#webtube : Pour ce nouveau numéro « Ligne Droite », dirigé par Richard de Seze sur Radio Courtoisie, Xavier Eman se penche sur l’éternel serpent de mer de la vie politique française, « l’union des droites », en cherchant à dessiner ce que pourrait être cet étrange et improbable attelage réunissant souverainistes et européistes, libéraux et protectionnistes, productivistes et décroissants, écologistes et techno-scientistes…
#webtube : Des milliers de Français se sont réunis place de la République à l’appel de @ben_le_patriote pour la « marche des patriotes ». La place de la République est remplie de drapeaux tricolores… qui servent même à masquer les tags laissés par les manifestations de gauche !
#webtube : « Love Don’t Live Here Anymore » est une reprise par Jimmy Nail, chanteur et acteur anglais connu pour son accent géordien et son rôle dans Auf Wiedersehen, Pet. Sortie en 1985 comme single de son premier album Take It or Leave It, cette ballade soul émouvante traite de la perte d’un amour, avec des paroles poignantes sur l’abandon et la solitude.Originalement interprétée par Rose Royce en 1978 (écrite par Miles Gregory, inspirée de ses luttes personnelles), la version de Nail, enrichie par Roger Taylor de Duran Duran à la batterie et Rick Parfitt de Status Quo à la guitare, a connu un succès modéré au Royaume-Uni, atteignant la 3e place des charts.C’est une cover touchante qui met en valeur la voix rauque de Nail, souvent citée comme l’une de ses meilleures performances vocales des années 80
#webtube : « Love Don’t Live Here Anymore » is a cover by Jimmy Nail, an English singer and actor known for his Geordie accent and role in Auf Wiedersehen, Pet. Released in 1985 as a single from his debut album Take It or Leave It, this soulful ballad deals with the loss of love, with poignant lyrics about abandonment and loneliness.Originally performed by Rose Royce in 1978 (written by Miles Gregory, inspired by his personal struggles), Nail’s version, featuring Roger Taylor of Duran Duran on drums and Rick Parfitt of Status Quo on guitar, achieved moderate success in the UK, peaking at number 3 on the charts.It’s a heartfelt cover that showcases Nail’s raw, emotive voice, often cited as one of his best vocal performances of the 1980s.
#webtube : À peine quelques mois après son élection, le pape Léon XIV se trouve déjà au cœur d’une bataille idéologique sur l’immigration. Plusieurs évêques américains, associations religieuses et ONG pro-migrants cherchent à l’amener à prendre publiquement position en faveur de l’ouverture des frontières — au moment même où Donald Trump relance une politique de fermeté migratoire aux États-Unis.
Pour l’heure, le pape s’en tient à des déclarations générales, appelant à accueillir les migrants « comme une opportunité de renouvellement spirituel » pour les sociétés occidentales. « Dans les communautés d’ancienne tradition chrétienne, la présence de frères et sœurs venus du Sud doit être perçue comme une chance d’échange », a-t-il affirmé le 5 octobre à Rome.
Mais derrière ces formules convenues, le Saint-Siège évite soigneusement de formuler une doctrine politique précise— au grand dam de ses soutiens les plus militants.
L’offensive du lobby catholique pro-migration
Selon le média américain Politico, une délégation composée de l’évêque Mark Seitz (El Paso, Texas) et de membres de l’organisation Hope Border Institute a récemment rencontré le pape pour lui remettre plusieurs centaines de lettres et une vidéo de migrants expulsés par les autorités américaines.
Le fondateur du groupe, Dylan Corbett, a affirmé que « le pape avait les larmes aux yeux » après le visionnage du film, et qu’il aurait déclaré : « Vous êtes avec moi, je suis avec vous, et l’Église restera aux côtés des migrants. »
Ces activistes espèrent désormais que Léon XIV s’exprimera ouvertement contre les politiques migratoires restrictives de Washington. Le même réseau bénéficie du soutien de la Conférence des évêques américains, qui a co-organisé début octobre à Rome un « Jubilé des migrants et des missions » avec le concours de deux dicastères du Vatican et de l’Organisation internationale pour les migrations (OIM), dirigée par l’Américaine Amy Pope, proche de Joe Biden.
