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#webtube : Ne me dites pas que cette chanson n’est pas entrainante, je ne vous croirai pas. Ce morceau fait un effet fou à beaucoup de gens. Il y a plein d’artistes, de mélomanes, de journalistes qui citent souvent ce morceau comme le titre à écouter quand on a besoin d’enthousiasme et d’optimisme. Alors si c’est le cas, montez le son, essayons de souffler ensemble et de se laisser convaincre par les bonnes ondes de The The.
#webtube : Don’t tell me this song isn’t catchy, I won’t believe you. This song has a crazy effect on a lot of people. There are plenty of artists, music lovers, journalists who often cite this song as the song to listen to when you need enthusiasm and optimism. So if that’s the case, turn up the volume, let’s try to breathe together and let ourselves be convinced by the good vibes of The The.
. Pédophilie : dans l’immonde affaire Cottineau, assourdissant silence de la gauche
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#webtube : À l’exception de la droite et de la presse régionale, personne ne parle de ce scandale. Pourquoi un tel silence ? En février, on avait entendu parler de Pierre-Alain Cottineau, et BV avait déjà évoqué l’affaire. Militant homosexuel, engagé en politique aux côtés de La France insoumise (il en a été exclu au début de l’affaire, le 2 octobre 2024), cet assistant familial de la région nantaise avait été démasqué au terme d’une enquête menée sur le Darknet par les polices française et néerlandaise. Le Parisien vient de dévoiler les horreurs dont cette personne s’est rendue coupable sur de très jeunes enfants, en compagnie d’un réseau de pervers dont les policiers s’emploient à arracher les profondes et terrifiantes racines. Mais, à l’exception de la presse de droite (JDD, Le Figaro, Valeurs Actuelles) et de la presse régionale, personne ne parle de ce scandale. Pourquoi ce silence ?
Viols de petits enfants
Quand les premières vidéos de viol d’enfant ont été découvertes par la police néerlandaise, la police française a diffusé la capture d’écran du visage de la victime, une toute petite fille, âgée de trois ou quatre ans tout au plus. C’est une directrice d’école de Couffé (Loire-Atlantique) qui identifie alors l’enfant : handicapée, scolarisée en maternelle, elle est placée chez M. Cottineau, assistant familial.
Arrêté puis placé en garde à vue, Pierre-Alain Cottineau s’avèrera être l’administrateur d’une boucle Telegram destinée à l’organisation de viols d’enfants en très bas âge. On épargnera au lecteur le détail des sévices et des stratagèmes employés par ce monstre pour droguer puis offrir en pâture à d’autres criminels des enfants parfois âgés de deux ou trois ans, que les services sociaux avaient placés chez lui. La lecture de l’article du Parisien ne laisse pas indemne et provoque à la fois une brutale montée de rage, une violente nausée… et des larmes de compassion pour ces pauvres enfants, innocents, parfois malades ou handicapés, déjà brisés par leur naissance dans des familles instables, avant d’être ravagés par des ordures. À ceux-là, qui demandera pardon ?
À ce sujet — Un abominable réseau pédophile : l’un des suspects est un ancien candidat LFI
Le camp du Bien aux abonnés absents
Maintenant que tout cela est dit, il est peut-être temps de se demander une chose toute simple : où est le camp du Bien, dans cette affaire ? Il y a eu, naguère, une commission d’enquête, plutôt à charge il faut le dire, sur les abus commis à Bétharram. On se souvient, notamment, des attaques ad personam contre un François Bayrou qui, sous le feu de LFI, fut objectivement admirable de patience. Il y a un climat de suspicion générale, de la part de la gauche mais pas seulement, autour du clergé catholique, dont les scandales à répétition ont fini par jeter l’opprobre, par défaut, sur tous les curés. Alors, où est la commission d’enquête sur l’aide sociale à l’enfance ? Où sont les enquêteurs qui déclencheront perquisitions, saisies, gardes à vue et auditions dans le milieu de la petite enfance, y compris dans l’Éducation nationale, où les professeurs qui nous lisent savent que les scandales de ce type ne sont pas exceptionnels ? Et, plus généralement, où sont les grands médias dans le traitement de cette affaire ?
