. Laurent Nunez porte plainte pour diffamation contre quatre députés LFI

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#webtube : Les députés affirment que depuis la mort de Zyed et Bouna, « la police tue toujours ». Manon Aubry, Paul Vannier, Aurélien Taché et Ersilia Soudais sont visés par une plainte du ministère de l’Intérieur, déposée mercredi soir, pour avoir remis en cause la police nationale à l’occasion des 20 ans de la mort de Zyed et Bouna à Clichy-sous-Bois.

À ce sujet — « La police tue partout » : la haine anti-flic de La France insoumise

Sur leur compte twitter, les parlementaires de gauche ont accusé la police de violence répétée: « Depuis la mort de Zyed et Bouna, 162 personnes ont perdu la vie lors de contrôles de police. 20 ans après, les histoires se répètent : la police tue toujours, et les victimes sont les mêmes », a notamment écrit Aurélien Taché qui avait déjà suscité la polémique sur le sujet le 18 août dernier. Le ministre de l’Intérieur a dénoncé les propos offensants des Insoumis: « Je condamne totalement (…) ces propos », a t-il lancé mercredi soir sur le plateau de C à vous sur France 5. « On laisse à penser que de manière systémique dans la police, il y a finalement cette volonté de tuer, de s’en prendre à des jeunes, plutôt issus de la diversité », déplore-t-il.

Pour rappel, le 27 octobre 2005, les deux jeunes adolescents Bouna Traoré et Zyed Benna, poursuivis par la police, sont morts électrocutés dans un site EDF où ils s’étaient réfugiés.  Les deux policiers poursuivis ont été relaxés en 2015.

Source : BV

. Le front ukrainien ne tient plus qu’à un fil : improbable cessez-le-feu

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#webtube : Pourquoi le Tsar négocierait-il un arrêt des hostilités alors que son armée est aux portes de la victoire ?

Ce que veut Zelensky, c’est un cessez-le-feu qui permettrait à la Coalition des volontaires d’envoyer en Ukraine 20 000 soldats européens sous protection aérienne américaine, annihilant ainsi tous les buts de guerre de Poutine et figeant le front pour des décennies. Un scénario à la coréenne impensable pour les Russes. D’autant plus que si on écoute certains généraux américains, l’Ukraine deviendrait le Cuba de 1962, avec missiles Tomahawk et F-35 aux frontières de la Russie. La même situation mais inversée.

Poutine mène une guerre existentielle pour la sécurité de son peuple et les Occidentaux ne trouvent rien de mieux que de vouloir déployer des missiles à sa porte. Comme si les armes nucléaires américaines stationnées dans 5 pays européens ne suffisaient pas. Que dirait Trump si quelques missiles russes étaient stationnés au Venezuela ?

Ne prenons pas Poutine pour un perdreau de l’année. La paix ne se fera pas en resserrant toujours plus l’étau otanien sur la Russie. Si Trump veut la paix, qu’il commence par retirer ses missiles et ses légions d’Europe.

La propagande mensongère n’a jamais fait les victoires. Il y a bien longtemps que les Occidentaux ont perdu cette guerre, mais ils refusent la défaite par peur de devoir en endosser la responsabilité. En définitive, c’est le Churchill ukrainien qui assumera seul la terrible défaite conduisant à la destruction de l’Ukraine et de son peuple, saigné à blanc pour avoir cru aux promesses de victoire de Zelensky.

Pendant que les Occidentaux diabolisent Poutine et l’accablent de tous les maux, celui-ci est devenu l’idole du Sud global, ce vaste monde qui ne cesse de monter en puissance et ne supporte plus l’hégémonie des États-Unis, pays le plus belliqueux et le plus dominateur que le monde ait connu. En effet, qui d’autre que le Tsar pourrait tenir tête militairement à une coalition de cinquante nations hostiles, lesquelles multiplient les sanctions économiques qui se révèlent d’ailleurs contre-productives ?

À l’opposé, Zelensky a perdu son pari. Depuis le début du conflit, attisant les braises, le saltimbanque de Kiev mise sur un engagement de l’Otan dans un choc frontal avec la Russie, sans comprendre que l’Alliance n’a pas les moyens de ses ambitions. Devenu la star du monde occidental en quelques semaines, invité et ovationné dans toute la sphère russophobe de la planète, y compris au Vatican, Zelensky s’est pris pour le roi du monde, pouvant exiger et ordonner sans la moindre contradiction. Mais la roue tourne.

Au 1340e jour de guerre, il n’est plus le chouchou des médias et devient même un boulet encombrant.

La guerre commence à coûter cher. Plus de 400 milliards ont été déversés en pure perte en Ukraine. Sur ce pactole inespéré représentant 2 fois le PIB du pays, l’entourage de Zelensky s’est copieusement servi, tandis que les « généreux » donateurs ont bénéficié de juteuses rétrocommissions. Tout cela commence à transpirer et la coupe est pleine.

À part quelques illuminés qui feignent encore de croire que l’Ours russe est très affaibli, les plus lucides reconnaissent que la victoire du Tsar est inéluctable. Poutine prend son temps, car il n’a jamais voulu mobiliser pour ne pas déstabiliser son économie, pariant sur la lente usure des forces ukrainiennes et la lassitude des Européens. Mark Rutte, au lieu de prendre ses désirs pour des réalités, devrait savoir que la Russie peut mobiliser 20 millions de soldats et que son industrie de l’armement produit davantage d’armes et de munitions que toute l’Europe.

À titre de comparaison, on apprend que notre armée de l’air retire ses avions de transport C 130-H du service, faute d’avoir les moyens de les entretenir ! Ce qui n’empêche pas Macron de fanfaronner et de jouer les Rambo. Assez de délires guerriers. Avec ses 200 ooo soldats et le faible nombre de matériels réellement opérationnels, la France est incapable de faire la guerre.

Rappelons que Poutine a mis 20 ans pour reconstruire son armée, après l’effondrement post-soviétique. Toute guerre est dévoreuse d’hommes et de matériels. Avec seulement 5000 hommes au Sahel, nous étions déjà « au taquet », disait le général Pierre de Villiers. 

L’analyste politique Rostislav Ishchenko affirme que l’offensive russe s’étend rapidement, tandis que la ligne de front ukrainienne entre Tchernihiv et Kherson risque de s’effondrer complètement.

On n’est plus dans le schéma des places fortes de Bakhmout, Chasiv Yar et Avdiivka, qui avaient nécessité des mois de combats acharnés pour finalement tomber aux mains des Russes. L’armée ukrainienne était alors au sommet de sa force. Mais tout accélère. Fin 2025, elle ne peut plus faire face sur un front de plus de 1000 km et ne tient que sous perfusion otanienne. Zelensky réclame encore 3 ans d’aide financière à l’Europe déjà ruinée !

