. Expulsions de migrants : l’Allemagne finalise un accord avec les talibans pour renvoyer des demandeurs d’asile afghans dans leur pays d’origine


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#webtube : Confrontée à une forte montée de l’extrême droite, l’Allemagne de Friedrich Merz organise depuis plusieurs mois des charters vers l’Afghanistan pour renvoyer des demandeurs d’asile inculpés par la justice. Un accord est sur le point d’être trouvé pour faciliter ces expulsions.

Berlin a réalisé deux vols d’expulsions d’Afghans condamnés par la justice allemande : 81 en juillet dernier et 28 à l’été 2024. Ces vols charters étaient organisés par le Qatar, qui jouait le rôle de médiateur. Mais en septembre, le ministère fédéral de l’Intérieur avait annoncé des discussions directes avec les talibans.

Le ministre conservateur «fera tout pour que cela fonctionne», par exemple aller à Kaboul si cela est nécessaire, et veut «tenter la même chose avec la Syrie».

Le Figaro

. Crise politique : Macron isolé, le système s’effondre ! | I-Média – TVL


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#webtube : L’image de la semaine : Macron lâché de toutes parts, le gouvernement à la dérive ! 01:4510:55 Le président français offre un spectacle déplorable, filmé en marchant seul, abandonné de toutes parts. La presse nationale et internationale tire à boulet rouge sur celui que plus personne n’hésite à appeler le “pire président de la Vème République”…

Le dossier du jour : Delphine Ernotte, Sybil Veil, Ajdari – Le service public et l’ARCOM à la question ! 10:5524:34 Encore dans la tourmente de l’affaire Legrand-Cohen et dans le viseur de la Cour des comptes, Delphine Ernotte et Sybil Veil ont été interrogées par la commission de la Culture du Sénat. Dans le même temps, le président de l’Arcom était auditionné à l’Assemblée par la commission culture. L’occasion pour ces trois personnalités de répondre, sur la défensive, aux questions parfois piquantes des représentants des Français qui s’interrogent chaque jour un peu plus sur la partialité du service public et de l’organisme de régulation de l’audiovisuel.

Les pastilles de l’info :

  • Chat Control : l’outil liberticide de surveillance de masse 24:3428:31
  • Mort de Thomas : l’association des victimes de Crépol épingle France Télévisions ! 28:3130:36
  • Aide à la presse : comment l’Etat finance les médias d’extrême gauche ! 30:3634:18
  • Luxe et politique : le maire du 8ème arrondissement de Paris dans la tourmente 34:1836:50

🔴 Conclusion 36:5037:18 🎙️ Portrait piquant : Delphine Ernotte, la présidente de France Télévisions agite les débats 37:1840:15

. L’Allemagne dans l’engrenage de la crise ?


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#webtube : Longtemps fer de lance économique de l’Union Européenne, l’Allemagne semble marquer à son tour le pas, confrontée à un faisceau de crises : politique, industrielle, migratoire… Pour « Ligne Droite », la matinale de Radio Courtoisie dirigée par Liselotte Dutreuil, notre collaborateur Lionel Baland et l’essayiste David Engels font le point sur la situation outre-Rhin.

. Crise politique : Macron insiste avec Lecornu, la France s’enfonce dans l’impasse


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#webtube : Revoici Lecornu à Matignon : démissionnaire lundi, rappelé vendredi. Une valse politique qui résume la crise d’un régime à bout de souffle. Il aura suffi de quatre jours à Emmanuel Macron pour rappeler à Matignon l’homme qu’il venait de congédier. Sébastien Lecornu, ex-ministre des Armées devenu Premier ministre puis démissionnaire après une motion de censure, a été reconduit vendredi 10 octobre, dans un climat d’usure et d’exaspération nationale. Le chef de l’État assume : il n’a trouvé personne d’autre. Le pays, lui, s’interroge sur ce pouvoir en roue libre, prisonnier de ses propres cercles.

Un Premier ministre « par devoir », un président sans alternative

Lecornu s’est dit « fidèle au devoir républicain ». En réalité, il hérite d’une mission quasi impossible : faire voter un budget avant Noël dans une Assemblée éclatée, où plus rien ne passe. Le nouveau Premier ministre promet d’ouvrir les débats, de redresser les comptes, d’interdire toute ambition présidentielle à ses ministres – une clause inédite, presque désespérée, pour éviter que Matignon ne devienne un tremplin pour 2027.

Mais dans un hémicycle où aucun bloc n’a de majorité, l’équation est insoluble. Le « socle central » macroniste, réduit à 170 sièges, ne pèse plus lourd face aux 150 députés du Rassemblement national et aux 140 du Nouveau Front populaire. Entre les deux, une constellation de groupes qui se neutralisent. Lecornu II risque donc de tomber avant même d’exister.

La France insoumise et le RN ont déjà annoncé la couleur : motion de censure immédiate dès la déclaration de politique générale. Le PCF et les écologistes emboîtent le pas, tandis que les socialistes posent leurs conditions – suspension de la réforme des retraites, sinon censure.
Autant dire que le compte à rebours a commencé. Le gouvernement pourrait tomber avant la fin du mois, renvoyant le pays à un scénario ubuesque : une troisième nomination du même homme ou la dissolution de l’Assemblée.

La dissolution, ce mot que Macron redoute et que le peuple réclame

Officiellement, l’Élysée écarte cette option. En coulisse, tout le monde la juge inéluctable. Deux tiers des Français y sont favorables, lassés par le théâtre parlementaire et la valse des gouvernements. Les sondages annoncent un raz-de-marée du RN en cas de scrutin anticipé (30 à 35 %), loin devant la gauche réunie (25-30 %) et un macronisme résiduel (15-20 %).
Macron le sait : dissoudre, ce serait livrer le pays à ses adversaires. Ne rien faire, c’est prolonger l’agonie.

