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D’après Reuters :
Des dizaines de millions de migrants pourraient se voir refuser les vaccins COVID-19 d’un programme mondial parce que certains grands fabricants s’inquiètent des risques juridiques liés aux effets secondaires nocifs, selon des responsables et des documents internes de Gavi, l’organisation caritative qui gère le programme, examinés par Reuters.
Près de deux ans après le début d’une pandémie qui a déjà tué plus de 5 millions de personnes, seuls 7 % environ des habitants des pays à faible revenu ont reçu une dose. Les livraisons de vaccins dans le monde entier ont été retardées par des problèmes de production, la thésaurisation par les pays riches, les restrictions à l’exportation et la bureaucratie. De nombreux programmes ont également été entravés par l’hésitation du public.
Les problèmes juridiques constituent un obstacle supplémentaire pour les responsables de la santé publique qui s’attaquent au coronavirus, alors même que les responsables affirment que les personnes non vaccinées offrent un environnement idéal pour la mutation du virus en de nouveaux variants qui menacent l’immunité durement acquise dans le monde entier. Selon les Nations unies, de nombreux fabricants de vaccins COVID-19 ont exigé que les pays les indemnisent pour tout évènement indésirable subi par des personnes à la suite de l’administration de ces vaccins.
Là où les gouvernements n’ont pas le contrôle, cela n’est pas possible.
À moins que toutes les entreprises n’acceptent la responsabilité légale, « l’accès aux vaccins pour certaines populations restera un défi », indiquent les documents de Gavi, ajoutant que de nouvelles crises généreront une demande supplémentaire pour couvrir les populations déplacées.
La réticence des fabricants de vaccins à assumer les risques juridiques constitue « un obstacle majeur » aux tentatives de fournir des vaccins pour les populations tampons, a déclaré à Reuters un porte-parole de Gavi. Gavi n’a pas commenté les détails contenus dans les documents, mais a déclaré que les demandes de vaccins sont confidentielles jusqu’à ce que les doses soient livrées. En septembre, le PDG de Gavi, Seth Berkley, a lancé sur Twitter un appel aux fabricants de médicaments pour qu’ils renoncent à leurs exigences en matière d’indemnisation légale.
Avec la vaccination obligatoire, le paradigme change totalement. Tant que c’était volontaire, n’importe qui pouvait s’empoisonner il ne pouvait que s’en prendre à lui-même. Mais si une personne est injectée de force, c’est un meurtre.
[…]
Merci à D.P.
La France contrainte d’acheter de l’électricité auprès de l’Allemagne ou de la Russie pour passer l’hiver après l’arrêt de 4 réacteurs nucléaires
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Ce samedi, un quatrième réacteur nucléaire sera mis à l’arrêt après l’apparition de fissures sur trois autres de même génération. Résultat : la France va devoir acheter de l’électricité auprès de l’Allemagne ou de la Russie.
Cela sonne au mieux comme un avertissement. Ce vendredi, au cours d’une réunion, Barbara Pompili, la ministre de la Transition écologique, a demandé à Jean-Bernard Lévy, le PDG d’EDF, de prendre des mesures pour améliorer la sécurité de l’approvisionnement en électricité du pays. Deux jours auparavant, le groupe avait annoncé sa décision de stopper les deux réacteurs nucléaires de la centrale de Chooz B, dans les Ardennes. Le numéro 2, dès jeudi, le numéro 1 ce samedi. Des mesures prises pour les mêmes raisons que ce qui avait conduit l’énergéticien à interrompre il y a quelques semaines les deux réacteurs de Civaux (Vienne) : des signes de vieillissement prématurés, observés sur des circuits servant à refroidir les cœurs en cas d’accident.
La France des Bodin’s contre la France des Deschiens
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Avec 1,5 million d’entrées en un mois, « Les Bodin’s en Thaïlande » ont déjà crevé l’écran. Depuis les Inconnus, on n’avait pas vu pareil phénomène. C’est la protestation de la France périphérique qui ne veut pas mourir. Un référendum de plus, comme ceux de 1992 et de 2005. Et qui est souverainement snobé par les médias centraux. Toi et moi, toi le « Anywhere » et moi le « Somewhere », on ne vit décidément pas sur la même planète. La chronique bimensuelle de François Bousquet sur les ondes de Radio Courtoisie.