Mais  quand les dernières fortifications ukrainiennes céderont, les Russes ne tarderont pas à remonter au niveau de leur offensive de mars 2022, avant que l’Otan ne décide de s’engager aux côtés de Kiev et ne contraigne Poutine à replier son armée vers le Donbass. Une lourde défaillance du renseignement russe, qui n’avait pas prévu la réaction occidentale. En Crimée, ce fut une promenade de santé. En Ukraine, c’est 14-18.

Ce sera un retour à la case départ du 24 février 2022, date où la Russie tenait 35 % du territoire ukrainien, mais ce retour se fait au prix de 2 millions de morts et blessés ukrainiens, sacrifiés en pure perte sur l’autel des intérêts américains et des ambitions du saltimbanque ukrainien, ivre de sa fulgurante célébrité.

Aujourd’hui, des milliers de soldats ukrainiens sont encerclés, piégés dans différentes places fortes, avec pour seule option de se rendre ou mourir. Pokrovsk, Mirnograd,  Koupiansk,  Yampol,  Volchansk… autant de villes dont les jours sont comptés et qui devraient tomber prochainement.

« Ishchenko souligne que sans l’arc Koupiansk-Pokrovsk, une défense durable de l’agglomération Slaviansk-Kramatorsk – la dernière zone défensive solide sur la rive gauche du Dniepr, construite depuis mai 2014 – devient impossible. La perte des flancs sous Pokrovsk et Koupiansk laisserait cette zone défensive contournée et coupée de tout ravitaillement. »

Et quand Kherson tombera, qui empêchera le Tsar de s’emparer de Mykolaiev et d’Odessa, en poussant jusqu’à la Transnistrie, en vue de la protéger d’une éventuelle attaque moldave ?

Contrairement à ce que braillent les Européens, qui ont fait le choix de la guerre sans en avoir les moyens et surtout en sous-estimant gravement la puissance russe, cette guerre ne trouvera pas son dénouement sur le terrain diplomatique mais sur le champ de bataille. Jusqu’où ira Poutine ? Veut-il la Novorossia ou davantage ? Nul ne sait. Mais les multiples mensonges et trahisons des Occidentaux à l’égard des Russes depuis 1990 ont rendu ces derniers très méfiants.

En 2022, les deux belligérants étaient prêts à négocier. Mais Boris Johnson, sans doute aux ordres des faucons américains, s’est aussitôt envolé pour Kiev afin de dissuader Zelensky de faire la paix, en lui promettant la victoire et le soutien occidental. Mauvaise pioche. 

Aujourd’hui, il n’y a plus aucune illusion à avoir. L’Ours russe ne lâchera rien.

Les gains territoriaux seront définitifs, l’Ukraine n’intégrera pas l’Otan, Poutine exigera les garanties de sécurité pour toute l’Europe, garanties qu’il réclame en vain depuis 20 ans, et l’armée ukrainienne devra rester au niveau échantillonnaire. Si l’Occident avait écouté Poutine et avait respecté les accords de Minsk, au lieu de fermer les yeux pendant 8 ans sur la guerre du Donbass, jamais Poutine n’aurait lancé son offensive. 

Traiter Poutine d’agresseur est un mensonge. Cette guerre a commencé en 2014 quand la CIA a renversé le régime pro-russe en place à Kiev. Les accords de Minsk qui accordaient l’autonomie aux républiques russophones du Donbass n’ont jamais été appliqués. Kiev a fait le choix de la guerre contre la minorité russe pendant 8 ans, minorité qui a appelé Poutine à son secours. Qui est le véritable agresseur, alors que le Tsar a réclamé pendant des années des garanties de sécurité pour toute l’Europe ? Il est clair que les États-Unis voulaient cette guerre, comme ils ont voulu la guerre en Irak ou le dépeçage de la Serbie, deux agressions déclenchées sur des mensonges d’État. C’est cela la vérité et non pas le discours otanien russophobe. Chacun doit être bien conscient du risque de cette guerre.

Car si c’est un autre scénario que celui du Tsar qui l’emporte, c’est que le monde aura plongé dans la troisième guerre mondiale, donc la dernière compte tenu des 14 000 têtes nucléaires que se partagent les principales puissances mondiales.

Il est donc grand temps d’écouter Poutine et de faire du business avec Moscou au lieu de fanfaronner.

Jacques Guillemain, Riposte Laïque

. Accord franco-algérien de 1968 : le rapport parlementaire qui révèle le coût d’un scandale – c’est Nicolas qui paie encore (pour se faire cracher dessus)

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#webtube : C’est un texte vieux de près de soixante ans, mais il continue de produire des effets considérables : l’accord franco-algérien du 27 décembre 1968, signé dans le sillage des accords d’Évian, régit encore aujourd’hui les conditions de séjour, d’emploi et de protection sociale de centaines de milliers d’Algériens en France.

Un rapport parlementaire rendu public le 15 octobre 2025 vient d’en dresser un bilan accablant : un régime d’exception devenu incontrôlable, dont le coût annuel est évalué à près de deux milliards d’euros pour le contribuable français, qui paye ainsi pour se faire littéralement cracher au visage.

Un « accord bilatéral » à sens unique

À l’origine, l’accord de 1968 devait encadrer une immigration de travail issue de l’Algérie indépendante. Il prévoyait des quotas, un contrôle médical, un titre de séjour, et la mise en place d’une commission mixte franco-algérienne chargée d’en suivre l’application

Mais avec le temps, ce cadre s’est transformé en un système juridique dérogatoire, sans équivalent pour aucune autre nationalité. Trois avenants successifs (1985, 1994 et 2001) ont élargi les droits des ressortissants algériens, tandis qu’une jurisprudence administrative bienveillante leur a accordé des privilèges croissants.

Résultat : l’accord, censé limiter les flux migratoires, a eu l’effet inverse. 

Des droits exorbitants, sans réciprocité

Le texte de 1968, tel que modifié, accorde aux Algériens des facilités d’entrée, de séjour et de regroupement familial inconnues du droit commun.

Par exemple :

  • un certificat de résidence de dix ans renouvelable automatiquement après seulement trois ans de présence régulière (contre cinq pour les autres étrangers) ;
  • un accès facilité au regroupement familial après douze mois de présence (contre dix-huit pour les autres nationalités) ;
  • la possibilité d’obtenir un titre de séjour même après un séjour irrégulier, au nom de la « vie privée et familiale » ;
  • la prise en compte des prestations sociales françaises (RSA, minimum vieillesse) dans les ressources exigées pour faire venir sa famille – avantage unique réservé aux Algériens.

