. Donald Trump obtient un accord entre Israël et le Hamas : un premier pas vers la paix au Moyen-Orient


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#webtube : Le président américain Donald Trump a annoncé mercredi soir un accord “historique et sans précédent” entre Israël et le Hamas, marquant la première étape de son plan de paix pour Gaza.

Selon la Maison-Blanche, ce compromis ouvre la voie à la libération de tous les otages israéliens encore détenus dans l’enclave, en échange d’un retrait progressif de l’armée israélienne vers une “ligne convenue” à l’intérieur du territoire. L’annonce, qualifiée de “tournant décisif” par Donald Trump lui-même, a provoqué des scènes de liesse à Tel-Aviv parmi les familles d’otages, tandis qu’à Gaza, la nouvelle a été accueillie avec prudence mais aussi espoir. « C’est un jour historique pour Israël, pour le monde et pour la paix », a déclaré le président américain, ajoutant que “tous les pays se sont unis autour de cet accord”.

Un premier accord sous haute surveillance

Le texte signé prévoit dans un premier temps la libération des vingt derniers otages encore en vie détenus par le Hamas, ainsi qu’un retrait partiel des troupes israéliennes du centre et du sud de Gaza. Israël s’est parallèlement engagé à relâcher environ 2 000 prisonniers palestiniens, dont plusieurs centaines condamnés à la perpétuité.

Mais les points les plus sensibles — le désarmement du Hamas, le contrôle futur de Gaza et la reconstruction du territoire — restent à négocier. Donald Trump a reconnu que “le chemin vers une paix durable” serait long, tout en promettant de superviser personnellement la suite des discussions.

Selon son entourage, il pourrait se rendre au Proche-Orient dès ce week-end, accompagné de son émissaire Steve Witkoff et de son gendre Jared Kushner, déjà présents au Caire pour les négociations.

Netanyahu et Trump célèbrent “un jour béni”

Peu après l’annonce officielle, le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu s’est entretenu par téléphone avec Donald Trump. Dans un communiqué, il a salué “une étape majeure vers la fin du conflit” et affirmé qu’il “ne se reposerait pas avant le retour de tous les otages”.“Que Dieu bénisse Israël, l’Amérique et notre alliance”, a conclu le dirigeant israélien, invitant Trump à venir s’exprimer devant la Knesset.

Du côté palestinien, le Hamas a confirmé avoir accepté “la première phase” du plan, expliquant qu’il s’agissait d’une initiative “pour mettre fin à la guerre d’extermination menée contre notre peuple et pour obtenir le retrait de l’occupant”.

Le mouvement islamiste a néanmoins appelé Washington, le Qatar, l’Égypte et la Turquie — les quatre médiateurs du processus — à garantir qu’Israël “mettra en œuvre les termes de l’accord sans retard ni manœuvre dilatoire”.

Les négociations ont connu plusieurs impasses avant l’annonce finale. Les discussions ont achoppé sur la question du retour des corps de dirigeants du Hamas tués à Gaza, ainsi que sur le calendrier exact du retrait israélien.

Le plan de paix, composé de vingt points, prévoit dans ses phases ultérieures la fin définitive des hostilitésla démilitarisation complète du Hamas, et la mise en place d’une autorité transitoire sous supervision internationale, dirigée par un “Conseil de la paix” auquel participerait Tony Blair, ancien Premier ministre britannique.

À terme, cette feuille de route doit déboucher sur de nouvelles négociations autour de la création d’un État palestinien, conditionnées à la sécurité d’Israël et à la garantie d’un désarmement total des factions armées.

Cet accord, s’il se concrétise, marquerait le premier succès diplomatique majeur du second mandat de Donald Trump, revenu à la Maison-Blanche avec la promesse de “ramener la paix par la force de la négociation”.

Mais de nombreux observateurs restent prudents. Les désaccords internes à Israël, les rivalités entre factions palestiniennes et la fragilité des alliances régionales — notamment avec l’Égypte et la Turquie — pourraient rapidement faire dérailler le processus.

L’annonce survient alors que le Proche-Orient reste en tension : les frappes israéliennes contre le Hezbollah au Liban se poursuivent, et plusieurs incidents ont opposé navires israéliens et activistes pro-palestiniens en Méditerranée orientale.