Depuis les législatives anticipées de 2024, la France vit suspendue entre deux crises. L’exécutif gouverne par intérim, le 49.3 en bandoulière, tandis que les Français assistent, impuissants, à une succession d’épisodes où les ministres tombent plus vite que les feuilles d’automne.
Le pouvoir d’achat s’effrite, la dette explose, la défiance atteint des sommets. Jamais sous la Ve République un président n’avait semblé aussi isolé, ni aussi contesté jusque dans son propre camp. Un ancien ministre confiait cette semaine : « Macron ne gouverne plus, il gère un effondrement. »

Vers un hiver politique

Si le budget 2026 n’est pas voté, la France risque la paralysie budgétaire, une dégradation de sa note financière et une nouvelle flambée des taux d’intérêt. Emmanuel Macron espère encore un sursaut institutionnel, mais les réalités parlementaires s’imposent : plus personne ne veut gouverner avec lui.

La dissolution, repoussée mais désormais probable avant Noël, apparaît comme la dernière carte d’un président acculé. La France, elle, avance à reculons — gouvernée par intérim, débattue à vide, et lasse d’un pouvoir qui ne sait plus dire « fin ».

La reconduction de Sébastien Lecornu ne résout rien, elle met en scène l’épuisement d’un système. Emmanuel Macron, privé de majorité et d’élan, n’a plus qu’une main tremblante sur les leviers du pouvoir. Dans un pays fracturé où les Français réclament des actes, le chef de l’État semble n’avoir plus qu’une obsession : tenir — encore un peu — avant l’inévitable.

Cette caste politique à la tête du pays depuis des décennies n’en a décidément absolument rien à faire des préoccuperions populaires. Le grand coup de balai semble se rapprocher, malgré l’attachement de cette petite caste, à ses postes et aux manettes du pouvoir.

Breizh-info.com

. Anne Hidalgo nous coûte un pognon de dingue


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#webtube : Tous nos lecteurs savent qu’Anne Hidalgo est une Emmanuel Macron au féminin. Peut être pire encore… Totalement narcissique, totalement toxique, imperméable aux arguments ou à la souffrance de quiconque, toujours prête à donner des leçons de morale avec sa voix monocorde, rien ne la touche, rien ne l’atteint. Comme Emmanuel Macron, elle passe toujours en force comme une souveraine, méprisant la volonté populaire, toujours en train de tricher avec des référendums parisiens bidon, où ne vont voter que ceux qui sont au courant, et en général surtout ses amis. C’est pourquoi Anne Hidalgo estime légitime et démocratique une décision prise avec 2,1 % de votants parisiens.

Cette femme est une escroquerie à elle toute seule, et une insulte à la décence.

On sait que l’association Transparence et éthique, après bien des efforts, a enfin réussi à obtenir une partie de ses notes de frais, et tout le monde a pu voir qu’elle ne se refuse absolument rien avec l’argent des Parisiens : Dior, Burburry’s, tenues et chaussures en trois tailles différentes (au cas où son poids varierait à la hausse ou à la baisse…). 210.000 € en quatre ans, uniquement dédiés à sa garde-robe et à son bien-être, sachant qu’elle ne paye par ailleurs aucun frais de transport, qu’il y a toujours une cérémonie à la Mairie de Paris pour déjeuner et/ou dîner aux frais de la Mairie, ce qui évite de faire les courses alimentaires, et que pour la Mairie de Paris, elle peut même aller jusqu’à Tahiti voir des vagues…

Sa dernière polémique avec Rachida Dati est la suivante : Anne Hidalgo a mis Rachida Dati au « défi » de réussir à « vivre avec l’indemnité de 4900 euros nets après impôts » dont elle bénéficie en tant qu’édile. La socialiste estime cela « ambitieux » pour sa rivale « au vu de [ses] revenus déclarés ».

https://www.lejdd.fr/politique/pain-pour-le-peuple-brioche-pour-vous-la-requisitoire-cinglant-de-gregory-canal-contre-anne-hidalgo-162750

Mais ce n’est pas tout ! Outre son salaire de 4900 € qui va quasiment dans sa poche, puisque ses frais sont très réduits vu que tout est payé par la Mairie, on oublie qu’Anne Hidalgo a également été inspectrice du travail, vous savez cette fonction qui cherche des poux dans la tête des entreprises françaises et fout la paix à ceux qui embauchent des clandestins – c’est un peu plus dangereux – et elle a pris sa retraite au taux plein à l’âge canonique de 52 ans.

Utilisant les bonnes vieilles méthodes de Hollande et Delanoë, Hidalgo joue au bonneteau pour que le bon peuple ne s’indigne pas de sa situation réelle de retraitée à un âge où le Français moyen doit encore travailler au moins dix ans.

Elle a profité des privilèges du régime spécial de la fonction publique pour s’offrir une rente mensuelle de 2625 euros aux frais des contribuables.

https://www.delanopolis.fr/Anne-Hidalgo-deja-atteinte-de-senilite-La-retraitee-de-l-Hotel-de-Ville-oublie-40-de-ce-qu-elle-gagne-_a1794.html?utm_source=chatgpt.com

https://sauvegarde-retraites.org/article-retraite.php?n=795&utm_source=chatgpt.com

Elle a par ailleurs continué à percevoir illégalement sa rémunération alors qu’elle était maire de Paris, et lorsqu’on s’en est aperçu, elle a dit que « c’était prescrit », et qu’elle n’avait donc rien à rendre.

Pendant qu’Anne Hidalgo se portait candidate dans le 15e arrondissement, siégeait au Conseil de Paris ou au Conseil régional, son avancement au sein de son administration d’origine continuait et l’État faisait semblant de verser pour elle des cotisations de retraite non moins fictives que sa présence à l’Inspection du travail.

Par ailleurs, Anne Hidalgo aurait bénéficié de droits (cotisations, avancements, retraites, salaires) cumulés ou “fictionnels” dans l’administration tout en étant largement engagée dans ses mandats politiques, et certains de ces montants ne lui auraient pas été réclamés en raison de la prescription.