Le rapport révèle aussi un fait sidérant : il est presque impossible de retirer le titre de séjour d’un Algérien, même en cas de condamnation pénale. Depuis 1994, aucune disposition ne permet de le faire, et la jurisprudence protège même ceux reconnus coupables de violences ou d’atteintes à l’ordre public.

Un coût estimé à deux milliards d’euros par an

Les députés Charles Rodwell et Mathieu Lefèvre, auteurs du rapport, évaluent à près de 2 milliards d’euros par an le surcoût pour les finances publiques lié à ce régime d’exception.
Cette somme inclut :

  • environ 300 millions d’euros de charges administratives et judiciaires (traitement des dossiers, contentieux, rétention) ;
  • 1,5 à 2 milliards d’euros de dépenses sociales liées à une immigration plus familiale et moins insérée économiquement ;
  • des centaines de millions d’euros de pensions et allocations versées à des résidents en Algérie.

Rien que pour 2023, 361 771 pensions françaises ont été versées à des retraités algériens vivant en Algérie, pour un montant total d’un milliard d’euros.
Et dans de nombreux cas, l’Algérie refuse de payer la part qui lui incombe, obligeant la France à compenser — comme l’a rappelé Charles Rodwell : « L’Algérie refuse de payer les retraites de milliers de ses ressortissants, et c’est la France qui compense avec l’ASPA. »

Une rupture d’égalité et une anomalie constitutionnelle

Au-delà du coût, le rapport pose une question de fond : ce régime d’exception est-il encore constitutionnel ?

L’article 6 de la Déclaration des droits de l’homme de 1789 stipule que « la loi doit être la même pour tous ». Or, en France, un ressortissant algérien n’est pas soumis au même droit des étrangers qu’un Marocain, un Guinéen ou un Européen.

Cette situation crée une discrimination positive inversée : les Algériens disposent de plus de droits que les citoyens européens, qui doivent justifier de ressources propres pour accéder au RSA. Les auteurs du rapport parlent d’une « rupture d’égalité manifeste » et appellent à « tirer les conséquences constitutionnelles de cet état de fait ».

Une coopération algérienne quasi inexistante

L’accord, qualifié de « bilatéral », n’a en réalité de réciprocité que le nom.
L’Algérie refuse régulièrement :

  • de délivrer les laissez-passer consulaires pour ses ressortissants expulsés ;
  • d’appliquer la convention de sécurité sociale signée en 1980 ;
  • et même, dans certains cas, de reprendre ses propres ressortissants condamnés.

Le taux d’exécution des obligations de quitter le territoire (OQTF) pour les Algériens n’est que de 5 %, contre 56 % pour les autres nationalités.
Ainsi, sur 22 426 mesures d’éloignement prononcées en 2024, seules 1 719 ont été effectives.
Et dans l’attentat au couteau de Mulhouse (février 2025), le terroriste d’origine algérienne était sous OQTF depuis des mois… que l’Algérie refusait d’appliquer.

Une République française cuck qui paie et se tait

Les auteurs du rapport soulignent l’asymétrie totale des relations entre Paris et Alger. La République française, tel un « cuck » verse des milliards chaque année pour des prestations sociales, des retraites, des aides médicales ou des logements sociaux bénéficiant à des ressortissants algériens, tandis que l’Algérie ne respecte aucun de ses engagements.

L’étude cite même le président Tebboune, qui reconnaissait en début d’année que l’accord était « dépassé et inutile » — sans pour autant accepter qu’il soit dénoncé.
De fait, la France demeure pieds et poings liés à un texte qu’elle seule applique.

Le rapport recommande de déclarer l’accord inapplicable ou caduc au regard des principes constitutionnels français.

En clair, il s’agirait de réintégrer les ressortissants algériens dans le droit commun du Code de l’entrée et du séjour des étrangers (CESEDA), en supprimant les dérogations historiques.

Mais le gouvernement d’Emmanuel Macron, soucieux de ménager Alger, ne semble pas prêt à franchir le pas. Le ministre de l’Intérieur Laurent Nuñez a d’ailleurs déclaré sur France Inter que “la remise en cause de l’accord n’est pas à l’ordre du jour”, préférant évoquer un hypothétique “bougé” dans les relations bilatérales.

Ce rapport éclaire d’un jour cru l’impuissance de l’État français face à un système qu’il a lui-même entretenu.

Alors que les débats sur l’immigration se multiplient, aucune majorité n’a encore osé toucher à ce texte, par crainte des conséquences diplomatiques ou communautaires. Pourtant, les chiffres parlent d’eux-mêmes : 650 000 Algériens résidents réguliers en France, une immigration majoritairement familiale, et un coût budgétaire supérieur à celui de certains ministères.

Dans une période où les Français sont sommés de “faire des efforts”, continuer de financer ce privilège postcolonial relève d’un choix politique, non d’une fatalité. Le courage consisterait, enfin, à dire que l’égalité de traitement commence par la fin des exceptions.

Breizh-info.com, 2025

. Pamiers (09) : après vingt ans de procédures, un couple devrait pouvoir récupérer sa maison squattée. Mais seulement après la trêve hivernale

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#webtube.fr : Après vingt ans de procédures, Georgette, 78 ans, et son mari David ont enfin obtenu gain de cause contre l’occupant illégal de leur maison à Pamiers, en Ariège. Mais malgré la décision du tribunal et les 70 000 euros de dommages accordés, le couple ne peut toujours pas récupérer son bien, bloqué par la trêve hivernale et les lenteurs administratives.

Tout commence à la fin des années 1990. Georgette achète une petite maison de 90 m² à Pamiers, qu’elle compte habiter pour sa retraite. Quelques années plus tard, elle confie les travaux et la gestion à un artisan local. Ce dernier s’y installe progressivement, cesse de payer le loyer et finit par occuper les lieux de manière permanente.

Lorsqu’elle revient dans la région, Georgette découvre que sa maison est devenue inaccessible. L’homme s’y est installé comme chez lui et, selon elle, lui aurait même répondu qu’elle “pouvait dormir sur le canapé” si elle voulait y passer la nuit.

Le couple engage plusieurs démarches administratives et judiciaires, souvent infructueuses. Plainte pour escroquerie, faux et usage de faux, abus de faiblesse… Rien n’y fait pendant des années. […]

Malgré un jugement favorable, le couple demeure prisonnier de la lenteur judiciaire et de l’inertie administrative. Le couple espère qu’au plus tard, le printemps 2026 marquera enfin la fin de ce long combat pour récupérer ce qui leur appartient depuis plus de vingt ans.

La Dépêche

. La chanson du jour, Madrugada – Majesty

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#webtube : Un beau et grand morceau du groupe norvégien Madrugada. Cette ballade rock mélancolique, portée par la voix écorchée de Sivert Høyem, explore les regrets d’une relation amoureuse brisée. L’instrumentation épurée, avec sa guitare lente et ses touches de batterie délicates, amplifie cette atmosphère de deuil et de nostalgie, rendant la chanson intemporelle et profondément émouvante pour quiconque a connu la perte d’un amour. Un bijou du post-rock scandinave !

