. Audiences en berne, polémiques, bourdes… France Télévisions en plein naufrage


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#webtube : Début de saison catastrophique pour le service public audiovisuel qui va de déconvenues en déconvenues. Le bateau France Télévisions est-il en train de couler ? C’est ce que peuvent laisser penser les dernières semaines, on ne peut plus difficiles, du groupe télévisuel. Dernière avarie en date : ce lundi 13 octobre. À 13 heures comme à 20 heures, les présentateurs des journaux télévisés de la deuxième chaîne rendent hommage à Dominique Bernard, professeur de français tué il y a deux ans par Mohammed Mogouchkov, un ancien élève de son établissement ayant prêté allégeance à l’État islamique. Problème : Julian Bugier, à la mi-journée, et Léa Salamé, le soir, affirment que l’enseignant a été assassiné « après avoir montré des caricatures de Charlie Hebdo ». Ils confondent Dominique Bernard et Samuel Paty.

Le lendemain, Léa Salamé s’en excuse sur X : « Une erreur a été commise hier à 13h et reprise à 20h lors de notre hommage à Dominique Bernard. Il n’a pas été assassiné après avoir montré des caricatures. Nous présentons, au nom de France Télévisions, nos excuses à la famille. Un erratum sera fait à l’antenne, à 13h et à 20h. » Le mal est fait. Comment les deux présentateurs ont-ils pu passer à côté d’une telle erreur ? Faut-il comprendre qu’ils lisent bêtement un texte sans vérifier sa véracité ? C’est à croire et ce n’est peut-être pas la première fois que cela met Léa Salamé dans une situation inconfortable. Le 25 septembre, alors qu’elle interviewait Henri Guaino, ancien conseiller spécial de Nicolas Sarkozy, elle l’a appelé « Claude Guéant », du nom de l’ancien ministre de l’Intérieur condamné dans l’affaire du financement libyen de la campagne présidentielle de 2007.

Amateurisme

De bourde en bourde, Léa Salamé ne parvient pas à convaincre et, comme le reste du groupe France Télévisions, elle s’enfonce. Il faut dire que ces dernières semaines n’ont pas été de tout repos pour le service public audiovisuel. Depuis l’affaire Legrand Cohen, France Télévisions est plus que jamais dans la tourmente. Après les soupçons de connivence entre les deux journalistes de France 5 et le Parti socialiste, la télévision étatique sombre.

À ce sujet — [MÉDIAS] Affaire Legrand/Cohen : la gauche prise à son propre piège

Et les propos de Delphine Ernotte, présidente de France Télévisions, dans les colonnes du Monde, qualifiant CNews de « chaîne d’extrême droite » n’ont fait qu’ajouter de l’eau au moulin de ses détracteurs. Pire, fin septembre, la Cour des comptes a rendu un rapport au vitriol concernant la gestion du groupe. Elle juge que « la situation financière de France Télévisions est lourdement dégradée, avec un déficit cumulé de 81 millions d’euros entre 2017 et 2024 » et qu’en « l’absence de mesures correctives avant fin 2026, le groupe public pourrait être menacé de dissolution ».

Déclinisme

Les personnalités en faveur de la privatisation de l’audiovisuel public ont bu du petit lait et ont une nouvelle fois appelé l’État à se débarrasser de ses très coûteux médias. Sur le plateau de Face à l’info, Sarah Knafo, députée européenne Reconquête qui a fait de la privatisation de France Télévisions un cheval de bataille, a déclaré le 30 septembre : « En France, on peut mourir aux urgences, mais on trouve quand même les moyens de financer la propagande et le divertissement. » Elle a rappelé qu’il y avait plus de salariés dans l’audiovisuel public que de chirurgiens en France.