Voici ce que j’ai pu reconstituer :

  • Certains articles affirment qu’elle aurait “accumulé des droits fictifs” dans son administration d’origine (Inspection du travail) tout en étant active dans le champ politique, et que l’État aurait continué à lui verser des cotisations fictives ou des avancements, sans contrôle effectif de ses activités réelles. DELANOPOLIS+4sauvegarde-retraites.org+4sauvegarde-retraites.org+4
  • On lit que ces pratiques (cotisations “fictives”, droits administratifs non justifiés) auraient permis de lui constituer une retraite plus favorable que ce que l’exercice effectif justifierait. sauvegarde-retraites.org+2sauvegarde-retraites.org+2

À cela s’ajoute l’usage abondant des différents attributs et avantages matériels de ses fonctions, notamment les véhicules mis à sa disposition et ses remboursements de frais. Elle fait également partie de différents organismes et conseils d’administration liés à la ville ou à la région.

210.000 euros totalement exonérés en 4 ans, cela fait 52.500 € par an soit 4375 € par mois, ce qui ne serait possible qu’avec un salaire d’environ 7000 €, bien loin des 4900 qu’Hidalgo bafouille, ses revenus mensuels seraient donc à minima de

  • 3 000 € de retraite environ (avec l’inflation depuis 15 ans)
  • 4 900 € de salaire de maire
  • 7 000 € correspondant à ses frais de représentation
  • 1 000 € de frais divers, et notamment de transport payés par la mairie

Ses différents revenus et avantages mensuels se montent donc à environ 15.900 euros, bien loin des 4900 qu’Hidalgo bafouille.

Quand on vous dit depuis des années qu’Anne Hidalgo est une menteuse. Profiteuse et menteuse qui en plus a la haine des riches, soit un prototype 100 % gauchiste.

Albert Nollet, dans Riposte Laïque

. La France pourra-t-elle éviter le chaos islamogauchiste ?


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#webtube : L’islamisation de leur pays avance à grands pas et pendant ce temps, les Français restent dans l’expectative et le déni. Et pourtant, dans  leur grande majorité, ils ont toujours voté pour des partis qui prônent le vivre-ensemble et le ‘pas d’amalgame’. Et maintenant qu’ils sont face à leurs contradictions avec cette crise politique qui risque d’entraîner la France dans un délitement et peut-être vers une guerre civile, ils se sentent abandonnés, livrés à eux-mêmes, ne sachant pas à quel saint se vouer.

Pour preuve de leur endormissement, ils ont couronné Manu ‘Roi de France’ à deux reprises, en 2017 et 2022. Claironner en 2025 qu’ils ne sont pour rien dans la crise politique qui secoue leur pays et qui risque de l’emporter prouve leur je-m’en-foutisme maladif.

Faire porter le chapeau à autrui, alors qu’ils sont pleinement responsables de ce qui leur arrive, en continuant de croire aux balivernes de ceux qui les ont mis dans la gueule du loup islamique, dénote leur manque de sérieux, en refusant de se remettre en cause tout en oubliant qu’ils ont été depuis fort longtemps lobotomisés par une presse aux ordres du mondialisme et surtout endoctrinés par les promesses sans lendemain de la bien-pensance qui ment comme elle respire.

Le temps n’est-il pas venu pour qu’ils fassent leur mea-culpa afin de retrouver le chemin de l’éveil ?

Car sans cet éveil, l’avenir de leurs rejetons sera hypothéqué. Avec l’islam à leurs portes, ils diront alors adieu à leurs racines, à leur identité et surtout à leur manière de vivre. Quant à leur culture et à leur civilisation gréco-romaine qui sont déjà saccagées par l’idéologie islamique, elles seront vite oubliées par les conquérants de demain. Et pour contrer cette fatalité, ils n’ont qu’une seul arme entre les mains : le christianisme qui a fait la grandeur de la France, malgré le mensonge éhonté de la gauche.

L’oligarchie à laquelle ils ont fait confiance depuis des décennies les a mis sur le chemin de la dhimmitude avant la charge apocalyptique des cavaliers d’Allah qui les attend de pied ferme.

Le président Macron n’est pas le seul responsable du délitement actuel car, sans ses courtisans et le soutien indéfectible de l’oligarchie, il n’aurait jamais accédé à la fonction suprême, lui le novice de la politique. Par une effraction délibérée et surtout par un mensonge de l’oligarchie qui l’a présenté comme le Mozart de la finance, il a berné tout un peuple qui  a cru à l’apparition du père Noël, au printemps 2017. Et en un mouvement de paupières, il s’est autoproclamé Jupiter, cachant ainsi son immaturité.

Le renoncement aux valeurs de la France millénaire  a accouché de la haine de soi pour tuer tout esprit de résistance. En effet, beaucoup de Français préfèrent l’individualisme prôné par la gauche libertaire aux valeurs humaines qui ont bâti un patrimoine culturel inestimable. Au lieu de valoriser ce dernier qui a fait la fierté de la France, la gauche, depuis l’époque du cynique Mitterrand, a tout fait pour déconstruire la famille, la valeur du travail et surtout le système éducatif tout en expliquant que toutes les civilisations se valent au point que l’idéologie mortifère islamique est devenue une référence.

La crise de régime dans laquelle se débat la société française n’est pas tombée du ciel, elle est le fruit de la pensée magique gauchiste qui a contraint la droite à renoncer à ses convictions et à s’agenouiller devant la diversité ethnico-religieuse qui fait la part belle à l’islam dont la finalité est d’être acceptée par la nouvelle religion du communautarisme.

D’ailleurs, les partis politiques français sont dans le mépris des sans-dents et, parfois même, ils n’hésitent pas à trahir et à être des collabos, en un mot des agents de l’étranger pour exister.

Refuser d’admettre que la société française est en partie responsable du marasme dans lequel elle se débat, c’est continuer à mettre la poussière sous le tapis pour ne pas reconnaître ses erreurs. L’irresponsabilité des partis n’est que le reflet de la société et de ses élites qui ont déserté, depuis des décennies, le combat identitaire au profit de la facilité et du renoncement.

Toute autre discussion n’est qu’une fuite en avant pour ne pas voir que l’insécurité qui sévit de jour comme de nuit est devenue le bras armé du djihad qui menace l’existence de la France.

Et qui a importé cette insécurité ?