Connaissez-vous les Bodin’s ? B-O-D-I-N’S ! C’est un tandem d’humoristes qui remplit les Zénith de province depuis 25 ans dans l’indifférence souveraine des médias centraux. Une fois, une seule, ils ont fait la une de la presse nationale. C’était il y a dix jours, quand leur film, Les Bodin’s en Thaïlande, a franchi la barre du million d’entrées après 15 jours d’exploitation. Après quoi, silence radio. Les Bodin’s sont retournés traire leurs vaches dans ce trou noir qu’est la France périphérique. Impossible de voir le film à Paris, où il n’est même pas programmé. Saisissant contraste. La ville d’Anne Hidalgo s’occupe du sort des migrants, de l’avenir de la planète, du tri recyclé, des voitures électriques, des livreurs à vélo exotiques, du bien-être des rats d’égout, de toutes les phobies possibles et imaginables, exception faite de la ploucophobie. Paris est un open space, sauf pour les Bodin’s. Les gens comme eux n’ont droit qu’à une semaine par an, lors du salon de l’agriculture. Le reste du temps, ils sont expulsés sans ménagement.
Le terroir qui ne ment pas
Sur scène, les Bodin’s rejouent Fantasia chez les ploucs. Ils interprètent une mémé sans âge et son fils de 50 ans qui est un peu l’idiot du village. Les délicats feront valoir que c’est de l’humour facile ? Mais qu’est-ce que l’humour difficile ? Celui qui ne fait pas rire ? Celui qui ne fait rire que la critique ? Non, arrêtez ! Depuis quand n’avait-on pas ri aussi franchement, les applaudissements de la salle en prime ? En plus, elle balance à la sulfateuse, la mémé Bodin, dans le périmètre de son public évidemment. Elle, qui n’a plus qu’une dent, s’en sert comme d’un pic à glace qu’elle plante dans la chair de la bêtise contemporaine.
Ceux qui comme moi commencent à vieillir en ont connu des mémères comme ça, une grande tante avec des poils au menton, un fichu sur la tête, les mains calleuses et qui ne s’en laissait pas compter par les truffes de l’INRA en blouse blanche qui venaient lui expliquer comment planter ses choux. Bien sûr, le trait est grossi. Cela permet la distanciation et préserve de l’identification. L’identification opère sur un autre plan, dans la réminiscence de l’ancien temps, la proximité avec l’univers rural, la nostalgie du vieux monde.
Cette France a été bannie des représentations médiatiques et des quotas de la diversité, exception faite de l’ex-JT de Jean-Pierre Pernaut. C’est la France de la Mère Denis, de la presse quotidienne régionale, des livres d’Henri Vincenot, du terroir qui ne ment pas, des foires agricoles, du Tour de France, une France qui chasse le sanglier, qui roule encore en deudeuche dans la cambrouse et siffle un pétrole de prune vieux de trente ans d’âge. C’est la France éternelle, mais avec une cirrhose du foie, un dentier déglingué et une hygiène de vie douteuse, comme Maria Bodin. Elle n’est pas dans une forme olympique, j’en conviens, mais elle ne veut pas mourir. Et de fait elle n’est pas morte, puisque c’est elle qui fera basculer la présidentielle.
Tiens, voilà les Bodin’s !
