Marc*, 56 ans, artisan à Brest, a vécu l’enfer pendant près d’un an, en 2024. Sa petite maison de Recouvrance, héritée de ses parents, devait être louée à un couple de jeunes. « Quand je suis venu faire visiter, il y avait déjà du linge aux fenêtres. » Deux hommes s’étaient installés, sans bail ni titre.
Il alerte la police, dépose plainte. Réponse : « On ne peut rien faire tant qu’ils sont à l’intérieur. »

S’enchaînent six mois d’avocats, de lettres recommandées, de rendez-vous en préfecture. Pendant ce temps, les squatteurs vivent aux crochets du voisinage, branchés sur le compteur EDF de la copropriété. Les portes sont barricadées, le jardin sert de dépotoir.

« J’ai fini par comprendre que j’étais seul », raconte-t-il. Alors Marc a pris une décision radicale : faire appel à « des gars » conseillés par un ami. Trois hommes venus de Rennes, discrets, efficaces, 7 000 euros en liquide. Une nuit de juin, ils ont toqué, puis forcé. « Ils n’ont pas eu besoin de beaucoup parler. Un coup de pression, un coup de poing, et les types ont disparu. Le lendemain, j’avais changé les serrures. Depuis, plus personne. »

Une opération illégale, mais qui a « réglé le problème » en une nuit. Le contraste avec les dix mois de démarches administratives fait sourire amèrement l’artisan : « Quand la Justice vous laisse tomber, il reste la loi du réel. »

À Rennes, le contre-squat salvateur

À Rennes, une autre histoire illustre le même désespoir. Nathalie*, 44 ans, infirmière, avait hérité d’un petit appartement qu’elle comptait rénover pour sa fille étudiante. L’histoire se passe entre 2022 et 2023. Le temps de trouver un artisan, un individu s’y retrouve installé, manifestement par une association d’aide aux migrants.

La police constate « une occupation de fait ». L’huissier dresse un procès-verbal. Trois mois plus tard, aucune expulsion. Les squatteurs affirment recevoir du courrier à cette adresse : la procédure bascule.

Nathalie a fini par user d’un stratagème. Un soir, profitant d’une absence des intrus, elle entre avec deux amis. Serrures changées, volets fermés, compteur coupé. Le lendemain, les squatteur a trouvé porte close et appelé ses protégés associatifs. « Ils ont hurlé dans le couloir, appelé la police, mais personne n’est venu. » Depuis, le logement est vide et sécurisé. Elle a refait les peintures, « sans oser dire à personne comment ».

Cette méthode dite du « contre-squat » se répand discrètement. Illégale, mais terriblement efficace. Et dans une France où la loi protège davantage l’occupant que le propriétaire, certains y voient une forme de justice parallèle.

Un État qui abdique, des citoyens qui se substituent

Les autorités condamnent fermement ces initiatives. Les juristes rappellent que forcer un squat reste passible de trois ans de prison et 45 000 euros d’amende. L’Etat serait toutefois culotté de poursuivre ceux qui ne font qu’appliquer la loi pour leur propriété, mais il est capable de tout. Les associations de propriétaires, elles, dénoncent une situation intenable. D’après plusieurs estimations, à peine 15 % des procédures d’expulsion aboutissent réellement, souvent au terme de longs mois d’attente. Le reste s’enlise dans les tribunaux.

Le résultat ? Un sentiment de vide régalien. La France, pays de l’État de droit, se découvre un Far West urbain où la force remplace la loi. Et où la peur change de camp : celle du propriétaire, qui redoute de perdre son bien, supplante celle du squatteur, qui se sait protégé.

Dans ce climat d’abandon, un petit business s’est développé. D’anciens agents de sécurité, des gros bras de salle de sport, voire des sociétés « de débarras » proposent, pour 5 000 à 10 000 euros, de « rendre un logement à son propriétaire ». Leur méthode : observer, attendre la sortie des squatteurs, changer les serrures, intimider. Officiellement, il ne s’agit pas de violence, mais de « médiation musclée ». Dans les faits, ces interventions se règlent souvent en quelques heures.

Un marché parallèle du « service public », né du vide laissé par l’État. Les propriétaires qui y ont recours le savent : ils risquent gros. Mais la peur de perdre un toit, un héritage ou des années d’économies vaut plus que la crainte d’un tribunal.

Quand la République favorise les voyous

À Nantes, une retraitée de 73 ans a dû entamer une grève de la faim cet automne pour tenter de récupérer sa maison squattée (une cagnotte est en ligne pour l’aider). À Brest, un artisan a dû payer des costauds. À Rennes, une infirmière a dû se faire cambrioleuse de son propre bien. Trois visages d’une même réalité : celle d’un pays où l’État abdique son rôle protecteur et pousse les honnêtes gens à l’illégalité.

Les juges condamnent ceux qui reprennent leur maison. Les médias pleurent sur les « exclus » expulsés. Et pendant ce temps, des citoyens ordinaires vivent l’enfer d’un droit de propriété vidé de son sens. Le gouvernement multiplie les lois sans jamais les faire appliquer. Les préfectures tergiversent, les polices reculent. La France se transforme en zone grise : celle où la justice recule et où le courage remplace la légalité.

Ce retour à la loi du plus fort n’est pas un hasard : il est la conséquence directe d’un système qui préfère protéger les délinquants plutôt que les propriétaires. À force de renoncements, la République française fabrique son propre Far West.
Et dans ce Far West-là, ce ne sont pas les cow-boys qui débarquent, mais les propriétaires ruinés, désespérés, qui refusent de mourir les bras croisés devant leur porte close.

*Les prénoms ont été modifiés.

Breizh-info.com, 2025