Sûrement pas le bouddhisme, ni l’hindouisme et encore moins le christianisme, mais l’islam qui cherche à perpétrer un véritable génocide culturel contre le peuple de France.

Mais ça, l’oligarchie mondialiste et gauchiste ne veut pas en parler, car on ne touche pas au grisbi.

Cette insécurité est encouragée par une justice laxiste, parce que la gauche a décrété que le coupable est avant tout une victime de la société et, de ce fait, il est exempt de rendre des comptes. En conséquence, la fermeté a pris le maquis et l’excuse est devenue la norme et non l’exception, transformant ainsi la France en un vaste champ de coupe-gorge.

En définitive, si un pays est livré à la gauche qui se lie à l’islam, il faut s’attendre au chaos et à la guerre civile, car l’histoire récente le démontre amplement.

Hamdane Ammar, Riposte Laïque

. Suisse : une souveraineté à rude épreuve


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#webtube : Longtemps, la Suisse a incarné l’idéal de la neutralité : un État indépendant, prospère, capable de demeurer à l’écart des blocs. Sa neutralité même lui conférait une force et une crédibilité singulières dans le concert des nations, qu’il s’agisse d’accueillir des conférences de paix, d’abriter des organisations internationales ou de servir de médiateur discret entre puissances rivales.

Sommaire  masquer 

1. L’alignement normatif avec l’Union européenne : une adhésion qui ne dit pas son nom

2. L’influence américaine : une neutralité sous pression

3. Une souveraineté grignotée par deux pôles hégémoniques

4. Vers la fin de l’exception helvétique ?

5. Références

Cette image, solidement ancrée dans l’imaginaire collectif, nourrit encore aujourd’hui l’idée d’une singularité helvétique jalouse de sa souveraineté. Mais l’observation attentive des deux dernières décennies révèle un paysage plus nuancé. Sous la pression conjuguée de Bruxelles et de Washington, la Confédération a vu ses marges d’autonomie se réduire.

Avec l’Union européenne, la mécanique est subtile : par la voie des accords bilatéraux, la Suisse a repris l’essentiel des normes nécessaires à l’accès au marché intérieur, construisant ainsi une adhésion silencieuse. Avec les États-Unis, le processus est plus brutal : pressions financières, espionnage industriel et choix militaires lient Berne à la puissance atlantique bien au-delà de ce qu’autorise la neutralité traditionnelle.

Ce double mouvement met en question le cœur même de l’identité politique suisse. La souveraineté, principe fondateur de la Confédération, est-elle encore un fait tangible, ou seulement une fiction entretenue par le discours officiel ?

L’alignement normatif avec l’Union européenne : une adhésion qui ne dit pas son nom

Depuis le rejet de l’adhésion à l’Espace économique européen en 1992, la Suisse a construit sa relation avec l’Union européenne sur la base d’accords bilatéraux. Ceux-ci assurent l’accès de la Confédération au marché intérieur, mais au prix d’un engagement implicite : reprendre, de manière autonome, une grande partie de l’acquis communautaire. Cette mécanique, souvent qualifiée de « reprise dynamique » ou de « reprise autonome du droit européen », est devenue une constante de la vie législative helvétique. Elle se présente rarement sous une forme spectaculaire : ce sont des ajustements techniques, discrets, mais leur accumulation produit une convergence normative qui rapproche chaque année davantage la Suisse de Bruxelles.

Les exemples abondent dans la législation récente :

  • La révision de la Loi fédérale sur la protection des données, adoptée en 2020 et entrée en vigueur en septembre 2023, a largement repris les standards du Règlement général européen (RGPD), en matière de consentement, de droits des personnes et de transparence des traitements.
  • La Loi sur le CO2, adoptée dès 2011 puis renforcée en 2020 et 2022, s’est alignée sur les objectifs de réduction des émissions de l’Union, fixant des mécanismes de compensation et de taxation très proches de ceux en vigueur dans l’UE.
  • En matière de produits chimiques et biocides, la Suisse a intégré, par son ordonnance de 2018, les prescriptions du règlement REACH et du système européen de classification CLP, garantissant une compatibilité totale des mises sur le marché.
  • Le domaine alimentaire n’a pas échappé à cette logique. La Loi sur les denrées alimentaires et les objets usuels, entrée en vigueur en 2017, a instauré des règles de traçabilité et de sécurité directement inspirées du droit communautaire.
  • Dans le secteur médical, l’ordonnance sur les dispositifs adoptée en 2021 a adapté la législation suisse aux nouvelles normes européennes (MDR), condition nécessaire pour que les entreprises helvétiques puissent continuer à exporter leurs produits dans l’UE.
  • La révision de la Loi sur les télécommunications (2021) s’est, elle aussi, rapprochée des directives européennes en matière de protection des consommateurs, de portabilité des numéros et de transparence tarifaire.
  • Le secteur énergétique suit la même logique. La Loi sur l’énergie, votée en 2017 et révisée en 2021, prévoit une interopérabilité accrue du réseau électrique suisse avec celui de ses voisins, condition préalable à une intégration dans le marché intérieur européen de l’électricité, même si un accord global n’a jamais été signé.
  • Les services financiers se sont également adaptés : la Loi sur les services financiers (LSFin) et la Loi sur les établissements financiers (LEFin), toutes deux entrées en vigueur en 2020, reprennent de nombreux éléments de la directive MiFID II, notamment en matière de transparence des produits et de protection des investisseurs.
  • Enfin, le domaine des transports routiers a vu, entre 2016 et 2022, une série de révisions harmonisant les règles sur les permis de conduire, les poids lourds et les tachygraphes avec la législation européenne, afin d’éviter toute distorsion dans le trafic transfrontalier.