Pourquoi ça marche ? Parce qu’il n’y a pas de mépris ici. Le contraire des Deschiens. Avec les motocrottes, les Deschiens ont été la quintessence du parisianisme branché des années 1990. Comme disait le regretté Jean-Pierre Coffe, « mais c’est de la merde ! » Les plus jeunes ne se rappellent pas des Deschiens qui mettaient en scène chaque soir sur Canal Plus, en clair et en prime-time, une famille de Thénardier habillée comme des sacs poubelle, raciste, malfaisante, toujours en train de martyriser le petit dernier qui aimait lire – quoi, comment, il lit ! mais c’est affreux – devant les gloussements du public branché. Dégoûtant. Avec l’ignoble François Morel, la grande conscience de « gôche », toujours prompt à dénoncer le racisme sur France Inter, sauf le racisme anti-blanc, dans lequel il est un expert reconnu et paradoxal. Les Deschiens ou la haine des Souchiens. Aujourd’hui, c’est l’équipe de Yann Barthès, rejeton de l’esprit Canal Plus, qui exploite ce filon. Comment ne pas voir dans ce mépris un nouveau racisme de classe, celui des bobos à l’encontre des prolos de province ? Pour Bobo sapiens, cette France d’en bas est le nouvel indigénat. Elle est infériorisée, bestialisée, obscurantisée selon les termes mêmes du racisme biologique du XIXe siècle. Il ne manque que l’intentionnalité scientifique. Pour le reste, on est dans le pavillon colonial des expositions universelles. Le zoo des beaufs qu’on exhibe dans une perspective ouvertement zoologique. Les Deschiens en étaient l’illustration caricaturale, eux dont les sketches s’ouvraient par un rideau métallique avec un chien urinant sur un pot de fleur. Au fond, c’était une émission animalière. Les spécimens présentés, c’était Dupont Lajoie et Ducon le Gaulois, mon semblable, mon frère. Je leur préfère, et de loin, Maria Bodin et son fils Christian Bodin. Car, comme on dit dans la Légion : Tiens, voilà les Bodin’s !
Source : Ligne droite, la Matinale de radio courtoisie
Reportage. Sauver les forts de Saint-Malo
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Au large de Saint Malo, les forts bâtis par Vauban sont aujourd’hui entretenus et restaurés par des passionnés et amoureux de ce patrimoine unique.
À la fin du 17e siècle, alors que vient d’éclater la guerre de la ligue d’Augsbourg opposant la France à une grande partie de l’Europe, Louis XIV craint que Saint-Malo, en passe de devenir le premier port du royaume, soit la cible des navires anglais et hollandais. Il confie alors à Vauban le soin de renforcer les remparts de la cité corsaire, et d’imaginer un système de défense côtier.
Vauban décide de fortifier 4 ilots rocheux d’où l’on pourra surveiller les trois passes d’accès à Saint-Malo et empêcher les navires ennemis de venir mouiller à proximité. Quatre forts qui s’inscrivent dans un dispositif défensif plus large qui s’étend du Cap Fréhel à l’ouest, à la Pointe de la Varde à l’est. Vauban nommera l’ingénieur militaire et architecte Siméon de Garrengeau (1647-1741) pour superviser les travaux. La construction du premier, le Fort National, le plus proche de Saint-Malo, débute en 1689. Suivront le fort du Petit Bé, le fort Harbour et celui de la Conchée.
La chanson du jour, Where Is My Mind ? – Nada Surf
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Encore un groupe qui compte dans la musique. Pour résumer le propos de cette chanson : Nous avons choisi la cupidité, l’égocentrisme, les plaisirs extrêmes, tous les contours du sexe , de la drogue, mais nous avons écarté et même rejeté Dieu. Nous finissons les pieds en haut et la tête à l’envers . Où est notre esprit?
Que cela ne vous empêche pas de passer un bon week-end hivernal.
Plus de musique ici:
Octobre 2021 : 24.9% des détenus en France sont étrangers, alors qu’ils représentent 7.6% de la population
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France – Personnes écrouées et détenues (Octobre 2021)
- La population étrangère vivant en France s’élève à 5,1 millions de personnes, soit 7,6 % de la population totale. Elle se compose de 4,3 millions d’immigrés n’ayant pas acquis la nationalité française et de 0,8 million de personnes nées en France de nationalité étrangère.
- 24.9% des détenus sont étrangers, alors qu’ils ne représentent que 7.6% de la population.