Sous l’impulsion d’Amy Pope, l’OIM s’est donnée pour mission de “rendre possible le choix de migrer”. Concrètement, cela signifie financer, orienter et sécuriser les flux migratoires vers l’Europe et l’Amérique du Nord, souvent au profit d’investisseurs privés dans l’immobilier ou les services à bas coût.
Cette politique, soutenue par l’administration Biden, a contribué à l’arrivée d’environ dix millions de migrants aux États-Unis en quelques années — un afflux aux conséquences dramatiques sur les salaires, le logement et la cohésion sociale.
Le Vatican entre charité évangélique et souveraineté des nations
Pour Mark Krikorian, directeur du Center for Immigration Studies à Washington, il serait dangereux que le pape cède à cette instrumentalisation : « L’Évangile donne des principes moraux, pas un programme politique. Le Christ invite à aider l’étranger, pas à abolir les frontières », rappelle-t-il.
Le théologien note que dans la tradition biblique, l’étranger désigne le voyageur ou le visiteur, non pas le colon ou le nouveau membre de la cité. « Interpréter le verset “Vous étiez étrangers en Égypte” comme un droit automatique à franchir la frontière mexicaine relève du contresens. »
L’Église catholique, poursuit-il, reconnaît le droit légitime des États à contrôler leurs frontières, tout en invitant les nations chrétiennes à protéger les plus vulnérables. Le rôle du pape, selon lui, n’est donc pas d’imposer une ligne politique, mais d’encadrer moralement le débat.
Les dégâts de l’immigration de masse
Les vagues migratoires encouragées par Washington et Bruxelles ont eu des effets dévastateurs :
explosion des trafics d’êtres humains au Mexique et en Amérique centrale,
morts par centaines dans la jungle du Darién,
enrichissement des cartels et passeurs,
déstabilisation des salaires et du logement dans les pays d’accueil.
Malgré ces drames, les ONG subventionnées continuent de présenter l’immigration comme un devoir chrétien. En réalité, selon Krikorian, le catholicisme social a été dévoyé : la compassion individuelle s’est transformée en idéologie politique, au service d’intérêts économiques et mondialistes.
Aux États-Unis comme en Europe, de nombreux fidèles reprochent à la hiérarchie catholique de s’être détournée des classes populaires pour épouser les thèses mondialistes. Les paroisses, autrefois ancrées dans la vie communautaire locale, servent désormais de relais à des ONG militantes financées par les institutions européennes, l’ONU ou les fondations américaines.
Ainsi, la religieuse texane Sœur Norma Pimentel, proche des réseaux pro-migrants, a déclaré : « Les migrants sont des missionnaires d’espérance : leur présence sanctifie notre société. » Une phrase qui illustre parfaitement la nouvelle théologie de la migration, où le migrant devient un vecteur de salut quasi messianique.
Pour l’instant, le pape Léon XIV ménage la prudence. Il n’a pas condamné les expulsions de clandestins menées par l’administration Trump, ni pris position sur les quotas d’accueil. Mais l’offensive du lobby pro-immigration — soutenu par les grands médias, l’ONU et une partie de l’épiscopat — ne faiblit pas.
Reste à savoir si le souverain pontife choisira la ligne de la tradition chrétienne, attachée à l’ordre et à la subsidiarité, ou s’il rejoindra la croisade universaliste d’un monde sans frontières.
#webtube : L’émoi suscité par un malheureux drapeau français en dit long sur l’état de notre société. L’image en a choqué certains. Samedi 4 octobre, un drapeau français est apparu au sommet de la cathédrale de Rouen, flottant fièrement à près de 150 mètres de hauteur. Plusieurs passants ont immortalisé la scène en photo, suscitant de vives interrogations dans la ville. Selon la préfecture de Seine-Maritime, la pose a vraisemblablement été réalisée « par temps de vent fort », ce qui en dit long sur la détermination et l’agilité du ou des auteurs de ce geste patriotique.
🇫🇷 Rouen. Un drapeau français mystérieusement hissé au sommet de la cathédrale : une plainte déposéehttps://t.co/xfFxrJaNIi
Pendant plus de deux jours, la bannière tricolore est restée hissée en haut du clocher, visible de tout le centre-ville. Elle a finalement été retirée par le Groupe d’intervention en milieu périlleux (GRIMP) du SDIS 76 le lundi suivant, dès que les conditions météo l’ont permis.