Ce processus de convergence a même tenté d’être institutionnalisé. En 2010, Bruxelles proposa de regrouper l’ensemble des accords bilatéraux dans un accord-cadre institutionnel. Finalisé en 2018, ce texte prévoyait la reprise dynamique du droit européen dans les domaines couverts par les accords, ainsi qu’un mécanisme de règlement des différends faisant intervenir la Cour de justice de l’UE. Mais en mai 2021, après de vives oppositions internes – sur la question des salaires, de la protection sociale et de la souveraineté juridique –, le Conseil fédéral mit fin aux négociations. Cet abandon eut des conséquences immédiates : l’accord sur la reconnaissance mutuelle des dispositifs médicaux, par exemple, ne fut plus actualisé, plaçant les exportateurs suisses dans une situation défavorable face à leurs concurrents européens.

https://www.polemia.com/le-conseil-federal-suisse-refuse-dappliquer-larticle-sur-la-limitation-de-limmigration

Pris isolément, chacun de ces ajustements peut sembler anodin, limité à un secteur particulier. Mais mis bout à bout, ils dessinent une trajectoire claire : la Suisse, tout en affirmant son refus de l’adhésion formelle, s’insère progressivement dans l’ordre juridique de l’Union. Il ne s’agit pas d’un choix délibéré et ouvertement assumé, mais d’une conséquence structurelle des accords bilatéraux : pour commercer avec l’UE, il faut parler le même langage normatif. Ainsi se construit, sans proclamation solennelle, une adhésion silencieuse – l’Union européenne siège à Berne sans que Berne ne siège à Bruxelles.

Le rôle du Comité CH-UE à Bruxelles

La Suisse ne siège pas à Bruxelles, mais elle n’y est pas totalement absente non plus. Depuis 1898, la Chambre de commerce suisse pour la Belgique et le Luxembourg assure une présence helvétique dans la capitale européenne. Et elle abrite depuis 2013 un Comité CH-UE, chargé de suivre l’évolution des relations entre la Confédération et l’Union européenne. Ses missions sont définies de manière transparente :

  • organiser des conférences à Bruxelles et en Suisse ;
  • publier des analyses sur les enjeux bilatéraux, afin d’éclairer le débat public ;
  • contribuer à une meilleure compréhension mutuelle entre acteurs économiques et politiques suisses et européens.

Le Comité se veut neutre, affirmant n’avoir « pas vocation à politiser » le dossier européen. Il se présente comme un lieu d’échanges et de réflexion, plutôt que comme un instrument de lobbying. Dans un contexte où l’accès au marché européen reste vital, ses initiatives traduisent surtout la nécessité pour la Suisse de maintenir un dialogue constant avec l’Union européenne et de mieux faire comprendre ses spécificités. Il n’en demeure pas moins que ses initiatives participent, de fait, à façonner les perceptions et à orienter les réflexions sur la compatibilité des intérêts helvétiques avec les normes et exigences de l’UE.

L’influence américaine : une neutralité sous pression

Si l’Union européenne exerce une influence normative diffuse, les États-Unis, eux, ont imposé leur empreinte à la Suisse par des coups de force plus visibles. Ces pressions se sont manifestées d’abord dans le domaine économique et financier, avant de s’étendre au champ technologique et militaire. La neutralité helvétique, pilier de l’identité nationale, s’en trouve fragilisée.

  1. Pressions économiques et financières

L’épisode le plus marquant fut celui d’UBS en 2009. Sous la menace d’une inculpation pénale aux États-Unis, la plus grande banque suisse dut livrer à Washington des milliers de données de clients soupçonnés d’évasion fiscale. Ce fut une brèche historique dans le secret bancaire, longtemps considéré comme intouchable. Quelques années plus tard, l’adoption du dispositif américain FATCA (Foreign Account Tax Compliance Act, 2010) obligea l’ensemble des banques suisses à collaborer avec l’IRS (Internal Revenue Service), l’administration fiscale américaine, en transmettant systématiquement les informations relatives aux comptes de ressortissants américains. Refuser signifiait être exclu du système financier libellé en dollars – une menace rédhibitoire pour la place financière helvétique.

Les établissements suisses durent aussi affronter des amendes colossales. Le Crédit Suisse accepta en 2014 de payer 2,6 milliards de dollars pour clore des poursuites liées à l’aide à l’évasion fiscale de citoyens américains. D’autres banques de taille plus modeste furent, elles aussi, contraintes à des règlements coûteux. Derrière ces affaires, c’est tout l’édifice du secret bancaire suisse qui s’effondra, non pas par un choix interne, mais sous la contrainte directe de Washington.

Pourquoi une inculpation pénale aux États-Unis inquièterait la Suisse ?

En théorie, un État souverain comme la Suisse pourrait considérer qu’une procédure judiciaire américaine ne le concerne pas. En pratique, les choses sont différentes, en raison du rôle central des États-Unis dans la finance et le commerce mondial.

  • Extraterritorialité du droit américain : la justice américaine s’estime compétente dès lors qu’une transaction passe en dollars ou qu’un système de paiement basé aux États-Unis est utilisé. Cela concerne la quasi-totalité des grandes banques suisses. Cette extraterritorialité du droit américain s’est affirmée dès les années 1970 avec les lois anticorruption et antitrust, mais elle a pris toute sa force après le 11 septembre 2001. Depuis, toute banque ou entreprise opérant en dollars est de facto exposée à la juridiction américaine, même si elle n’a aucune activité directe sur le sol des États-Unis.
  • Dépendance au dollar : être coupé du système financier américain revient, pour une banque, à perdre l’accès aux paiements internationaux. C’est une menace vitale pour des établissements comme UBS ou Crédit Suisse.
  • Effet domino : une inculpation peut entraîner la perte de confiance des marchés, des clients et des partenaires, avec des conséquences immédiates sur la réputation et la solidité d’un acteur financier suisse.

Ainsi, derrière la souveraineté formelle, la Suisse se heurte à une réalité : l’hégémonie américaine dans le domaine monétaire et financier lui interdit de traiter une inculpation pénale comme un simple incident extérieur.

  1. Contrôle technologique et renseignement : le scandale Crypto AG

La dépendance américaine ne s’arrête pas aux flux financiers. Elle a aussi touché un secteur stratégique : le chiffrement. L’affaire Crypto AG, révélée en 2020 par une enquête conjointe de la RTS, du Washington Post et de la télévision allemande ZDF, a mis en lumière un demi-siècle de manipulation. Basée à Zoug, cette société suisse vendait ses appareils de cryptage à plus de 120 pays, convaincus d’acquérir une technologie neutre et sûre. En réalité, l’entreprise avait été secrètement rachetée dans les années 1970 par la CIA et le BND. Les machines étaient truquées, permettant aux Américains et aux Allemands d’espionner massivement les communications diplomatiques et militaires de leurs clients.