- Seuls 17,3% des détenus étrangers sont d’une nationalité de l’Union Européenne et/ou du Royaume-Uni.
- Les Algériens composent à eux seuls 20.2% des étrangers détenus dans les prisons françaises.
Source : Ministère de la Justice & l’INSEE
Précédemment :
Juillet 2021 : 24.6% des détenus en France sont étrangers, alors qu’ils représentent 7.6% de la population :
Dans la banlieue bordelaise, des individus armés et cagoulés braquent en pleine nuit trois hôtels et volent clients et employés
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Dans la nuit de mercredi à jeudi, trois individus armés et cagoulés sont entrés dans trois hôtels de la banlieue bordelaise, à Lormont et Eysines. Ils ont agressé puis volé de l’argent et des effets personnels à des clients et employés de ces différents établissements avant de prendre la fuite. Le trio d’hommes se faisait passer pour des agents de sécurité afin d’avoir accès à l’intérieur des hôtels et aux chambres.
“Ils ont réveillés les clients en pleine nuit avant de taper aux portes et d’agresser violemment les gens qui leur ont répondu. Certains ont reçu des coups de crosse et ensuite ils les ont dépouillés pour récupérer les cartes bleues avec les codes et leurs effets personnels, portables et argent liquide“, explique Philippe Rolland, délégué régional Unité SGP Police FO.
Le premier des trois braquages s’est déroulé à l’hôtel Première Classe de Lormont avec un client agressé d’un coup de crosse à la tête en plus d’un coup de fusil dans la chambre. Une carte bancaire et un téléphone lui ont été volés avant que le trio décrit comme “extrêmement déterminé” ne prenne la direction de l’hôtel Balladins à Eysines.
Là encore, la méthode est restée la même puisqu’ils les trois hommes se sont fait passer pour des agents de sécurité et sont entrés dans la chambre d’une employée. Plusieurs coups de crosse lui ont alors été adressés. […]” Ils lui ont cassé le nez et elle était ouverte au front et à la paupière.” raconte une personne située à côté de la chambre de la victime. […]
Caméra cachée : Le neveu d’Eric Zemmour
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Chez Hanouna, face aux Caron-Wargon-Corbière-Zeribi, Z a eu le dernier mot
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Zemmour et Hanouna, les deux protégés de Vincent Bolloré, se retrouvent dans la nouvelle émission de la chaîne C8, Face à Baba.
Une dizaine d’invités doivent affronter Éric Zemmour, chacun dans un duel de dix minutes. Zemmour n’a émis aucune condition, ne refusant jamais une joute oratoire.
« Je ne mets de veto sur personne. Tout le monde peut venir se présenter face à moi ».
Parmi les participants, Aymeric Caron et l’acteur Mathieu Kassovitz, deux potes bien connus de Zemmour comme chacun sait. Et quelques invités surprise.
Sans tabou et seul contre tous, Zemmour, tel un champion d’échecs, va donc affronter 10 adversaires à la fois.
On apprend que Mathieu Kassovitz, positif au Covid est absent.
Hanouna nous rappelle que les mesures de sécurité ont été renforcées, Zemmour étant la personnalité la plus menacée, avec le président de la République. C’est beau la patrie des droits de l’homme en 2021 !
Hanouna souligne qu’il ne veut pas d’agressivité et que c’est une émission exceptionnelle sur l’élection « de la dernière chance ». Est-il un pro-Zemmour ? Il a d’ailleurs été parfait tout au long de l’émission, plutôt bienveillant à l’égard de Zemmour.
Parmi les invités, 5 anti-Zemmour et 5 plutôt favorables au candidat.
21 h 15
C’est Hanouna qui pose la première question : Vous aviez tout, pourquoi vous lancer dans cette galère ?
Z. J’ai longtemps hésité, je suis malheureux de voir le pays que j’aime en perdition. J’ai cru en Seguin, en Pasqua, mais voyant qu’aucun politique ne reprenait le flambeau, j’ai décidé de défendre mes idées moi-même. J’ai des équipes de très haut niveau, de tous milieux qui travaillent pour moi. Je sais que je choque, mais je serai évidemment le Président de tous les Français.