Une plainte déposée
En travaux de restauration depuis 2016, la flèche fait actuellement l’objet d’une attention toute particulière. L’intrusion qui a eu lieu le week-end dernier n’est donc pas sans poser quelques questions de sécurité. D’ailleurs, ce n’est pas la première fois que la cathédrale de Rouen attire les curieux. En 2022, cinq jeunes âgés de 16 à 22 ans avaient été interpellés après avoir gravi l’édifice religieux sans autorisation. En juillet 2024, encore, un incendie s’était déclaré sur la bâche de protection entourant la flèche. De quoi susciter mille hypothèses et scénarios. Pour certains, la pose du drapeau tricolore dissimule une « action nationaliste ». Nos confrères de Paris Normandie y ont vu un « défi » lancé aux autorités, « entre ferveur patriotique et provocation politique ». Une plainte a même été déposée par la préfecture.
Sur les réseaux sociaux, cette procédure judiciaire n’a pas fait que des heureux. « Une plainte ? Le drapeau français est-il interdit en France ? », s’est ainsi interrogée Françoise, sur X. « Quel est le motif de la plainte ? », demande un autre. « C’est probablement interdit quel que soit le drapeau pour des raisons évidentes de sécurité, mais il y a fort à parier qu’un drapeau palestinien n’aurait pas provoqué d’émoi… », a commenté un troisième.
La guerre des drapeaux
Indépendamment des questions de sécurité, il faut bien reconnaître que les réactions de nos autorités politiques, médiatiques ou judiciaires aux drapeaux hissés en haut des bâtiments publics sont en effet difficiles à suivre. Au mois de septembre dernier, le drapeau palestinien avait été disposé au fronton des mairies de Lyon, Nantes, Saint-Denis ou Stains, malgré la mise en garde du ministère de l’Intérieur. « Il faut le faire et bravo aux maires qui le font », avait alors lancé Ian Brossat, sénateur parisien d’extrême gauche, incitant d’autres élus à enfreindre l’interdit. À Tours, une procédure a bien été lancée, suite au pavoisement de l’hôtel de ville avec le drapeau palestinien, mais la Justice a finalement décidé d’annuler l’audience et de ne pas poursuivre la mairie… Le méfait n’était sans doute pas assez grave, aux yeux des juges.
À l’inverse, la clémence n’a pas été au rendez-vous, pour ce Français coupable d’avoir arraché, en septembre 2025, le drapeau palestinien qui trônait sur le fronton de l’hôtel de ville de Grenoble : l’homme de 33 ans a immédiatement été interpellé et placé en garde à vue. Une intransigeance qui ne laisse pas d’étonner, lorsqu’on pense à ces jeunes gens qui, en octobre 2023, s’étaient saisi du drapeau tricolore disposé sur le parvis de l’hôtel de ville de Cholet pour le remplacer par un drapeau algérien. On attend toujours le dépôt de plainte de la préfecture à leur encontre.
#webtube : Souvenez-vous. Nous avons eu droit à toutes les moqueries concernant l’armée russe, restée à l’âge de pierre de l’ère soviétique. Une armée épuisée, contrainte de désosser les machines à laver pour y prélever les puces indispensables à son industrie de l’armement. La Russie, puissance moyenne au PIB modeste, qui serait liquidée en trois mois avec quelques sanctions. On a eu droit aussi au général Rambo affirmant qu’un missile Tomahawk sur le Kremlin calmerait définitivement Poutine.
On nous a même dit sans rire que les jeunes soldats russes appelaient leur mère en pleurant ou que Poutine était à l’article de la mort. Bref, pour nos experts de haute volée, l’armée russe n’était qu’une misérable bande de va-nu-pieds, mal commandée, mal équipée, sous-entraînée, démotivée et à court de munitions au bout d’un mois de guerre. 1300 jours plus tard, on voit le résultat ! Comment l’Europe peut-elle être dirigée par autant de crétins ? Cela reste pour moi un mystère.
Chacun sait depuis longtemps que l’Europe a perdu cette guerre, mais comment pourrait-elle avouer sa pitoyable défaite après avoir promis la victoire aux peuples ukrainien et européens depuis plus de 43 mois de guerre ? Ce serait un désastre politique auprès de leurs électeurs. D’autant plus que le continent subit une crise énergétique dévastatrice qui détruit sa compétitivité.