Cette révélation fut un séisme pour l’image de la Suisse. L’un de ses fleurons technologiques avait servi de paravent à des opérations d’espionnage à grande échelle, démontrant que même le cœur de son industrie de sécurité n’était pas à l’abri de l’ingérence étrangère. La neutralité helvétique apparaissait soudain comme une fiction que d’autres puissances savaient contourner à leur avantage.

  1. Dépendance militaire et sécuritaire

La pression américaine se manifeste aussi dans le domaine militaire. La Suisse n’est pas membre de l’OTAN, mais elle participe depuis 1996 au Partenariat pour la paix, qui organise des coopérations régulières en matière d’entraînement, de défense aérienne et de cybersécurité. Des exercices conjoints avec l’Alliance atlantique ont lieu chaque année, accentuant l’interopérabilité entre l’armée suisse et les forces occidentales.

La décision prise en 2021 d’acquérir 36 avions de chasse F-35A, produits par Lockheed Martin, a encore renforcé cette dépendance. Ces appareils, censés remplacer la flotte vieillissante des F/A-18, lient la Suisse pour des décennies à la logistique, aux mises à jour logicielles et à la maintenance américaine. Le débat fut vif à l’intérieur du pays, car cet achat engage la politique de défense nationale bien au-delà de simples considérations techniques : il place de facto la Confédération dans la sphère d’influence stratégique de Washington.

Enfin, la coopération en matière de renseignement s’est accentuée après les attentats du 11 septembre 2001. Sous la bannière de la lutte contre le terrorisme, les échanges entre services suisses et américains se sont intensifiés, réduisant encore la marge de manœuvre indépendante d’une Confédération traditionnellement jalouse de sa neutralité.

  1. Une neutralité redéfinie

De l’abandon du secret bancaire à l’espionnage de Crypto AG, de FATCA aux F-35, le constat est clair : la Suisse subit une série d’arrimages forcés aux intérêts américains. Si l’UE agit par la lente mécanique des normes, Washington impose son empreinte par la contrainte et par la puissance. La neutralité, jadis intangible, est ainsi redéfinie non pas par la volonté populaire, mais par l’influence des grandes puissances.

Une souveraineté grignotée par deux pôles hégémoniques

La Suisse aime à se présenter comme un îlot de stabilité au cœur de l’Europe, jaloux de sa neutralité et de son indépendance. Pourtant, l’examen attentif des deux dernières décennies révèle une réalité moins flatteuse : la souveraineté helvétique est cernée par deux pôles hégémoniques, Bruxelles et Washington, dont elle subit l’influence croissante.

D’un côté, l’Union européenne agit par la norme. Chaque révision législative, chaque ordonnance technique, chaque réforme sectorielle rapproche Berne des standards communautaires. La Confédération reprend les règles de Bruxelles sans disposer d’un siège à la table où elles se décident. C’est une intégration rampante, silencieuse, qui ne dit pas son nom mais qui modifie en profondeur l’architecture juridique et économique du pays.

De l’autre, les États-Unis imposent leur marque par la contrainte. Comme nous l’avons vu, pressions financières, amendes extraterritoriales, affaires d’espionnage, choix d’équipements militaires… Autant de leviers qui soumettent la Suisse aux priorités de Washington. L’affaire UBS, le dispositif FATCA, le scandale Crypto AG et l’achat des F-35 ne sont pas des épisodes isolés mais les jalons d’une dépendance structurelle.

Entre ces deux forces, le peuple suisse manifeste pourtant une volonté constante de préserver son autonomie. À plusieurs reprises, il a rejeté l’idée d’une adhésion à l’Union européenne. La neutralité reste perçue comme un pilier identitaire, un héritage historique que l’on refuse d’abandonner. Mais le paradoxe est flagrant : tout en affirmant cette indépendance dans l’ordre symbolique, la Confédération s’intègre toujours davantage dans l’espace euro-atlantique par ses pratiques, ses accords et ses choix stratégiques.

Au bout du compte, la Suisse conserve l’apparence d’une souveraineté pleine et entière, mais ses marges de manœuvre se réduisent inexorablement. Elle ne décide plus seule de ses normes économiques ; elle ne contrôle plus totalement sa place financière ; et en matière d’armement stratégique, elle a choisi de confier ses systèmes majeurs – aviation et défense sol-air – à des fournisseurs américains, plaçant de facto sa sécurité dans l’orbite technologique de Washington. Cette situation interroge : peut-on encore parler de neutralité lorsque l’essentiel des décisions structurantes est pris ailleurs ?

Vers la fin de l’exception helvétique ?

L’examen de l’évolution récente montre que la Suisse ne navigue plus librement entre les blocs. Cernée par Bruxelles et Washington, elle se retrouve engagée dans une intégration de fait au système euro-atlantique. L’Union européenne impose ses normes, les États-Unis dictent leur loi par la finance, le renseignement et l’armement. La neutralité, jadis intangible, se voit redéfinie par des contraintes extérieures que la Confédération ne maîtrise pas.

Certes, le peuple suisse continue de proclamer son attachement à l’indépendance. Certes, les institutions défendent l’image d’un pays souverain. Mais la réalité est plus implacable : par pragmatisme, par dépendance économique et par choix stratégiques, la Suisse se rapproche chaque jour davantage d’un statut de vassal.

Pour preuve, la guerre en Ukraine a révélé un basculement inédit : la Suisse a condamné sans détour l’agression russe, puis repris intégralement les sanctions de l’Union européenne. Elle a gelé des avoirs, appliqué des restrictions financières et commerciales, alignant sa politique extérieure sur celle de Bruxelles et de Washington. Si elle a refusé d’exporter des armes à Kiev, sa neutralité est perçue comme affaiblie, contestée par Moscou et son influence diplomatique jugée désormais peu crédible dans une partie du monde.