Autre argument en faveur de la privatisation : la baisse des audiences. France 2, chaîne fleuron du groupe, a connu un mois de septembre catastrophique. Elle est à son plus bas niveau depuis cinq ans avec 13,7 % des téléspectateurs séduits en moyenne. Parmi les plus gros fours de la chaîne, des programmes originaux tels que les documentaires J’ai pas les mots : 8 semaines pour sortir de l’illettrisme et Qui a coulé le Rainbow Warrior ? qui ont été suivis par moins d’un million de Français les 9 et 23 septembre. À qui ou à quoi la faute ? Pas à un manque de moyens. Le groupe France Télévisions dispose d’un budget très conséquent d’environ 3,3 milliards d’euros annuellement, dont 2,64 milliards d’euros d’argent public. Le navire coule à pic et emporte avec lui un trésor, l’argent des Français, un trésor sur lequel personne ne remettra jamais la main.

. Boualem Sansal : les Belges l’honorent. La France, elle, se déshonore !


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#webtube : L’Académie royale de langue et de littérature françaises de Belgique vient d’élire Boualem Sansal. « Boualem Sansal porte haut la fonction créatrice de l’écrivain qui est inséparable de la liberté dans laquelle elle s’exerce », ont déclaré les académiciens en faisant entrer l’otage des Algériens dans leur grande maison.

Enfin un geste qui honore la France, s’écrie le peuple indigné ! Sauf que… Sauf que ce ne sont pas les académiciens français qui l’accueillent dans leurs rangs, mais les membres de l’Académie royale de Belgique !

La diplomatie de la lâcheté

En se rendant à Charm el-Cheikh, Emmanuel Macron pense pouvoir se draper dans la toge du pacificateur. Mieux : il espère faire croire au monde qu’il est l’instigateur de ce qui s’y déroule. Une usurpation de plus. Le chef de l’État se pavane là où il n’a rien fait, car il ne fait rien là où il le devrait : pendant qu’il joue les moulins à vent en Égypte, Boualem Sansal dépérit dans les geôles algériennes.

Cela fera un an, le 16 novembre prochain, que l’écrivain franco-algérien, âgé de 80 ans et atteint d’un cancer, a été emprisonné en Algérie pour « atteinte à l’unité nationale ». Condamné à cinq ans de prison ferme, il a vu sa peine confirmée en appel, le 1er juillet dernier. L‘affaire a été pliée en un quart d’heure, sans que l’avocat de l’écrivain n’ait pu être présent. Une parodie de justice, une fumisterie, comme chacun sait, seulement destinée à bafouer davantage une France transformée en paillasson par la grâce de notre Président. Il faudra d’ailleurs que quelqu’un, un jour, nous donne les véritables raisons du comportement d’Emmanuel Macron face au président Tebboune : pourquoi tant de ménagement, de cadeaux et tant d’humiliations pour la France ? Pourquoi ces courbettes, ce perpétuel léchage de babouches ? Saura-t-on, un jour, ce qui se cache là-dessous ?

À ce sujet — [L’INVITÉ] Boualem Sansal : « La France a trop aimé l’Algérie »

Car on ne peut que s’interroger quand on reprend le fil des événements. De « réponse graduée » qui est toujours en dessous de zéro en espoir de grâce tout aussi fumeux, rien ne bouge. L’une des filles de l’écrivain, Sabeha Sansal, confiait, voilà un mois, n’avoir jamais reçu de réponse au courrier qu’elle avait adressé à l’Élysée : « Depuis qu’il est emprisonné, je n’ai jamais eu de nouvelles officielles de mon père. » Et ce n’est sûrement pas l’insipide Barrot, notre gommeux ministre des Affaires étrangères, qui mettra les pieds dans le plat à couscous. À Bruno Retailleau qui, en juillet, s’indignait et réclamait : « Il faut changer de ton, assumer un rapport de force que le pouvoir algérien a lui-même choisi », dénonçant « la diplomatie des bons sentiments »Jean-Noël Barrot rétorquait : « Il n’y a ni diplomatie des bons sentiments, ni diplomatie du ressentiment. Il y a juste la diplomatie. » C’est-à-dire rien !