Si le Hamas tient parole et si Israël respecte son engagement de retrait, ce premier accord pourrait ouvrir une nouvelle ère diplomatique au Moyen-Orient, après une année marquée par la guerre, la destruction de Gaza et des dizaines de milliers de morts.

Mais pour beaucoup, la méfiance demeure. Le souvenir des accords précédents, restés lettre morte, plane toujours sur la région.

Breizh-info.com

. Commission d’enquête partis politiques-islamisme : ouf ! la droite reprend la main


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#webtube : Après des débuts chaotiques, la commission d’enquête sur les accointances islamistes de LFI reprend des couleurs.

À la bonne heure ! Après plus de trois mois de tractations et de valses-hésitations, la commission d’enquête sur « les liens existant entre les représentants de mouvements politiques et des organisations et réseaux soutenant l’action terroriste ou propageant l’idéologie islamiste » a enfin désigné son président et son rapporteur, ce mardi 7 octobre. Exit Aymeric Caron, longtemps pressenti pour prendre les rênes de cette commission créée à la demande de Laurent Wauquiez. C’est finalement Vincent Jeanbrun (LR) qui en assurera la présidence, tandis que le député du Doubs Matthieu Bloch (UDR) en sera le rapporteur et rédigera son rapport final. « Il y a quelque chose d’absurde d’avoir un LFI comme M. Caron qui présiderait une commission qui irait potentiellement regarder les liens de son mouvement avec des réseaux islamistes »s’inquiétait Vincent Jeanbrun, la semaine dernière. Heureusement, le danger est désormais écarté.

Battu par 16 voix contre 10, Aymeric Caron – rebaptisé « Abou Aymeric El Versailly » par certains, en clin d’œil à son pro-palestinisme radical – a très mal pris sa non-nomination. « Les macronistes viennent une nouvelle fois de faire alliance avec les LR et le RN pour élire un rapporteur d’extrême droite (UDR) », s’est-il étranglé, sur X, dénonçant une « alliance politique infâme ». De son côté, le président du groupe Droite républicaine, Laurent Wauquiez, a salué une « bonne nouvelle »« Je vous avais promis qu’on ne lâcherait pas ! », a-t-il ajouté.

Un fiasco évité de justesse

Car il s’en est fallu de peu que cette commission ne tourne à la farce. Depuis sa création, elle a en effet suivi un parcours pour le moins chaotique. Le 3 juin, la première proposition de résolution avait été jugée irrecevable, en raison de références trop explicites à La France insoumise dans l’exposé des motifs. Après modification du texte, elle avait été validée quinze jours plus tard, mais sa présidente désignée – la socialiste Sophie Pantel – avait immédiatement donné sa démission. L’élection d’un nouveau président avait ensuite dû être reportée à deux reprises… faute de candidat à droite. À part LFI, personne ne semblait vouloir du poste. Une situation ubuesque que certains, au RN, commençaient à regretter. « Notre électorat ne comprendra pas ce refus », nous confiait alors un parlementaire. « C’est laisser le champ libre à Laurent Wauquiez, qui retournera l’argument contre nous », déplorait un autre.

À ce sujet — Le RN prêt à laisser LFI présider la commission d’enquête sur l’islamisme

L’incident est maintenant clos, la droite a repris la main sur le dossier. Il lui reste jusqu’au 24 décembre 2025 pour mener les travaux, auditions et achever la rédaction du rapport final. À condition que l’Assemblée ne soit pas dissoute, d’ici là…

LFI bientôt sur le gril

À son grand désarroi, l’extrême gauche française va donc devoir répondre de ses actes devant la représentation nationale. Le tout, sous le regard des caméras. Il aurait été d’autant plus dommage de laisser passer cette occasion que les pièces à conviction se sont accumulées, ces derniers temps. Entre La Meute (Flammarion), Les Nouveaux Antisémites (Albin Michel) et Les Complices du mal (Plon), les ouvrages documentant les liens entre le parti de Jean-Luc Mélenchon et les réseaux islamistes ne manquent pas. Personne n’a oublié cette interview où Danièle Obono qualifiait le Hamas de « mouvement de résistance » ni ces images de Rima Hassan participant, tout sourire, à une manifestation pro-Hamas à Amman, en Jordanie. Il y a une dizaine de jours encore, Thomas Portes était attrapé la main dans le sac, aperçu à Beyrouth aux côtés de responsables du Front populaire de libération de la Palestine (FPLP), organisation classée terroriste par la France.