La question demeure, lourde de conséquences : la Confédération pourra-t-elle, au XXIe siècle, préserver son modèle unique d’État neutre et indépendant, ou bien devra-t-elle admettre que sa souveraineté n’est plus qu’une façade, érodée par la double emprise de l’Union européenne et des États-Unis ?

Yves Lejeune

Références

Source : Polémia

. Le parti de Giorgia Meloni se lance dans une campagne contre la charia en Italie


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#webtube : L’interdiction de la burqa, des certificats de virginité et du financement opaque des mosquées sera bientôt examinée. « Nous disons non aux mariages forcés, aux certificats de virginité et à toute pratique portant atteinte à la liberté et à la dignité des femmes. » Fratelli d’Italia, le parti de Giorgia Meloni, entend désormais contrer la charia en Italie. Pour ce faire, une proposition de loi sera prochainement examinée en commission avant d’être débattue à la Chambre des députés.

Interdiction de la burqa et du financement opaque des mosquées

En 2011, la France interdisait la burqa [voile intégral, NDLR] dans l’espace public et faisait alors figure d’exception. Près de quinze ans plus tard, Fratelli d’Italia lui emboîte le pas. Avec cette nouvelle proposition de loi, le parti conservateur italien souhaite tout d’abord interdire le voile dans l’espace public, aussi bien dans les écoles et les universités que dans les commerces et les bureaux. En cas d’infraction, le texte de loi prévoit une amende pouvant grimper jusqu’à 3.000 euros ! En France, le fait de « dissimuler son visage dans l’espace public » est passible, selon le texte de loi porté par Nicolas Sarkozy, d’une amende de 150 euros.

Mais le port du voile intégral est loin d’être le seul objet visé par cette proposition de loi qui contient cinq articles. « L’État doit être ferme et clair : aucune tradition, aucun précepte religieux ni aucune coutume ne peut justifier la violence ou l’asservissement »explique Andrea Delmastro, l’un des députés à l’initiative de ce texte, sur ses réseaux sociaux. Fratelli d’Italia entend donc également interdire les certificats de virginité [examens souvent imposés aux jeunes filles musulmanes avant leur mariage, NDLR] et à alourdir les peines en cas de mariage forcé.

À ce sujet — Trois ans après son arrivée au pouvoir, Meloni triomphe contre vents et marées

Par ailleurs, « nous devons mettre un terme au financement opaque des mosquées : ceux qui prêchent doivent le faire en toute transparence et dans le respect de la loi », prévient le député italien. Enfin, le texte de loi prévoit de renforcer le contrôle des associations cultuelles liées à des pays étrangers. En résumé, cette proposition de loi vise à « contrer la création d’enclaves, de contre-sociétés dans lesquelles s’applique la charia et non le système juridique italien, et où fleurit le fondamentalisme islamique », détaille le rapporteur de la loi. En creux, Fratelli d’Italia entend ainsi combattre « le fondamentalisme islamique »« terrain propice au terrorisme islamiste ».

Meloni maintient le cap

Sans surprise, le président des communautés islamiques d’Italie, Yassine Lafram, ardent défenseur de Gaza, s’oppose à cette proposition de loi : « La liberté de choix est un principe fondamental dans une société démocratique — aucun État ne devrait dicter comment une femme doit s’habiller. Toute interdiction généralisée risque de créer des tensions sociales et de la discrimination plutôt que de promouvoir l’intégration et le dialogue », estime-t-il.

Pourtant, en Europe, la Cour européenne des droits de l’homme a toujours jugé que les restrictions du voile intégral, telles que pratiquées en France ou en Belgique par exemple, pouvaient être légitimes afin de favoriser une certaine harmonie sociale et respecter le « vivre ensemble ». C’est ainsi que plusieurs pays, à l’instar de la France, ont choisi d’interdire le port de la burqa dans leur espace public, tels que la Belgique, la Norvège, le Danemark ou encore les Pays-Bas.

Cette politique de Fratelli d’Italia s’inscrit dans la droite ligne de celle menée par Giorgia Meloni depuis son arrivée à la tête du pays, il y a déjà trois ans. Après avoir réussi à inverser la tendance migratoire, Meloni et ses alliés espèrent maintenant gagner leur lutte contre l’islamisme.

Clémence de Longraye, dans BV

. Sondage IFOP : le Rassemblement national plus fort que jamais — le pays à droite, la caste médiatico-politique à gauche


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#webtube : Avec 36 % des intentions de vote, le RN écrase ses concurrents, loin devant une gauche fragmentée et une majorité présidentielle en ruine Alors que la classe politique parisienne bruisse de rumeurs autour d’une hypothétique nomination d’un Premier ministre « de gauche », les Français, eux, tranchent clairement : le pays est à droite, plus que jamais.

C’est ce que révèle le dernier sondage IFOP-Fiducial pour LCI, Le Figaro et Sud Radio, publié le 9 octobre 2025. Si des élections législatives anticipées avaient lieu dimanche prochain, le Rassemblement national obtiendrait entre 35 et 36 % des voix, loin devant tous ses adversaires.

Une fois encore, la photographie électorale du pays contredit frontalement la bulle médiatique et politique parisienne, qui rêve d’un retour de la gauche au pouvoir.

Le RN, première force politique de France

Avec un score oscillant entre 35 et 36 %, le parti de Marine Le Pen et Jordan Bardella atteint un niveau inédit, consolidant sa position de première force politique dans toutes les tranches d’âge actives.
Le RN domine très nettement chez les ouvriers (48 %)chez les foyers modestes (47 %) et reste solidement implanté chez les retraités (32 %).

En cas d’union élargie avec les mouvements d’Éric Ciotti (Union des droites pour la République) et Éric Zemmour (Reconquête), le bloc de droite nationale atteindrait près de 40 % des suffrages.
Jamais, depuis le début de la Ve République, un bloc conservateur et national n’avait atteint un tel niveau d’adhésion dans le pays réel.