#webtube : A beautiful and powerful track from the Norwegian band Madrugada. This melancholic rock ballad, carried by Sivert Høyem’s raw vocals, explores the regrets of a broken relationship. The stripped-down instrumentation, with its slow guitar and delicate drum touches, amplifies this atmosphere of mourning and nostalgia, making the song timeless and deeply moving for anyone who has experienced the loss of love. A gem of Scandinavian post-rock!

Source : Youtube – Gork

. Alarmisme climatique : les 8 étapes de l’hystérie expliquées

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#webtube : Connaissez-vous les étapes du changement selon John Kotter ? Cette théorie managériale s’applique parfaitement à toutes les manœuvres politiques liées au changement climatique. En appliquant son modèle aux décisions de la caste au pouvoir liées à cet alarmisme climatique, vous allez tout comprendre sur ce qu’il se passe actuellement. Ne vous laissez pas berner.  

Que vous soyez climatosceptique ou fervent croyant du changement climatique, venez le 15 novembre au Forum de la dissidence, où nous discuterons de la question environnementale afin d’éviter un totalitarisme qui menacerait nos libertés individuelles : https://my.weezevent.com/forum-alarmisme-climatique.

Première étape : créer un sentiment d’urgence

Les acteurs de l’alarmisme ont construit, dès les années 1980, une narration de crise existentielle :
« L’humanité est en danger », « la planète brûle », « il ne reste que dix ans ».

En stratégie du changement, cette étape vise à provoquer une réaction émotionnelle collective (peur, panique, culpabilité) pour forcer la mobilisation.

  • Diffusion d’images de catastrophes naturelles ;
  • Répétition des échéances (« 2020 », « 2030 », « 2050 ») ;
  • Assimilation du scepticisme à une irresponsabilité morale.

Résultat : un état d’urgence permanent qui justifie l’action politique radicale et empêche le débat contradictoire.

Deuxième étape : former une coalition dirigeante

Les institutions internationales, grandes ONG et leaders politiques se sont unis autour de la cause climatique :
ONU, GIEC, Union européenne, grandes multinationales, médias, influenceurs « verts »…

Cette coalition a unifié le discours et marginalisé les voix dissidentes.
Elle donne au récit climatique une légitimité institutionnelle et morale, s’appuyant sur la science officielle et la vertu politique.

C’est une coalition d’influence, non une coalition démocratique.
Le pouvoir symbolique et économique s’enracine dans la « bonne cause ».

Troisième étape : développer une vision et une stratégie

Une fois l’urgence et la coalition installées, on formalise une vision du futur :

  • Une planète « neutre en carbone » ;
  • Une économie « verte » et « durable » ;
  • Une humanité « responsable » (souvent au prix de restrictions).

Cette vision s’accompagne d’une stratégie prescriptive :

  • Taxation, surveillance énergétique, limitation des libertés, contrôle des comportements individuels.

Sous couvert de sauver la planète, on structure un projet de transformation sociale et politique global dont la finalité réelle peut être le contrôle plutôt que la protection.

Quatrième étape : communiquer la vision du changement

La « vision verte » est relayée massivement :
médias, réseaux sociaux, cinéma, école, publicité, institutions publiques.

L’image du « sauveur de la planète » devient une norme sociale et morale.
Les messages sont simples, répétitifs, émotionnels :
« Chaque geste compte », « Sauvez la Terre », « Il n’y a pas de planète B ».

Les figures médiatiques (Greta Thunberg, Leonardo DiCaprio, etc.) incarnent le récit.
La répétition constante transforme l’opinion publique en consensus apparent : le doute devient marginalisé, voire interdit.
L’objectif n’est plus la compréhension, mais la conversion.

Cinquième étape : lever les obstacles

Une fois la vision imposée, il faut neutraliser les voix dissidentes :

  • Marginalisation des climatosceptiques, assimilés à des complotistes ou ennemis de la science ;
  • Pression académique et médiatique ;
  • Censure indirecte via les plateformes ou les financements.

L’obstacle principal n’est plus technique mais idéologique : ceux qui doutent.
Le débat scientifique est remplacé par une morale obligatoire.
La peur devient une arme de contrôle social, la bonne conscience écologique un filtre de légitimité.

Sixième étape : générer des victoires à court terme

Les gouvernements et ONG mettent en avant des succès symboliques :

  • Fermeture de centrales à charbon ;
  • Interdiction des pailles en plastique ;
  • Accords internationaux (COP, Accords de Paris) ;
  • Campagnes de reboisement médiatisées.

Ces victoires, souvent médiatiques, entretiennent la narration du progrès :
« Nous avançons », « Le monde se mobilise ».

Elles maintiennent la mobilisation émotionnelle et font taire la fatigue ou le doute.

Septième étape : consolider les gains et produire plus de changement

Une fois la population sensibilisée et les victoires célébrées, le système se renforce :

  • Création d’organismes institutionnels permanents (Haut Conseil pour le Climat, ministères, agences, programmes).
  • Intégration du narratif climatique dans toutes les politiques publiques : urbanisme, énergie, agriculture, éducation, santé.
  • Multiplication des contraintes légales : taxes carbone, normes, restrictions de mobilité.

Chaque été est « le plus chaud jamais enregistré », chaque tempête une « preuve du dérèglement ».
L’objectif : ne jamais laisser retomber la peur ni la mobilisation.

Le processus devient auto-entretenu : plus la société change, plus elle se convainc qu’elle doit encore changer davantage.

Huitième étape : ancrer les nouvelles approches dans la culture

Le climat devient une religion séculière, un dogme moral et culturel.

  • À l’école, les enfants apprennent à « sauver la planète » ;
  • Dans les médias, toute catastrophe est reliée au changement climatique ;
  • Dans les entreprises, la « responsabilité environnementale » devient un critère d’image et d’embauche ;
  • En politique, les programmes verts deviennent transpartisans.

Celui qui doute n’est plus simplement en désaccord : il est fautif, dangereux, voire haïssable.

Le discours climatique cesse d’être scientifique pour devenir idéologique et totalitaire, au sens où il prétend régir tous les aspects de la vie : alimentation, transport, énergie, logement, natalité.

Polémia
28/10/2025

. La sexualité et l’homosexualité en islam

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#webtube : L’islam a codifié  les rapports sexuels entre les hommes et les femmes qui sont soumis à la charia (les lois islamiques). Certains actes sexuels sont permis et d’autres sont strictement interdits.