Sansal n’est pas un bon immigré

À l’inertie de l’État français, ceci expliquant d’ailleurs cela, s’ajoute le silence pudique des intellectuels, artistes et autres bien-pensants. Tous ces grands défenseurs de la liberté, ceux qui brandissent en permanence le drapeau palestinien et portent le keffieh comme un carré Hermès, ceux qui se gargarisent de grands principes, tous ceux-là sont muets, ou presque. C’est qu’en dénonçant dans ses livres l’islamisme et ses ravages, Boualem Sansal est passé du côté obscur de la force : ce n’est pas un bon immigré.

Alors, en désespoir de cause, devant l’inertie de l’État français qui ne veut surtout pas froisser son aile gauche, les soutiens de l’écrivain ont décidé de se tourner vers nos voisins. « J’ai l’impression que la France ne fait pas beaucoup de choses »disait aimablement sa fille, et même si elle confessait être « un peu désespérée », elle espérait encore qu’« en rendant la cause internationale, cela pourrait peut-être faire bouger les choses ».

Nos amis belges l’ont entendue. Le secrétaire perpétuel de l’Académie royale de langue et de littérature françaises de Belgique, Yves Namur, l’a annoncé dimanche à l’AFP : Boualem Sansal vient d’y être élu. À préciser que si l’Académie belge compte 40 membres, tout comme l’Académie française, dix de ses fauteuils sont réservés à des auteurs étrangers.

C’est peu dire que l’Académie française, si frileuse, s’honorerait d’accueillir, elle aussi, Boualem Sansal parmi les siens. Le 21 novembre 2024, l’académicien Jean-Christophe Rufin avait proposé d’élire d’urgence l’écrivain franco-algérien à l’Académie française, mais sans succès : « Certains ont pensé, ont dit, avec prudence, attention de ne pas aggraver les choses », explique Rufin…

Marie Delarue, dans BV

. Grand moment de solitude de la gauche, au sortir d’un restaurant sélect


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#webtube : Ce 10 octobre, Paul Larrouturou, journaliste à France 5 et France Info, a saisi le trio Tondelier, Vallaud, Roussel à la sortie d’un restaurant parisien de luxe, le Matignon. La sole meunière y affiche le prix de 90 euros !

À la sortie du très chic restaurant « Matignon », situé dans l’avenue du même nom, les personnalités de gauche sont prises d’un malaise. Un journaliste de C à vous attend le trio Tondelier, Vallaud, Roussel (et consorts) pour savoir comment s’est passée cette réunion préparatoire à la rencontre avec Emmanuel Macron. La sole meunière à 90 euros a t-elle revendiqué un poste aux affaires sociales ? Ou bien la troupe a-t-elle préféré deviser de la composition du futur gouvernement dans le « design glamour au caractère affirmé » de la partie club de l’établissement ? Paul Larrouturou brûle d’impatience de découvrir la stratégie mise au point autour d’un éventuel brunch à 69 euros.

À la mine gênée des participants, les passants devinent qu’il se prépare du lourd. Les représentants de la gauche ne se laisseront pas rouler dans n’importe quelle farine. La branche écolo exigera du Label Rouge moulu à la main, les autres opineront du chef étoilé. La concentration avant ce rendez-vous décisif est à son maximum. Aucun son ne sort de la bouche des trois futurs Premiers ministres. Dans la marche vers le Palais qui vient de débuter, Marine Tondelier mène d’une courte tête, devant Fabien Roussel handicapé par le « pain perdu création Matignon » à 40 euros qu’il vient de déguster.

Soudain, la meneuse du groupe fait demi-tour et rejoint le gros du peloton. Un flottement semble s’emparer des concurrents. La question de retourner au « Matignon » pour faire la vaisselle est débattue brièvement. La note ainsi allégée amènerait l’émission C à vous à se dispenser de remarques désobligeantes. Après une motion de censure improvisée sur le trottoir, il est décidé à l’unanimité de revenir un autre jour pour s’acquitter de cette tâche. Le vrai Matignon n’attend pas. Boris Vallaud imagine le menu l’Institution. Et chacun de se lécher les babines à la pensée des injustices sociales qu’ils vont réduire, telle la sauce du suprême de volaille fort coûteux qui était proposée dans cette cantine, à deux pas des Champs-Élysées.