Trump n’a pas ce problème, il déclare que ce n’est pas sa guerre, même s’il continue d’armer encore l’Ukraine. Ce sera donc une autre débâcle militaire de Biden et de ces crétins de démocrates. Et financièrement, l’Amérique de Trump se refait une santé sur le dos de l’Europe, toujours heureuse de cirer les bottes de l’Oncle Sam, tant elle a peur de son ombre.
L’aventure ukrainienne est sans doute le plus grand désastre économique qui pouvait frapper l’Europe. Entraînée par l’Amérique de Biden dans une guerre qui n’est pas la sienne, l’Europe se retrouve aujourd’hui seule face à la Poutine à assumer le lourd fardeau de la guerre. Et si Kiev intègre l’UE une fois la paix revenue, ce sera bien pire. L’Ukraine est notre tombeau.
Car la Russie, ce n’est pas un simple ramassis de djihadistes sahéliens en boubou, qu’on peut combattre à moindres frais, même si les chances de gagner une guerre contre-insurrectionnelle sont quasi nulles.
La Russie, c’est actuellement l’armée de Terre la plus expérimentée au monde, possédant la plus puissante industrie de l’armement du moment. Il faut donc être particulièrement bas de plafond pour s’être lancé dans une guerre avec des armées européennes « bonzaï » et des arsenaux pratiquement à sec. Sans parler des dettes abyssales de certains pays de l’UE.
En faillite totale, sans gouvernement depuis un an, la France a déjà donné 28 milliards à Zelensky, aide européenne et bilatérale cumulées, alors qu’elle recherche vainement à tailler 40 milliards dans ses dépenses. Sommes-nous dirigés par un illuminé qui ne sait plus ce qu’il fait ? Il est permis de s’interroger. La France n’a pas de pétrole, mais il y a longtemps qu’elle n’a plus d’idées non plus. Elle cumule 3400 milliards de dette, laquelle augmente de 12 milliards par mois. La seule pantalonnade de la dissolution kamikaze a déjà coûté 15 milliards au contribuable. Et ce n’est pas fini, car les mondialistes aux commandes refusant obstinément une majorité frontiste, la France risque de rester ingouvernable comme sous la IVe République.
La Russie n’a ni dettes, ni chômage. Elle est assise sur un trésor géologique de 70 000 milliards de dollars, son agriculture est gigantesque et son industrie de l’armement inégalée, même par l’Otan. Elle a décuplé sa production d’armes et de munitions, à des coûts infiniment moindres que les prix de revient occidentaux surfacturés. Et la Russie n’enrichit pas les oligarques ukrainiens à coups de milliards et de juteuses rétrocommissions, comme le font les Occidentaux.
La Russie s’est adaptée aux multiples trains de sanctions qui, par contre, ont saigné l’Europe. Elle n’est pas seule, soutenue par le Sud global, qui ne supporte plus l’impérialisme américain et ses diktats.
Depuis 1990, l’Europe n’a fait qu’accumuler les erreurs monumentales avec la Russie, la jetant dans les bras de la Chine au lieu de l’arrimer au continent. Dépendante à 100 % des États-Unis durant la guerre froide, l’Europe a été incapable de reprendre sa liberté vis-à-vis de Washington après la chute du Mur en 1989. Erreur fatale. Nous faisons la guerre à un pays ami européen, blanc et chrétien. Tel est le sinistre bilan de notre soumission à Washington !
Mais je cède la parole à l’expert militaire Yakov Kedmi qui dépeint parfaitement cette grande illusion européenne de faire plier l’Ours russe. (source : blog Telegram Boris Karpov)
« ️Les pays occidentaux ne sont pas en mesure de reconnaître leur défaite face à la Russie en Ukraine, car cela entraînerait pour leurs élites dirigeantes une perte de pouvoir »
« L’Europe croit que si elle se ressaisit maintenant, réorganise son industrie militaire, renforce ses forces armées, elle sera capable de faire face à une Russie “de plus en plus faible”
Selon l’expert militaire, les autorités européennes ont toujours sous-estimé la Russie, elles pensent encore que Moscou pourrait tôt ou tard faire des concessions sous la pression de l’Occident.