Oui, j’ai des musulmans dans mon équipe. Je dis à tous les musulmans « assimilez-vous !
Je ne suis pas raciste. Le racisme c’est établir une hiérarchie parmi les races en estimant que la sienne est supérieure. Je suis tout sauf raciste. Je défends notre civilisation, notre histoire, notre culture, notre art de vivre. 65 % des jeunes musulmans placent l’islam au- dessus de la loi républicaine. Cela mène au séparatisme.
Kassovitz intervient par vidéo, affirmant que le Grand Remplacement n’existe pas, que le métissage est inévitable, que lui aussi est d’origine étrangère (juif hongrois).
Z lui répond qu’il est justement ce modèle d’assimilation qu’il faut réhabiliter. C’est le contraire du racisme. C’est le génie français. Mais la France reste une terre chrétienne de culture gréco-latine. Toutes les vagues d’assimilation doivent s’assimiler et pas seulement s’intégrer.
Aymeric Caron passe à l’attaque, agressif, l’œil mauvais. « Vous êtes raciste sans le savoir ! Vous mettez le sourire dans les horreurs que vous dites. Vous insultez les musulmans ».
Z. Je n’insulte pas les musulmans, je dis que l’islam est une religion totalitaire et que je préfère ma civilisation.
Suit une querelle de chiffres sur le nombre et le coût des mineurs isolés, Caron ignorant qu’il y a un socle de 50 000 MNA qui coûtent 2,5 milliards aux départements. Puis Caron montre la photo du petit Elan, échoué sur une plage turque.
Ce à quoi Zemmour répond qu’il est sensible à cette tragédie mais qu’on ne bâtit pas une politique sur l’émotion. On bâtit une politique dans l’intérêt de la France et il arrêtera l’immigration.
Conclusion de Caron, de plus en plus agressif : « Appartenez-vous à l’humanité ? » Ça vole haut !
Naulleau arrive, beaucoup plus sympathique. Pas de questions, pas d’échanges. Mais un long monologue sur l’amitié indéfectible qui le lie à Zemmour alors qu’ils ne sont d’accord sur rien.
Élisabeth Moreno, ministre, attaque Zemmour sur le féminisme, la parité, la PMA, le discours LGBT, rappelant que les femmes ont construit la France tout autant que les hommes.
Z lui répond qu’il est contre la parité qui n’est que de la discrimination positive, donc humiliante pour les femmes. Il ne reconnaît que le mérite et la compétence. Oui à l’égalité des salaires à compétence égale. Mais non à la PMA sans père, non à la pression LGBT, non à la directive Blanquer sur les enfants transgenre. « Je suis le seul à défendre les femmes menacées dans leur liberté par l’immigration ».
Karim Zeribi déclare que Zemmour a une vision fantasmée de la France. Une France qui n’a jamais existé ! Il y a 7 millions de musulmans que vous ignorez. Combattre l’islamisme, mais pas l’islam. C’est votre discours qui est porteur de guerre civile.
Z. Vous m’accusez de souhaiter la guerre civile, mais je ne peux plus aller dans les quartiers, qui sont devenus de véritables enclaves étrangères. Il faut stopper les flux, rétablir l’ordre. Regardez le film BAC nord. C’est un problème de mœurs, j’interdirai le voile dans la rue. C’est aussi cela la laïcité, un devoir de discrétion.
Charlotte d’Ornellas rappelle qu’une partie de la France se reconnaît dans le discours de Zemmour. Elle compare le programme « jeunes » de Marine et d’Éric. Elle évoque un accord éventuel entre Marine et Éric, l’un étant appelé à prendre le dessus.
Z lui répond qu’il est d’accord avec Marine sur la suprématie de la loi sur les traités et qu’il mettra fin au pouvoir abusif des juges. Il fera un référendum sur l’immigration. Quant aux jeunes, il veut les aider à accéder à la propriété en supprimant les frais de notaire pour les acquisitions jusqu’à 250 000 euros.