Quelques digestions plus tard, le Premier secrétaire du Parti socialiste flanqué du président du groupe socialiste à l’Assemblée affiche la mine des lendemains qui déchantent. À sa sortie de l’Élysée, Boris Vallaud fait part de son désarroi : « Au moment où nous vous parlons, nous ne savons rien. Donc, nous ne pouvons pas vous répondre. » Marine Tondelier constate « que le prochain Premier ministre ne sera pas de notre camp politique ». En secret, le Président a commandé un deuxième Lecornu. Bien tendre et moins grillé. Désabusé, le gratin de la gauche s’en retourne au « Matignon ». Il reste une image de justicier à laver.

. Ukraine, les nouveaux missiles russes sont presque impossibles à intercepter


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#webtube : Qu’il semble loin le temps où nos généraux de cour annonçaient que les Russes en étaient réduits à casser leurs lave-linge et leurs postes de télé pour en récupérer l’électronique afin d’équiper leurs missiles. Puisque Bulot Le Maire et Pustula la Hyène avaient décrété un embargo mondial des puces, auquel la terre entière obéirait.

Qu’il semble loin le temps où le nain turco-mongol déclarait régulièrement : « Aujourd’hui 25 missiles russes tirés, 30 interceptés, aucun dégât ». Tandis que repassaient sur toutes les chaînes de propagande des photos non datées d’objets tubulaires non identifiés, supposés abonder les dires du petit barbichu à l’air chafouin.

La vérité est qu’au début, grâce au bouclier « Patriot », un tir sur deux était perdu. Puis ce fut un sur trois, puis un sur quatre. À présent, coup au but dans 95 % des cas.

Avec les récentes modifications apportées aux missiles russes, la capacité de l’Ukraine à les intercepter est mise en défaut grâce aux innovations technologiques des ingénieurs militaires. On nous avait caché que ces moujiks avec leur armée obsolète datant de l’ère soviétique avaient non seulement rattrapé leur retard, mais dépassé en bien des domaines les progrès des Occidentaux.

De juillet à septembre 2025, le taux d’interception est tombé de 37 à 6 %. Les Ukronazis qu’on avait présentés comme des génies de la technologie sont complètement largués. Aujourd’hui le nabot mendigot supplie Fripounette de lui filer quelques milliards de plus pour acheter de nouvelles armes américaines, après avoir refusé nos SAMP/T pas assez performants pour son goût.

Le 3 octobre, sept missiles Iskander-M ont atteint leur cible sans être stoppés. Le lendemain, quatre de plus ont obtenu le même taux de réussite. Ces missiles balistiques mobiles, d’une portée de plus de 500 km, bénéficient des modifications apportées à leurs systèmes de guidage, rendant leurs trajectoires imprévisibles.

Au départ, ils suivent un plan de vol classique, puis changent brusquement de direction et d’altitude avant de plonger vers leur cible. Cette manœuvre complique la tâche des systèmes Patriot qui ne parviennent plus à contrer les nouveaux paramètres de vol variables.

De façon générale, les Russes ont modifié leurs armes stratégiques, en les utilisant aussi parfois de façon tactique.

L’objectif est de saturer les défenses ukrainiennes pour déstabiliser leurs forces armées et affaiblir l’économie de l’ennemi, en touchant directement des infrastructures militaires clés comme les usines d’armement et les arsenaux, les centres de commandement y compris ceux où l’OTAN grenouille, les casernes, les aérodromes, les réseaux ferroviaires ainsi que toute l’infrastructure énergétique du pays.

Le minus belliqueux bien planqué dans son bunker souterrain comme feu Nasrallah n’en a rien à cirer des souffrances de son peuple, rêvant toujours d’une victoire impossible. Encouragé dans son intransigeance par ses généreux donateurs, qui prélèvent leurs rétro-commissions au passage. 