Imaginons une seconde que ce scandale immonde ait éclaté dans un établissement catholique ou qu’il implique des élus de droite ou des militants opposés à l’agenda LGBTQXYZ. On en aurait entendu parler, avec tous les détails les plus sordides, à des heures de grande écoute. Candidat aux élections départementales en 2021 sous l’étiquette LFI, Pierre-Alain Cottineau n’a pas, à ce jour, été désavoué bruyamment par les dirigeants de ce qui fut son parti – et on ne leur a d’ailleurs rien demandé. Ils se sont donc contentés de l’exclure discrètement. Un minimum. Imaginons un seul instant qu’il ait été candidat RN…
Aujourd’hui encore, le silence médiatique et politique, le silence des services publics spécialisés dans la petite enfance, sont assourdissants. Et on peut dire, plus généralement, que le silence de la gauche est une chose suffisamment rare pour poser question. Mais s’ils se taisent, on sait bien qu’un jour les pierres crieront.
- Arnaud Florac, dans BV
. Perquisitions au RN : on ne transige pas avec les libertés politiques !
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#webtube : Le siège du Rassemblement national a subi ce mercredi 9 juillet une perquisition de grande ampleur. Jean-Yves Le Gallou a réagi en apportant son soutien au premier parti de France.
La persécution du Rassemblement National
« Les partis et groupements politiques concourent à l’expression du suffrage. Ils se forment et exercent leur activité librement. » Manifestement, les juges et le Parquet national financier, instrument d’une justice politique, ignorent l’article 3 de la Constitution.
L’étau est clair : les banques refusent de prêter au Rassemblement National, tandis que de nombreux prestataires refusent de traiter avec lui. Dans ces conditions, le parti s’organise comme il peut, en empruntant auprès de particuliers et en s’adressant à des fournisseurs bienveillants. Les autres refusent simplement de coopérer. Ensuite, les juges condamnent par avance ces pratiques et organisent des perquisitions massives, espérant découvrir des irrégularités dans des dizaines de milliers de documents et courriels saisis. Procédé facile, mais profondément attentatoire aux libertés et immunités parlementaires garanties par l’article 26 de la Constitution.
La démocratie représentative suppose la liberté d’action des élus. Le procès de Marine Le Pen, la mise en cause pour des détails des dépenses parlementaires du groupe Identité et Démocratie (mandat Bardella 2019–2024), et désormais cette perquisition, indiquent que le régime d’Emmanuel Macron change de nature.
Le Rassemblement National, pris à son propre piège ?
Dès 2019, certains avaient déjà attiré l’attention sur les dérives autoritaires du pouvoir. Il est regrettable que le Rassemblement National n’en ait pas tiré les leçons à temps, préférant rester en retrait. Cette attitude de prudence face à la répression violente des Gilets jaunes, à la dissolution d’associations comme les Identitaires, à la fermeture arbitraire de comptes bancaires ou aux poursuites pour délit d’opinion a été une erreur stratégique. En se taisant, le RN a cru se protéger, mais n’a fait que montrer sa peur, oubliant que la diabolisation vient du diaboliseur, non du diabolisé.
Aujourd’hui, le RN est de nouveau en ligne de mire, comme en témoigne le sort réservé à certains de ses élus. Cette perquisition liberticide en est une preuve éclatante. La liberté ne se morcelle pas : elle se défend entièrement, et sans relâche. Tous les persécutés méritent d’être soutenus.
Jean-Yves Le Gallou, Riposte Laïque
. Ce sont des dingues ! Alexandre Jardin flingue la caste macroniste, il dénonce l’envolée du coût de l’électricité.
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#webtube : Votre facture d’électricité va exploser dans les prochaines années. C’est ce que nous explique Alexandre Jardin. Après son combat réussi contre les ZFE, il s’attaque maintenant à votre facture d’énergie et demain au scandal des DPE. Il va bientôt créer une association. Il faut l’encourager. Nous vous informerons quand celle-ci sera créée !
. Le grand plongeon vers le chaos ? – A voir dans le dernier Bistro Libertés de la saison
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#webtube : Deux maux caractérisent la France du troisième millénaire : 1) les restrictions croissantes de la liberté d’expression 2) Le grand plongeon vers le chaos avec un désordre permanent, une insécurité quotidienne et un ensauvagement généralisé. Ce sont les deux grands sujets sur lesquels se penchent nos sept invités de cette finale :
Ce sont les deux grands sujets sur lesquels se penchent nos sept invités de cette finale :
- Nicolas Dupont Aignan, président de Debout la France, souverainiste issu du gaullisme social, candidat à l’élection présidentielle de 2027
- Clémence Houdiakova de « Tocsin Media », une chaîne qui draine 400 000 abonnés
- Mike Borowski, un des piliers de Géopolitique Profonde
- Greg Tabibian de la chaîne « j’suis pas content TV » qui affiche des scores à 6 chiffres. Derrière le masque de l’humoriste se cache un fin analyste politique.