En effet, il est interdit aux femmes et aux hommes musulmans de discuter ouvertement des relations sexuelles. L’islam met l’accent sur les préliminaires. La masturbation est interdite, mais les hommes et les femmes mariés peuvent stimuler le pénis et le vagin de leur partenaire. Pourtant malgré ces interdictions, les rapports sexuels définis par le nikah (sexualité islamique) restent nécessaires dans la vie conjugale du couple.

Dans la culture musulmane, le refus d’une femme d’avoir des relations sexuelles sans raison valable est puni par Allah et ses anges, mais cela ne signifie pas que le mari est obligé d’avoir des relations sexuelles avec elle. Par contre, la femme ne doit pas se refuser à son mari, même sur le dos d’un chameau (hadith authentifié).

Allah a dit que les femmes sont des champs de labour pour leurs époux :

« Vos épouses sont pour vous un champ de labour ; allez à votre champ comme [et quand] vous le voulez et œuvrez pour vous-mêmes à l’avance. Craignez Allah et sachez que vous Le rencontrerez. Et faites gracieuse annonce aux croyants » (sourate 2, verset 223).

L’islam interdit l’homosexualité. Beaucoup de versets coraniques l’interdisent. En effet, il est écrit dans la sourate 27, versets 54 à 58 :

« [Et rappelle-leur] Lut (Loth), quand il dit à son peuple : « Vous livrez-vous à la turpitude [l’homosexualité] alors que vous voyez clair ? ».

Vous allez aux hommes au lieu de femmes pour assouvir vos désirs ? Vous êtes plutôt un peuple ignorant.

Puis son peuple n’eut que cette réponse : « Expulsez de votre cité la famille de Lut (Loth) ! Car ce sont des gens qui affectent la pureté.

Nous le sauvâmes ainsi que sa famille, sauf sa femme pour qui Nous avions déterminé qu’elle serait du nombre des exterminés.

Et Nous fîmes pleuvoir sur eux une pluie (de pierres). Et quelle mauvaise pluie que celle des gens prévenus ! ».

Voir aussi les versets 80 à 84 de la sourate 7, les 78 à 82 de la sourate 11, les versets 28 à 35 de la sourate 29.

À ce sujet, le prophète de l’islam a dit, rapporté par Abou Horeira ( Sunan Abi Dawud 8) : «  Le croyant qui utilise la voie anale dans son acte intime avec son épouse est maudit ».

Les exégètes islamiques ont interdit les actes homosexuels. Mais en réalité, entre ce qui est halal et haram, il y a  un fossé  que les musulmans refusent de voir. Le réel leur est étranger.

L’homosexualité et la sodomie demeurent omniprésentes  au sein de la oumma mais cachées des regards de la foule haineuse.

L’exemple de l’oasis de Siwa à l’ouest de l’Égypte est édifiant. Cette oasis cache une histoire étonnante longtemps oubliée (ou plutôt, volontairement effacée mais qui continue à se pratiquer en cachette) : les mariages homosexuels (entre les hommes uniquement).

Ces unions entre hommes étaient reconnues par la communauté et faisaient l’objet de véritables mariages officiels. La dot versée pour un mariage homosexuel était souvent plus élevée que celle d’un mariage hétérosexuel.

L’autre exemple de l’homosexualité est le bacha bazi (jouer avec les garçons imberbes comme au Paradis d’Allah). Cette pratique est un esclavage sexuel, sous forme de prostitution.

Le bacha bazi est encore pratiqué en Afghanistan, à l’ouest du Pakistan et dans certaines régions de l’Asie centrale (Turkménistan, Ouzbékistan, Tadjikistan…).

Constantin Constantinovitch von Palhlen (1833-1912, général et homme politique russe), dans ses notes sur l’Asie centrale, décrit le bacha bazi (mission en Turkestan, 1908 et 1909).

« Des coussins et des carpettes furent installés, sur lesquels nous nous allongeâmes avec reconnaissance. De grands tapis furent étendus dans la cour et les indigènes allumèrent leurs narguilés, nous les offrant poliment. C’est alors que Khivan, célèbre bachehs, fit son entrée. Derrière la scène, un orchestre principalement composé de flûtes de jumeau, de tambours de bouilloire et d’une demi-douzaine de trompettes d’argent à taille d’homme avait pris position. En face de nous, une porte laissée entrouverte conduisait au harem [espace réservé aux esclaves]. L’orchestre commença alors avec une curieuse mélodie plaintive, le rythme étant repris et souligné par les timbales et quatre bachehs prirent leurs positions sur le tapis. Les bachehs sont de jeunes garçons spécialement formés pour effectuer un ensemble particulier de danses. Pieds nus, vêtus comme des femmes, en longues blouses de soie aux couleurs vives qui atteignent le dessous de leurs genoux, les pantalons étroits bien serrés autour des chevilles, les bras et les mains brillant de bagues et de bracelets. Ils portent les cheveux longs, arrivant en dessous des épaules, bien que la partie avant de la tête soit rasée de près. Les ongles des mains et des pieds sont peints en rouge, les sourcils sont noir de jais. Les danses se composent de contorsions sensuelles du corps et de stimulations rythmiques de long en large, les mains et les bras levés dans un mouvement tremblant. Le nombre de danseurs augmenta ensuite, le cercle grandit en taille, la musique devint plus aiguë et perçante, tandis que les yeux des spectateurs indigènes brillaient d’admiration et que les bachehs entonnaient une mélodie perçante, dans le tempo sans cesse croissant de la musique. Le prince héritier expliqua qu’ils chantaient l’amour et la beauté des femmes. Ensuite les danseurs effectuèrent des mouvements plus rapides empreints d’une grande émotion, jusqu’à ce qu’ils se jettent à terre, comme épuisés et grisés par l’amour. Ils furent suivis par d’autres, qui dansèrent selon le même thème. »

En lisant ce texte, on se croit transporter au Paradis d’Allah et ses éphèbes qui tournent au milieu des ‘bienheureux’.

La sodomie des femmes est une pratique sexuelle assez répandue en terre d’islam. En effet, les jeunes filles musulmanes célibataires s’adonnent à la sodomie pour préserver leur virginité. Une fille qui n’est pas vierge, son avenir d’épouse n’est pas assuré. Elle est de facto frappée par la malédiction d’Allah.

Certaines femmes mariées mais infidèles pratiquent aussi la sodomie pour éviter de tomber enceintes et d’engendrer ‘des enfants illégitimes’. La peur du lendemain les pousse parfois, malgré elles, à cette pratique sexuelle qu’elles considèrent pourtant comme honteuse. Parfois, il faut le souligner, elles préfèrent être prises par derrière pour goûter au plaisir de la sodomie.

Je ne parle pas aussi des relations intimes entre femmes qui sont connues et qui se déroulent en général dans les hammams. Il est de notoriété publique aussi que l’homosexualité masculine se passe dans les alcôves  de ces hammams, après le départ des femmes.