Les missiles Kinjal ont également évolué. Hypersoniques pouvant évoluer à mach 10 (12.000 km/h) même si on réduit leur vitesse à M 3 ou 4 pour améliorer la précision des frappes chirurgicales, ils ont une portée de 480 km. Le nabot a eu beau se vanter d’en abattre treize à la douzaine, la réalité confirmée par des observateurs neutres est différente. Leur interception déjà compliquée du modèle de base frôle l’invincibilité après les dernières améliorations.

Les missiles de croisière fréquemment tirés par la Russie comme le Kh-101 subsonique affichent eux aussi des taux d’impact en progression sensible ces dernières semaines. Avec une meilleure programmation de la centrale de vol et des leurres plus sophistiqués, on a amélioré leur aptitude à contourner ou esquiver les ripostes ukrainiennes.

Mais les progrès le plus spectaculaires profitent au Kalibr. Cet autre missile de croisière subsonique dispose désormais d’un deuxième étage parfaitement au point, pouvant être activé en phase terminale pour effectuer un sprint supersonique et des manœuvres évasives, réduisant ainsi les capacités de réaction de la défense adverse.

D’une portée d’environ 2000 km, « ce type d’arme est l’un des plus grands atouts militaires de la Russie », a affirmé Mark Cancian, conseiller principal pour le programme de sécurité au sein Center for Strategic and International Studies à Washington.

Ce missile est conçu pour pénétrer dans l’espace aérien ukrainien sans se faire intercepter. Il est difficilement détectable en raison de son faible diamètre de 53 centimètres et de l’utilisation d’un revêtement absorbant les ondes radar. Cet engin vole de façon autonome à basse altitude et son itinéraire peut être actualisé en cours de route par communication satellite, ce qui rend sa trajectoire extrêmement difficile à prédire.

Les Américains commencent à s’inquiéter du retard qu’ils ont pris sur les Russes

Un inspecteur général du Pentagone a rédigé un rapport secret qui circule déjà sur le web. Ce document prend acte des améliorations technologiques russes, notamment la capacité permettant à leurs missiles de changer de cap et d’effectuer des manœuvres aléatoires plutôt que de voler selon une trajectoire balistique traditionnelle. Selon ce brave général, ces nouvelles données seraient susceptibles de changer le cours de la guerre.

Le nombre de Patriots est en chute libre dans l’arsenal de Kiev. Désormais ils échouent régulièrement à abattre des missiles russes, et sont perdus sans compter contre des drones puisque les Ukronazis ne les ont pas payés. De nouveaux vecteurs de frappe ont été livrés au nabot par les Boches, achetés en puisant illégalement dans le budget de l’Eurocrature. Le Zygomyr réclame sans cesse davantage d’anti-missiles, proposant même d’acquérir 10 systèmes complets aux USA. Avec le pognon piqué dans la poche des Français, cela va sans dire.

Les Européens après une phase d’optimisme, d’insouciance et d’arrogance, commencent à connaître les affres du doute et de l’inquiétude. Ils ont déjà claqué 165 milliards d’eurosen pure perte, sabordant leurs économies, et Pustula a annoncé une rallonge de 100 milliards… En plus de ça, les hiérarques de l’UE sont désemparés par la nécessité de revoir leur copie en interne pour allouer de nouveaux crédits à leurs armées dans le domaine antiaérien et anti-balistique qu’ils maîtrisent mal. C’est le tonneau des Danaïdes…

Dans cette ambiance très « adolfienne », les Boches qui se disent menacés ne cachent plus leurs intentions. L’Ukraine n’est que le prétexte. Ils veulent leur revanche de 1945 et s’y préparent ouvertement. L’aveu cynique de Martin Jäger, leur chef du renseignement, quand il ne traque pas l’AfD : « Nous sommes déjà dans le feu de l’action ».