- Alice Cordier, présidente du Collectif identitaire féministe « Némésis »
Et en « snipers », le journaliste Radouan Kourak et l’humoriste Thomas Séraphine !
. Daniel Kretinsky: le charbonnier qui dévore la presse et l’édition française, avec Jules Laurans
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#webtube : Elle, Marianne, Télé 7 Jours, France Dimanche, Ici Paris, Public, Franc-Tireur, Usbek & Rica, mais aussi une influence majeure sur Le Monde, l’Obs, Télérama, le Courrier International ou encore le Huffington Post, ajoutez à ça un moyen de pression colossal sur Libération qui après avoir reçu un prêt massif de l’oligarque est passé du « sulfureux Kretinsky » à le décrire comme un « Sphinx Tchèque »… et vous n’aurez encore qu’un très bref et incomplet aperçu des 15 à 20% de la presse écrite que contrôle le gros charbonnier qui tâche... La presse-poubelle vous a parlé de Musk, mais elle a omis de vous tirer le portrait de Kretinsky… c’est désormais chose faite avec cet entretien
Car le pollueur est un gourmand: avec « Réel TV », mais aussi B-smart et sa participation accrue à TF1, le voilà qui veut revendiquer jusqu’à 10% de l’audiovisuel français également. Pire encore, il a absorbé EDITIS pour un milliard d’euros (Plon, Robert-Laffont, Julliard, le Cherche-Midi…) sans qu’aucun éditorial ne s’en émeuve un tant soit peu. En Italie il veut encore dévorer Mediaset, en Allemagne ProSiebenSat.1 … … Certains parleront de prédation, ses médias aux ordres parleront de « diversification » bien sûr, comme quand il achète Casino en difficulté en France après les déstabilisations gravissimes subies par Jean-Charles Naouri, quand il prend le contrôle de Metro AG en Allemagne ou encore de Fnac-Darty, consolidant encore un peu plus son trust monumental sur l’édition-distribution en France, toujours sans qu’aucun syndicaliste du livre n’y trouve à redire. La presse-poubelle vous a parlé de Musk, mais elle a omis de vous tirer le portrait de Kretinsky… c’est désormais chose faite avec cet entretien
. La cour d’appel de Paris a relaxé ce 10 juillet deux femmes qui avaient propagé la rumeur selon laquelle Brigitte Macron était transgenre
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#webtube : Brigitte est-elle un homme ? Ce 10 juillet, les juges reconnaissent le droit aux Français de le constater.
💬 "Je ne suis pas d'accord avec cette décision"
— BFMTV (@BFMTV) July 10, 2025
Jean Ennochi, avocat de Brigitte Macron, réagit à la relaxe prononcée en appel pour les prévenues jugées pour diffamation envers l'épouse du président de la République #BFM2 pic.twitter.com/zIMwYvolb0
La cour d’appel de Paris a relaxé ce jeudi 10 juillet deux femmes qui avaient propagé la rumeur sur internet selon laquelle Brigitte Macron était une femme transgenre, une infox devenue virale jusqu’aux États-Unis. Les deux prévenues, Natacha Rey et Amandine Roy, ont été relaxées concernant 18 articles mis en cause par Brigitte Macron et son frère.
“femme transgenre”, ça n’existe pas.
Le Figaro, le journal de la droite libérale, sombre en plein wokisme.
Seul un passage faisant référence à un détournement de mineur entrait dans le champ d’application de la loi sur la presse mais la cour a également prononcé une relaxe, cette fois au bénéfice de la bonne foi. «Je vais voir avec mes clients ce que nous allons faire mais bien évidemment, nous ne sommes pas d’accord» avec ce jugement, a insisté Me Jean Ennochi, l’avocat de la première dame.
«Natacha Rey, pourchassée, persécutée, condamnée. Mais finalement Natacha Rey relaxée», s’est, de son côté, félicité son avocat, Me François Danglehant à la sortie de la salle devant une trentaine de soutiens de la jeune femme.
En première instance, en septembre dernier, Natacha Rey et Amandine Roy avaient été reconnues coupables et condamnées à une amende de 500 euros avec sursis, ainsi qu’à payer un total de 8000 euros de dommages et intérêts à Brigitte Macron, et 5000 euros à son frère Jean-Michel Trogneux, tous deux parties civiles au procès.