Entre Marine et lui, il se dit le seul capable de rallier le vote populaire de Marine et le vote patriote LR. Pécresse est une centriste. Elle est Macron et elle trahira. Marine n’a que son électorat populaire. Elle est condamnée à perdre. Il rappelle que sans lui, Pécresse serait battue par Marine.
La force de Zemmour, c’est 1/3 de vote Marine, 1/3 de vote LR et 1/3 de vote abstentionniste.
Avec 15 % dans les sondages, il est proche de Marine à 16 % et Pécresse à 17 %. On est dans la marge d’erreur. Zemmour rappelle qu’il a 300 signatures mais que c’est difficile.
Sur le dossier économique, il n’est pas ultra-libéral. Il souhaite un équilibre en choisissant ce qui est bon pour la France et la réindustrialisation. Baisser les charges, les impôts, réserver les commandes publiques aux sociétés françaises.
Alexis Corbière arrive, virulent, colérique, encore plus remonté que Caron, accusant Zemmour d’être d’extrême droite et de mentir sur les programme d’école, qui ne sont pas ce qu’en dit Zemmour. L’échange est violent. Zemmour rappelle à Corbières qu’il est un militant communiste admirateur de Robespierre. Sur l’école, il répète que nos livres d’histoire ont détruit le roman national, que le collège unique a été une catastrophe, qu’il faut rétablir les classes de niveau et redonner sa place au mérite. La France est tombée au 26e rang du classement Pisa.
Christine Kelly s’installe, plus radieuse que jamais. Pas d’échange avec Éric, mais un rappel des merveilleux moments passés dans son émission Face à l’info, avec des débuts difficiles en apprenant à se connaître. Puis elle fait l’éloge de son complice, puits d’intelligence, toujours gentil et souriant, dans un respect mutuel. Elle évoque ses « amis » qui l’ont lâchée, les menaces de mort. Mais elle ne regrette rien.
Éric Revel revient sur l’économie, courtois et aimable. L’échange se fait sur le pouvoir d’achat, sur le Smic, la baisse des charges, l’impôt des sociétés. Les deux interlocuteurs semblent d’accord. Zemmour n’a pas encore chiffré son programme économique mais c’est en cours. Il rétablira l’universalité des allocations familiales et supprimera la redevance audiovisuelle.
Mathias Wargon, médecin en Seine-Saint-Denis, attaque Zemmour sur la suppression de l’AME qui soigne les sans-papiers. Ils ne sont d’accord sur rien. Wargon vante son personnel étranger, majoritaire dans son hôpital, lequel devrait être mieux payé. Zemmour confirme qu’il supprimera le numerus clausus, rétablira les médecins de garde, transférera une partie des urgences vers la médecine de ville, supprimera les ARS. Il embauchera 1000 médecins pour combler les déserts médicaux. Un dialogue de sourds, car Wargon conteste tout.
Zemmour se dit contre la vaccination obligatoire et opposé à la vaccination des enfants.
Enfin, c’est au tour de Stanislas Rigault de clore le débat.
Brillant, courageux, il remet violemment Corbière à sa place qui l’accuse de mentir. Il évoque cette jeunesse pro-Zemmour traumatisée par le Bataclan, par la tragédie Samuel Paty. Il dénonce les agressions permanentes de l’extrême gauche.
Zemmour rappelle que nous avons la responsabilité de léguer à la jeunesse la France dont nous avons hérité. La France est en danger de mort, on peut y mourir pour un regard ou une cigarette refusée. L’enjeu, c’est léguer la France de nos parents telle que nous l’avons reçue.
Ce que veut Zemmour c’est conjurer ce destin maudit qui menace la pays, la,misère, les affrontements entre communautés, le remplacement par un autre peuple. C’est son combat.
Conclusion
Un long débat de 3 h 30, où les échanges courtois ont été émaillés de moments violents, émanant toujours des mêmes participants ennemis de la démocratie respectueuse des idées. Ces ennemis de la liberté d’expression ne connaissent que deux mots : racisme et extrême droite.