« S’ils s’arrêtent maintenant, ils devront reconnaître que tout ce qu’ils ont fait ces dernières années, c’est mentir, tromper leur peuple, dépenser d’énormes sommes dans une aventure vaine. Cela me rappelle un peu la guerre du Vietnam »
L’expert militaire a rappelé que le gouvernement américain n’a jamais dit la vérité à son peuple sur le fait que la guerre du Vietnam avait été provoquée par l’Occident, et a simplement poursuivi les opérations militaires avec toutes leurs conséquences.
« C’est leur culture. C’est pareil aujourd’hui : ils se sont embourbés et continuent. Ils patinent comme une voiture dans le sable. Et au lieu de lâcher l’accélérateur et de se sortir progressivement, ils appuient de plus en plus sur l’accélérateur et s’enfoncent davantage. C’est ce qui arrive à l’Europe. Mais s’ils s’arrêtent, ils seront démis du pouvoir, et le pouvoir est pour eux la chose la plus importante »
La conclusion de tout cela est que l’aventure ukrainienne va se terminer comme toutes les guerres américaines. Par un désastre monumental, comme le Vietnam, l’Irak ou l’Afghanistan. Mais sur le plan financier, c’est l’Europe faible et divisée qui va tout perdre, engloutissant des centaines de milliards dans le soutien à l’Ukraine, sans pour autant bénéficier du pactole de la reconstruction, évaluée à 700 milliards de dollars. C’est l’Amérique qui raflera la mise, comme toujours.
En attendant, les frappes russes s’intensifient sur les infrastructures ferroviaires, les cibles militaires, les usines d’armements, les installations énergétiques. En 2022, les Occidentaux affirmaient que Moscou était à court de munitions. Aujourd’hui, la Russie peut envoyer en une nuit 1000 drones et missiles sur les villes ukrainiennes. Qui peut encore croire que l’Ours russe va renoncer à ses objectifs ?
Et si Trump envoie ses Tomahawk à Kiev, missiles qui seront obligatoirement mis en œuvre par des militaires américains, ce sera un pas de plus vers la guerre Otan/Russie. Un pays mafieux et corrompu comme l’Ukraine en vaut-il la peine ? Assez de morts, de blessés, de veuves et d’orphelins.
#webtube : Une quarantaine de personnes ont participé à l’assemblée générale du conseil de quartier de Parilly de Vénissieux (Rhône), mercredi 8 octobre, à la salle Jeanne-Labourbe. Les débats portaient sur deux thèmes : la jeunesse et la santé. Présidée par Murat Yazar, cette rencontre a permis d’aborder les préoccupations majeures des habitants autour de deux thématiques principales : l’offre de services destinée à la jeunesse et l’accès aux droits et aux soins.
La séance a débuté par une question d’une riveraine qui a exprimé sa frustration de ne plus pouvoir débattre des difficultés exposées lors des permanences du conseil de quartier. Elle souhaitait parler des problèmes récurrents des quartiers : insécurité, saleté, difficultés avec les bailleurs. Après un échange en aparté avec Michèle Picard (PC), maire de Vénissieux, elle a rejoint l’un des cinq ateliers thématiques sur la santé et la jeunesse. Des thèmes qui ont pu être abordés avec intérêt, et plus de profondeur.
Deux jeunes ont participé cette fois-ci aux débats et partagé leur vision. Les discussions ont porté sur l’apprentissage des pratiques culturelles, la médiation et le développement durable. Selon une technicienne, Vénissieux compte 24 000 jeunes de 16 à 25 ans, dont 50 % ne sont plus scolarisés. […]
#webtube : Débordements aux Halles de Paris où le groupe de rap L2B doevait se produire lors d’un concert gratuit à l’occasion de l’événement Centrale Place, l’événement phare de la scène rap francophone
Un policier en civil est lynché au sol pendant la dispersion des spectateurs venus au Halles de Paris pour le concert gratuit de L2B, finalement annulé.
Un policier en civil est lynché au sol pendant la dispersion des spectateurs venus au Halles de Paris pour le concert gratuit de L2B, finalement annulé. pic.twitter.com/9WJ7xuf5dshttps://t.co/B9Zur0Su5n
— Fdesouche.com est une revue de presse (@F_Desouche) October 11, 2025