Au cœur de cette affaire, une infox resurgissant régulièrement sur les réseaux sociaux depuis l’élection d’Emmanuel Macron en 2017, selon laquelle Brigitte Macron, née Trogneux, n’aurait jamais existé, mais que son frère Jean-Michel aurait pris cette identité après avoir changé de sexe.
La fausse information s’était exportée – notamment et encore récemment aux États-Unis, où elle est devenue virale à l’extrême droite, en pleine campagne présidentielle.
Plusieurs femmes politiques dans le monde ont déjà fait les frais d’infox à caractère transphobe, comme l’ex-Première dame des États-Unis Michelle Obama, l’ex-vice-présidente américaine Kamala Harris ou l’ancienne Première ministre néo-zélandaise Jacinda Ardern.
En quoi est-ce “faux” ?
Le Figaro ne le dit pas.
La seule façon de le prouver serait pour Jean-Michel de montrer ce qu’il a sous sa jupe.
D.P.
. Centre de rétention pour étrangers : le séjour passe de 90 à 210 jours
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#webtube : Une avancée, en mémoire du meurtre de Philippine ; une goutte d’eau, dans l’enfer migratoire français. En cette fin de session parlementaire, après la loi Duplomb et ses enjeux pour l’agriculture, le Parlement vient de terminer l’examen de la loi permettant l’allongement jusqu’à 210 jours de la durée de rétention d’étrangers en passe d’être expulsés et jugés dangereux. Jusqu’ici, seules les personnes ayant été condamnées pour terrorisme pouvaient être détenues dans les centres de rétention administrative (CRA) sur cette durée. Dans les autres cas, une rétention ne pouvait dépasser 90 jours. Désormais, cet allongement concernera notamment les étrangers dont le « comportement constitue une menace d’une particulière gravité pour l’ordre public » et ceux condamnés pour des crimes ou délits graves (meurtre, viol, trafic de stupéfiants…). Sont aussi visés ceux frappés d’interdiction du territoire français (ITF) ou d’une mesure d’expulsion.
Une loi provoquée par le meurtre de Philippine
Cette loi signée de la sénatrice Les Républicains du Val-d’Oise, Jacqueline Eustache-Brinio, a été rédigée après le meurtre de Philippine. La jeune fille de 19 ans était retrouvée morte, enterrée après avoir été violée, dans le bois de Boulogne en septembre 2024. Son meurtrier, un marocain sous OQTF, venait d’être relâché de son centre de rétention. L’homme avait déjà été condamné par la Justice, en 2021, à sept ans de prison pour le viol d’une femme de 23 ans dans le Val-d’Oise. Il ne fit, en réalité, que trois ans. À sa sortie d’incarcération, l’homme est placé en CRA afin d’être renvoyé au Maroc. Problème : son autorisation d’expulsion doit être validée par les autorités marocaines, qui traînent. Résultat : le délai maximum de détention en centre arrive à échéance et l’individu est relâché dans la nature. Le lendemain, le Maroc répondait enfin, Mais il est trop tard. Seize jours plus tard, la jeune Philippine était arrachée aux siens, sauvagement assassinée par un individu qui non seulement n’aurait jamais dû se trouver sur le sol national, mais encore moins libre de ses faits et gestes.
Les parents de Philippine ont assisté aux débats
C’est dans ce contexte révoltant que les sénateurs votaient, ce mercredi 9 juillet. La veille, il était approuvé par les députés. Le ministre de l’Intérieur a défendu vigoureusement ce texte et s’est réjoui de son adoption, évoquant une « avancée majeure », sur X : « C’est une loi qui peut sauver des vies, née d’un drame, en mémoire de la jeune Philippine. »
À ce sujet — 690 euros par jour : le coût faramineux de l’immigration clandestine
Un examen de la loi qui s’est déroulé en de poignantes circonstances. En effet, à l’Assemblée, Loïc et Blandine Le Noir de Carlan, les parents de Philippine, ont tenu à assister à l’intégralité des débats. Dans l’Hémicycle, assistant aux séances houleuses, ils ont subi les inepties indécentes d’une gauche qui, comme à son habitude, a dénoncé un texte « raciste » et « xénophobe », à l’image du locataire de la Place Beauvau. Dans un communiqué, ils se sont exprimés après l’adoption de la loi : « Nous ne cessons de penser à Philippine, qui nous a été enlevée le 20 septembre dernier. Elle a subi un calvaire avant d’agoniser dans la souffrance et l’angoisse. Sa vie lui a été arrachée à Paris en pleine journée, par un individu qui n’aurait pas dû se trouver sur son chemin. » Ils ont souhaité « rendre hommage » au député Les Républicains Olivier Marleix, rapporteur du texte, disparu subitement le 7 juillet, « qui a tant œuvré pour que [la loi] soit votée ». « La violence et la brutalité dont a été victime Philippine devraient mener à un consensus sur la nécessité d’assurer la sécurité de tous et partout », ont-ils ajouté.