Un peu léger pour débattre !
Zemmour, imperturbable et droit dans ses bottes, les a mouchés comme il se doit, sans s’énerver, sans déraper. Un grand bravo. Il est convaincant et persuasif.
Quant à Hanouna, il a été tout simplement remarquable, en animant cette émission sans parti pris, et même avec une certaine bienveillance vis-à-vis de Zemmour.
C’est tellement rare sur les plateaux TV que je lui tire mon chapeau !
Jacques Guillemain, Riposte Laïque
Caron : il faut être une pourriture pour se servir du cadavre d’un enfant
Quelle bonne soirée j’ai passé hier. Cela me change des séries débiles et des émissions tout aussi stupides proposées d’habitude par les chaines nationales. C8 nous proposait un débat entre Éric Zemmour et des gauchos sélectionnés pour essayer de le démonter et de le réduire en poussière ! Dans l’après-midi, beaucoup de mes amis étaient inquiets se demandant comment notre candidat et futur Président allaient s’en sortir face à des Mathieu Kassovitz, Aymeric Caron, Alexis Corbière, bref que des gens super hostiles à Eric Zemmour. Moi j’étais certain que vu ses qualités de débatteur, il allait s’en sortir avec les honneurs. Je savais très bien que malgré leur haine, ces gens repartiraient après avoir pris une bonne déculottée et je ne me suis pas trompé !
Déjà Mathieu Kassovitz s’est décommandé étant (fort à propos) devenu cas contact. Donc il a juste posé par vidéo une question. Comment réagissez-vous, candidat Zemmour en tant que métissé comme lui. Cet idiot a juste confondu. Zemmour n’a jamais été Algérien, l’Algérie n’existait pas avant la France. Ce qui a permis de faire citer Romain Gary par Zemmour « je n’ai pas une goutte de sang Français mais la France coule dans mes veines ».
Cela a continué avec Aymeric Caron, coiffé comme un dessous de bras. Alors là c’est du lourd. Il s’est assis devant Éric avec de la haine qui sortait par tous les pores de sa peau : « vous essayez de mettre du sourire dans les horreurs que vous racontez » commence le gaucho. La réponse fut cinglante et a visiblement décontenancé son opposant : « Bah en général, vous vous ne mettez pas de sourire dans les bêtises que vous racontez ». 1 à 0 la balle au centre ! Apparemment le gaucho n’a pas entendu et Zemmour de dire : « eh oui ça rend sourd mais c’est normal, quand on est obsédé par soi même on entend plus les autres ». 2 à 0 et le gaucho un peu perdu après ce vif échange ne s’est contenté pour contrer son adversaire du soir que de lui couper la parole, afin qu’Éric ne puisse lui répondre et développer ses arguments. C’est le moyen de fonctionner des journaleux islamo gauchistes, comme déjà nous avons pu le constater lors de son passage chez Léa Salamé, une autre islamo gauchiste.
Bref le débat était lancé jusqu’à ce que cet ignoble individu ait cru bon de diffuser l’image d’un enfant mort, noyé au bord d’une plage, dont en fait on a jamais su si ce n’était pas une mise en scène. Il a demandé à Éric ce qu’il en pensait. Là on était vraiment dans le sordide, car ce n’est pas l’image d’un enfant mort écrasé à Nice qu’on nous montrait, ou un jeune tué au Bataclan, ou encore la tête de Samuel Paty. Il faut vraiment être la pire des pourritures pour montrer cela dans un débat. Je savais qu’Aymeric Carron n’était pas très malin, mais je ne le savais pas sordide. Bref, là encore Éric ne s’est pas laissé démonter « On ne gouverne pas un pays dans l’émotion ».