Une gauche dispersée et affaiblie

Le sondage confirme également la décomposition du camp de gauche.
Sans la France insoumise, une coalition « socialo-écologiste » plafonnerait à 19 %.
Si les forces du Nouveau Front populaire (LFI, PS, PCF, Écologistes, Place publique) se représentaient unies, elles culmineraient à 24 %, bien loin derrière le RN.
Mais cette hypothèse d’union reste très théorique : la fracture idéologique entre la gauche radicale mélenchoniste et la gauche pro-européenne de Raphaël Glucksmann demeure béante.

Autrement dit : le front dit “républicain” est aujourd’hui en miettes, et les appels à l’unité masquent mal l’effondrement du socle électoral de la gauche historique.

La Macronie au plus bas, laminée par la défiance

Le bloc présidentiel, composé de Renaissance, du Modem, d’Horizons et de l’UDI, s’effondre à 14 % des intentions de vote — son plus bas niveau historique.
Les anciens électeurs d’Emmanuel Macron désertent en masse : à peine la moitié d’entre eux se disent encore prêts à soutenir un candidat issu de la majorité.
Ce rejet est particulièrement marqué chez les employés (12 %) et chez les femmes (9 %).

La fameuse “centralité” macronienne, censée incarner la raison et la stabilité, n’existe plus.
Les Français jugent le pouvoir coupé du réel, enfermé dans ses certitudes technocratiques et incapable de répondre à leurs angoisses sociales, identitaires et sécuritaires.

Les Républicains : un parti écartelé

Crédités de 11 à 12 %, les Républicains restent bloqués dans une impasse stratégique.
Selon l’enquête, 61 % de leurs sympathisants souhaitent une union avec le RN et Reconquête, tandis que 39 % préfèrent un rapprochement avec le bloc central macroniste.
Le dilemme est clair : suivre la base électorale, massivement droitière, ou continuer à plaire à une élite parisienne qui ne jure que par la “modération républicaine”.

Le peuple et la caste : le gouffre se creuse

Ce sondage, au-delà de ses chiffres, met une fois de plus en lumière le gouffre abyssal entre la volonté du peuple français et les calculs des élites politico-médiatiques.
Alors que les médias dominants orchestrent chaque semaine des scénarios de “cohabitation de gauche”, voire la possible nomination d’un Premier ministre issu du camp progressiste, les électeurs, eux, envoient un message limpide:
la France d’en bas veut le retour de l’ordre, de la souveraineté et d’un État fort, non la reconduction d’une politique technocratique ou multiculturaliste.

Le pays réel, qu’on tente de caricaturer en “France périphérique”, n’a plus rien à voir avec la France officielle.
D’un côté, des éditorialistes et des technocrates qui se congratulent sur les plateaux de télévision ;
de l’autre, un peuple fatigué, réaliste et désormais majoritairement à droite, prêt à faire tomber un système qui ne le représente plus.

Les chiffres de l’IFOP ne traduisent pas une colère passagère, mais une recomposition profonde du paysage politique français.
Le Rassemblement national, en s’ancrant dans les territoires ruraux et ouvriers, incarne désormais la continuité du pays réel face à l’abstraction urbaine et mondialisée.
L’effondrement du centre et la désunion de la gauche ouvrent la voie à un basculement durable : celui d’une France populaire et conservatrice qui ne croit plus aux discours de la caste.

Breizh-info.com

. Gouvernement Lecornu II : un petit tour et puis revient !


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#webtube : Lecornu ou les cornus ? Nombre de Français se sentent cocus et la gronde monte déjà. Lecornu, le retour. Un petit tour et puis revient. Le Premier ministre démissionnaire est désormais un ministre remissionnaire. Les réseaux sociaux se gaussent par avance de l’auto-passation de pouvoir.

La séquence ressemble aux Temps modernes de Charlie Chaplin : on rembobine tout et on remonte le temps, en accéléré, jusqu’à la seconde avant la démission. Sauf que le film n’est pas en noir et blanc. Ces charlots-là en font voir de toutes les couleurs aux Français. À quoi bon ces simagrées, ces conciliabules, et ces claquements de porte ? Tout cela était donc du toc. Du chiqué. De l’esbroufe.

On avait pourtant prévenu : « Comediante, tragediante ». Le président aime la scène, et au théâtre, on joue plusieurs fois la même pièce. Deuxième représentation, levez le rideau.

On aurait pu se douter. Il fallait savoir lire les sous-textes. Quand celui qui se définit comme un « moine-soldat » a mollement repoussé l’idée, mercredi soir, de revenir Matignon par un modeste « je ne cours pas derrière le job », il fallait comprendre que le job en revanche courait derrière lui, et qu’il ne se soustrairait par à son « devoir » et à sa « mission » (ce sont les mots qu’il emploie ce vendredi soir). Du registre sémantique de l’oblation et du sacerdoce. Pour ainsi dire son saint patron, transpercé par les flèches. C’est vrai qu’il faut une bonne dose de foi pour accepter de rempiler. Ce vendredi soir, on ne sait pas encore qui sera dans le « nouvel » attelage – et pourquoi pas Bruno Le Maire, tant qu’on y est ? Tout est possible, il peut le faire – ni si la réforme des retraites a été glissée dans la couronne de la mariée socialiste. Le sénateur PS Rémi Cardon affirme ce vendredi soir sur X que la « rumeur » d’un « deal » qui aurait été conclu pour éviter la censure du gouvernement Le Cornu II est « propagée » par « l’Élysée ». L’avenir dira qui des deux a menti.

Un gouvernement Lecornu bis, donc, qui s’annonce bis… cornu. Moins Lecornu que Cornecul : c’était le mot, souvenez-vous, qu’avait utilisé Castaner pour qualifier l’affaire Benalla. Gageons, du reste, que si ces deux-là faisaient aussi partie du casting, au point où nous en sommes, nous en serions à peine surpris.

Le nom du nouvel ancien (à moins que ce soit l’inverse) Premier ministre prête à de nombreux jeux de mots. Lecornu ou les cornus ? Deux bosses poussent sur le front des Français. Cocus mais pas contents. La gronde qui monte s’entend déjà.

Gabrielle Cluzel, dans BV