Une goutte d’eau dans l’océan
Si la mesure peut légitimement rassurer les familles des victimes, il est tout de même sidérant que notre Parlement en soit réduit à débattre de l’allongement à 210 jours du délai de rétention en CRA pour les individus dangereux et sous obligation de quitter le territoire. Une mesure rendue nécessaire par le refus des pays d’origine de reprendre leurs ressortissants. Ce coût représente pour la nation une fortune : une journée en CRA coûte environ 700 euros par jour et par détenu. Or, un séjour moyen se prolonge autour de 25 jours. Avec plus de 45.000 personnes placées en CRA tous les ans, le coût de cette détention dépasse les 800 millions d’euros chaque année.
« La première rétention, c’est la frontière, sans laquelle on pourra toujours indéfiniment multiplier les places en centre de rétention », a affirmé, pendant les débats, le sénateur de Marseille Stéphane Ravier. Si les fondamentaux de la politique migratoire française n’évoluent pas radicalement (droit du sol, regroupement familial, frontières, aides sociales, aide médicale, etc.), notre pays continuera irrémédiablement à pleurer des victimes et à alimenter le tonneau des Danaïdes.
Yves-Marie Sévillia, dans BV
. Prénoms : Marie et Pierre disparaissent, Mohamed et Ibrahim s’imposent
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#webtube : Le traditionnel classement de l’été vient d’être dévoilé. Ce 9 juillet, l’INSEE a en effet publié sur son site le classement des prénoms les plus donnés en France, en 2024. Au niveau national, aucune surprise. Sur le podium des filles, on trouve ainsi Louise, Jade et Ambre, des prénoms déjà classés dans le Top 5 les années précédentes. Chez les garçons, de même, Gabriel, Raphaël et Louis, prénoms déjà très populaires les années passées, arrivent en tête. Mais à y regarder de plus près, les prénoms donnés aux enfants nés en 2024 en disent long sur le visage de la France. Dans certains départements, Louise et Gabriel laissent ainsi la première marche du podium à Inaya et Mohamed.
Disparition des Marie
Ce n’est pas un phénomène nouveau, mais l’année 2024 vient confirmer la tendance : les Marie n’ont plus la cote. En 2024, seules 530 petites filles ont hérité de ce prénom éminemment catholique. Marie est aujourd’hui relégué à la 96e position du classement. Un siècle plus tôt pourtant, en 1924, le prénom de la Sainte Vierge était attribué à plus de 32.000 fillettes, ce qui en faisait le premier prénom féminin. Et c’était sans compter sur les prénoms composés ! Même constat chez les garçons. Le prénom Pierre est à nouveau totalement absent du Top 100 des prénoms masculins, cette année, tout comme Jean. Et ce, alors même que ces deux prénoms occupaient les première et troisième places du classement en 1924.
La disparition progressive de ces prénoms chrétiens est, comme le souligne Jérôme Fourquet, dans L’Archipel français, « le symptôme d’une prise de distance progressive avec le catholicisme ». Désormais, les Français dans leur grande majorité ne se fient plus au calendrier catholique mais attribuent à leurs enfants des prénoms courts, à la mode et aux sonorités simples.
À ce sujet — Démographie : en Seine-Saint-Denis, les prénoms arabo-musulmans s’imposent
La banlieue face à la France rurale
Face à ce phénomène de décroissance, d’autres prénoms connaissent quant à eux une forte progression : ce sont les prénoms arabo-musulmans. En 2024, dans le Top 100 des prénoms féminins les plus donnés, on trouve désormais plus d’une dizaine de prénoms à consonance arabe. Chez les garçons, ce sont une quinzaine de prénoms communautaires qui y figurent.