Ces choses ne se discutent pas, elles font partie de l’intime.

Cet article n’est pas une critique de l’homosexualité mais il est là uniquement pour dénoncer la malhonnêteté de certains musulmans qui lavent plus blanc que blanc.

La sexualité dans la société arabo-musulmane est considérée comme haram. Elle est frappée par le sceau de la honte et de l’infamie en apparence. Et en plus, comme l’honneur (le nif) de la oumma se trouve entre les cuisses de la femme, la sexualité devient une obsession et un tabou fantasmé.

L’arabo-musulman cultive et entretient, depuis son enfance, un esprit plein de contradictions et de clichés dégradants sur la sexualité qui brouille sa vision et son rapport à la femme qu’il considère comme un objet sexuel difficilement atteignable pendant sa jeunesse. En tout cas, avant son mariage.

La sexualité demeure un complexe psychosocial refoulé et chronique chez le musulman en général, de la naissance jusqu’à la mort.

La sexualité est une obscurité qui le trouble !

La société arabo-musulmane, dans son intégralité, intellectuels comme simples citoyens, voit en la sexualité la “honte”.

La sexualité est aussi  synonyme  “d’honneur” ou “ de déshonneur” !

Ainsi, le crime d’honneur est légalisé par la société arabo-musulmane. Ces “crimes d’honneur” sont légion en terre d’islam et même en Occident à cause de l’invasion islamique que les médias officieux passent sous silence.

Le musulman est allergique à l’amour. Pour lui, l’amour est souvent lié à la sexualité maudite. Et la société arabo-musulmane l’encourage à refuser de reconnaître que la sexualité fait partie de la vie, en continuant à lui enseigner la haine et la violence comme les sédiments de sa culture.

Elle condamne aussi l’amour entre un homme et une femme. En un mot : la vie !

La sexualité crée une sorte de peur de la femme chez les arabo-musulmans qui deviennent des frustrés sexuels, au point que la violence misogyne devient la seule arme qui leur reste. L’invisibilisation de la femme de l’espace public est leur sujet de discussion à la mosquée. Pour beaucoup d’entre eux, la mixité est le chemin ouvert vers une sexualité hors charia. Par conséquent, la mixité est haram !

Dans une société obsessionnelle comme la oumma, la femme devient alors une proie harcelée dans la rue et parfois dans son propre domicile. Et les agressions sexuelles qui se passent dans les transports publics en France sont les parfaites illustrations de cette obsession sexuelle.

D’ailleurs, pour réprimer la sexualité, les oulémas s’appuient sur le verset coranique 187 de la sourate 2 : « Et ceux qui ne trouvent pas à se marier, qu’ils jeûnent, car le jeûne sera pour eux un bouclier ».

Pour Allah, jeûner est le meilleur moyen d’oublier sa sexualité.

Cette religion ‘de paix et d’amour’ est l’idéologie par excellence pour créer la frustration, la violence et le viol surtout contre les femmes non voilées et de préférence mécréantes.

Alors, d’une pierre, deux coups !

Hamdane Ammar, Riposte Laïque

. La gauche française de plus en plus haineuse et totalitaire

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#webtube : La liberté d’expression est odieuse à la gauche, comme le manifeste son combat permanent contre le groupe Bolloré. Chacun se souvient que certains militants de gauche étaient allés célébrer la mort de Jean-Marie Le Pen place de la République. Quelques semaines plus tard sa tombe avait été profanée à la Trinité-sur-Mer. Sur un autre plan mais dans un état d’esprit similaire, certains se sont réjouis ouvertement de l’emprisonnement de Nicolas Sarkozy. Dans les deux cas, les militants de gauche, parfois même des élus, ont manifesté une haine malsaine comme un esprit de revanche ou même de vengeance, le point d’orgue étant la demande d’élus de gauche et d’extrême gauche d’aller vérifier que l’ex-président ne bénéficiait pas d’un traitement de faveur durant son incarcération.

Sarkozy dans le viseur

En ce qui concerne Nicolas Sarkozy, qui affichait dans le discours des positions ouvertement de droite et remettait en cause « l’esprit soixante-huitard », chacun sait que la gauche lui vouait une détestation tenace. Même si, dans les faits, à peine élu sur un programme de droite ferme, il avait tenté l’ouverture à gauche ! Il n’est toutefois pas interdit de se demander si la décision d’exécution provisoire de la peine prononcée lors de son jugement, ne relève pas d’une volonté de vengeance corporative et idéologique à l’égard d’une homme qui avait critiqué ouvertement certaines pratiques judiciaires. En effet, il n’existait ni risque de fuite, ni de récidive, ni de trouble à l’ordre public. Décision de justice ou d’injustice ?

Quoi qu’il en soit, tout ceci est le signe d’une radicalisation inquiétante de la gauche française. Celle-ci constate bien que son « magistère » intellectuel et « moral » s’effondre. Trop de déni de la réalité, trop de mensonges idéologiques, trop de soutien à des régimes totalitaires et/ou terroristes immondes, le dernier en date étant le Hamas, finit par ouvrir les yeux de ceux qui étaient aveuglés par la propagande. Et la gauche enrage de sentir sa fin prochaine de son influence. Telle une bête féroce acculée, elle redouble de fureur. Ceci se traduit parfois par la violence urbaine et l’appel à la violence mais surtout par l’abus des procédures judiciaires visant à réduire au silence ceux qu’elle considère comme des adversaires à éliminer.

À ce sujet — [ÉDITO] Sarkozy incarcéré : la joie mauvaise de la gauche

Un film et un magazine pris comme têtes de Turc

La toute récente tentative du maire socialiste de Marseille, Benoît Payan d’interdire la projection du film Sacré-Cœur au château de La Buzine, démontre que l’état d’esprit totalitaire et liberticide n’appartient pas qu’à l’extrême gauche ou à LFI. Elle irrigue désormais toute la gauche. Grâce à Dieu, le tribunal administratif a estimé dans sa décision que « le maire de Marseille a porté une atteinte grave et manifestement illégale à la liberté d’expression et à la liberté de création et à la liberté de diffusion artistiques, libertés fondamentales au sens de l’article L. 521-2 du code de justice administrative ». Car la gauche, qui s‘autoproclame la voix du progrès, semble revenir à la frénésie anti-catholique des petits bourgeois bedonnants et francs-maçons de la IIIe République, ceux-là même qui appelèrent le Maréchal Pétain au pouvoir. Ces « gens d’avenir » sont affectés d’un torticolis qui les tourne obstinément vers le passé.