Les leaders « insoumis » défèreront-ils à leur convocation ? Quelle ligne de défense choisiront-ils ? On peut compter sur eux pour ne rien regretter de leurs prises de position, assumer tous leurs excès et même se servir de ces auditions comme d’autant de tribunes d’où ils pourront fièrement régurgiter leurs éléments de langage. Ils ne reculeront pas. Ils savent que l’islamo-gauchisme est un positionnement politique payant : la démographie joue pour eux, la jeunesse des villes adhère et la presse mainstream laisse faire. Pourquoi s’arrêteraient-ils en si bon chemin ?

. Tous ces guignols sont indignes de notre France millénaire


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#webtube : Après avoir barré le RN, en passe d’obtenir une très large majorité aux dernières législatives, les soi-disant serviteurs de la France se lamentent tous en chœur sur l’absence de majorité, qui ramène notre pays aux temps de la IVe République. La valse des gouvernements va donc se poursuivre pour que le fossoyeur de la France puisse terminer son mandat en 2027.

Servir, servir, ils n’ont pas la moindre idée de la noblesse qui entoure ce verbe quand on sert son pays. C’est surtout leur gamelle qui les préoccupe et chacun sait que si Macron choisit le retour aux urnes, le RN sera le grand gagnant de l’épreuve, à condition que droite et gauche ne violent pas une nouvelle fois la démocratie, en s’alliant avec LFI.

Sondage sur Cnews

La mascarade continue. La seule certitude est que Lecornu jette l’éponge, preuve que la situation, malgré ses dires, ne s’est guère améliorée. Combien de concessions faudra-t-il accorder à la gauche, combien de couleuvres faudra-t-il avaler pour éviter la censure et sauver Macron coûte que coûte ? Telle est la sinistre réalité. Barrer le RN et sauver Macron, telle est la seule mission du futur gouvernement.

Déclaration du Premier ministre

«Un projet de budget sera déposé lundi, dans lequel il y aura beaucoup à débattre»

«Il faudra trouver un chemin pour que le débat ait lieu sur la réforme des retraites»

 «Une suspension de la réforme des retraites coûterait au moins 3 milliards d’euros en 2027»

«La future équipe gouvernementale, « quelle qu’elle soit », devrait être complètement déconnectée des ambitions présidentielles pour 2027»

«La situation permet au président de nommer un Premier ministre dans les 48 prochaines heures»

«Il y a une majorité absolue à l’Assemblée nationale qui refuse la dissolution» 

«Ce soir, je considère que ma mission est terminée»

Un Premier ministre de gauche à Matignon ?

On en prend le chemin.

Rappelons simplement qu’à la présidentielle, Olivier Faure, candidat PS, a fait 2 %.

Rappelons que sans le front républicain, le PS obtenait 1 seul député !

https://www.bvoltaire.fr/decouvrez-lassemblee-de-lunion-des-droites-et-des-patriotes

Mais au sein de la macronie, la conception de la démocratie et de la souveraineté populaire est assez proche de celle de Kim Jong Un. Insulter le peuple, Macron y excelle.

Macron a tout détruit, l’industrie, l’agriculture, l’école, la santé, les services publics, livrant le pays aux mondialistes et aux légions d’immigrés qui ne s’intègrent plus. Et il entend bien finir le travail pour lequel il a été missionné. Il lui reste encore beaucoup à faire.

Malgré tout, Marine refuse la procédure de destitution, seul moyen de forcer Macron à lâcher la rampe et de nous débarrasser de ce fléau. Elle n’est plus crédible. La destitution est prévue dans la Constitution, cela n’a rien d’un sacrilège.

Refusant également l’union des droites, elle est devenue un boulet pour le camp patriote.

Avec de tels opposants, Macron ne risque pas grand-chose. Le calvaire va durer 18 mois de plus, sauf colère du peuple, écœuré par tous ces incapables qui ont détruit l’avenir des générations futures.

Faillite et tsunami migratoire sont en passe de liquider 2000 ans de notre fabuleux roman national.

Mais où sont donc passés les vrais patriotes et les vrais gaullistes pour sauver la nation ?

Jacques Guillemain, Riposte Laïque