Bien évidemment, les projections et prévisions européennes se sont révélées erronées, comme d’habitude

Il y a quelques mois, enfumés par les services d’espionnage de Kiev, les Européens étaient convaincus que la gestion des stocks restants de missiles balistiques et de missiles de croisière russes laissait présager une probable pénurie dans ce domaine dans les mois à venir.

Or c’est exactement le phénomène inverse qui est advenu. La Russie produit chaque mois 150 missiles dont un tiers d’Iskander-M, un tiers de Kalibr et un tiers de Kinzhal et de KH-101. En cas de besoin, la production pourrait être doublée grâce à des usines secondaires gardées en réserve et utilisées pour d’autres armes. Ainsi les stocks sont loin d’être épuisés, malgré les dizaines de missiles lancés chaque mois, auxquels on peut ajouter les 1800 à 2000 drones d’attaque Geran tirés en salves d’accompagnement. Leur simplicité permet de les fabriquer à la chaîne en grand nombre pour un coût réduit.

À part ça, on ne note pas une diminution substantielle de la production industrielle des lave-linge et des Cocotte-Minute. Les babouchkas n’ont pas de soucis à se faire pour leur équipement ménager.

Christian Navis, Riposte Laïque

. Trump et Netanyahou c’est la paix, Macron et l’UE c’est la guerre…


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#webtube : Donald Trump est un orateur exceptionnel. Personne n’a oublié son discours d’investiture, qu’il avait commencé par ces mots « L’âge d’or des États-Unis est de retour », où, pendant une demi-heure, devant un public acquis qui buvait ses paroles – sauf les démocrates – il avait expliqué tout ce qui allait se passer durant ces quatre années : « America is back » !

Personne n’a oublié son discours historique à New York, où durant quarante cinq minutes il a servi une véritable humiliation à l’Onu, à l’Union européenne, aux mondialistes, en expliquant les ravages de l’immigration et du wokisme.

Et que dire de son discours historique de ce jour, à la Knesset, où, tout en improvisation, il est venu tenir un discours de paix aux députés israéliens, tout auréolé de la première victoire de son plan et de la libération des vingts derniers otages israéliens ?

Quand on entend des dirigeants comme Donald Trump et Benjamin Netanyahou parler de manière charnelle de leur pays et de leurs électeurs, on souffre, nous autres Français, d’être dirigés par un président qui méprise son pays et son peuple.

Pendant que les dirigeants du monde entier, Macron en tête, traitaient Israël et son Premier ministre Benjamin Netanyahou d’assassin, Donald Trump ne s’est pas opposé à ce que l’État hébreu se donne les moyens militaires de mettre au pas tous ceux qui ne rêvent que d’une chose : détruire Israël et éradiquer les Juifs.

Cette libération des otages, et cette première victoire du plan du président américain confirment étonnamment ce que disait Lénine : « Si tu veux la paix, prépare la guerre ». Le Premier ministre israélien, que les islamo-collabos de la Cour Pénale Internationale voulaient juger pour crimes de guerre, soutenus par toutes les gauches mondiales, a compris, après le 7 octobre 2023, qu’il lui fallait taper fort s’il voulait que son pays survive. Il a fait exécuter les principaux chefs du Hamas, les principaux leaders du Hezbollah, les terroristes Houthis, il a bombardé les installations nucléaires des mollahs iraniens et a décidé d’en finir avec le Hamas à Gaza.

Qualifié d’assassin, de génocidaire, de criminel de guerre, de nazi par les complices des djihadistes, Benjamin Netanyahou a tenu bon, y compris face à la gauche israélienne, et est allé au bout de son plan pour se donner les moyens de récupérer les derniers otages qui restaient prisonniers du Hamas. Donald Trump lui a donné le coup de pouce supplémentaire.

Trump et Netanyahou, chacun avec leur partition, ont donné une leçon au monde entier et réhabilité le politique. Ce sont des personnages de cette envergure qui manquent cruellement en Europe, et surtout en France, quand notre président traître a, lui, reconnu sans la moindre condition un État palestinien dont l’objectif ne peut qu’être de détruire Israël. Ce qui, bien sûr, lui avait valu cette volée de bois vert du président américain.