Dans certains départements, ces prénoms arabo-musulmans monopolisent même les premières places du classement. Ainsi, en Seine-Saint-Denis, chez les filles, Inaya, Maryam, Fatoumata, Nour, Aminata, Aïcha et Fatima occupent les premières places. Côté garçon, Mohamed, Adam, Ibrahim, Issa, Imran, Isaac, Moussa et Ismaël arrivent en tête. Filles ou garçons, on ne trouve plus un seul prénom français, dans le Top 10 de Seine-Saint-Denis. Dans le Val-de-Marne, Nour et Ibrahim sont plébiscités. Et dans le Val-d’Oise, Inaya et Adam accaparent les premières places. Inaya arrive par ailleurs en tête dans tous les territoires et départements d’outre-mer.
Cette tendance déjà observée les années passées, en Ile-de-France et dans certaines grandes villes, commence à gagner de nouveaux départements. Dans le Var, par exemple, Anna arrivait en tête du classement féminin 2023, suivi de Alba et Giulia. Aucun prénom à consonance arabe ou musulmane n’apparaissait dans le Top 10. Un an plus tard, Inaya et Nour font leur entrée à la sixième position. À Belfort, on trouvait un prénom hébreu parmi les plus donnés à des petites filles nées en 2023. Chez les garçons, Mohamed (3e place) et Ibrahim (8e place) étaient déjà répandus. En 2024, la tendance s’accélère. Inaya et Nour arrivent sur la deuxième marche du podium féminin. Et chez les garçons, on trouve cinq prénoms arabes dans le Top 10. Ces prénoms (Inaya, Ayden ou encore Nour) commencent même à poindre dans la France rurale, comme dans l’Allier ou l’Indre.
Mais dans quelques départements, des Français résistent encore et toujours. C’est notamment le cas en Aveyron, où Julia, Louise, Charlotte et Léonie figurent dans le Top 10 féminin, tout comme Gabriel, Arthur, Jules, Louis, Léon et Paul chez les garçons. Dans le Cantal, le Gers et en Lozère, même constat. Et bien évidemment en Corse, les parents optent surtout pour des prénoms régionaux comme Ange, Lisandru, Ange-Marie et Santu pour les garçons ou Ghjulia, Livia et Anna-Dea pour les filles.
- Clémence de Longraye, dans BV
. Grand remplacement foncier : votre maison est-elle trop grande ?
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#webtube : L’INSEE vient de publier une étude recensant les logements « sous-occupés » en France, c’est-à-dire trop grands pour ceux qui y vivent, selon ses propres critères…. Ce qu’ils veulent, c’est la fin de la propriété privée. Ce dont ils rêvent, c’est d’une société à la chinoise, où tout le monde vit dans 18 m², surveillé, taxé, culpabilisé. L’écologie punitive comme cheval de Troie d’un néo-communisme progressiste.
C’est le rêve humide des technocrates de Bercy et des khmers verts de la planification écologique : fliquer chaque mètre carré, chaque chambre inoccupée, chaque espace vital un peu trop large aux yeux de leur dogme collectiviste. Voilà donc l’ogre bureaucratique qui s’invite dans nos foyers pour compter les pièces, mesurer les mètres et juger – depuis les couloirs feutrés de la technostructure – si nous vivons « trop confortablement ».
On nous dit que c’est pour « optimiser l’usage du parc immobilier ». En novlangue, cela signifie : rançonner les classes moyennes avec un nouvel impôt sur la « sous-occupation » pour mieux financer leur grande lubie : l’accueil sans fin de l’immigration. Car oui, ne soyons pas naïfs : derrière le vernis écologique et humaniste, il s’agit bien d’organiser le Grand remplacement foncier.
Après la voiture, la viande, la cheminée, voilà maintenant que le salon trop vide devient suspect. Le propriétaire devient coupable. Et bientôt, pourquoi pas, contraint d’ouvrir sa porte – sous peine d’amende ou de honte médiatique – à la nouvelle France importée. Une chambre d’ami ? Quelle indécence ! Une pièce vide ? Une trahison républicaine !
Ce qu’ils veulent, c’est la fin de la propriété privée. Ce dont ils rêvent, c’est d’une société à la chinoise, où tout le monde vit dans 18 m², surveillé, taxé, culpabilisé. L’écologie punitive comme cheval de Troie d’un néo-communisme progressiste. Mais qu’on se rassure : leurs palaces, leurs résidences secondaires, leurs duplex parisiens, eux, ne seront pas concernés.
Thomas Joly –Dans Riposte Laïque