Le retrait d’agrément de diffusion du magazine satirique de droite La Furia, par la Commission paritaire des publications et agence de presse (CCPAP), relève de la même volonté totalitaire de briser la liberté d’expression en France. Cette décision entraîne la perte des tarifs postaux, de la TVA spéciale, et de l’obligation aux vendeurs de distribuer le journal. Rien que cela. Et pour quels motifs ? Le contenu du journal serait « susceptible de choquer ». Bien. Le contenu de Charlie Hebdo n’aurait-il jamais été susceptible de choquer ? Ou encore ce contenu serait susceptible de « constituer des infractions », ce qu’aucune décision de justice n’est venu confirmer. Comprenez-le bien, braves Français, la satire ne peut être que de gauche et une obscure commission inconnue du public décide de ce qui peut vous faire rire et de ce qui ne doit pas vous faire rire !

Acharnement fiscal

La rage de la gauche se déploie aussi sur le plan économique. Alors que la France est le pays le plus imposé du monde, les socialistes en redemandent encore alors même que le délire français en matière fiscale et réglementaire a prouvé sa nocivité. Depuis des décennies, les Français sont assommés de nouveaux impôts et de nouvelles réglementations et quel est le résultat ? Le déficit public a atteint des sommets, le pays s’est désindustrialisé, la classe moyenne se prolétarise, les Français cessent de consommer pour constituer une épargne de précaution, les cerveaux et les talents fuient la France… Nous sommes bien loin du « Enrichissez-vous par le travail et l’épargne » de Guizot. Pour la gauche, s’enrichir est un péché et toute nouvelle ressource doit être taxée. Pourtant, la création de richesse et l’amélioration de la situation matérielle des particuliers entraînent la consommation et l’investissement, provoquent la circulation de l’argent, et bénéficient à tous. Mais non. Les idéologues de gauche savent mieux que vous comment utiliser cet argent qu’ils viennent subtiliser dans vos poches.

La gauche menace vos libertés essentielles. La liberté d’expression lui est odieuse comme le manifeste son combat permanent contre le groupe Bolloré. L’expression publique de la foi chrétienne lui est insupportable et elle lui préfère l’islam. Les choix démocratiques, quand ils ne vont pas dans son sens, doivent être effacés par l’instrumentalisation de l’État de droit. Les libertés économiques lui sont intolérables. L’attachement à nos racines culturelles et historiques lui semble révoltant. Ces gens sont dangereux. Ils menacent la civilisation française, notre vie en société, l’humanité en ce qu’elle a d’enracinée, donc de réel. Les combattre est un devoir. Et ce combat est sans merci.

Stéphane Buffetaut, dans BV

. « Tant qu’une balle ne rentrera pas en pleine tête d’un Blanc » : Mediapart dérape

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#webtube : Vue comme une incitation à la violence, la séquence a d’ores et déjà été signalée à la Justice. Nouveau dérapage, pour Mediapart. À l’occasion des vingt ans de la mort de Zyed Benna et Bouna Traoré, la plate-forme d’extrême gauche a mis en ligne, ce dimanche 26 octobre, une émission spéciale intitulée « 2005-2025 : les quartiers, oubliés ? ». Cette dernière vise à incriminer les violences d’une police « de plus en plus militarisée », qui ferait « de plus en plus de morts ». Présentée comme une militante « engagée contre les violences policières », une certaine Samia El Khalfaoui y tient des propos pour le moins incendiaires. « La police en France est une police qui a une histoire coloniale…

C’est une police qui a toujours été là pour contrôler un peuple, une race, lance-t-elle, face à un petit public conquis. Dans les années 30, il s’agissait des Juifs étrangers. Dans les années 60, il s’agissait des Français musulmans d’Algérie. Aujourd’hui, il s’agit des jeunes racisés, noirs, blancs ou arabes, issus des quartiers populaires. » Et la jeune femme d’illustrer sa tirade par l’exemple : « Vous avez tous vu en direct la mort de Nahel et des 33 autres victimes. Ils sont tous noirs, arabes ou gitans, racisés. Et tant qu’une balle ne rentrera pas en pleine tête d’un Blanc issu de bonne famille, je pense que cette loi ne changera pas… ».

Dénonçant un discours porteur d’infractions, l’euro-député du RN Matthieu Valet a signalé la séquence au ministre de l’Intérieur, ainsi qu’à la procureur de Paris. « Ces propos sont, à mon sens, de nature diffamatoire et injurieuse à l’égard de l’ensemble de la police nationale, en laissant entendre que son action aurait une vocation discriminatoire et illégitime, écrit-il dans une lettre rendue publique, sur XAu-delà de leur violence verbale, ces déclarations constituent une incitation à la haine et à la violence qui ne peut, à mon sens, rester sans réaction. »

L’habituelle accusation de « racisme »

Encouragée par son auditoire, la militante n’en est pas restée là et a poursuivi sa mise en cause d’une police française qu’elle juge fondamentalement raciste. « Si, demain, ça touchait une autre catégorie, les gens s’en alarmeraient beaucoup plus. (…) Lorsque c’est des gilets jaunes, lorsque c’est des Blancs, on parle de gestes politiques. Lorsque c’est dans les quartiers, on parle d’émeutes. Il faut faire en sorte de changer cette narration autour des quartiers puisqu’en fait, ils expriment ce qui est en France depuis toujours : c’est-à-dire qu’on est dans un pays raciste, qui n’assume pas son passé colonial et qui essaie d’effacer par la violence les traces de son passé. »

La mise en parallèle des gilets jaunes et des émeutes ethniques est osée. Contrairement à ce que Samia El Khalfaoui semble croire, la police n’est pas moins sévère avec les « Blancs ». On ne compte plus les articles – dont beaucoup ont été publiés par Mediapart – sur les « gilets jaunes éborgnés » et autres victimes occidentales de « violences policières ». C’est précisément lorsque les manifestants sont issus des cités que l’État tremble et demande à ses forces de l’ordre de raser les murs ou de battre en retraite. Anonymement, certains policiers confirment que leur hiérarchie leur demande d’être tout particulièrement « souples » lors de leurs échanges avec les populations des quartiers dits « populaires ».

De même, Samia El Khalfaoui s’indigne unilatéralement du nombre « record », en France, de personnes tuées ou mutilées par la police. « C’est une urgence de se saisir de ça. C’est de la dignité humaine, dont on parle ! », déclare-t-elle. Mais quid de nos forces de l’ordre agressées quotidiennement par la racaille ? Début 2025, le directeur général de la gendarmerie nationale avait révélé que 1.000 gendarmes avaient été ciblés ou agressés par arme en 2024, ce qui constituait un fait « inédit ». Pourquoi l’extrême gauche racialiste ne dénonce-t-elle jamais ces violences-là ?