Celle-là, il ne l’a pas vu venir. Fin du match. Cet abruti a montré à toute la France à quel niveau de bassesse il s’était mis. J’espère qu’on en entendra plus parler pendant longtemps ! Sauf que ce matin, le gaucho s’est fendu d’un tweet insultant, me traitant de facho, l’insulte habituelle des gauchos. Pour eux, si on est pas de gauche, on est facho ! Me traiter de facho dans un tweet après avoir dit sur le plateau avoir beaucoup de compassion pour les victimes du Bataclan, ce n’est déjà pas très glorieux, et cela démontre qu’en fait les victimes du Bataclan, il s’en fout comme de sa première culotte. Par contre, être traité de facho par un pauvre type qui n’a comme seule arme dans un débat que de couper son contradicteur afin qu’il ne puisse s’exprimer, c’est déjà un honneur. Cela pose la question de savoir en fait qui est le vrai facho. Quand à titiller notre champion il faudrait déjà qu’il lui arrive à la cheville, ce qui est très loin d’être le cas !
Puis ce fut le cas du député Corbière. Alors là ce fût l’hallali. Ce communiste a tout d’abord eu beaucoup de mal à admettre qu’il avait déjeuné parfois avec Zemmour et qu’il le trouvait très sympathique, mais « ça ce sont les hommes de gauche ». Corbière, comme tous les extrêmes gauchistes, y allant de ses insultes habituelles : facho, extrême droite (il va falloir qu’il se recycle car on ne dit plus extrême droite mais ultra droite) et comme le député est un piètre débatteur, il s’est énervé et est de nouveau passé pour un C…ARD !
La fin de ce débat a été magique, lorsque le jeune de vingt-deux ans, Stanislas Rigault, président de Génération Zemmour, auquel s’en était pris Corbière. Stanislas l’a renvoyé dans ses cordes, lui disant : « retournez enseigner, de toutes façons en Mai 2022, c’est fini pour vous » ! Là je dois dire que le député communiste est resté scotché et s’est définitivement tu, ce qui a redonné du calme sur le plateau. Je me mets à sa place. Se faire moucher par un gamin de vingt-deux ans pour un député d’extrême gauche, cela doit faire mal, car ce n’est pas très glorieux.
Patrick Jardin, Riposte Laïque
Garrido, c’est la Berthe Berurier des Insoumis
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Quelle soirée chez Cyril Hanouna ! Il est vrai qu’avec le couple des Thénardier de la politique, les célèbres duettistes Alexis Corbière et Raquel Garrido, il y a toujours du spectacle.
On sait que ces grands donneurs de leçons ont occupé un logement social près de vingt ans, bien que gagnant à eux deux près de 20.000 euros. Ce qui ne les a pas empêchés de réclamer toujours plus de logement social à Paris, pour y caser non pas les Français pauvres et les ouvriers, chassés de la capitale, mais les clandestins et les nouveaux venus…. la suite ci-dessous :
MDR. Le jeune Stanislas Rigault, 22 ans, a littéralement mouché Alexis Corbière qui a passé le reste de l’émission à s’étouffer dans sa rage. 🤣🤣🤣
— Politiquement Goret (@PolitiquementG) December 16, 2021
Bravo @stanislasrig !#Zemmour#Corbiere#FaceABaba#TPMP pic.twitter.com/r5TQqawo7E
Mais la suite fut encore plus grandiose, puisqu’on voit, dans les coulisses, l’attitude de racaille du couple Corbière-Garrido, face au jeune et plutôt fluet Stanislas Rigault.
Raquel, notamment, se devait de venger son époux, et de faire rendre gorge à l’insolent gamin ! Elle fut à la hauteur des espoirs placés en elle !
On entend en effet, sur cette vidéo, la grosse Raquel-Berthe Bérurier tenir des propos très fleuris contre le jeune Stanislas : « Va sucer la bite à ton chef, connard ».
Corbière et Garrido, c’est la caricature de toute la gauche qui, vaincue idéologiquement pour leur soumission au mondialisme, à l’islam, à la dictature sanitaire et à l’imposture climatique, n’a plus que la violence physique pour imposer son idéologie mortifère.
DOSSIER CORBIERE-GARRIDO
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Merci à Riposte Laïque