Trump a créé les conditions de la paix aux Moyen-Orient, quand Macron et les dirigeants européens rêvent de saboter ce plan, comme ils ont saboté les efforts de paix possible en Ukraine. C’est d’ailleurs pour cela que le président américain, tournant le dos à tous les usages, s’est permis, lors de son discours en Égypte, de ridiculiser publiquement le président français, déclenchant des rires moqueurs dans l’assistance.

Trump, contrairement aux traditions passées des États-Unis, ne se veut plus le gendarme du monde qui sème des guerres partout où il passe ; il n’a pas déclenché un seul conflit de 2016 à 2020, et il s’attache à mettre fin à ceux qui existent encore en 2025. Bien sûr, ce n’est nullement un philanthrope et il agit pour défendre les intérêts américains, mais c’est pour cela qu’il a été élu.

N’en déplaise aux soumis à la propagande médiatique, Trump et Netanyahou, c’est la paix, tandis que Macron et l’UE, c’est la guerre.

EDITO DE CYRANO, Riposte Laïque

. Retraites : une usine à gaz qui détourne des milliards ? Politique & Eco avec Jean-Pierre Chevallier


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#webtube : On vous prend 333 milliards d’euros par an. Pour quel résultat ? Le système des retraites français, né dans les années 1940 dans un contexte politique troublé, est-il devenu une machine étatique incontrôlable ? Pour l’économiste Jean-Pierre Chevallier, ce système fonctionne comme une immense pompe opaque, nourrie par vos salaires, et redistribuée sans contrôle, sans transparence, et sans logique économique.

AU PROGRAMME : Les origines idéologiques du système et pourquoi il n’a rien d’universel Le rôle des intermédiaires, des partis et de la gabegie administrative La gestion de milliards d’euros sans autorité de contrôle La comparaison explosive avec les retraites américaines : même résultat, presque 3 fois moins de prélèvements Le système proposé par J-P Chevallier : compte retraite individuel, gestion privée, capitalisation L’or de la Banque de France : une solution pour la transition ? BlackRock, caisses de retraite, fonds souverain… Ce qu’on ne vous dit jamais Le rôle que devrait (vraiment) jouer l’État 🔎 Objectif : comprendre pourquoi le système actuel est condamné, et ce qu’on pourrait mettre en place demain, pour qu’il profite aux Français, pas aux structures qui le capturent. 🧠 Une émission coup de poing, sans langue de bois, à voir jusqu’au bout pour comprendre ce que peu d’économistes osent dire à voix haute. Pour plus d’informations sur les retraites, retrouvez les articles de Jean-Pierre Chevallier : https://chevallier.biz/retraites-etat… https://chevallier.biz/retraites-prob… A la suite de « Politique & Eco », retrouvez la chronique financière de Philippe Béchade intitulée : »Les électeurs votent, les marchés décident ». Philippe Béchade est rédacteur en chef de La Chronique Agora et La Lettre des Affranchis aux @Publications Agora. Pour télécharger gratuitement le dernier rapport de Philippe Béchade :

Source TVL

. La chanson du jour, Division 4 – Disco Down, Zhana Roiya.


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#webtube : Allez un peu de disco pour se mettre en jambe. Cette musique tant décriée mais finalement tellement agréable quand on veut danser ou s’entrainer dans sa salle de sport préférée. C’est un morceau dans un style disco/nu-disco avec des vibes énergiques et dansantes, typiques d’un univers house et funky. Il met en avant des rythmes entraînants et des éléments électroniques modernes inspirés du disco classique. Allez on s’écoute ça tout de suite !

#webtube : Let's get some disco going to get our legs going. This much-maligned music is ultimately so enjoyable when you want to dance or work out in your favorite gym. It's a disco/nu-disco style track with energetic, danceable vibes, typical of a house and funky universe. It features catchy rhythms and modern electronic elements inspired by classic disco. Let's listen to it right now!