La délégitimation de la police

Au-delà de sa soi-disant « violence », c’est en raison de sa simple existence que la police est aujourd’hui conspuée. « Il y a une vraie problématique, explique ainsi Samia El Khalfaoui. En France, il y a plusieurs polices : on a la police nationale, la police municipale ; depuis quelques années, on a aussi la sécurité ferroviaire qui se permet des clés d’étranglement… on a tout un appareillage de police. Et depuis les JO, on a installé également des caméras qui surveillent les mêmes ! ». Exaspérée par la présence d’agents de l’État français dans les quartiers, la militante se dit également « effarée » par les contrôles d’identité qu’ils y effectuent. À ses yeux, la loi accorderait encore trop de pouvoirs à la police, à l’image de cet article du Code de sécurité intérieure, entré en vigueur en 2017, qui élargirait outrageusement les conditions dans lesquelles les forces de l’ordre peuvent faire usage de leurs armes. « Le 9 octobre, Robert Badinter rentrait au Panthéon parce qu’il a aboli la peine de mort. Sauf que cette loi de 2017 a restitué la peine de mort puisqu’aujourd’hui, mon neveu a été abattu par la police parce qu’il refusait un contrôle ! », avance Mme El Khalfaoui.

À écouter Samia El Khalfaoui, son neveu aurait perdu la vie gratuitement, alors qu’il faisait une simple « marche arrière » en voiture. Les faits sont en réalité un peu plus complexes que cela. Comme nous l’apprend France 3, le dénommé Souheil El Khalfaoui s’est non seulement rendu coupable d’un refus d’obtempérer, mais il a aussi blessé un agent en essayant de s

d’obtempérer, ce ne sont quasiment jamais des « Blancs » qui perdent la vie. Faut-il en déduire que certains respectent plus la loi que d’autres, ne s’exposant pas, ainsi, à un tir de maintien de l’ordre ?


Jean Kast
, dans BV

. La fin de « l’enfer » ? À Châteauneuf-Grasse, vers une fermeture du centre pour mineurs isolés

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#webtube : Les opposants à ce centre espèrent qu’il ne s’agit pas encore d’une « fausse promesse ». « On a le sentiment d’être abandonnés. » Deux ans et demi après l’installation de mineurs non accompagnés dans le seul hôtel de la ville, les habitants de Châteauneuf-Grasse (Alpes-Maritimes) croisent les doigts. Ce 13 octobre, lors du conseil municipal, la mairie a annoncé son intention de racheter l’ancien Campanile afin d’y installer « une nouvelle activité […] pour répondre aux besoins du territoire et des habitants ». Les discussions entre la municipalité et le propriétaire de l’hôtel sont en cours. Une très grande partie des habitants de cette petite commune de 3.700 habitants, à bout, espèrent que ces échanges permettront, « avant la fin de l’année », le rachat de l’établissement et, donc, la fermeture du centre qui accueille à ce jour une quarantaine de mineurs isolés.

Incivilités et suspicion de trafic de stupéfiants

Depuis deux ans et demi, les habitants de Châteauneuf-Grasse ont en effet vu leur tranquille quotidien être bouleversé par ces mineurs isolés. Emmanuel Delmotte, maire de la commune, reconnaît lui-même devant son conseil municipal que « le nombre important de mineurs de cultures différentes dans un même site, la fragilité sociologique de ce public, la typologie des lieux mal adaptée ont conduit à de nombreux événements constitutifs d’un trouble à l’ordre public ». C’est « un enfer »décrivait, en février dernier, Cyril Malbert, habitant de la commune et farouche opposant à ce centre, contacté par BV. Il décrivait alors les nombreuses incivilités auxquelles sont désormais confrontés les riverains. « Plusieurs habitants ont leur jardin qui donne directement sur les fenêtres de l’hôtel. Ils subissent des nuisances sonores jour et nuit. Ils sont dérangés en pleine nuit par l’alarme incendie ! […] Et ces jeunes traînent [dans la rue] et font des réflexions agressives aux passants », énumérait-il. Dans une nouvelle vidéo envoyée à BV, ces jours-ci, on entend des jeunes déranger la tranquillité des voisins directs du centre en soirée.

En mars, une fronde a même éclaté dans le centre géré par l’association Entraide Pierre Valdo. Dans des vidéos récupérées par BV, on entendait des jeunes crier, donner des coups et déclencher les alarmes. Les habitants partageaient leur « peur » par messages alors que les forces de l’ordre étaient contraintes d’intervenir. À l’époque, la préfecture tentait de temporiser et assurait qu’il s’agissait seulement de « troubles ». Mais depuis, les faits de violence s’accélèrent. En juin, Le Figaro affirme que « quatre jeunes résidents ont tiré des billes de plastique et de plomb dans la cour d’une crèche située à proximité » du centre. La mairie a alors été contrainte de barricader la crèche, faute de pouvoir fermer ce centre. Et encore, début octobre, « des tirs de pistolets à billes ont visé la cour de la crèche municipale »rapporte le conseil municipal, alors que les enfants se trouvaient à l’intérieur de l’établissement. Une plainte contre X a été déposée par la municipalité. L’enquête est en cours. Au même moment, les forces de l’ordre ont mené deux perquisitions au sein du centre. Ils y ont trouvé plus de 1.000 euros en liquide, des stupéfiants, un taser ou encore une bouteille de protoxyde d’azote.

À ce sujet — Des mineurs isolés dans les Alpes-Maritimes : « On a tous peur » !

Les habitants de la commune, à bout, ont tenté plusieurs fois de déposer plainte. En vain, « c’est rarement suivi d’effet », se désole l’un d’eux.

Espoirs de fermeture

En mars, après la fronde au sein du centre, de nombreux riverains ont cru que les autorités fermeraient l’établissement pour de bon. Lionel Tivoli, député Rassemblement national des Alpes-Maritimes, confiait ainsi à BV que le « préfet avait fermé le centre ». Cette fermeture semble avoir été seulement temporaire.

La perspective de rachat par la municipalité est le dernier espoir des habitants de Châteauneuf-Grasse. « Sur le principe, cette idée est peut-être bonne pour retrouver notre sécurité et tranquillité, mais le chemin reste long et compliqué. Il faut effectivement casser un bail, la vente coûtera sans doute plusieurs millions d’euros… Il faut rester prudent. Les habitants de Châteauneuf-Grasse ont besoin de solutions concrètes, pas de promesses en l’air », commente Cyril Malbert auprès de BV. Il en veut pour preuve l’annonce de la fermeture du centre en mars dernier. « Va-t-on encore faire de fausses promesses ? » Mais une question demeure : une fois le centre de Châteauneuf-Grasse fermé, où seront envoyés les mineurs isolés qui y logeaient ? Quelle autre commune des Alpes-Maritimes verra alors sa tranquillité bouleversée ?

Clémence de Longraye, dans BV